Il y a 20 ans : Juin 1985

[Fred le mallrat]

peut etre et le menton fortement carré met un peu de secon degre

[XXL]

je regardai de près le cap de Zeck sur ces illustrations pour essayer de voir ce qui me plaiit tant dans sa vision et je crois avoir trouvé un indice: Zeck ne serait-il pas un des seuls dessinateurs de cap à utiliser le sbarres rouge et blanche au dessus de sa taille pour faire un ovale aussi prononcé? J'ai l'impressions que les autre sl'utilisaient plutot pour souligne rl'aspect "tablette de chocolat" de son ventre en faisant qque chose de plus droit.

[XXL]

[CENTER][B][U][SIZE=5]MICRONAUTS N°41[/SIZE]
Publié par Marvel en mAI 1982
"Everyone's little in Liddleville!"" 32p.
Scénario: Bill Mantlo
Dessin: Gil Kane
Encrage: Danny Bulanadi
Couverture: Gil Kane[/U][/B]

[IMG]http://jean.racaud.free.fr/vo/micronautsv1/41.jpg[/IMG]
[I][U]Ca c'est de la cover qui incite à l'achat! :flex: :clap: [/U] [/I] [/CENTER]

[B]Résumé:[/B]
Après leur visite au QG des FF, les Micronautes retournent à l'Endeavor mais découvrent qu'il est en train de sombrer dans les égoûts, totalement inerte! C'est la fin pour l'Endeavor et nos amis circulent désormais dans leur mini navette-baignoire! 8( Ils se rendent au chateau du Docteur Doom (pas celui de latveria, mais celui qui est situé à côté de New York) pour essayer d'en savoir plus sur Liddleville, la ville qui fut le théatre du dernier affrontement en date du Doc contre les FF dans Fantastic Four 236. Désormais, le corps du Doc Doom est gardé vide, au Baxter Building, alors que son esprit est prisonnier du corps de Vincent Mc Doom (oups pardon Vincent Von Doom! :D) dans la ville créé par le Puppet Master.
Arrivé dans la ville, en ayant laissé Microtron et Nanotron derrière vérifier leurs niveaux d'huile :huhu: , les Micronautes tombent sur des villageois opprimés par un nouveau Docteur Doom, qui a emprisonné le Pupett master et tyrannise les habitants, les ayant forcés à fabriquer une réplique de son chateau.
D'ailleurs, les Micronautes qui tentent de pénètrer dans le chateau sont vite neutralisés par Doom et ses armes. Ils rejoignent le Pupett master en cellule mais arrivent à se libérer et vont se friter avec cette nouvelle version de Doom, qui elle n'est pas défigurée! Mais le Pupett Master a créé une réplique de ce Dr doom et l'immobilise alors que son chateau s'enflamme: le feu fait fondre le visage synthétique parfait de Doom qui jure de faire payer ça très cher au Pupett master.
Les micronauts ayant renversé le tyran mais n'ayant aucun moyen de rentrer chez eux s'en vont de la ville, les laissant tous deux régler la suite des évènements.
Pendant une séquence se déroulant sur Homeworld, on découvre que Lady Slug et belladonna ont échangé leurs corps. Belladonna va dandiner son corps de femelle fécondable devant Argon, espérant bien une bonne partie de jambes de l'air :D + une place sur le trône à ses côtés. Mais celui-ci lui révèle qu'il n'est plus qu'un être d'énergie après plusieurs passages dans les Body banks. Mais il veut bien d'elle comme reine, ça peut servir, vu qu'elle posséde le corps de l'ex chef de la rebellion. 8)

[CENTER][IMG]http://membres.lycos.fr/canard1999/micro41-1.JPG[/IMG]
[U][I]Kane et ses fameux jetés! Ci dessus, un jeté de chaudasse! :lol: [/I][/U].[/CENTER]

[B]Commentaire:[/B]
Un épisode inhabituellement long. C'est bien simple, ce numéro est uniquement composé de bd, 32 pages brutes, pas de courrier ou bonus, l'histoire ayant nécessité apparemment plus de place que d'habitude.
Outre une cover magnifique, force est de constater que cet épisode est fort agréable au niveau visuel comparé au précédent. Pour peu qu'on oublie qu'on aurait pu avoir du Gil kane 100%, il faut bien avouer que l'encrage de Bulanadi est assez joli par moments, même s'il s'accorde mal avec la spontaneité du dessin de Kane. D'ailleurs, certains panels, trop rares malheureusement, sont très Kane! :clap:
Une assez bonne surprise donc, et une histoire qui se laisse lire et qui a le mérite de donner une suite à cette aventure fabuleuse des FF.
Et on assiste aussi dans ce numéro à la construction d'une véritable storyline avec ces scénes se passant sur Homeworld. On est témoin non plus d'une suite d'épisodes sans lien, mais bien de l'évolution d'un univers construit.

[CENTER][IMG]http://membres.lycos.fr/canard1999/micro41-2.JPG[/IMG]
[I][U]Le portrait de Dorian Doom? :D [/U] [/I]


[U][B]Un numéro qui marque une évolution positive dans la série.[/B][/U][/CENTER]

[michel]

J'avais oublié que l'histoire de Liddleville se continuait ici ! :clap: :clap:

[Niglo]

Et moi je ne l'ai jamais su avant ce soir :oups:

:merci: XXL

Je me demande bien comment Gil Kane a atterri sur ce titre.

[XXL]

On lui a proposé et il a accepté, voila comment! Dis donc, quel est ce ton dans ta question! :non:

[Niglo]

:D

Non, en fait je ne savais pas que Kane avait bosser sur la série avant de lire tes derniers résumés, et ça m'a surpris de l'y trouver. En plus je me trompe où il ne faisait pas énormément de choses pour Marvel à l'époque ?

[XXL]

hum, je sais plus, j'essaierai de te dire ça quand je relirai l'article ou il annoncait son arrivée sur la série. Dbut années 80, voui je crois qu'il faisait plus grand chose effectivement.

[michel]

[B]Captain America #260[/B] : 08/81, Prison Reform ! par Al Milgrom / Alan Kupperberg / Quickdraw Studios & Al Milgrom

[IMG]http://cracaud.free.fr/vo/captainamericav1/260.jpg[/IMG]

Un dernier fill-in, de Milgrom et Kupperberg, avec une histoire qui aurait pu être spectaculaire si on avait pu y croire un peu…

Tout commence dans une prison, quand sous les lazzis des détenus deux gardes jettent Captain America dans une cellule !

[IMG]http://aracaud.free.fr/capa260p2.jpg[/IMG]

Cap a demandé à partager la cellule de "Thumper" Morgan, un dur qu'il a croisé il y a longtemps lors d'une émeute en prison (Tales Of Suspense #62, Eclipso n°25). Thumper tente de suite d'intimider Cap, sans succès. L'autre détenu est un petit jeune, Tony Zack, tombé par déseuvrement dans la violence des gangs et des hold-ups faciles. Cap constate que Thumper l'a pris sous son aile, et s'inquiète qu'à son contact Tony passe de jeune déliquant à criminel endurci. Enfin, quand Tony finit par lui demander pourquoi il est là, Cap répond que c'est… pour s'échapper !

[IMG]http://aracaud.free.fr/capa260p5.jpg[/IMG]

Le lendemain matin, le Directeur Michaels donne une conférence de presse pour expliquer la présence de Cap. Son prédécesseur, Carlson, avait doté la prison d'énormes portes blindées à ouverture vocale. Seulement, il avait bêtement choisi comme code d'ouverture "Captain America" : il avait suffi que deux détenus discutent de lui dans la cour pour que la porte s'ouvre :pfff: Heureusement, une pelletée de gardes passait à proximité à ce moment et purent éviter l'évasion. Carlson démissiona et pour éviter un scandale, son successeur Michaels pensa à demander un coup de main à Cap, avec qui il avait servi pendant la guerre. Cap suggéra de se faire enfermer dans la prison et de tenter de s'évader, pour tester le nouveau système de sécurité établi par Michaels. Il ignore ainsi qu'ont été installé des tas de caméras consultables sur un mur d'écrans. L'info ne tarde pas à circuler parmi certains détenus, et l'un d'eux, Deacon, décide de profiter de l'évasion de Cap pour se faire la belle lui aussi, avec son complice Thumper. Les détenus justement n'apprécient pas trop de voir Cap se ballader parmi eux, et celui-ci doit mater une rixe dans le gymnase, sans problème.

[IMG]http://aracaud.free.fr/capa260p10.jpg[/IMG]

Un peu plus tard à l'atelier, Cap se construit un mini-bouclier en acier qu'il planque sous son costume. Et comme Thumper veut qu'il s'évade, il le protège d'une autre démonstration de force des détenus :D

Le jour de l'évasion venu, Cap commence par bloquer la fermeture de la porte de la cellule avec un morceau de métal.

[IMG]http://aracaud.free.fr/capa260p17.jpg[/IMG]

Evidemment, Thumper commence à le suivre, et Tony suit Thumper ! :D Thumper alerte Deacon, qui avait depuis longtemps les clés de sa cellule (il bossait dans le bureau de Michaels) mais attendait la bonne occasion pour s'en servir. Il libère aussi d'autres détenus pour faire diversion. Aussitôt averti par ses caméras, Michaels lâche ses gardiens. Entendant qu'il y a une vraie évasion, Cap rebrousse chemin et retrouve Tony qui lui explique le plan de Deacon. Il décide alors de s'évader d'une manière ostensible et… inimitable ! Il utilise son mini-bouclier pour forcer une porte donnant sur la cour, puis le lance pour couper la corde qui sert à faire monter le drapeau américain sur son mât, et enfin utilise la corde pour sauter au dessus du mur d'enceinte ! :clap:

[IMG]http://aracaud.free.fr/capa260p21.jpg[/IMG]

Voyant qu'ils ne pourront le suivre, les détenus se rendent. Cap revient triomphalement par la porte, et demande à Michaels de ne pas punir les détenus, qui ont été poussés par sa présence. Il incite aussi Michaels à développer son projet de réinsertion des détenus, afin que des jeunes comme Tony puissent se sortir de la délinquance. Enfin, quant à la réussite de l'évasion de Cap, certains journalistes estiment que le système de Michaels est quand même fort efficace si seul Cap est capable de s'en échapper.

L'idée de l'épisode n'est pas mauvaise en soi mais la réalisation est un peu bancale. Heureusement De Matteis arrive au prochain numéro et va relever le niveau avec un arc réintroduisant… Nomad !

[Rhodey]

[QUOTE=michel;295713]
[B]Captain America #260[/B] : 08/81, Prison Reform ! par Al Milgrom / Alan Kupperberg / Quickdraw Studios & Al Milgrom

[IMG]http://cracaud.free.fr/vo/captainamericav1/260.jpg[/IMG]

Un dernier fill-in, de Milgrom et Kupperberg, avec une histoire qui aurait pu être spectaculaire si on avait pu y croire un peu…

Tout commence dans une prison, quand sous les lazzis des détenus deux gardes jettent Captain America dans une cellule !

[IMG]http://aracaud.free.fr/capa260p2.jpg[/IMG]

Cap a demandé à partager la cellule de "Thumper" Morgan, un dur qu'il a croisé il y a longtemps lors d'une émeute en prison (Tales Of Suspense #62, Eclipso n°25). Thumper tente de suite d'intimider Cap, sans succès. L'autre détenu est un petit jeune, Tony Zack, tombé par déseuvrement dans la violence des gangs et des hold-ups faciles. Cap constate que Thumper l'a pris sous son aile, et s'inquiète qu'à son contact Tony passe de jeune déliquant à criminel endurci. Enfin, quand Tony finit par lui demander pourquoi il est là, Cap répond que c'est… pour s'échapper !

[IMG]http://aracaud.free.fr/capa260p5.jpg[/IMG]

Le lendemain matin, le Directeur Michaels donne une conférence de presse pour expliquer la présence de Cap. Son prédécesseur, Carlson, avait doté la prison d'énormes portes blindées à ouverture vocale. Seulement, il avait bêtement choisi comme code d'ouverture "Captain America" : il avait suffi que deux détenus discutent de lui dans la cour pour que la porte s'ouvre :pfff: Heureusement, une pelletée de gardes passait à proximité à ce moment et purent éviter l'évasion. Carlson démissiona et pour éviter un scandale, son successeur Michaels pensa à demander un coup de main à Cap, avec qui il avait servi pendant la guerre. Cap suggéra de se faire enfermer dans la prison et de tenter de s'évader, pour tester le nouveau système de sécurité établi par Michaels. Il ignore ainsi qu'ont été installé des tas de caméras consultables sur un mur d'écrans. L'info ne tarde pas à circuler parmi certains détenus, et l'un d'eux, Deacon, décide de profiter de l'évasion de Cap pour se faire la belle lui aussi, avec son complice Thumper. Les détenus justement n'apprécient pas trop de voir Cap se ballader parmi eux, et celui-ci doit mater une rixe dans le gymnase, sans problème.

[IMG]http://aracaud.free.fr/capa260p10.jpg[/IMG]

Un peu plus tard à l'atelier, Cap se construit un mini-bouclier en acier qu'il planque sous son costume. Et comme Thumper veut qu'il s'évade, il le protège d'une autre démonstration de force des détenus :D

Le jour de l'évasion venu, Cap commence par bloquer la fermeture de la porte de la cellule avec un morceau de métal.

[IMG]http://aracaud.free.fr/capa260p17.jpg[/IMG]

Evidemment, Thumper commence à le suivre, et Tony suit Thumper ! :D Thumper alerte Deacon, qui avait depuis longtemps les clés de sa cellule (il bossait dans le bureau de Michaels) mais attendait la bonne occasion pour s'en servir. Il libère aussi d'autres détenus pour faire diversion. Aussitôt averti par ses caméras, Michaels lâche ses gardiens. Entendant qu'il y a une vraie évasion, Cap rebrousse chemin et retrouve Tony qui lui explique le plan de Deacon. Il décide alors de s'évader d'une manière ostensible et… inimitable ! Il utilise son mini-bouclier pour forcer une porte donnant sur la cour, puis le lance pour couper la corde qui sert à faire monter le drapeau américain sur son mât, et enfin utilise la corde pour sauter au dessus du mur d'enceinte ! :clap:

[IMG]http://aracaud.free.fr/capa260p21.jpg[/IMG]

Voyant qu'ils ne pourront le suivre, les détenus se rendent. Cap revient triomphalement par la porte, et demande à Michaels de ne pas punir les détenus, qui ont été poussés par sa présence. Il incite aussi Michaels à développer son projet de réinsertion des détenus, afin que des jeunes comme Tony puissent se sortir de la délinquance. Enfin, quant à la réussite de l'évasion de Cap, certains journalistes estiment que le système de Michaels est quand même fort efficace si seul Cap est capable de s'en échapper.

L'idée de l'épisode n'est pas mauvaise en soi mais la réalisation est un peu bancale. Heureusement De Matteis arrive au prochain numéro et va relever le niveau avec un arc réintroduisant… Nomad ![/QUOTE]

Après en avoir entendu parler depuis pas mal d'années, je me suis enfin décidé à faire le run de De Matteis et Zeck sur Captain America. Et les chroniques de Michel m'ont bien aidé à me décider. J'en profite donc pour renvoyer l'ascenseur avec quelques commentaires personnels.

J'ai commencé au [B]#258 [/B]qui marque l'arrivée de Zeck. Le moins qu'on puisse dire c'est que ça démarre gentillement. J'ai bien aimé le scénario de Claremont sur le 258 où le scénariste met les pompiers en position de sauver Captain America sans que ça semble téléphoné. Cela renverse complètement les rapports, Cap doit assumer le sacrifice d'un pompier et comme l'a dit Michel, ça rend un bel hommage aux pompiers.
Pour ceux qui comme moi débarquent dans la série, on entre immédiatement dans l'univers de Steve Rogers. Sur le long terme, ça ne posera vraiment aucun problème, la narration étant toujours posé de telle manière qu'on nous re-situe rapidement chaque personnage à chaque fois qu'il apparaît (c'était comme ça à l'époque :D). Sachant que de toute façon, à part Bernie, les autres font de la figuration.
Le [B]#259 [/B]est loin d'être aussi profond, mais reste assez bien ficelé. Le vieux potes de la guerre, le décalage de Steve etc. Des thèmes récurrents, à chaque épisode, voir plusieurs fois par épisode. A un point qu'une fois, Steve va se fait méchamment remettre à sa place par un ami (on y reviendra en temps voulu). Et bien sûr, la moto. Je n'avais jamais su d'où elle sortait, maintenant c'est fait.
Reste le [B]#260[/B]. Alors là je suis vraiment dubitatif et honnêtement, il est temps que De Matteis arrive. Je serais un peu plus sévère que Michel en disant que, oui, l'idée de base est louable bien qu'absolument vue et revue. Mais alors si on parle de l'exécution de cette idée, alors là c'est vraiment une grosse catastrophe. C'est de très loin le plus mauvais que j'ai lu de Captain America jusqu'ici.

Graphiquement, j'ai commencé au 258 pour Zeck. Avec le recul, je me dis que ce n'était pas forcément indispensable. En fait, je trouve qu'il y a une instabilité énorme au niveau d'un trait. D'une page à l'autre, le style change et parfois, on retrouve à peine le Zeck qu'on connait bien. J'en suis actuellement au 285 et j'ai mis ça sur le compte de l'encrage plus que sur Zeck.
Au départ, je me suis dis que le dessinateur se cherchait peut être encore et qu'il se rapprocherait petit à petit de son style Secret Wars que je connais bien. Mais en fait, dès lors que l'encreur se stabilise quelques numéros, tout rentre dans l'ordre.
Donc graphiquement aussi, on démarre doucement avec une sorte de Zeck de seconde zone et un fill-in de Kupperberg à oublier.

La totalité des chroniques de Michel sur la série est disponible dans le topic [URL="http://http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=13835"]Les inédits Marvel : Captain America[/URL]

[XXL]

euh , je veux pas dir,e mais y a-t-il le moindre sous entendu sur les relations sexuelles en prison parce que bon, le petit blondinet jeunot en cellule avec le gros baraque crane rasé...euh...je vous fais un dessin? :D
Sinon, c'ets vraiment donne rle baton pour se faire battre que d'appeler son studio Quickdraw!!!!

[cyclopebox]

Je trouve que XXL porte vraiment bien son nom : l'âme chaste que je suis est choquée par ses propos ! :lol:

[michel]

Ben t'as mon second scan : Thumper derrière Tony qui lui tient l'épaule, qui dit "on prend bien soin de lui"... :siffle: Et sur le troisième t'as Cap qui joue à la majorette avec une haltère :D

[Fred le mallrat]

bien fait de pas le prendre celui-là....
[QUOTE]avec qui il avait servi pendant la guerre.[/QUOTE]
y en avait pas un dans le numero precedent????
il connait l armee entiere...
deja que l episode de tales of suspense etait assez................. faiblard...

et encore le pire des fill ins n est pas la il faudra attendre cap 291 (y a eu pire avec des mechands motard par le genialissime kupperberg mais bon c est traduit en vf :lol: )

[XXL]

[CENTER][B][U][SIZE=5]FURTHER ADVENTURES OF INDIANA JONES N°2[/SIZE]
Publié par Marvel en Février 1983
"22-Karat Doom!"" 22p.
Scénario: Denny O' Neil
Dessin: John Byrne (Layouts)
Encrage: Terry Austin
Couverture: John Byrne encré par Terry Austin[/U][/B]

[IMG]http://membres.lycos.fr/canard1999/indy2c.JPG[/IMG]
[I][U] Une cover peu lisible... :meurmf: [/U] [/I] [/CENTER]

[B]Résumé:[/B]
Enchainés au dessus d'un puits de lave qui va les transformer en statue d'or, Indy et Miss Dune arrivent à s'en sortir grâce à un mouvement de pendule et à la diversion donnée par Black et ses hommes qui envahissent le village. Ceux-ci ont rapidement le dessus sur leurs assaillants et ils repartent avec les statues d'or dans leur bateau. Indy et Miss Dune, qui devaient être tués, sont épargnés par Black car Indy lui fait croire qu'il peut les mener à une deuxième cache de statues.
Après une tentative d'évasion ratée, Indy et Miss Dune sont jetés par dessus bord alors que le navire de Dunn est coulée par des nazis, qui les recueillent à bord de leur sous marin, avec une des caisses (les USA et l'Allemagne ne sont pas encore en guerre)
Dans l'avion qui les ramène au pays, Indy démasque Miss Dune et son complice, le pilote: c'est elle qui a organisé la mort de son frère et qui veut toute la fortune et la gloire que peut lui apporter la statue d'or.
Mais Indy prononce alors une formule qu'il avait vu dans la tour: la statue d'or s'anime pour se venger des profanateurs! Indy saute en parachute, laissant Miss Dune et son amant à leur triste fin...

[CENTER][IMG]http://membres.lycos.fr/canard1999/indi2-1.JPG[/IMG]
[U][I] Les gros plans au secours des décors inexistants! 8) [/I][/U].[/CENTER]

[B]Commentaire:[/B]
Après un si bon n°1, comment réussir à foirer le n°2? Réponses:
- laisser les reignes du scénario non plus à Byrne, mais à Denny O'Neil, qui se retrouve donc à conclure une histoire qu'il n'a pas commencé! :ouf: Et ça se voit! Tout celà est précipité, peu logique et on sent bien que l'histoire n'était vouée à partir dans cette direction.
- laisser John Byrne faire des layouts très légers et les faire encrer par Austin, mais sans rien rajouter niveau décor, texture ou fonds. Résultat: c'est horriblement vide, il y a des aplats colorés de partout, bref, c'est pas fini!
Tout celà est loin d'être catastrophique mais quand on compare avec le n°1, ça fait quand même peur... John Byrne signe d'ailleurs son dernier numéro sur le titre, dont il n'aura scénarisé que le premier numéro!
A noter que dans les crédits, où chaque artiste est associé à un pays, le rédac chef hérite d'un: "Pennsylvania Shooter" :D

[CENTER][IMG]http://membres.lycos.fr/canard1999/indy2-2.JPG[/IMG]
[I][U]Voila une femme qui sait se rendre utile! 8) [/U] [/I]


[U][B]Un gachis que ce numéro qui marque le départ de John Byrne[/B][/U][/CENTER]