#1
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Il y a 20 ans: Juin 1986 (DC et Indés)
JUSTICE MACHINE featuring the elementals LTD N° 2 (sur 4) "The Elementals Affair", 26p. Scénario: Bill Willingham Dessin: Mike Gustovitch Cover: Mike Gustovitch Toujours aussi réussies, ces wraparound cover de Comico! Résumé: Si vous avez raté l'épisode précédent... Vortex à terre, le combat commence entre les Elementals et la Justice Machine. Fathom envoie valdinguer toute la Justice Machine sauf Blazer avec une vague immense dans le couloir. Diviner semble blessée mais Challenger la ranime au bouche à bouche. Pendant ce temps, Monolith attrappe Blazer et la contient pendant que Vortex est ranimé. Blazer sera finalement rendue inconsciente mais Monolith devra vite se retransformer car son corps de pierre commençait à se morceler sous l'effet de la chaleur+ eau. Au sol: Diviner (lit l'avenir). Puis, Talisman (pouvoir de chance), Challenger (stratége, athléte et tireur) et Demon (agilité et techniques de combat). Les Elementals arrivent à leur but: les générateurs, qu'ils coupent quelque instant, permettant à Darkforce de s'échapper après avoir pompé dans les fichiers de Roswell ce qu'il voulait. La Justice Machine retombe sur les Elementals et réussitcette fois à les battre. Darkforce, revenu à sa base, apprend par Tarot (le nain qui a donné sa mission aux Elementals) que ceux-ci ont été capturés. Il s'en fout, et annonce qu'avec les finos dont il dispose, le portail dimensionnel qu'il voulait ouvrir est possible et que les démons vont donc pouvoir venir sur Roswell! Une certaine grâce et finesse s'échappe des planches! Commentaire: Du très bon super-héros divertissant! Il s'agit ici principalement de combats entre les deux équipes, mais traités de manière originale: la Justice Machine tout de suite séparée de Blazer, puis il faut contenir Blazer et enfin le deuxiéme round. Comme souvent, c'est souvent à des combats 1 contre 1 auxquels on assiste, avec des permutations amusantes pour varier les plaisirs. Des décors minimaux au service d'une efficacité redoutable. Côté dessin, on est très agréablement surpris par le côté subtil et fin qui s'échappe des pages de Gustovitch, avec de grands panels ben aérés avec des poses réussies et parfois mêmes assez originales, et une colorisation légérement saturée et sombre. Il s'agit de super-héros plus classique qu'Elementals mais toujours avec une touche qui les différencie du Marvel/Dc habituel. Ici, l'originalité provient des relations entres les membres, du back-ground de science-fiction et du côté politique de la Justice Machine. La lecture de ce numéro fini, on a définitivement envie de connaître la suite! Une séquence originale comme on en voit rarement dans du super-héros mainstream classique. Indispensable pour faire connaissance avec les 2 équipes phare du super-héros indépendant! Visitez le topic consacré à JUSTICE MACHINE!
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#2
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Adventures of the Outsiders #34 Juin 1986 Against all Odds ! (22 pages) Scénario : Mike W. Barr. Dessin : Alan Davis. Encrage : Paul Neary. Couverture : Alan Davis. Non traduit. Résumé : Contrairement à ce que lui a ordonné sa sœur, New-Wave, Windfall n’a pas tué Halo. Elle l’a emprisonnée, espérant ainsi la protéger de la folie meurtrière de New-Wave. Mais celle-ci a suivi discrètement sa sœur et découvert la vérité. Elle apparaît à Halo et lui promet de la tuer, après s’être débarrassée de ses partenaires. Le Baron Bedlam explique au Bad Samaritan que le Adolph Hitler qu’il a découvert est un clone, créé par le génie du docteur Ovari. Bedlam est lui-même un clone : tué lors de sa précédente confrontation avec les Outsiders (in Batman & the Outsiders #2), Ovari lui a redonné vie grâce à un nouveau corps développé à partir de son ADN. Le récit terminé, le Bad Samaritan est une nouvelle fois assommé. Le Baron Bedlam prend alors la tête des troupes qui vont mener l’assaut contre le palais de Markovia où se trouve le roi Gregor. Le combat est bref, et les troupes du roi sont vaincues. A son retour au Q.G. des forces soviétiques, Bedlam découvre que le docteur Ovari a ranimé Hitler. Halo franchit un poste frontière séparant la France de la Markovia et se rend au camp où sont retenus ses coéquipiers. Elle n’a pas de mal à s’y introduire, mais au moment où elle découvre l’endroit où sont retenus les Outsiders, elle est repérée par les Masters of Disaster et doit les affronter seule. Elle parvient à résister à leurs multiples assauts, et utilise ses pouvoirs de persuasion pour convaincre Windfall de l’aider. Puis elle fait exploser les réserves d’essence du camp, et profite de la diversion créée pour libérer les Outsiders. Toute l’équipe, accompagnée de Windfall, part aussitôt à l’endroit où Halo demeure prisonnière. Pendant ce temps, le Baron Bedlam poursuit son plan. En compagnie du docteur Ovari et du clone d’Hitler, il se rend dans une galerie secrète, visitée par le Führer lui-même quarante ans plus tôt, et dont l’ouverture n’apparaît que lorsque le clone d’Hitler pose sa main sur un détecteur. Le Bad Samaritan arrive peu après, et est instantanément réduit en cendres par l’arme secrète des nazis qui a été cachée ici : un générateur de nuage de protons. L’expérience réussie, le docteur Ovari présente à Bedlam la jeune servante qui va s’occuper du clone d’Hitler et offrir au Baron son ultime test : la jeune fille porte autour du cou une étoile de David… Commentaires : Une fois encore l’action prime et Alan Davis fait montre de tout son talent sur chaque page. Le premier rôle est cette fois donné à Looker, qui réussit seule là où le reste de l’équipe avait échoué. Manière classique mais efficace de situer le personnage, encore tout frais, par rapport à ses partenaires. L’intrigue secondaire consacrée au clone de Hitler est de plus en plus intrigante, en particulier dans la conclusion de cet épisode. Certes, Mike W. Barr traite le thème du clonage n’importe comment (le clone a les souvenirs de l’original), mais c’est une habitude dans ce type d’histoire, et le résultat ne manque pas d’étonner, en attendant la conclusion le mois prochain. |
#3
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merci pour ces très bon commentaires
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#4
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Aaah Davis... Merci pour la critique.
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Blue Beetle #1 Juin 1986 Out of the Ashes ! (23 pages) Scénario : Len Wein. Dessin : Paris Cullins. Encrage : Bruce D. Patterson. Couverture : Paris Cullins & Bruce D. Patterson. Traduction : in Les Défenseurs n°9, Arédit, mars 1987. Résumé : Pour sa première apparition publique à Chicago, Blue Beetle intervient sur un incendie. Il atterrit sur le toit de l’immeuble et veut venir en aide à un pompier qui semble être en fâcheuse posture. Manque de chance : il ne s’agit pas d’un pompier mais du pyromane responsable de l’incendie, un certain Firefist. L’homme est revêtu d’une armure en amiante, et ses gants sont de véritables lance-flammes. Blue Beetle évite son attaque mais ne peut l’empêcher de s’enfuir. Plutôt que de le poursuivre, il se jette dans la fournaise et trouve dans les décombres un pompier inconscient dont il va sauver la vie. Après s’être assuré que l’homme est bien pris en charge par les secours, il remonte à bord de son vaisseau et disparaît. Le vaisseau de Blue Beetle a de multiples fonctions. Il est ainsi aussi facile à manipuler dans les airs que sous l’eau. En passant par le lac Michigan, il atteint une entrée sous-marine secrète le menant à son Q.G., situé sous les locaux de Kord Inc., la société dont il est le directeur. Avec l’aide de sa secrétaire, Angela Revere, il règle rapidement les affaires courantes. Puis il rend visite dans leur laboratoire à ses deux principaux collaborateurs : Jeremiah Duncan, scientifique de génie et vieil ami de son père, et Melody Case, qui est également sa fiancée. Ted ne peut rester longtemps en leur compagnie : il est attendu aux S.T.A.R. Labs de Chicago. Sur place, il retrouve Murray Takamoto, avec lequel il travaille régulièrement, et qui a besoin de lui pour une expérience : S.T.A.R. Labs tente de créer un alliage de promethium, titanium et vanadium, pour l’instant sans succès. Ted Kord travaille quelques heures en sa compagnie, avant de recevoir un appel urgent de son vaisseau. Firefist a de nouveau fait parler de lui. Cette fois il s’est attaqué à un poste de pompiers. En voyant arriver le vaisseau de Blue Beetle, Firebird utilise ses lance-flammes contre lui, sans succès. Blue Beetle réplique en vidant ses extincteurs sur le pyromane, ce qui lui donne le temps de s’approcher et de l’attaquer au corps à corps. Dans le combat qui s’ensuit, Firefist fait s’effondrer la partie du toit de l’immeuble sur laquelle ils se trouvent. Le combat se poursuit à l’intérieur, mais bientôt le reste du toit s’effondre sur Blue Beetle, qui se retrouve coincé sous les gravats, sans défense face à son adversaire. La mort de Daniel Garrett, le précédent porteur de l’uniforme de Blue Beetle, intéresse plusieurs personnes. Un dénommé Conrad Carapax se rend sur l’île de Pago, où Garrett a disparu, pour y découvrir ce qui l’a conduit ici. Au même moment, à Chicago, le lieutenant Max Fisher est convaincu que la disparition de Daniel Garrett n’est pas un accident mais un meurtre, et décide de poursuivre l’enquête. Commentaires : Après une première apparition dans les pages de Crisis on Infinite Earths, puis le Secret Origins qui lui a été consacré, le nouveau Blue Beetle, version DC Comics, fait donc ses véritables débuts ici. Le ton est assez léger – même si Blue Beetle n’est pas le personnage farfelu qu’il deviendra sous la plume de Giffen et DeMatteis – la série assez orientée action à l’ancienne. Le personnage principal manque peut-être quelque peu de charisme, aussi bien lorsqu’il enfile son costume que dans le civil, et dans un premier temps on ne comprend pas tout à fait ce qui l’a poussé à choisir de se lancer dans une carrière de super-héros (l’explication ‘j’ai juré à un mourant de lui succéder’ est quand même très légère). Mais ce premier épisode est très rythmé, et l’ambiance bon enfant dans laquelle évoluent les personnages (y compris les personnages secondaires qui entourent le héros) donne un charme et un attrait certains au récit. Au côté du déjà vétéran Len Wein, on retrouve le jeune Paris Cullins, précédemment dessinateur attitré de la série Blue Devil. Il réalise sur ce premier épisode un travail assez remarquable. Ses planches sont à la fois extrêmement dynamiques et très fouillées, son héros bondissant, les visages sont particulièrement expressifs, et sa mise en page digne d’éloges. Cullins est vraiment la très bonne surprise de ce début de série, et fait passer ce premier numéro de statut de ‘sympathique’ à celui de ‘vivement conseillé’. |
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On devrait casser les doigts de Bruce Patterson.
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Pas pour cette prestation en tous cas.
Méchant XXL |
#8
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Je trouve ç horrible ce spetits traits qu'il fait d epartout, surtout quand c'est sur la chair. Quand il s'agit de décor, c'est vrai que c'est pas mal.
Quand je pense que dans 15 ans, il nous faudra chroniquer les alpha Flight de Broderick/ Patterson.....on va rendre les gens aveugles!
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#9
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Blue Bettle est vraiment la série que j'aimerais trouver pas cher dans un broquante, le perso ma toujours intrigué et j'aime le concepte!
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"La condescendance a ce point la je trouve ca poetique." Nix, verset 16 |
#10
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pareil
je l'ai découvert dans crisis puis legends a début j ele prenais pour le spidey du pauvre mais il est attachant comme tout Ted Merci Niglo pour cette rétro Toujours de très bon goût, un choix très sûr.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#11
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ELEMENTALS N°8 Publié par Comico en Juin 1986. "Tainted Love", 26p. Scénario: Jack Herman & Bill Willingham Dessin: Bill Willingham Encrage: Rich Rankin Cover: Bill Willingham Une wraparound cover bien dans l'esprit innovant et décalé de la série! Résumé: Si vous avez raté l'épisode précédent... A la résidence Golden (le père de Fathom), où logent les elementals, le téléphone sonne dans la chambre de Becky (Fathom) endormie. Elle répond la tête dans le cul...C'est un certain Eddie, qui voudrait la revoir et lui propose de dîner avec elle là où ils se sont connus pour la première fois. Sans réfléchir, Becky répond oui mais, une fois le combiné raccroché, elle se réveille en sursaut: Eddie?!! Mais c'est Ratman! Elle vient d'accepter un dîner avec Ratman! 8) Sans en toucher mot à quiconque, elle quitte , apprêtée, la résidence et croise l'agent Porter Scott, de retour! Celui-ci remarque bien qu'elle semble aller à un rendez-vous et est troublé par son parfum... Au Space Needle, le restaurant en haut d'une tour où les elementals avaient combattus les Destroyers, Becky dîne avec Eddie quand... Comment se déclarer entre le plat et le dessert! Là, Becky, furieuse, lui avoue qu'elle s'est servie de lui pour s'échapper sur Ryker Island, et qu'il faudrait vraiment être stupide pour ne pas l'avoir deviné. Elle ne veut pas le voir ni passer du temps avec lui, il ne l'intéresse pas! Sous le choc, Eddie se transforme en Ratman et explose une vitre avec une table. L'agent Scott, qui avait suivi Becky, le menace avec son arme mais Eddie le met au défi de lui tirer dessus, ce que Porter Scott fait pourtant à plusieurs reprises. Mais Ratman est un lycanthrope, il ne craint pas les balles et menace maintenant de tuer Porter Scott, dont il a deviné qu'il porte aussi de l'intérêt à Becky!! Becky intervient mais le FBI a cerné le restaurant! Ratman prend une otage et Becky s'excuse auprés de lui. Soudain, après une nouvelle déclaration comme quoi Fathom a changé sa vie, Ratman l'attrape, l'embrasse puis s'échappe par le trou de la fenêtre pour prendre place dans un des hélicoptères du FBI dont il expulse le pilote! Et..... Oh...oh..... Sinon, entrecoupant cette histoire principale: - 1 scéne dans un aéroport ou un mystérieux personnage à l'apparence changeante qui veut se rendre à Ryker Island provoque une crise de jalousie entre 2 ex-futurs mariés; - Morningstar, excellente à l'excrime, fait la connaissance d'un certain Eric Chessman, qui, après l'avoir vaincue, lui propose de prendre des cours avec lui et d'accepter son invitation à diner le soir, ce qu'elle s'empresse de faire, sous le charme! Commentaire: Bien entendu, vous aurez reconnu la référence à 9 semaines 1/2, le film sulfureux avec Mickey Rourke, devenu 9 Hours 1/2! Ce numéro, consacré à l'Amour, marque d'autant plus le fossé qui sépare Elementals des autres titres super-héroîques. Dans tout autre série maintream, on aurait eu droit à une histoire à l'eau de rose, un peu bêbête, sans référence au sexe et digne d'un roman harlequin soft. Là, on parle de passion, de jalousie, d'attirance inexpliquée, de désirs. Tout cela augmente la valeur de ce numéro, dont le dessin n'est pas à proprement parler l'atout majeur. Qui plus est, cela n'est que le début, les déboires sentimentaux et sexuels des Elementals seront développés sans tabou pendant toute la série, de manière adulte et osée (même Tommy, prisonnier dans un corps d'enfant y aura droit). D'ailleurs, celà culminera plus tard avec la création d'une deuxiéme série, Elementals Sex Special, dans laquelle héros et vilains copuleront à tout va! Il y aura un mariage de moins que prévu demain...8) Willingham n'en oublie par pour autant d 'apporter de l'humour, avec cette scéne à l'aéroport, la scéne d'ouverture avec Becky au téléphone dans son lit, ou bien alors quand elle s'étouffe dans sa salade en écoutant Eddie se déclarer. Seul bémol, le dessin, pas très assuré par moments, qui fait que quelques scénes ratent leur effet ou que des visages sont ingrats. Mais globalement, c'est du tout bon, avec un scénario et des dialogues qui accrochent le lecteur! Sinon, signalons l'arrivée d'Eric Chessman, qui sera à l'origine d'un sub plot dont la résolution sera un choc terrible, à classer sur un podium pour son culot! (mais ça, vous ne le saurez pas avant longtemps! ) Compétition entre 2 mâles en vue d'impressionner la femelle... Un excellent numéro, dont le théme rattrappe le dessin peu assuré. Visitez le topic consacré aux ELEMENTALS!
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il y a combien de n° d'Elementals ?
les 7 premiers sont excellents ,je pensais que cela s'était arreté au 7 moi |
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Alors le volume 1 compte 29 numéros + 1 special + 1 mini-série Fathom + la mini avec Justice Machine.
Ensuite, on passe directement au vol. 2 qui compte en gros 28 n°,+ une demi-douzaine de Sex Specials + une tripotée de numéros speciaux Lingerie, trucs muches, mini avortées transformées etc... Sont indispensables tout le Vol. 1 (avec quelques passages à vide) + en gros les 15 premiers du vol. 2, après, ça part méchamment en couille...
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#14
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oky ...
merci pour ces précisions . |
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Reeuhh.
Bon, Niglo vient de me faire commander des Outsiders. ^^
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
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