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Pour du DC/Vertigo certes, mais un plus petit label ?
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The Firestarter en vente sur Thebookedition ! Farsighted The Firestarter Saison 1 partie 1 : L'intégrale. Les Colos de Steuf ! L'ultra-libéralisme c'est l'anarchisme des cons. |
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hum..... Pas sur que quelqu'un accepte de prendre le risque en ce moment. Peut être IDW ? ou DYNAMITE ?
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même pas drôle on a tous les mêmes coups de coeur maintenant. me rappelle d'un temps où je me sentais seul avec Strangers in Paradise, par contre là Echo semble avoir trouvé tout de suite son public, et quelles critiques élogieuses! hormis ce gros con de Warren Ellis bien sur (qui a malgré tout fait un très bon numéro de Ignition City 2 je dois l'avouer).
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johnkeats.space-blogs.com |
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Mais mais.. mais... c'est quoi ces nombreux comics chroniqués que j'ai même pas reçus???
Raaaahhhgh.... |
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La notion de propriété pour ce qui est dit "creator-owned" chez Vertigo semble très complexe. C'est theoriquement possible qu'il recupère les droits mais pas automatique du tout, même si Vertigo arrète la série (et si, YL vendrait assez pour du Image, de l'auto-edition ou des trucs comme ça, mais avec le problème du temps entre le travail fourni et la paye correspondante, la raison pour laquelle Lapham a laché Stray Bullets et Parallax maintenant qu'il a une famille à nourrir)
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Haaaaaaa, Paulie a enfin honoré de ce mots doux ma petite boutique.
C'est la fin de la pile de mai. Les comics se lisent enfin à l'ombre des arbres des arbres et les doigts de pieds dans l'herbe. Criminal Macabre : Cellblock 666#4 sur 4 Voilà enfin la conclusion du laborieux arc pénitentiaire du détective de l'occulte burné et maso de Steve Niles. Cette histoire aura, de bout en bout, manquée de rythme et de densité même si ce dernier tome se révèle le plus enlevé des quatre. L'important délai entre les numéros deux et trois n'a rien arrangé et l'on sent Nick Stakal sérieusement à la peine graphiquement. On se console (un peu) avec deux/trois vannes assez enlevées et une amusante émeute de zombis. C'est quand même peu. Le seul truc vraiment troublant du comics étant que je me demande vraiment qui a fait le modèle pour la couverture de Bradstreet ? Brrrrr. Rapture#1 sur 6 J'avais commandé ce premier numéro sans grande conviction. Même si j'aime bien le dessin de Michael Avon Oeming, j'avais un souvenir douloureux de son joli mais soporifique Mice Templar et le pitch n'avait rien d'emballant (un énième apocalypse superhéroïque). Malgré tout ça, cette ouverture de mini série se révèle être une très bonne surprise. Le principe en est simple. C'est en fait l'histoire d'une rupture sentimentale. Une fille dit à son copain qu'elle a besoin d'un peu d'air, monte seule dans un avion et c'est l'apocalypse (littéralement ici). Avec l'aide de Taki Soma, Oeming tente un parallèle extrêmement casse gueule entre intrigue romantique et destinée héroïque. Incroyablement, ça marche plutôt bien. Les graphismes et le découpage mélangent les registres avec un bonheur étonnant. Je suis très curieux de voir si ça va tenir sur six numéros. Je préviens quand même qu'à mon avis, ça ne marche que si l'on a un bon fond de midinette comme moi (l'ami Doop devrait adorer). The last days of animal man#1 sur 6 ça me fait vraiment plaisir de retrouver Buddy Baker, ses pouvoirs sur le champ morphogénétique et ses longues conversations avec sa femme. Sur ces points là, Gerry Conway remplit le cahier des charges pour ce premier numéro. Nous sommes dans le futur à San Diego et les pouvoirs d'Animal Man sont aussi peu en forme que son mariage. Pas de bol, c'est le moment que choisit le très sanguin Bloodrage pour menacer la ville de son courroux (coucou). Le travail de Conway est plutôt pas mal, avec un peu des gros sabots sur le vieillissement et le côté mort annoncée mais rien de catastrophique. Surtout que le graphisme de Chris Battistaencré par Dave Meikis est vraiment très agréable. Du coup, même si ça manque un peu de densité ça reste un bon début. Hellblazer#255 La deuxième et dernière partie de Regeneration tient les sombres promesses de la première. La partie se déroulant lors de l'épidémie de peste noire se taille la part du lion et atteint des sommets de noirceur. Du coup, les scènes contemporaines paraissent un poil plus fadasses mais Milligan est un petit malin et il se garde une dernière scène entre Phoebe et John tout à fait prometteuse. Par contre, j'ai vraiment un problème avec les couleurs de Sal Cipriano dont les tons marronasses commencent sérieusement à me filer des boutons sur les yeux. Unknown Soldier#8 Je suis décidément très content de m'y être mis à cette série. "Easy Kill", le nouvel arc commence plutôt fort. Notre nouvel avatar du Soldat Inconnu se voit proposer une façon originale et troublante d'attirer l'attention sur les difficultés du continent africain. Les bases narratives et graphiques de la série sont toujours aussi solides et j'ai hâte de récupérer les six premiers numéros pour voir comment tout cela à démarrer (Gourvy est sur le coup). Back to Brooklyn#5 sur 5 Mon calvaire graphique s'achève enfin avec cet ultime numéro. Mihailo Vukelic ne m'aura franchement pas convaincu même si au bout de cinq tomes, il finit enfin par faire quelques visages féminins regardables sans nausée. L'abominable colorisation risque tout de même de me hanter encore pendant de longues années. Sinon, je ne sais pas si c'est le soulagement ou quoi, mais j'ai trouvé cette conclusion plutôt pas mal dans le style "duel sauvage à mort entre frères". Surtout qu'Ennis et Palmiotti nous ont bricolé en plus de dialogues assez bons, une petite surprise gratinée avec la femme de notre héros. Ce dernier personnage est d'ailleurs beaucoup plus réussi que la mama mise sur périphérique du précédent. The Great Unknown#2 Sans être totalement emballant le premier numéro de cette mini de Duncan Rouleau avait de nombreuses qualités. Rappelons à nos amis carrassins que l'on suit ici les aventures de Zach Feld, génie associal découvrant qu'il s'est fait mystérieusement piller ses trouvailles. Un étrange "Gorge Profonde" issu de son passé (et à trois doigts!), le met sur la piste de la société I-mind. Il découvre que cette dernière n'hésite pas à carrément mettre aux enchères ses idées sur son site. Le premier numéro démarrait un peu lentement mais ce second opus corrige largement le tir. La gestion des flashbacks est très amusante et le rythme est beaucoup plus satisfaisant. Graphiquement, c'est toujours aussi splendide. Le style cartoony ultra expressif et dynamique des personnages est mâtiné d'un superbe travail sur les décors à base de motifs de pièces de puzzle. Après cette belle montée en puissance, si les trois numéros suivants se maintiennent à ce niveau, on tient une des mini séries de l'année. Pour finir en beauté, je conclus avec deux comics se distinguant du lot par leur finesse et leur sensibilité. Wolverine : old man Logan#72 La fin de l'émouvante saga de Mark Millar et Steve Mc Niven sur le vieillissement et les tourments de la non-violence, approche. Dans cet avant dernier numéro, l'émotion est à son comble. La confrontation poignante entre un Wolvie transfiguré par ses propres contradictions et un Crâne Rouge au bout du rouleau et suicidaire offrant à son ennemi une vitrine entière d'armes pour l'abattre, atteint des sommets d'émotion. On ajoute à ça un beau plaidoyer pour les économies d'énergie à base d'armure d'Iron man et surtout un twist final tellement surprenant que la totalité des habitants de mon immeuble en a retenu sa respiration pendant quatre battements de cœur. Herogasm#1 On continue dans l'émotion avec ce spin-off des Boys où Garth Ennis exprime le désarroi profond de notre société sans repère où les héros perdus ne trouvent plus refuge que dans la débauche la plus échevelée. Pénétrant l'intimité des grands de ce monde, il va au fond des choses et met à nue l'absurdité des rapports de pouvoir dans les hautes sphères. La position de l'auteur est aussi claire qu'éloquente, seul un travail sur soi et sur (ou sous) les autres pourra nous permettre d'aller au bout. Conneries mises à part, le premier m'a fait beaucoup plus rire que le second que j'ai quand même trouvé assez pénible y compris graphiquement. John McRea n'est franchement pas en forme Les partouzes de Jesus DeSade, elles étaient quand même autrement plus fendardes.
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L'opportuniste reboot de la revue de pile : février Dark Horse, Menu des chroniques Les aventures spacialo-copocléphiliques du Captain Zenzible : Ep 7
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Tu continues de me donner des regrets pour Great Unknown...
Sinon, vivement que Gourvy m'envoie mon Last days Of Animal Man! Après, il est clair que le cliffhanger du Wolverine est complètement inattendu : Mark Millar continue de (mal) me surprendre....
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Damn boy, you're fast.
Je pense effectivement que l'Animal man va surement te plaire. Sinon, avec Duncan Rouleau aux manettes, je pense que the Great Unknown a de fortes chances de sortir en TPB. Heu, sinon pour Papi Wolvie, c'était de l'ironie. Vu le truc, dès le premier numéro tu sens qu'à la dernière page de l'avant dernier numéro, il va revenir à la case départ pour maxi-casser des gueules.
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Ah mais j'avais saisi ton ironie sauf que je ne prends pas de gants!
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J'ai également beaucoup apprécié le Rapture #1. Je ne m'attendais pas du tout à ça et suis bien agréablement surpris. Quant au Unknown Soldier il fait bien froid dans le dos et reste une lecture indispensable.
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Burn the land and boil the sea, but you can't take the sky from me. Mes ventes v.o: http://www.buzzcomics.net/showthread.php?t=27439 |
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On va faire un club des cœurs d'artichaut. Je suis sur que Keats y viendrait.
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Ma pile fut courte, et je vais faire de même
Dance #1 : J'aime bien le scénariste, mais bon, au scénario c'est lent, et Casey recase des trucs déjà vu dans ses Intimates et Youngblood. J'aime bien Chriscross, mais bon le gros monstre avec son nom craignos on l'a déjà vu sur ses planches du truc de vampires pas publié. Peut beaucoup mieux faire. Wildcats #11 : Deux combats en parallèle et le schmilblick n'avance pas beaucoup, malgré un ou deux bon moments. Et un mort. Plus la raison du retour de Deathblow avec trois planches de Sprouse. Oui. mais bof. Ce serait mieux en flashback dans StormWatch, voire résumé. Hotwire : Requiem for the Dead #3 Un peu de retard, mais de qualité. La différence avec les précédents ? Une bonne combinaison d'action et d'avancement du plot, de la sci-fi, le talent de Pugh, un environnement qui fonctionne. Le meilleur des lubies d'Ellis avec un artiste inspiré : on dirait du wildstorm d'avant. Vive Radical.
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Rétrospective Captain Marcel sur mon blog Marcel Duo : Le Sage et l'Impétueux : Sergent Marcel et Adam Space contre ... Djokessada ?!?, avec Tandhruil. Sergent Marcel : Rapports non protégés : une BD cosmique avec Satanispunkrocker Mes gros sabots sont sur Twitter : https://twitter.com/Caducite |
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I'm in !
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Duncan rules the cool. ^^
Et oui, Herogasm est génialement affreux à tous points de vue. |
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