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Remarque là, pour le coup, c'est bien une expression d'il y a 40 ans.
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Il est impossible de faire comprendre quelque chose à quelqu'un
si son niveau de vie dépend directement du fait qu'il ne la comprenne pas. |
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Oui, je vois pas ce qui cloche, je l'ai souvent en tête quand je vois notre président à la Tv.
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c'est moi qui ne doit pas être habitué à voir du cul dans les comics
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Bon, apres, ça depend qui dit cette phrase. Une fois encore, si c'est Thor, ça coince
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Aucun personnage Marvel dans les années 70 ne disait de gros mot, surtout pas dans les Vengeurs !
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" |
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Je suis d'accord, mais en l'occurence, peter plus haut que son cul, si c'est tres familier, ça ne me choque pas. J'entends l'expression, sans m'attarder sur le simple mot qui la clot.
J'imagine bien le Clint mal degrossi du debut la sortir, par exemple. |
#667
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Pareil, ça ne me choque pas plus que ça, comme formulation...
En fonction du personnage, bien entendu !
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"My Lord, you have no space suit..." "Air is for cowards ! Do it !" mes ventes diverses et variées mes recherches diverses et variées les aventures d'Archibald Long-Jean |
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c'est Whirlwind qui l'emploie face à Pym
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Bah il va devoir péter très haut, alors !
Bah vu le niveau de Whirlwind, aucun problème pour cette formulation.
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"My Lord, you have no space suit..." "Air is for cowards ! Do it !" mes ventes diverses et variées mes recherches diverses et variées les aventures d'Archibald Long-Jean |
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Ai-je le seul à avoir été un peu choqué par les échanges entre le Silver Surfer et Thor dans le Avengers de ce mois-ci ? Parce que voir du "connard pompeux", il y a quelque chose qui me gêne, parce que je n'ai jamais eu l'habitude d'un tel phrasé familier chez ces deux héros. Est-ce pareil dans la VO ?
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Je crois que Thor est martyrisé aussi bien par Fraction que par la traduction.
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Du fansub et du fastsub, on en bouffe plein pour des tas de séries et de films, et c'est ni fait ni à faire. C'est à 99% de la merde en barre, ce boulot-là. C'est même pas du boulot. Jim |
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C'est le concours du post le plus virulent ici? Franchement monsieur Lainé le message est passé mais il y avait d'autres mots pour l'exprimer non?
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Après, agrandir les bulles ou tasser le texte (et on peut "tasser" sans réduire, il suffit de serrer l'approche de paires (entre les lettres) ou l'interlignage (entre les lignes) pour gagner un peu de place), ça fait aussi partie du boulot de l'éditeur, qui fait ce genre de choix, passe les consignes et garde un œil sur le résultat. À cela s'ajoutent deux problèmes (peut-être davantage, mais ce sont les deux que j'identifie par mon expérience) : - si le lettrage est fait avec un logiciel vectoriel de montage (par exemple, InDesign, que j'utilise…), oui, il est facile d'agrandir une bulle. Mais c'est d'autant plus facile que la bulle est seule et flotte dans la case. Là, elle ne touche à rien, donc il suffit de tirer sur son bloc pour lui conférer une forme et surtout une taille adaptée au texte. C'est plus compliquée dans la bulle est en bord de case, parce qu'elle est bien calée, et si on l'agrandit, on risque de décaler, donc il faut veiller à bien tout recaler après manipulation. Pire encore, quand la bulle fait partie d'un ensemble de bulles chaînées : dans ce cas, pour obtenir le chaînage et solidariser les bulles, on est passé par une opération qui a consisté à souder les bulles entre elles, si bien que si vous agrandissez une bulle, vous agrandissez tout le paquet en même temps. Dans le cas d'un bullage d'une planche de Bendis, vous vous doutez bien que ça peut être compliqué et avoir des conséquences sur les bords de cases, sur les bulles voisines, tout ça. Toutes ces considérations à mettre dans une logique de production avec des délais, où le lettreur n'a peut-être pas le temps de boucler et d'affiner, ni l'éditeur de tout bien checker. Je veux pas chercher d'excuses aux intervenants et aux professionnels, mais ce genre de soucis du détail peut rapidement devenir lourdement consommateur de temps. Et une solution "a minima" serait de préférer que le traducteur soit un poil elliptique, afin de toujours rentrer dans l'encombrement. Solution qui peut avoir ses défauts. - Tout dépend de la personne ou du studio à qui le lettrage est confié. Certains studios, italiens souvent mais j'en connais aussi des français, ont une grille tarifaire super large, qui varie en fonction de ce qu'on fait. Grosso modo, ça peut aller d'un euro cinquante à sept, dix ou quinze euros, en fonction de ce qui est demandé. Et ce qui est demandé, ça va du remplissage des bulles à la création de nouveaux phylactères, hein. Donc effectivement, si on paie un studio le tarif minimum pour remplir les bulles, on obtient un remplissage de bulles et un travail minimum. Et y a pas moyens de lutter, à moins de payer plus. Et là, je crois que la différences entre les éditeurs, c'est que les plus consciencieux d'entre eux travaillent avec des lettreurs chevronnés capables de créer, modifier et altérer les bulles et les police. Ces deux considérations indiquent bien que l'étape du lettrage (et encore, je parle pas de lettrage sous Photoshop, que je ne connais pas…) peut avoir une incidence sur tout le reste, de la traduction à l'encadrement éditorial… Jim |
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Ah oui, dans ce cas là, ça fonctionne tout à fait, je trouve.
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chouineries |
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