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J'aime bien l'ambiance horrifique "totale" mais c'est vrai que c'est très lent. Mais joli.
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Action Comics #1058
Sympathique mais un rien redondant. Phillip Kennedy Johnson continue da nluvelle saga avec Blue Earth, où ici Clark subit un transfert de pouvoirs vers un sbire de Norah Stone. Les dégâts s'accumulent mais il parvient à vaincre car il connaît mieux ses capacités et peut manipuler l'autre à subir la super ouïe et tout donner dans la vision thermique. Norah Stone semble bien magique, alors que les Super Twins ont du mal avec la vie sociale. Clark obtient une super armure et une super armure de Steel pour compenser ses pouvoirs qui reviennent lentement. C'est bien, oui, mais pas extra. J'apprécie que Clark soit malin face à l'ennemi, mais cette opposition est déjà vue et l'armure puis l'épée sont trop rapides après Warworld (même si c'est évoqué). Dommage, d'autant que Rafa Sandoval propose de très belles pages, très puissantes. On a ensuite une première back up de Gene Luen Yang qui montre que Kenan Kong est à Metropolis car Bat-Man lui demande d'enquêter sur les Supers, après la mort d'un journaliste chinois ami qui cherchait la vraie identité de Superman. Les Super Twins révèlent aux autres la vérité, et Kenan est dans la difficulté. C'est agréable et prenant, le fond est prévisible mais les interactions sont bien faites. Viktor Bogdanovic propose des planches réussies. Enfin, deuxième back up de Greg Hahn et Travis Mercer sur Bibbo et les Supee Twins. Ni joli, ni drôle, ni intéressant. Un numéro moyen, dont le segment Super-Man est le meilleur atout. Alan Scott: The Green Lantern #1 Un bon début, même si les ficelles sont déjà visibles. Nous sommes en 1941, donc, et Alan est déjà GL mais préfère travailler seul plutôt qu'avec la JSA. Hoover lui met la pression et fait du chantage en possédant des photos de 1936, où Alan sortait avec un camarade militaire avec lequel il travaillait sur The Crimson Flame, une énergie étrange. L'on comprend que, alors, le petit-ami a subi quelque chose qui a changé Alan. Ce dernier est aussi perturbé au présent par l'apparent retour de The Crimson Flame. C'est bien, oui. Tim Sheridan écrit bien un Alan sérieux et marqué au présent, et joyeux et inspiré au passé. Les ficelles sont cependant grosses : je sens bien que le petit-ami aura disparu en 1936 et reviendra transformé au présent. Ça n'est pas désagréable mais prévisible. J'apprécie de voir Jay passer aider avec des relations froides, et de voir alors en retrait de la JSA. Le chantage de Hoover a du sens, même s'il faudra aussi évoquer une possible bisexualité pour expliquer Jade et Obsidian. Et c'est dommage que le récit renvoie vers l'épisode DC Pride pour les débuts de cette saga. Graphiquement, Cian Tormey propose des planches solides, claires, jolies et dynamiques. C'est pas énorme mais réussi. Un bon début, malgré de grosses ficelles. Batman: The Brave and the Bold #6 Pas grand-chose à sauver, ici. Le récit principal écrit et dessiné par Guillem March sur un Bruce amnésique après un choc et recueilli par une mère et sa fille est joli, bien dessiné et mignon, mais déjà vu mille fois. Le segment StormWatch est bien, avec l'équipe aui obtient des réponses de Waller et où chacun doit décider de rester ou non. Mais l'absence de confirmation des choix est décevant pour ce qui est la fin de la saga de Ed Brisson. Jeff Spokes assure toujours aux dessins. Rob Williams et Stefano Landini m'ennuient sur le chapitre Harcourt qui n'en finit pas de remonter la piste de ceux qui l'ont tuée. C'est chiant et long. Enfin, la partie N&B est encore anecdotique et pas bien dessinée. Ça sent le sapin, ici. Steelworks #5 Sympathique, mais bien trop classique, au point de devenir anecdotique. Michael Dorn révèle pouvoir Walker et Kerry agissent ainsi, avec John Henry qui confie à Lana sa peur de mourir en armure. Walker lance un giga robot animé de l'énergie Genesis, les Supers sont bloqués et Steel doit l'affronter. Ça se lit mais s'oublie vite. C'est dommage de livrer un récit aussi convenu, alors que ça aurait pu être bien de creuser vraiment Steel, qui semble ne jamais perdre son flegme ici. Ça sera une occasion loupée pour lui mais aussi les changements de Metropolis, évoqués mais jamais montrés. Sami Basri livre des planches claires jolies et fluides, mais jamais brillantes non plus. Anecdotique et un peu frustrant, mais sympathique. Amazons Attack #1 Sans surprise mais bien. Josie Campbell surfe sur le contexte de la série Wonder Woman et les acquis récents pour ce lancement. L'Amérique rejette les Amazones et le monde veut suivre, Nubia accepte une rencontre secrète avec le Président américain pour un accord. Malgré les peurs de Io. Sauf que le public l'a appris, la tension est forte. Une brume possède les hommes pour attaquer Nubia, mais Faruka et Yara sont là pour diverses raisons et aident. Ça se chamaille, Mary Marvel aide aussi maintenant que les Patronnes divines des Amazones lui ont donné des pouvoirs. Sauf que les quatre sont considérées terroristes et poursuivies. Efficace, oui. Josie Campbell livre un épisode de réunion prévisible mais fluide, avec déjà l'équilibre dans le groupe et les dissensions. Ça fonctionne sans briller, mais ça fonctionne. Graphiquement, Vasco Georgiev a un style clair agréable et efficace, même si quelques panels sont plus faibles. Un lancement classique mais qui fonctionne bien. Green Arrow #5 Lent mais intriguant. Joshua Williamson avance doucement mais sûrement ici. Au présent, Cheshire s'engueule avec Roy car elle savait que Lian est vivante mais n'a rien dit pour la protéger. Elle évoque des liens avec Waller et s'en va. Dans le futur, Ollie est confronté à Old Ollie qui indique que leurs proches sont morts par sa faute et qu'ils n'auraient jamais dû quitter l'île, ce qu'ils savent au fond car ils n'y sont jamais retournés. Ollie tire sur Old Ollie car, personne ne le sait, mais il retourne souvent sur l'île, en secret. Old Ollie est un robot qui a tout organisé en son nom avec Waller et Parallax, c'est un ennemi ancien mais mystérieux. Ollie est renvoyé dans le passé, époque Kevin Smith, et confronte le GA de l'époque et beaucoup d'autres ! Tous se bagarrent et Ollie est touché à la poitrine. C'est intriguant, oui. La révélation sur Old Ollie est prévisible mais bien faite, le final est WTF mais donne envie de voir la suite. La dispute entre Roy et Cheshire est bonne au présent, et l'ensemble fonctionne bien même si je reste troublé d'un ensemble si cosmique concernant GA. Graphiquement, Sean Izaaksz propose de belles planches, très jolies et dynamiques. Phil Hester vient faire le final, ce qui a du sens mais tranche un peu. Lent mais assez prenant. Dernière modification par Ben Wawe ; 25/10/2023 à 08h10. |
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Wonder Woman #2
Iconique, mais assez lent et grandiloquent, quand même. Tom King utilise une voix off non identifiée, a priori un soldat ou responsable américain parlant dans le futur à la fille de Diana, avec une double action, qui se répond. D'une part, on voit la jeune Diana affronter l'ultime Amazone, plus âgée, dans l'arène pour représenter Themyscira à l'extérieur. De l'autre, Diana affronte une grosse partie de l'armée américaine envoyée par Sarge Steel, sous les yeux d'un Steve Trevor qui a essayé en vain de la faire céder, sans trop y croire. Sans surprise, elle bat l'armée et, dans le passé, on voit que la jeune Diana bat Emilie, la fameuse Amazone responsable du massacre en Amérique récemment. C'est bien mais ça se la raconte, quand même. Le rythme est très lent, c'est bien fait et agréable, mais Tom King se regarde quand même écrire Diana encore plus iconique que d'habitude. Le final est intéressant mais c'est un peu trop lent, et la voix off devient lourde. Graphiquement, c'est superbe et Daniel Sampere livre des planches elles pleinement iconiques. Une back up prépare Amazons Attack efficacement. Bien fichu mais un peu lourd. |
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Power Girl #2
Une bonne suite. Leah Williams enchaîne efficacement. Elle équilibre son épisode avec d'abord Paige sous pression à son poste au Daily Planet où Lois l'invite fortement à mener la mission confiée par Clark, mais aussi à rendre son article. Le mystérieux agent secret tente encore de la recruter, et flirte. PG papote avec Omen puis part à la Forteresse des Bermudes, et va finalement dans la zone de contamination de virus kryptonien. Les premiers contacts sont difficiles, elle est attaquée par l'extraterrestre voleur du #1 qui est possédé par quelque chose de Krypton... qui vient pour elle. C'est bien, oui. Leah Williams me plaît dans sa façon de caractériser PG, toujours un peu paumée notamment face aux attentes supposées de Lois & Clark. Sa relation avec Omen est bonne, le mystère fonctionne et elle a une vraie voix. Top. Graphiquement, Eduardo Pansica est bon, livre de bonnes planches mais a déjà fait mieux. Une approche qui me plaît. Captain America #2 C'est efficace, mais je ne suis pas sûr d'être assez emballé pour continuer (jusqu'au départ précipité et prévisible de JMS). J.M. Straczynski enchaîne toujours flashbacks sur la dure vie d'adolescent orphelin de Steve, face à la montée du Parti nazi en Amérique, et passages au présent où il rénove son immeuble de jadis qu'il possède et loue. Les flashbacks sont convenus mais efficaces, le présent est gentil, avec un Cap plus super-héros classique que d'habitude à mes yeux, notamment ici avec Spider-Man. En parallèle, le méchant mystérieux recrute un serial killer pour tuer tous ceux identifiés par la science et la magie comme futurs porteurs d'espoir... dont Cap. C'est bien, oui. Correct et solide. JMS n'a pas de fausse note mais rien de vraiment emballant non plus. Je n'ai rien pour y revenir vraiment, et le plan du méchant est un peu too much. Graphiquement, Jesus Saiz assure et livre de très belles planches. Solide mais je ne suis pas emballé. Captain Marvel #1 Troublant : je ne suis pas fan de l'idée et de certains éléments, mais... à la lecture, ça fonctionne. Alyssa Wong relance ainsi Carol après un formidable run de Kelly Thompson. Elle chabge d'approche avec, ici, Carol qui affronte la mystérieuse The Omen, capable de bloquer son énergie et qui en veut aux Marvel. La jeune voleuse Yuna est prise dans l'affrontement entre Omen et Genis, car Omen et Yuna veulent les néga bandes. Omen tranche les mains de Genis puis le tue. Yuna s'enfuie, met les bandes et se lie à Carol. L'une est sur Terre quand l'autre est dans la Zone Négative. Carol bat Omen qui fuit et, chez elle, ressuscite Genis en sbire. Yuna et Carol apprennent à se connaître. Je le dis tout de suite : je ne suis pas fan de cette idée d'échanges, qui peut être fun un peu mais sur le long terme ne m'éclate pas. Je trouve que Carol s'y fait très vite, certes par expérience avec Mar-Vell, mais trop vite vu le handicap que ça provoque. Et je n'aime pas le destin de Genis, ramené récemment comme chaire à canon, donc. Mais... ça se lit bien quand même, avec un bon rythme, une bonne voix off de Yuna qui est un personnage agréable. Étonnant. Graphiquement, Jan Bazaldua a un style limité, pas très beau mais qui passe. Sans plus. Des handicaps me concernant, mais ça se lit bien. The Immortal Thor #3 Très bon épisode. Thor, épuisé par son combat contre Toranos et nécessitant d'accomplir le All Sleep, est piégé par Loki sur un monde inconnu qu'il ne peut quitter tant qu'il ne réussit pas l'énigme posée. Il y dort longtemps puis comprend, s'emporte, se crispe, et finalement... réfléchit. Il transforme son casque en hache, Torbod, pour raser sa barbe née durant le All Sleep. Il raisonne encore, forme un bâton comme Loki pour manipuler la Rune du Voyage... et réussit le défi. Loki confirme que Thor avait besoin de dormir, est revenu là où ils étaient partis sans avancer le Temps dans le présent, et a une nouvelle arme pour la suite. Thor prend acte et décide, pour stoppee Toranos, de chercher de l'aide... auprès de Storm ! C'est très bien, oui. Al Ewing est très fin et efficace, avec un Thor bien écrit, passant de la colère absolue à l'intelligence. C'est malin, bien fait, Loki est bien écrit et sa relation avec Thor aussi. Et l'on risque de ne plus voir ce fichu casque, ça me va très bien ! Graphiquement, Martin Coccolo livre de belles planches, très réussies. Top. Un bien bon et bel épisode. |
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Alpha Flight #3
Efficace, avec un bon cliffhanger. Ed Brisson avance solidement sa saga : les Mutants de de Alpha Flight protègent un.ancien membre attaqué par les Box Sentinels, et ça se passe mal pour Roger Jr. Nemesis téléporte tout le monde, mais pas loin : elle est blessée et va mal. Kyle doit gérer des troubles chez les Mutants en attente de départ pour Chandilar, qui ne veulent pas aller aussi loin, alors que Alpha Flight officielle obtient le droit d'appréhender leurs coéquipiers, détectés par les systèmes. Nemesis ne va pas toujours mieux et son visage est révélé quand Mac et les autres arrivent... et Nemesis est Heather ! C'est bien, oui. Ed Brisson propose un scénario prévisible mais efficace, avec de bons moments mais surtout une belle et intéressante révélation finale. C'est prenant et bien fait, à défaut d'être innovant. Graphiquement, Scott Godlewski livre des planches réussies et équilibrées. Un épisode correct avec une belle révélation finale. Dark X-Men #3 Solide. Steve Foxe mène deux fronts à la fois, avec des échecs pour Orchis mais aussi les Dark X-Men. Ceux envoyés récupérer les Morlocks se débarrassent salement du Archangel ramené et rendu mauvais par Orchis, mais les Morlocks refusent l'offre. Maddie et son équipe repoussent difficilement le Nightcrawler de la Reine Démon alternative, mais la Mutante Marisol refuse aussi de venir, car elle protège les siens au Mexique. Orchis et la Reine Démon décident d'enchaîner... et d'appeler Ben Reilly ! C'est bien, oui. Steve Foxe écrit bien ces personnages ravagés, mauvais et durs. Ce n'est pas abusif ou trop lourd, ça fonctionne bien malgré la violence et le désespoir ambiant. C'est prenant même si on sent que ça va mal finir. Jonas Scharf livre des planches solides, un peu crades mais qui fonctionnent. Un bon numéro qui assume son orientation désespérée. Jean Grey #3 Pas mal, pas mal. Louise Simonson continue son exploration des What If de la vie de.Jean Grey, que celle-ci voit dans son expérience de mort imminente. Ici, un lien cool est fait avec Hope et Exodus dans Immortal X-Men, et Jean "parle" avec Madelyne alors qu'elle imagine que, avant Inferno, elle aurait pu empêcher les démons d'enlever Nathan pour l'amener à Maddie. Sauf que ce changement pousse Maddie encore plus dans la folie, de frustration et alors que Mr Sinistre lui révèle tout. Maddie le tue, puis tue S'ym et Nastirh. Elle ravage New York et X-Factor, tue Scott et Jean échoue encore. C'est efficace. Louise Simonson va un peu trop vite sur les événements, le changement est ici cosmétique, mais ça se lit bien et l'opposition entre Jean et Maddie est bonne. Graphiquement, Bernard Chang propose des planches nerveuses et solides. Pas marquant en soi mais efficace. Ms. Marvel: The New Mutant #3 Joliment fait. Sabir Pirzada & Iman Vellani continuent leur saga pour concilier la Ms. Marvel Inhumaine et la Ms. Marvel Mutante à venir. Ça fonctionne bien, car elles s'intéressent à Kamala et ses troubles intérieurs bien légitimes. En effet, Kamala découvre son subconscient avec Dr Surfer, une de ses fanfictions. Elle admet avoir peur que sa mutation la change, change le regard de ses proches sur elle. Un souvenir lui confirme que non, mais le cheval de Troie de Orchis tente de s'immiscer pour corrompre le lien mental des Mutants. Kamala résiste, alors que Bruno hacke le signal Orchis pour le couper. Kamala se réveille mais une Sentinelle arrive ! C'est bien, oui. Les deux scénaristes gèrent bien Kamala, qui est bien écrite dans ses doutes légitimes. L'intrigue Orchis est basique mais fait le job, et on a ici une saga correcte de redéfinition et réorientation. Ça fonctionne. Carlos Gómez & Adam Gorham proposent des planches solides, pas brillantes mais qui font bien le job. Une redéfinition bien faite. |
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Sinon, j'aime lire ce titre mais pas pour ses dessins vraiment trop lambda. X-Men : Days of Future Past : Doomsday 4 : ce dernier numéro fait redécouvrir la fabuleuse saga de Claremont et Byrne et y ajoute une toute petite touche d'espoir. Le titre aura été intéressant du début à la fin, avec de très bons dessins. Amazing Spider-Man 36 : un scénario taillé sur mesure pour les dessins d' Ed McGuinness ! C'est fun à lire et ça suffit à faire mon plaisir. Captain America 2: excellente lecture. Steve est vraiment un bon gars, un bon samaritain au quotidien. Seul bémol amusant, j'ai eu un haut le cœur à cause du réalisme et des couleurs d'une certaine scène... The Immortal Thor 3: un épisode de transition dans lequel Loki tourmente Thor. Le prochain promet d'être plus intéressant. Les dessins sont vraiment beaux. |
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Avengers Inc. #2
Une enquete classique à nouveau dans el monde des avengers avec un plan d'ensemble. Il manque peut etre un peu de pistes sur ce plan dans cet épisode mais pour l'instant une bonne série sympathique. The Immortal Thor #3 Joli épisode trés beau graphiquement. Une belle histoire aussi aussi peut-être un peu verbeuse. Captain America #2 Efficace, joli mais il manque un truc catchy comme sur le 1 pour te donner envie de revenir. C est bien. Uncanny Avengers #3 Série trés sympa qui avance bien mon seul bémol est que le speech de cap fonctionne un peu trop bien. Capwolf & The Howling Commandos #1 Un what if sympathique mais qui ne semble pas donner grand chose de neuf. |
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Spider-man 36... que je trouve ça mauvais... contrairement à Bubo vraiment pas fun.. puis sans queue ni tête.. Le résumé nous dit que spidey a été plus dark que jamais... bah la vache il se remet encore plus vite que les xmen quand ils perdent l un des leurs...
Captain America 2.. je trouve que Straz est en mode automatique.. un peu des fois comme Taylor. Il utilise ces armes c est plaisant mais sans âme pour moi
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Realm of X #5
Oh mon dieu, que je trouve ça moche. Bruno Oliveira remplace Diogene Neves tellement à l'arrache qu'il n'est même pas sur la couverture. Je n'ai pas en tête son style, mais ses planches sont tellement rushées que je lui laisse le bénéfice du doute sur les délais, mais... le rendu me sort d'une lecture déjà pas intéressante. Ici, ça s'emballe mais ça reste bof. Dani, Marrow, Dust et Typhoid Mary attaquent la Citadelle de Saturnyne, alliée à de mystérieuses créatures. Mais elles échouent car elles ont perdu un bout d'âme. Saturnyne poursuit sa lente manipulation de Curse, retrouvée par Magik humiliée par Saturnyne. Magik tombe d'une tour et se souvient de noirs sorts de Belasco... C'est mauvais. Torunn Grønbekk m'ennuie et semble s'ennuyer aussi dans cette saga trop longue et sans grand intérêt. Les personnages ne sont pas mal écrits, mais ça paraît forcé et tout semble un effort pour les auteurs. Surtout, graphiquement, c'est une catastrophe difficile à tolérer pour un éditeur comme Marvel. Vivement la fin. Uncanny Avengers #3 Bel épisode. Gerry Duggan continue la grande saga Fall of X, avec ici Cap qui fait un discours devant la maison X-Men détruite à Central Park. Il fait venir l'équipe pour une fausse urgence afin de montrer aux gens que même des Mutants viendraient le sauver. Il dit des mots forts sur l'Amérique, le Rêve et les Américains, puis obtient de Rogue que le témoin humain du Hellfire Gala rencontre Ben Urich. En parallèle, Orchis décide d'organiser un procès et M & Quicksilver, qui s'embrassent, mettent un mouchard sur Fenris. Cap et Ben rencontrent le fameux témoin : Wilson Fisk ! C'est bien, oui. Le rapprochement M/Pietro tombe de nulle part mais ça peut donner de bonnes piques, le final est bon mais surtout Gerry Duggan ne se loupe pas sur le discours de Cap. Celui-ci est très bon, très juste et très méta, en lien avec ce qu'est l'Amérique dans notre monde ("les américains ne devraient pas avoir peur de ce que vous lisez", et bim). Du.bon boulot. Emilio Laiso copie bien Javier Garron mais c'est dommage que ce dernier n'assure pas plus. Une bonne pierre à l'édifice global. Uncanny Spider-Man #2 Très bon. Si Spurrier enchaîne très bien, en avançant de bonnes pièces et en jouant sur le côté charmeur de Kurt. Et ça fait plaisir ! Ici, Kurt discute avec une Mystique très perturbée, aui évoque les conditions de sa naissance, avant d'être attaqué par le Rhino. Ce dernier est envoyé et contrôlé par Orchis, comme Kurt l'a été dans une crise récente. Silver Sable envoie le Wild Pack, s'implique et flirte avec Kurt, tombant sous son charme à son corps défendant. Kurt file ensuite, laissant Sable bien embarrassée. C'est très bien, oui. Si Spurrier gère très efficacement, avec un Kurt vraiment charmeur et fun, ce qui est très agréable après tant de temps d'intrigues lourdes. C'est léger et entraînant ! Graphiquement, Lee Garbett propose des planches fluides et efficaces. Un vrai bon moment. Wolverine vs Predator #2 Efficace. Benjamin Percy enchaîne solidement, sans trop en faire et en faisant bien les choses. Au présent, Wolverine galère face au Predator et se fait enfermer sous l'eau. A l'époque Team X, Wolverine et les siens font alliance avec des militaires qu'ils devaient tuer face aux Predators. Ils gagnent cette manche. Epoque Arme X, le Predator voit Logan avant ou après l'opération... C'est bien, oui. Benjamin Percy gère bien l'action et les personnages, sans considérer son récit plus ambitieux qu'il ne le faut. C'est fluide, ça bagarre bien, c'est cool. Graphiquement, Andrea DiVito fait l'essentiel et je suis ravi. Ken Lashley est un clone de Liefeld au présent, et Hayden Sherman est plutôt bon pour la fin. Bourrin et bien. |
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Blade #1 :
sympathique mais... On sent le pitch avant le perso. Pour l instant ca aurait pu être une série Elsa Bloodstone. Helena casagrande a toujours énormément de qualité sur le découpage, l narration mais sur le trait j ai l impression qu elle a régressée. Apres avoir lu la mini Bloodline (sympa mais oubliable).. je trouve qu on retrouve un Blade un peu quelconque.. cad que ca pourrait se passer n importe où n importe quand même pas en continuité. Bref ca se lit bien mais ca serait bien de se rappeler qu on a une série Blade.. pas une série "grand combat surnaturel" Moon Knight: City of the dead #1 Bon moi j ai fini le 1 en feuilletage rapide.. Tout n est fait que pour coller à la série TV avec les adeptes d anubis, le royaume des morts ou scarab.. Ca n a pas de souffle.. c est fait correctement mais quel intéret? J avais l impression que Layla apparaissait déjà dans les flashbacks de la série principale.. quel besoin? |
#881
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Année 90 Piétro paraissait plus vieux qu'aujourd'hui et M démarré en petite nouvelle.
Ca me gène un peu de les mettre ensemble. Ensuite je pensais M avec Multiple Man et/ou devenu gay (Ou bi, je sais plus). Compliqué les relations dans les comics tout de même. |
#882
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Flash 2 et Wonder Woman 2. J’ai pas réussit à rentrer dedans.
Captain marvel 1. Malgré le destin stupide du pauvre Genis vell (qui est un perso que j’aime beaucoup) c’est pas si mal. Avengers Inc 2. J’ignore tout des personnage qui meurent, mais j’ai aimé le face a façe entre les deux Victor shade. Flash : Jay Garrick 1. Mitigée. Le méchant qui va attendre pour agir alors qu’il a le champs libre, ça parait pas logique. Boom m’est sympathique. |
#883
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Flash 2 et Wonder Woman 2. J’ai pas réussit à rentrer dedans.
Captain marvel 1. Malgré le destin stupide du pauvre Genis vell (qui est un perso que j’aime beaucoup) c’est pas si mal. Avengers Inc 2. J’ignore tout des personnage qui meurent, mais j’ai aimé le face a façe entre les deux Victor shade. Flash : Jay Garrick 1. Mitigée. Le méchant qui va attendre pour agir alors qu’il a le champs libre, ça parait pas logique. Boom m’est sympathique. |
#884
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Ce Ultimate Universe #1 est bien plus réussi que les 4 Ultimate Invasion qu'on a eu jusque là. On voit enfin comment l'univers Ultimate pourrait revenir, c'est beaucoup plus clair. Et c'est aussi un bon épisode avec ce qu'il faut d'action et de twists (dont un gros vers la fin, je ne m'attendais pas à cette direction !)
Bref, c'est pas mal !
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COMIXITY !!! A l'écoute des comics ! Le PODCATCH !... Du pod et du catch quoi. Le Bureau des Comics a ouvert ses portes ! |
#885
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Le Avengers 7 est juste honteux de chez honteux. Je ne vais pas vous spoilier mais là encore tout aurais pu tenir sur 4 pages. C est intrinsèquement mauvais mais en plus l abus de splash ou de pages avec 3 cases permet de vendre 24 pages de vides à un prix... et après ça s étonné que ça se casse la gueule.
X Men lui tient la route, nu bon ni mauvais, on range les jouets et je me demanderais toujours ce que cela aurait donné si Hickman avait réalisé les 3 actes de sa saga et non uniquement un. |
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