#586
|
||||
|
||||
La série demeure figée entre les épisodes 4 & 5 ?
|
#587
|
||||
|
||||
Je ne trouvais pas qu'Aaron apportait beaucoup au final en terme de transition entre IV et V du point de vue des personnages principaux, ou du moins c'était trop timide. Gillen n'invente pas la roue mais c'est déjà çà.
|
#588
|
||||
|
||||
Merci.
Ca serait bien qu'ils changent, un moment. |
#589
|
||||
|
||||
Je suis fou d'y croire, la prochaine série The Mandalorian s'éloigne enfin d'un noyau connu et reconnu et les rumeurs persistent d'exister autour de la prochaine trilogie ciné des créateurs de GoT et de sa position durant l'Ancienne République, donc peut être possible qu'enfin ils agrandissent la franchise.
|
#590
|
||||
|
||||
LA meilleure série SW j'vous dis
Doctor Aphra #14 - 19 : Hiérarchisation Kieron Gillen & Si Spurrier (s) / Emilio Laiso (d) Aphra se retrouve obligé d'obeir à ses nouveaux maîtres, les droïdes meurtriers de masse Triple Zero et BT. Ces derniers la force à se lancer dans des opérations de plus en plus risqués accompagnée des pires mercenaires de la galaxie. Heureusement pour elle, cela lui permets de recroiser la route de la sexy capitaine impériale Magna Tolvan Et bien, si les autres séries SW ont bien du mal à s'extirper du carcan de leur propre sujet, Aphra continue de voler de ses propres ailes, proposant quelque chose de bien plus original. Au menu, un groupe de mercenaires haut en couleur, des planètes variées et exotiques, de l'action, de l'émotion, des embrouilles, des plans qui foirent, d'autres qui marchent... bref difficile de s'ennuyer en suivant les aventures de Chelli Aphra et du bazar qu'est sa vie. C'est que Gillen, parti depuis prendre le relais sur la série mère et donc épaulé par Si Spurrier (au style similaire), prouve encore une fois qu'il connaît son sujet. Il case ainsi de manière habile des références aux autres œuvres SW, voir aux films, ancrant son plot dans cet univers tout en proposant un peu plus de folie. Et si on peut regretter que l'archéologue héroïne soit elle même un Deus Ex Machina parfois trop facile et que le ton du comics soit.. peut être.. abusé de temps en temps, un peu moins sérieux qu'il ne le devrait sur des thèmes importants, cela reste une lecture quand même à 100 à l'heure, drôle, fun et séduisante. Mention plus à titre personnel pour ce comics qui met en avant des thèmes "du moment" comme l'homosexualité mais sans prosélytisme et en servant le récit. Efficace, simple et juste. 3.5/5 |
#591
|
||||
|
||||
C'est véritablement le meilleur apport à Star Wars depuis la fin de la prélogie.
|
#592
|
||||
|
||||
Ze zis zi end
Poe Dameron #26 - 31 : Le réveil Charles Soule (s)s / Angel Unzueta (d) A bords du Faucon après la bataille de Crait (fin des Derniers Jedi ^^), Poe, Rey et Finn font connaissance et le premier raconte son évasion de Jakku et le rôle de l'escadron Black dans les récents évènements. Ces derniers, sans leur leader, ont au même moment reçu comme mission vitale de la part de Leia de trouver des nouveaux alliés Donc cette fois ci c'est bon, c'est le dernier tome de la série Poe Dameron de Charles Soule avec laquelle je n'ai pas été tendre depuis le début. Et l’embellie du tome précédent se poursuit, tellement qu'à la clôture de celui-ci, j'ai même... regretté que cela soit fini. En effet, Soule gomme pas mal de défaut qui me faisait vriller : des aventures centrées sur Poe sans enjeux, des plots loin de l'histoire principale, déconnexion trop profonde avec la franchise, pas de réel fil rouge ou personnalisation de l'univers... Ici, bien au contraire, nous sommes en plein dans l'après Derniers Jedi, Soule comblant même certains trous des films (Poe se barre de Jakku, mission de reco sur Starkiller, bataille de Takonada...) et si ce n'est pas transcendant, le lien avec le reste de l'univers est solide et appréciable. D'ailleurs une scène m'a particulièrement marqué : Chewie et Nien Nunb, vétéran de la bataille d'Endor, qui se check respectueusement dans le cockpit du Faucon, bravo pour le clin d’œil Charles, toujours un plaisir de voir qu'un connaisseur est à la barre. Mais ce n'est pas tout, les deux derniers numéros qui se focalisent sur le Black Squadron sont sans doute les meilleurs du run. On ne croirait revenu au bon vieux temps du Rogue Squadron : dogfight à 1 contre 100, suspense, destruction, héroïsme, gros vaisseaux, sauvetage de dernière seconde... Les missions de Snap, Jess, Karé et Suralinda sont simples mais particulièrement réussies et prenantes. Le rythme envoi du lourd, les rebondissements sont légions et l'absence de Poe Dameron transforme ces perso en des morts probables, ajoutant de l'intérêt. Enfin, Soule tape dans son propre univers, 3PO avec son réseau d'"informateurs", Suralinda l'ex-journaliste, le mariage de Snap et Karé, Jess et ses soucis de droïdes.. c'est pleinement au moment que tout ce petit monde vie enfin que la série s’arrête... ben je pensais pas écrire ça mais.. dommage Angel Unzueta aux dessins, c'est très statique, très numérique mais il s'applique, notamment sur les visages et ce n'est pas si désagréable. Certes les décors/vaisseaux détonnent souvent (on sent trop l'ordi) mais il suit le rythme de Soule et ne gâche pas une lecture à 100 à l'heure. On finit avec un annual fort sympathique de Jody Houser, dessiné simplement mais tout aussi sympathiquement par Andrea Broccardo où le Black Squadron doit faire la course avec le 1er Ordre (à moins que cela ne soit un vieux con-man et son wookie) contre une vendeuse de peu de foi pour mettre la main sur une vraie richesse, vitale pour les coffres de la Résistance. Sans génie, Houser trousse un bon petit numéro avec action, humour et mine de rien.. pas mal d'émotion en fait. 3.5/5 |
#593
|
||||
|
||||
Badark Vador!
Dark Vador - Le seigneur noir des Sith #13 - 18 Charles Soule (s) / Giuseppe Camuncoli (d) Ce n'est pas possible, ce n'est pas le même Soule que sur Poe Dameron!! Visiblement, l'inspiration des auteurs, ça n'est pas une légende. Autant sur Dameron, mis à part donc quelques fulgurances sur les derniers numéros, on s'ennuie globalement à cause d'un manque d’ambition ou de vision globale.. autant sur Vader, Soule est vraiment meilleur. Et ce volume est le parfait exemple de ce que j'ai envie de lire, des références qui permettent d'ancrer le récit dans la galaxie partagée Star Wars (le Roi Lee-Char de The Clone Wars, excellente surprise, Tarkin, Krennic, Ackbar, Raddus, le projet Nébuleuse...), de l'action (une intense et formidable bataille planétaire avec des héros de chaque côté), et des perso forts. Vader est toujours aussi implacable et croise ainsi la route d'un ex-padawan qui est allé au delà du code, de résistants Mon Cal courageux et combattifs et d'un Tarkin qui en impose déjà! Bref, un petit bijou de comics Star Wars agrémenté d'une chasse au Vader mystérieuse et prenante et de l'Annual #2 par Chuck Wendig (Monsieur Riposte en romans) et Leonard Kirk qui se rapproche de Rogue One. Si il n'est pas aussi épique que les numéros de Soule, l'annual reste sérieux et un complément de lecture intéressant, surtout pour mettre en image la relation Tarkin/Vader. Mention encore plus à Camuncoli dont le style rugueux colle bien au récit. Il semble se régaler d'ailleurs, proposant des scènes de destruction grandioses et des combats intenses. Son Vader est d'ailleurs remarquable, dans ces postures, dans sa stature, où l'on voit plus clairement encore un peu de l'assurance et de la puissance d'Anakin le Jedi et pas encore totalement Darth Vader le Sith. 4/5 |
#594
|
||||
|
||||
Merci à tous pour vos centaines de messages, vous inquiétant de l'absence des critiques Star Wars (bruit de batterie )
Han Solo - Cadet Impérial Robbie Thompson (s) / Leonard Kirk (d) Georges sait que j'en dis du mal sur les comics Star Wars, mais enfin, voilà une excellente chtite surprise. Se situant entre le départ du jeune Solo de Corellia et la bataille de Mimban où il rencontre Beckett dans le film éponyme, le comics remplit plus qu’honnête son cahier de charges de faire le lien. Le jeune Solo se retrouve donc dans l'académie impériale et se montre tête dure, rebelle, grande gueule mais déjà un cœur à la bonne place. Thompson fait mouche, perso attachants, action quasi non stop et un travail sur Han vraiment intéressant qui fait écho au film, un Solo roublard et débrouillard avec une langue bien pendu qui commence à apprendre quelques ficelles. L'histoire est par ailleurs agréable, solide et très divertissante parfaitement mis en image par Leonard Kirk que j'ai rarement trouvé aussi inspiré et qui semble s'amuser beaucoup avec ce jeune fouteur de merde. Thompson parvient magistralement à slalomer entre les ambiances et on s'approche de M.A.S.H. parfois, militaire tourné en ridicule où se côtoie l'ordre ainsi qu'un savoureux bordel, mais où le front de la guerre n'est pas loin. 4/5 L'Ere de la République - les Héros Jody Houser, Ethan Sacks, Marc Guggenheim (s) / Cory Smith, Wilton Santos, Paolo Villanelli, Caspar Wijngaard (d) 1er volume d'une série d'anthologie autour des hérauts de la galaxie Star Wars. Houser se charge de la prélogie sans globalement de prise de risque majeure il faut avouer. Si ce n'est pas mauvais, la scénariste reste en terrain conquis, proposant un Qui-Gon Jinn doutant de la voie prise par l'Ordre Jedi, un Kenobi mal à l'aise dans son rôle de maître, un Anakin tout en instinct lors de la Guerre des Clones et une Padmé Amidala qui prends les choses en main. Rien de bien transcendant mais des histoires bien écrites et sans fausses notes. Petite mention plus à celle sur Qui-Gon qui se jette dans un road trip dans la Force qui aurait mérité plus de pages pour immerger le lecteur. Les dessins de Smith ne sont pas désagréable à la vue mais ils restent assez peu détaillés sur les décors et vaisseaux, donnant parfois une ambiance un peu "cheap". A noter deux one shots rapide sur Mace Windu et Rex/Jar Jar Binks totalement dispensables. Au vue du cahier des charges (récits courts sans conséquences), c'était... moyen/sympa. 2.5/5 L'Ere de la République : Les Vilains Jody Houser (s)s / Luke Ross (d) Bouuuuuh les vilains!! Voilà donc le tome 2 toujours par Houser bien plus inspirée par les méchants, ce qui peut se comprendre quand même... c'est un peu chiant un Jedi. Là aussi certes, nous sommes en terrain connu avec la hargne de Maul, le jeu vicieux et diplomatique de Dooku, la colère sans fin de Grievous et l’implacable éducation de Jango envers son fils. Des récits sombres, peuplés des pires racailles de la galaxie autour d'histoires qui ajoutent encore aux légendes de ces hérauts du Côté Obscur et de leur vie de combat et de violence. Contrairement aux récits sur les héros, plutôt basiques, ceux ci agrandissent légèrement l'univers avec nouvelle planète, nouveaux lieux, évènements plus marquants ou même présentation d'évènements juste évoqués, comme cette rencontre entre Tyrannus et Fett sur une lune de Bogden qui va sceller le rôle du Mandalorian. Les récits sont plus orientés action et appuient souvent là où cela fait du bien, un Darth Maul tout en muscle et combat et un Dooku gris entre mensonges et vérités notamment. Pour finir une micro histoire sur Assajj Ventress en pleine rédemption et ce n'est pas désagréable de recroiser cette terrible combattante. Luke Ross commence à devenir un habitué de la galaxie Star Wars, il reste dans son élan suite à la mini Darth Maul, commencé de manière catastrophique avant de prendre ses repères sur la 2eme moitié. Il semble à l'aise ici, dans l'action ou dans l'introspection avec un bien meilleur travail sur les décors. 3/5 L'Ere de la Rébellion - Les Héros Greg Pak (s) / Chris Sprouse, Matteo Buffagni (d) Greg Pak a donc en charge la période de la Rébellion avec Skywalker and co et il reste dans l'ensemble plus inspiré sur les gentils que sa collègue Houser. Il faut dire que Solo, Organa et Calrissian, c'est quand même plus rock and roll. Les récits sont d'ailleurs habilement intégrés à l'Histoire, Solo qui jongle entre sa vie de contrebandier et de rebelle après la destruction de l'Etoile de la Mort, Leia qui, à l'image de sa mère d'ailleurs, prends les choses en main et fout une branlée à des chasseurs de primes, devant par la même le Boussh qui ira secourir Han de Jabba, Lando qui doit utiliser toute sa ruse et son charisme pour ne pas que la Cité de Nuages ne subissent une crise des gilets jaunes. Des aventures hautes en couleur qui mise sur le charisme des personnages mais ce qui n’empêche pas Pak et Guggenheim d'être plus sombre et sérieux sur le récit autour de Luke, chassé mentalement par l'Empereur, ou même plus intimiste et dramatique sur Yoda et son isolation forcée sur Dagobah. A chaque fois, Pak trouve le ton juste et les mots adéquats pour nous conter une tranche de la vie tumultueuse des ces héros pendant la guerre. Sprouse et Buffagni aux dessins c'est plutôt beau en plus, Sprouse pour les aventures bourrés d'action, Buffagni pour l'histoire sur Lando plus sur une ambiance de suspense étouffante. Le volume se finit, une fois n'est pas coutume, par une petite perle de Jon Adams qui écrit et dessine les vacances de deux pilotes de X-Wing dans un centre de repos entre deux attaques impériales. C'est décalé à souhait et ça fait sourire avec sincérité 3.5/5 Star Wars - Allégeance Ethan Sacks (s) / Luke Ross (d) Job difficile pour Sacks que de faire le lien entre l'Episode VIII et IX. Ce comics est d'ailleurs à l'image du IX, pas édité de la manière la plus efficace, de bonnes idées et beaucoup de maladresses. 4 petits numéros US qui partent d'une résistance moribonde pour arriver à un groupe plus solide et concret dans le IX, c'est court, trop court.. le scénariste abuse ainsi des passerelles et des raccourcis scénaristiques (la pauvre Rose n'est pas épargnée là non plus) et balance des situations riches et complexes en 2 lignes de dialogues puériles. Ross qui pourtant était inspiré jusque là semble lui aussi pris d'un manque de contrôle de son travail, certaines planches étant franchement bâclées. Ce n'est pas mauvais car les idées sont là, notamment le retour de Mon Cala avec toute l'histoire qu'il y a entre cette planète et la Rébellion, ce qui est bien écrit pour le coup. Ou cette planète pacifique qui se fait vitrifier en début de comics, montrant un Premier Ordre lancé dans sa course folle vers une domination impossible par la force brute. Une autre scène courte mais efficace les voit prendre possession de chantiers navals importants, leur permettant la construction de vaisseaux suite à la destruction massive de leur flotte avant la bataille de Crait. Une telle violence aveugle mets d'autant en valeur la fin du IX et l'arrivée des vaisseaux venus de la galaxie entière. Sacks donc bosse bien son sujet mais comme Abrams, il en fait trop dans un trop petit volume. Ainsi, beaucoup de choses sont trop survolés, la manière d'appréhender la Force par Rey est écrit avec beaucoup de facilité, l'escapade de Finn et Poe aurait pu être fun et cool mais manque de matière et la fin tombe en une page, merci au revoir. Bref c'est difficilement compréhensible, que l'Ascension de Skywalker se soit sacrifié en essayant de rattraper le tout soit, mais qu'un comics sans grande attente qui aurait justement pu aider à l'entreprise passe également globalement à côté de son sujet est plutôt mystérieux. Un sentiment de dommage donc, de rendez vous raté non pas par manque de talents ou de matériels, frustrant quand même. 1.5/5 |
#595
|
||||
|
||||
merci pour cette critique, comme j'aime bcq Kirk, j'hésitais à prendre mais au vue de ton avis, je ne vais plus hésiter.
__________________
|
#596
|
||||
|
||||
|
#597
|
||||
|
||||
can't stop !
Star Wars #44 - 49 : Mutinerie sur Mon Cala Kieron Gillen (s) / (Salvador Larroca (d) Tiens, je me rends compte que j'ai oublié les résumé avant.. bref.. après de belles victoires, l'Alliance rebelle tente via la Princesse Leia de trouver ce qui lui manque cruellement : une flotte. Mon Calamari semble l'allié historique tout trouvé mais la planète est sous le joug impérial. Peut être la libération de leur roi serait un atout mais il faut pour cela kidnapper un moff et infiltrer une prison haute sécurité. tranquillou billou, Gillen est en train devenir le vrai atout de la franchise SW chez Marvel. Après un run sur Vader très acceptable, continuant une Dr Aphra trucullente, le voilà qui s'installe sur le titre éponyme, et il a tout compris. Le trio fonctionne à merveille, Leia fout ses amis dans la merde pour de bonnes raisons, Han essaie de les en sortir à sa façon, Luke fait les deus ex machina qui marche pas toujours.. c'est quand même rock and roll et ça donne des aventures rythmées, hautes en couleurs mais toujours avec un réel danger et des conséquences. A ce sujet, Gillen frappe fort, enfin une histoire qui apporte sa pierre à la période entre IV et V, parfaitement intégrée et dosée en terme d'enjeux et d'ambition, importante et traitée avec le sérieux qu'il faut. Donc entre des rencontres secrètes, un kidnapping, un spectacle de danse, un géant des profondeurs bardés de dents, un metamorphe féru d'arts, un Empire aux abois et des Rebelles qui se lachent.. on ne s'ennuie pas. Gillen se permets même quelques très subtils moments entre les perso, amenant tout le monde doucement mais sûrement vers l'Empire contre attaque. Enfin, comme à son habitude, son histoire grandit de plus en plus, semant des graines qui pousseront plus tard. Hélas, même si Larroca est moins pire que précédemment, son style figé dessert majoritairement le récit qui va pourtant à 100 à l'heure. Ce n'est pas que c'est particulièrement moche (gros progrès je trouve sur les perso qui étaient des photos dans ces boulots antérieurs), mais son style n'est pas totalement adapté, sauf sur certaines planches grandioses qui, il faut avouer, en mettent plein la vue. En tout cas, merci M. Gillen, c'est agréable de lire votre Star Wars. 3.5/5 |
#598
|
||||
|
||||
Beuaaah frénésie...
Star Wars #50 - 55 : La mort de l'espoir Kieron Gillen (s) / Salvador Larroca (d) Alors que la Rébellion fête enfin sa flotte, le piège de Vader se referme sur eux et il lance son escadron de la Mort avec à sa tête le terrible Executor. La rebelles vont devoir se battre pour survivre. Gillen continue son bon travail sur la franchise, proposant de vrais moments importants dans l'Histoire entre les films 4 et 5 et non des mésanventurettes sans intérêt. Ici, la jeune flotte de la Rébellion doit déjà défendre chèrement sa peau face à une contre attaque de l'Empire qui pourrait être fatale. Le scénariste met les bouchées double, une situation impossible à solutionner pour Leia et les siens avec des combats âpres et intenses. Le tout fonctionne, sans fioritures, sans surenchère. C'est d'ailleurs un parfait exemple d'excellent dosage de matériel de narration. Les perso principaux ont bien sûr la part belle, mais les secondaires ont suffisamment de présence, de dialogues, d'action pour avoir une part active à l'histoire et apporter de l'intérêt, au delà de faibles faire valoir. Gillen se permets même quelques cases habiles sur des perso plus que secondaire mais caractérisés en un instant. Tout se tient, un équilibre parfait pour une histoire ambitieuse, le premier affrontement direct entre flottes de l'Empire et de la Rébellion et même la mort de personnages importants! C'est tellement immersif que l'espace d'un instant, on se prends à oublier que Luke et consort vont survivre.. c'est dire à quel point Gillen maîtrise son sujet et emballe la machine. Larroca suit le mouvement d'ailleurs et propose d'étonnantes planches détaillées, riches qui font honneur au récit, mention plus aux explosions de croiseurs. Certes les visages restent décalqués ici ou là mais je trouve de réels efforts depuis l'arc La Guerre secrète de Yoda notamment où il semblait en manque d'inspiration. Si ça continue, on tient là une paire qu'il faudra peut être suivre. En tout cas, merci à eux pour le sérieux avec lequel ils bossent sur la franchise, je n'avais pas attendu un comics Star Wars depuis longtemps! 4/5 |
#599
|
||||
|
||||
J'ai bien aimé cet arc car la trahison est bien amenée avec de réelles répercussions.
Par contre, non, à aucun moment, je ne flippe pour les personnages (connus).
__________________
Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
|
#600
|
||||
|
||||
Alors en fait je pensais que ce thread c était pour annoncé les comics starwars dans les collections
Première fois que je clique dessus. Tain j ai de la lecture a rattrapé
__________________
If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
Tags |
star wars |
|
|