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Ce soir je me suis lu Higher Earth #1 et #2, une nouvelle série sortie chez BOOM!.
Je m'était laissé tenté par le #1 vu qu'il était à 1$, il m'avait qu'a moitié convaincu. Et une cover de Phil Noto m'a décidé à prendre le #2, que j'ai trouvé déjà plus convainquant. La partie graphique (Francesco Biagini et Manuel Bracchi) est plutôt sympa, surtout lorsqu'il y a de belle couleur clair. Le point noir c'est plus les expressions assez réduite des personnages pour le moment. L'histoire avance doucement, l'auteur (Sam Humphries) pose plus de questions qu'il n'apporte de réponses, mais je suis me suis bien laissé porter par cette histoire de SF plutôt honnête. Je pense continuer.
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Mais siiiiiii, le Robin de Damian !
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Certifié Panini!
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#79
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Le Nightwing 10 est sympa, mais je trouve que le dessin cloche sur les visages quand Dick n'a pas son costume... Je sais pas, un truc me chiffonne.
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Lu Resident Alien #1 et du coup relu le Resident Alien #0 dans les DHP #4, 5, 6, de Peter Hogan et Steve Parkhouse.
Une histoire de meurtre dans une petite ville tranquille des Etats-Unis. Quoi de plus classique ? Sauf que... dans cette ville habite un Alien qui s'est écrasé sur Terre il y a plusieurs années. Il possède un pouvoir lui permettant de paraître humain aux yeux de ceux-ci. Malgré tout il lui est préférable de vivre de manière isolé, de ne pas s'impliquer dans la vie du village. Sauf que... le meurtre est celui du seul médecin du village. Il va donc lui être demandé d'assurer son remplacement quelques temps et de donner un coup de main pour l'enquête. Etant un fan des histoires d'extraterrestre (sauf lorsqu'il s'agit bêtement de les zigouiller ou d'histoire d'invasion, comme trop souvent à mon goût...) je me suis laissé tenter par ce comics, surtout après avoir lu la première partie dans les DHP qui m'avait bien convaincu. Et dans ce #1 ça continue, tout est très fluide, très bien amené et on ressent bien l'ambiance des petites villes avec en plus la tension lié au risque de découverte du secret de l'extraterrestre. Le dessin colle très bien à ce coté petite ville paisible. Mais pas forcément si paisible... Bref j'aime !
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Saga #3 et #4 : plus ça va et plus j'aime ce que j'y lit. Alors c'est moins dense que le premier épisode (et tant mieux) qui posait vraiment les bases de l'univers, malgré tout chaque numéro continue à l'enrichir.
Entre toutes les idées brillant de Vaughan et les dessins sublimes de Staples le mot qui me viens pour décrire ce comic c'est vraiment "magique". Magique, et pourtant profondément sombre, voir malsain. Et c'est ce que j'aime, c'est qu'ils parviennent à nous faire voyager dans un univers assez glauque, tout en évitant de tomber dans un récit pessimiste, voir nihiliste. Au contraire on ressent totalement l'espoir et l'optimisme de la famille que l'on suit. J'adore
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t'as fini de me convaincre Crisax, TPB à venir pour Saga
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Beuh, pourquoi TPB si je les ai tous?
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Pour Saga #4 je trouve que Vaughan aborde des thèmes dont certains auteurs s'embourberaient dans un méli-mélo pas possible. Rien que celui de la prostitution, infantile de surcroit, est un sujet trop sensible diront certains pour être intégré dans une bd, ici l'auteur en fait un fait à part entière de l'intrigue et je suis certain qu'on a pas fini d'en avoir les répercutions.
Encore une fois, aucune vulgarité ni gratuité, Vaughan construit son univers avec tout ce qu’il y a de plus beau et de malsain dans les rapports entre les êtres vivants. |
#85
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Vivement que je puisse le lire, ce Saga 4!
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Si ça continue faudra que ça cesse! |
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La même "base" que l'arc précédent (Nightwing visiblement accusé à tort) et rien de spécial. Avec une menace certes potentiellement crédible mais qui ne se distingue pas vraiment... Je m'étais dit que j'arretais après Night of The Owl, mais j'ai été faible parce que j'aime bien le perso, mais c'est vraiment pas fameux.
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Mes ventes de Comics VO ! |
#87
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Je viens de reposer le dernier numéro d'Amazing Spider-Man, le #687, celui qui achève le story-arc "Ends of Earth". Les prémisses de l'histoire sont simples: Doctor Octopus est en train de mourir, engoncé dans une méga-armure à huit tentacules un brin ridicule, respirant par un tube qui lui fait saigner le nez et portant des lentilles oculaires trop grandes, et décide d'offrir au monde la fin du trou dans la couche d'ozone et du réchauffement climatique comme cadeau d'adieu. Mais on ne la fait pas à Spider-Man, qui connaît trop bien son vieil ennemi, et renifle l'anguille sous roche. Ni une ni deux, le voilà qui se pare d'un costume plein de trouvailles scientifiques et en appelle à ses amis Avengers pour confronter Doc Ock et les Sinister Six. Rien ne se passe comme prévu, cela va sans dire, et Spider-Man se retrouve accompagné de Black Widow et Silver Sable, seuls contre le monde et le plan machiavélique fomenté par Doc Ock.
Cette histoire se déroule dans six numéros d'ASM (du #682 au #687), chacun vendu 4 $. Et son exécution serait déplorable à tous les niveaux, n'étaient les dessins de Ramos dans les #684-685. Il n'y a pas vraiment de suspense. On ne croit pas un instant à la menace. Les méchants sont écrits d'une façon plutôt déplorable, tombant l'un après l'autre au bout de deux coups de poings. On ne sait trop à quoi servent Black Widow et Silver Sable, sinon à apporter le ratio obligatoire de seins fermes et de culs rebondis parfaitement moulés dans du spandex. Il y a bien un moment tragique, mais il tombe à plat. Tout comme le combat final de notre héros contre le boss ultime, après qu'il ait vaincu les mini-boss ou fait changer d'avis l'un d'eux, qui lui donne l'adresse de la méga-forteresse dudit boss ultime. Mais le plus gros défaut de ce story-arc est ce qu'essaye de faire Dan Slott de Spider-Man. Je ne sais pas qui est ce type en armure moche bourrée de technologie qui s'attaque à un problème d'ordre mondial, qui chouine au moindre problème en l'oubliant aussi vite, qui a besoin d'être rappelé qu'il est un super-héros avec la force et la vitesse proportionnelle d'une araignée qui n'a pas besoin de se reposer sur la technologie, qui est presque autant moralisateur qu'un Captain America. Ce n'est en tout cas pas le Spider-Man que j'ai appris à connaître et à apprécier ces 15 dernières années. Voir un personnage urbain d'habitude confronté à des problèmes terre-à-terre et emplis de doutes classiques impliqué dans une menace aussi grosse peut laisser dubitatif, mais je ne suis pas rétif à voir des évolutions, lorsqu'elles sont bien menées. Mais ici, la réalisation laisse vraiment à désirer, est pleine de trous dans l'histoire et de twists trop prévisibles, et le gimmick "Nobody Dies" devient ridicule à chaque fois que Spider-Man le pense ou le déclame à haute voix. Dan Slott essaye de faire évoluer le personnage: ce qui a réussi globalement dans Spider-Island échoue dans les largeurs dans ce story-arc. Une déception. Dernière modification par Ivan Rebroff ; 23/06/2012 à 13h43. |
#88
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
#89
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Dan Slott avait dit que ce devait être son sommet avant le #700 (en comparaison de Spider-Island qui n'était pas prévu à la base) : c'est une énorme déception. Je n'ai pas l'impression de lire du Spider-Man. Sans oublier le nombre d'incohérences
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#90
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Lu Animal Man #9, 10 et l'Annual #1. Qu'est ce que c'est bon !!
Bon dans la série on sent quand même que ça pourrait avancer plus vite, mais qu'il faut faire encore un peu faire traîner les choses d'ici le crossover. Mais ça me gênes pas du tout, Jeff Lemire regorge d'excellentes idées ! Entre le voyage au sein du Red, la famille Baker, la présence de la Justice League Dark (que Lemire a repris au #9), on ne s'ennuie pas une seule seconde. A partir du #9 et 10 c'est vraiment toutes la famille d'Animal Man qui est impliqué, plus encore auparavant, et elle va apparemment l'être davantage encore par la suite. Même si je regrette un peu la patte de Foreman, Pugh est à la hauteur et c'est très classe. Quand à l'Annual, toujours écris par Lemire, c'est également un petit bijoux qui nous en apprend plus sur l'histoire du Red, du Green et du Rot. Cela prend la forme d'un comte horrifique merveilleusement raconté. C'est Timothy Green II qui est en charge de la partie graphique et mon avis est mitigé. Je trouve le résultat sympa, mais quand je vois certaines planches très réussi, je regrette que toutes ne soient pas autant peaufinées. Parce que la Splash où y'a le titre et les crédits de l'Annual m'a totalement scotché. Maxine y est... waw ! Totalement envoûtante. Bref, c'est vraiment le titre dont je suis le plus fan dans ce relaunch DC, et dans toutes mes lectures actuelles d'ailleurs je pense. J'espère que Lemire restera après le crossover parce que je vois mal comment ce titre pourrait être traité d'une meilleure manière, et je suis persuadé qu'il a encore pleins d'idées !
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critiques, critiques vo, juin 2012 |
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