Critiques Doopiennes romans/Essais N°1 : DU SERIAL KILLER A GOGO !!!

[doop]

Critiques Doopiennes : les romans/Essais N°1

Eh oui, comme je ne lis pas que des comics, je vais essayer, peut être pas toutes les semaines, mais en gardant un bon rythme, de vous parler de mes lectures en ROMANS…

On va commencer avec deux livres, l’un assez vieux, l’autre beaucoup plus récent qui ont en commun de s’intéresser à des criminels aux personnalités bizarres et ambiguës.


On commence avec

L’AFFAIRE DU DAHLIA NOIR
par STEVE HODEL.

SEUIL POLICIERS, 580 pages.

Bouh, le DAHLIA NOIR, c’est tout pourri, JAMES ELLROY a sorti le roman de référence dessus, qu’est ce qu’un petit policier comme STEVE HODEL, inspecteur de la brigade des homicides de L.A. à la retraite vient nous ressasser cette histoire de jeune actrice découpée en deux et retrouvée dans un terrain vague dans les années 40 !
Eh bien, le point de départ est assez cocasse.
Lorsque STEVE HODEL, apprend la mort de son père (un ancien docteur avec qui il n’avait plus beaucoup de rapports depuis qu’il a abandonné sa mère et ses enfants et qui s’est remarié deux fois depuis ) ; il va aller chez lui pour consoler sa veuve et en profite récupérer quelques une des affaires personnelles de celui ci, des vieilles photos de lui et de ses enfants, des clichés de la famille réunie dans les années 40/50 , quand ils menaient une existence heureuse sur les hauteurs de L.A..
Il ouvre un carnet et c’est alors une révélation : il reconnaît dans le carnet intime de photos de son père, là où se trouvent des clichés de ses enfants et ses femmes , une photo d’ELISABETH SHORT, mondialement connue pour être le fameux DAHLIA NOIR !

Une photo de LIZ SHORT et celle trouvée dans le carnet du père de HODEL.

Se demandant ce que cette photo peut bien faire ici, il décide alors de fouiner un petit peu dans la vie de son père et essaye de faire ressurgir au fur et à mesure des souvenirs d’enfance et commence à se rappeler certaines choses bizarres qui se passaient dans la maison familiale.
Bref, STEVE HODEL va alors commencer un immense travail de recherche et petit à petit , en arrive à la terrible conclusion que le tueur était certainement son père, pire encore, LIZ SHORT n’était qu’une de ses victimes, qu’il répertorie en gros à une bonne vingtaine.
Ce livre nous raconte donc tout le travail d’enquête, agrémenté des tourments de l’auteur quand se rapproche inexorablement la triste vérité.

Livre terriblement intéressant car sans concessions. HODEL enquête, réunit des preuves et en arrive à un tel point que le faisceau de présomptions aurait conduit immédiatement à une inculpation auprès d’un juge. Comment une personne peut découvrir la vérité 60 ans plus tard ? Eh bien, HODEL en arrive aussi à la terrible conclusion d’un complot de la police de l’ époque qui a caché et escamoté des preuves.
HODEL implique plusieurs personnes, dont en particulier le célèbre artiste MAN RAY, et la force du bouquin (toutes les recherches et les preuves accumulées ) est finalement sa faiblesse, car on sent l’accumulation de détails qui nous forcent un peu à nous faire pencher du côté de la thèse de l’auteur, qui n’a que des preuves plus ou moins indirectes.
A t’il raison ou pas ? Sa thèse est elle la bonne, même si elle paraît parfois un peu trop énorme ? Le truc bien avec ce genre de choses, c’est qu’on ne le saura jamais.
Personnellement, j’aurai tendance à la suivre, mais pas sur tous les complots et magouilles qu’il dénonce.
En attendant, un superbe travail d’investigation.



On continue avec

LES MILLE ET UNE VIES DE BILLY MILLIGAN
par DANIEL KEYES

CALMANN LEVY ; 465 pages

Daniel Keyes vous rappelle quelque chose ? Si oui, c’est que vous avez certainement du lire son superbe roman DES FLEURS POUR ALGERNON, un des fleurons de la SF moderne que je vous conseille avidement, à savoir l’histoire d’un attardé mental qui devient intelligent après une intervention chirurgicale. D’ailleurs on a eu une version comics de cette histoire avec SPIDER MAN et le RHINO dans SPIDER MAN : TANGLED WEB par FEDREGO et ….. PETER MILLIGAN . (Aucun rapport avec le titre du livre, mais c’est rigolo comme coïncidence. )
Bref, tout cela pour dire que KEYES adore ce qui se passe dans le cerveau humain.
Et là il nous conte une histoire absolument bizarre : BILLY MILLIGAN est un jeune homme que tout accuse : on a retrouvé ses empreintes sur les voitures d’une des trois jeunes femmes qui se sont faites violer ans l’OHIO , et en plus, les victimes le reconnaissent formellement. Sauf qu’il nie et dit qu’il ne se rappelle de rien. Ses avocats vont alors découvrir que BILLY est un fait un schizophrène, et qu’il possède en fait une personnalité multiple, qui fait de lui un être totalement éclaté.
Ce livre est l ‘histoire de son arrestation, mais de tout le travail entrepris par les psychologues qui l’ont soigné.
Car il y a du travail, puisque BILLY ne possède pas moins de dix personnalités de base, ARTHUR l’Anglais qui lit et parle couramment l’arabe ; RAGEN, le serbe (qui parle serbe couramment) et qui est le protecteur de toutes ses personnalité, ALLEN l’escroc, ALADANNA la lesbienne ; DANNY, le petit garçon qui apparaît à chaque fois que BILLY ressent de la douleur ; TOMMY et ALLEN l’escroc…..
Bref, c’est un joyeux bazar dans la tête de notre BILLY, qui ne « sort » que très rarement, car les autres personnalités dominantes le protègent. Car c’est totalement organisé, ARTHUR et RAGEN commandant les apparitions des différentes personnalités au gré des évènements.

Assez tordu vous allez me dire….
Même pas, car le truc terrible c’est qu’il s’agit d’une histoire absolument vraie !!!!!!!
BILLY existe réellement, et c’est le premier cas de personnalité multiple qui a été étudié 24 heures sur 24.
Le psychiatre va donc faire fusionner les différentes personnalités de BILLY pour que celui ci soit en état d’assister à son procès.
Que nenni, pendant la thérapie, il fera apparaître de nouvelles personnalités, portant le compte total jusqu’à 24, dont le PROFESSEUR, somme de toutes les autres personnalités et qui possède la mémoire absolue…
Les différentes personnalités sont autonomes et vont pouvoir se parler entre elles via BILLY, qui ne comprend rien à ce qu’il lui arrive….

Autant vous dire, c’est pour moi le bouquin de l’année. Pour tout ceux qui sont intéressés par ce genre de cas, c’est absolument génial. On ne peut pas lâcher le bouquin avant de l’avoir fini, et ce qui se passe chez ce pauvre BILLY est proprement hallucinant ; surtout quand on apprend quelle est la personnalité qui a agressé les jeunes filles !
On a vraiment du mal à croire que c’est possible un truc comme ça, et pourtant !

Le livre de l’année pour moi dans ce genre de livre-documentaire.
Je ne saurais trop vous le conseiller, mais ça fait un peu froid dans le dos.

a noter : ce livre risque d’être bientôt adapté au cinéma par…JOEL SHUMACHER :eek:



Bon, voilà j'espère que cela vous aura interressés, je reviendrai certainement en deuxième semaine (ou un peu plus tard) pour continuer avec du SERIAL KILLER, au menu JACK L'EVENTREUR et TED BUNDY !!!!!!!



SURTOUT; Fermez bien la porte à clef!!!!!!

[Virgule]

en fait t'es homme au foyer et tu travailles pas c'est ça ?

[Auteurroriste Zeph]

putain Doop!!
Mais comment tu fait???
six tpb par semaine et maintenant ça!!?? pas humain ce type là, c''est pas possible...

[Hilarion]

	Citation:			Posté par SaigneurZeph
	putain Doop!! Mais comment tu fait??? six tpb par semaine et maintenant ça!!?? pas humain ce type là, c''est pas possible...

Ouais, c'est ce que je me disais aussi! Je serais curieux de le voir sur un vélo de course, si vous voyez ce que je veux dire....

Amenez le flacon, c'est pour un test!

[Hilarion]

	Citation:			Posté par doop
	Critiques Doopiennes : les romans/Essais N°1 On commence avec L’AFFAIRE DU DAHLIA NOIR par STEVE HODEL. SEUIL POLICIERS, 580 pages. Bouh, le DAHLIA NOIR, c’est tout pourri, JAMES ELLROY a sorti le roman de référence dessus, qu’est ce qu’un petit policier comme STEVE HODEL, inspecteur de la brigade des homicides de L.A. à la retraite vient nous ressasser cette histoire de jeune actrice découpée en deux et retrouvée dans un terrain vague dans les années 40 ! Eh bien, le point de départ est assez cocasse. Lorsque STEVE HODEL, apprend la mort de son père (un ancien docteur avec qui il n’avait plus beaucoup de rapports depuis qu’il a abandonné sa mère et ses enfants et qui s’est remarié deux fois depuis ) ; il va aller chez lui pour consoler sa veuve et en profite récupérer quelques une des affaires personnelles de celui ci, des vieilles photos de lui et de ses enfants, des clichés de la famille réunie dans les années 40/50 , quand ils menaient une existence heureuse sur les hauteurs de L.A.. A t’il raison ou pas ? Sa thèse est elle la bonne, même si elle paraît parfois un peu trop énorme ? Le truc bien avec ce genre de choses, c’est qu’on ne le saura jamais. Personnellement, j’aurai tendance à la suivre, mais pas sur tous les complots et magouilles qu’il dénonce. En attendant, un superbe travail d’investigation.

En parlant du Dahlia Noir, j'avais écrit ça pour mon blog...

Je me permet, je trouve que ça complète bien...

PROTEGER ET SERVIR...

James Ellroy a introduit le venin dans le noir du roman policier dont il est amateur depuis l'enfance et sait rendre hommage à ses aînés comme son "grand nulle part" le fait au "grand sommeil" de Raymond Chandler.

James Ellroy est né le 4 mars 1948. Au divorce de ses parents, il s'installe dans un quartier populaire de Los Angeles avec sa mère à laquelle il est confié jusqu'à ce 22 juin 1958 où celle-ci est assassinée, meurtre toujours inexpliqué qui marque encore aujourd'hui l'œuvre d'Ellroy. Il retrouve donc son père, de bonne volonté mais très souvent absent. Le petit James partage son temps entre le polar, les filles et la petite délinquance. Renvoyé du collège, son père, malade, l'envoie à l'armée en 1965. A la mort de son père, il se fait réformer puis sombre peu à peu dans la spirale de la drogue et de l'alcool et mène une vie de sans domicile fixe pendant prés de 10 ans. En 1975, de graves problèmes pulmonaires lui donnent le sursaut nécessaire et il décide de changer de vie. Renonçant aux excès, il se trouve un emploi et mène une vie rangée qui lui permet de se lancer dans l'écriture. Son premier roman, "Brown's Requiem" , sort en 1981. Il a depuis écrit une vingtaine de romans.

Un ancien fait divers résonne en lui en écho à la mort de sa mère : Le 15 janvier 1947, sur un terrain vague, la police de Los Angeles trouve le corps nu et horriblement mutilé d'une femme de 22 ans, Betty Short. Le cadavre est coupé en deux, vidé de ses organes et de son sang, il présente de nombreuses lacérations et brûlures et la bouche a été ouverte d'une oreille à l'autre. Malgré tous ses efforts, la police ne résoudra jamais l'affaire du "Dahlia noir", ainsi que la victime a été surnommée par les médias de l'époque en raison de son habitude à se vêtir de noir. James Ellroy livre sa version romancée de l'histoire du "Dahlia noir".

Le Los Angeles de la fin des années 40 est une ville raciste, violente, aux mains d'un pouvoir politique autoritaire et corrompu qui flirte avec la pègre et le show-biz, et dont la police est le bras armé, brutal et tout puissant. Bucky Bleichert et Lee Blanchard, anciens boxeurs devenu inspecteurs du Los Angeles Police Department, amis et rivaux dans le cœur de la belle Kay, prennent en charge l'affaire du meurtre monstrueux d'Elisabeth Short, aspirante vedette de cinéma prête à toutes les compromissions pour réussir. Au long de cette enquête, ils vont se trouver confrontés à leurs propres démons et à ceux qui ne souhaitent pas voir surgir la vérité.

Les personnages de James Ellroy se caractérisent souvent par leur personnalités complexes et torturés et leurs passés obscurs et traumatisants. L'auteur les fait évoluer au sein d'un univers assoiffé de toutes les formes de pouvoir et dans lequel ils ne sont le plus souvent que des marionnettes satisfaites, résignées ou révoltées. Confrontés à l'horreur et au crime, ils se réfugient dans leurs obsessions pour tenter de trouver le pouvoir, l'amour ou la rédemption.

Dans un style innovant, sec et percutant qui ne cessera d'évoluer jusqu'à l'écriture quasi automatique de "White jazz", et avec des dialogues imprégnés des expressions de l'époque, James Ellroy nous entraîne dans les arcanes floues de la police et de la politique. La précision et la profondeur de ses recherches donnent à l'ensemble du roman et à ceux qui suivront un indéniable parfum de réalisme plein d'amertume et de cynisme pour dresser de la politique et la société un tableau des plus noirs qui ne serait pas que celui des années 50.

Après ce premier volet du "Quatuor de Los Angeles", James Ellroy continue son exploration des mœurs politiques, policières, criminelles et artistiques de Los Angeles dans "Le Grand Nulle Part", "L.A Confidential" et "White Jazz", s'attachant de 1947 à 1959 aux personnalités et aux destins de policiers de différents services que de sombres affaires de meurtres amènent à se côtoyer sur fond de corruption et de magouille dans lesquelles baignent des personnages récurrents aux 4 romans.

En 1997, Steve Hodel, ancien inspecteur à la brigade des homicides de L.A, trouve dans les affaires de son défunt père une photo d'Elisabeth Short. Intrigué, il enquête à titre personnel et arrive à la conclusion que son père, le Dr Georges Hill Hodel, était le meurtrier du Dahlia noir et de nombreuses autres femmes entre juillet 1943 octobre 1949. Il fera le récit de ses investigations dans "L'affaire du Dahlia noir"... avec une préface de James Ellroy.


Edit - Après "L.A Confidential" mis en scène par Curtis Hanson en 1997, "Le dahlia noir" réalisé par Brian De Palma en 2006, "White Jazz" réalisé par Joe Carnahan devrait sortir en 2008...

[Thorn]

Bien vu, ce thread !

Algernon, j'en avais parlé, et c'est à ne pas manquer.

Je ne savais pas que l'on pouvait trouver d'autres titres de Daniel Keyes

Bel essai transformé, Doop, je n'en attendais pas moins de toi. Un grand plaisir à lire, et continue sur cette lancée.

PS Et m.... à VBulletin

[doop]

	Citation:			Posté par Halnawulf
	Ouais, c'est ce que je me disais aussi! Je serais curieux de le voir sur un vélo de course, si vous voyez ce que je veux dire.... Amenez le flacon, c'est pour un test!

A part une glycémie et des triglycérides au dessus, rien de tout ca

	Citation:			Posté par SaigneurZeph
	putain Doop!! Mais comment tu fait??? six tpb par semaine et maintenant ça!!?? pas humain ce type là, c''est pas possible...

Et aprés, les profs vont se plaindre qu'ils ont trop de travail......

	Citation:			Posté par Virgule
	en fait t'es homme au foyer et tu travailles pas c'est ça ?

Je fais aussi la cuisine, moooosieu.....
Je vous l'ai déjà dit: HYPERACTIF, c'est bien, en même temps je peux aussi corriger des copies. Tu verrais la tête des gamins quand ils font une interro le matin à 8h00 et qu'à 15h00 je la leur rend corrigée.....(avec les copies rangées dans l'ordre décroissant bien sur.....)

[Hilarion]

	Citation:			Posté par doop
	Car il y a du travail, puisque BILLY ne possède pas moins de dix personnalités de base, ARTHUR l’Anglais qui lit et parle couramment l’arabe ; RAGEN, le serbe (qui parle serbe couramment) et qui est le protecteur de toutes ses personnalité, ALLEN l’escroc, ALADANNA la lesbienne ; DANNY, le petit garçon qui apparaît à chaque fois que BILLY ressent de la douleur ; TOMMY et ALLEN l’escroc….. Que nenni, pendant la thérapie, il fera apparaître de nouvelles personnalités, portant le compte total jusqu’à 24, dont le PROFESSEUR, somme de toutes les autres personnalités et qui possède la mémoire absolue… a noter : ce livre risque d’être bientôt adapté au cinéma par…JOEL SHUMACHER :eek:

Ca me fait penser au film "IDENTITY" de James Mangold (Copland, Walk the line...) , avec John Cusack.

Au Maire de New-York dans Promethea d'Alan Moore aussi.

Et puis David Haller-Xavier bien sûr...

[HiPs!]

Con que je suis! J'ai vu "...Billy Milligan" dans ma librairie, j'y ai aperçu la signature de Keyes, "Des fleurs..." doit être un des bouquins que j'ai le plus filé/racheté et j'ai même pas fait le rapprochement...

BOn, je te dis pas merci Doop, je vais encore ouvir mon éconocroque à cause de toi. Ah, ben, bravo.

[Thorn]

Je viens de voir sur le site de Callman Levy que la parution du Keyes est très récente (septembre 2007).

Toujours à la pointe de l'actualité, Doop...

[kerchak]

	Citation:			Posté par Thorn
	Bien vu, ce thread ! Algernon, j'en avais parlé, et c'est à ne pas manquer. Je ne savais pas que l'on pouvait trouver d'autres titres de Daniel Keyes Bel essai transformé, Doop, je n'en attendais pas moins de toi. Un grand plaisir à lire, et continue sur cette lancée. PS Et m.... à VBulletin

J'ai relu ton post, mais toi aussi avait oubliè de citer quand même l'adaptation principale, à savoir le film Charly de Ralph Nelson avc cliff Robertson et Claire Bloom, Robertson est parfait dans ce film. Amusant d'ailleurs l'adaptation en comics dans un spider man, car rappelons que oncle ben dans le film était joué par Robertson !

[Hilarion]

Je me demandais aussi si le film "Le Cobaye" n'était pas une adaptation des "Fleurs pour Algernon", mais en fait, c'est tiré d'un bouquin de Stephen King.

Un simple d'esprit acquière une intelligence superieure suite à une experience scientifique...

[mr nix]

..et ce n'est pas le net.



Tres curieux de lire ce bouquin sur le Dahlia Noir, j'avais bien aime aussi le roman d'Ellroy (a defaut du flim). Ellroy a fait une partie de son fonds de commerce avec quelques bouquins interessants sur le theme, comme Un Tueur Sur la Route ou l'excellent Blood On The Moon. J'aime vraiment beaucoup son truc autobiographique; My Dark Places.

[kerchak]

	Citation:			Posté par mr nix
	..et ce n'est pas le net. Tres curieux de lire ce bouquin sur le Dahlia Noir, j'avais bien aime aussi le roman d'Ellroy (a defaut du flim). Ellroy a fait une partie de son fonds de commerce avec quelques bouquins interessants sur le theme, comme Un Tueur Sur la Route ou l'excellent Blood On The Moon. J'aime vraiment beaucoup son truc autobiographique; My Dark Places.

il n'y avait pas un film aussi, tiré de la trilogie Lloyd Hopkins de Elroy avec James Wood ?

[mr nix]

Oui. "Cop", tire de Blood On The Moon. Excellent.