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Bah pour moi de mémoire au dernier Métal on avait de nouveau une infinité de monde.. je vérifierais.
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Ou comme Marvel et savoir quand on doit mettre les choses sous tapis. Personne ne parle de secret wars.. car ça évite d embrouiller encore plus un truc ou de toute façon si on réfléchit ça ne tient pas debout
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Je plussoie que cela fait 37 ans que DC tente de tt expliquer évent après évent : résultat c un gloubiboulga avec un évent qui vient fixer la situation ts les 2 ans
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Les Terres parallèles, c'est bien lorsque c'est utilisé.
Ce qui était encore le cas au début des années 80, lorsque la Ligue de Justice rencontrait leurs copains de la Société de Justice. Crisis a tout flingué, mais a permis d'introduire ce concept de génération de héros, où Flash est l'un des meilleurs symboles. Sauf que Infinite Crisis, malgré un très bon postulat de départ, a fait la connerie dans son final de réintroduire le multivers. Et depuis, ça part en couilles.
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" |
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Zero Hour parachève, affine Crisis on Infinite Earths et, pendant onze ans, DC ne touche plus, il me semble, à l'environnement cosmique de sa continuité. Il y avait déjà eu avant plusieurs events non liés à ça mais, après, et avant Infinite Crisis, on a Underworld Unleashed (1995), Final Night (1996), Genesis (1997), DC One Million (1998), Day of Judgment & JLApe (1999), Emperor Joker (2000), Our Worlds at War (2001), Identity Crisis (2004). Avec, au milieu, les multiples crossovers Batman, évidemment. Mais "rien" pour réécrire la continuité et le Multivers. Et ça faisait du bien ! Car, après Infinite Crisis, on a eu quelques events déconnectés, mais surtout Final Crisis (2008, qui joue sur le Multivers), Flashpoint (2011), Forever Evil (2013-2014, qui ne réécrit pas le Multivers mais réétablit des règles), Earth 2: World's End & Convergence (2015), DC Rebirth (2016, qui annonce Doomsday Clock et ramène Wally), Dark Nights: Metal (2017-2018 qui créé le Dark Multiverse), Doomsday Clock (2017-2019 qui intègre l'univers Watchmen et fait de Dr Manhattan un modificateur du Multivers), Year of the Villain (2019-2020 qui surfe sur le Dark Multiverse et aborde l'Omnivers), Dark Nights: Death Metal (2020-2021), Generations (2020-2021, qu'on a oublié, avec le Metaverse), Infinite Frontier (2021), War for Earth-3 (2022), Dark Crisis (2022), Flashpoint Beyond (2022). Depuis 18 ans, mais en fait surtout depuis Flashpoint, les 3/4 des events DC sont sur le Multivers. AU SECOURS ! |
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En soi, c'est bien l'utilisation qui pèche ou non. Moi, je pense que c'est la position orthodoxe, stricte, de ne vouloir QUE 52 Terres, et de ne rien en faire, mais s'acharner à les garder, qui a tout pété. |
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Ah, je trouve que ça correspond bien à ses prestations contemporaines.
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STARGIRL THE LOST CHILDREN #1
Très bon premier numéro. Si vous avez toujours voulu connaitre les règles autours des "sidekicks" dans les comics, Geoff JOHNS vous les livre dès les premières pages. Humour, actions, mystères, suspense, tout y est. JUSTICE SOCIETY OF AMERICA #1 On débute par une JSA qui a plus une composition d'injustice society, mais la chasseresse est d'humeur à donné une seconde chance (Tiens, tiens on est bien loin de la nature vengeresse qui a souvent accompagnée cette héroïne .). Comme dans The new GA Geoff JOHNS s'empresse de Un très bon numéro qui donne envie d'en savoir plus. Vivement la suite. |
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DETECTIVE COMICS #1066
Numéro déssiné par Ivan REIS. C'est tellement beau et bien adapté à du Batman. Sinon Ram V poursuit son récit. C'est très plaisant à lire et peut être un peu rapide. Toutefois on peut dire que Ram V prédit la tempête de froid aux Etats-Unis qui s'abat aussi sur les chauve-souris (Une petite pensée d'ailleurs pour tous ceux qui subissent ces conditions météorologiques extrêmes) |
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Dark Crisis Big Bang 1
Mais quel pied putain ! Sous une apparence anodine Waid nous fait un travail de reconstruction de tout ce que le reboot de 2012 a engendré , réalise un boulot d’orfèvre , respectueux des écrits des auteurs précédents , L'auteur de Flash , 52 et l'editeur de Who-Who maitrise son sujet il dévoile : J'ai adoré ! |
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Dead Seas est une très bonne surprise ! C'est un univers original et très inquiétant. Vivement la suite !
The Batman & Scooby-Doo Mysteries (vol 2) 1 est toujours aussi agréable à lire. C'est un plaisir de redécouvrir tous les Batmen du monde entier. Namor : Conquered Shores est l'un de mes titres Marvel préféré cette année ! Il se dégage de cette série une douce mélancolie. On y croise des personnages inattendus à chaque n° et c'est le meilleur Namor depuis...John Byrne ! Le prochain épisode avec Hammond, je l'attends avec impatience ! Les dessins de Pasqual Ferry sont un régal pour les yeux ! Quant à Gold Goblin... j'aime beaucoup ce titre ! Je vais peut-être me faire taper sur les doigts mais la "rédemption" de Norman Osborn me touche beaucoup ! J'ai vraiment de l'empathie pour lui. J'apprécie beaucoup la référence dans ce n° au Spectacular Spider-Man Annual 14 ! Une preuve que Christopher Cantwell ne fait pas n'importe quoi. Comme en plus INFERNO est mon cross-over préféré, j'aime me replonger dans cet univers qui permet toutes les audaces graphiques. Sinon, une question : la "secrétaire" de Norman, c'est Ms Arbogast ou pas ? Il ne me semble pas qu'elle ait un nom pour l'instant mais elle lui ressemble tellement...
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La blague qui tue de l'HOMME BANANE ! https://www.youtube.com/watch?v=sYc5E_7vwLA |
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Captain America : Symbol of Truth #8
Pas mal, sans plus. Tochi Onyebuchi propose un numéro qui ne vise qu'à relier les éléments déjà connus du lecteur, mais inconnus des personnages. Une grosse bagarre dans le Mohanda mène Sam et Nomad à se parler "franchement", puis à retrouver la Résistance, où Nightshade annonce que White Wolf est derrière tout ça. Oh, et le nouveau Faucon s'échappe après avoir perdu le contrôle, et retourne dans sa famille. Ca se lit. C'est sympa'. Mais c'est quand même très commun, et je reste encore et toujours gêné que Sam suive autant les ordres des politiciens. Graphiquement, IG Guara propose des planches solides, assez dynamiques, mais jamais "belles". Ca fait le job. C'est sympa', mais le potentiel de l'intrigue n'est jamais atteint. Moon Knight #18 Efficace et fun, même si c'est décompressé. Jed McKay orchestre la confrontation finale entre Moon Knight & Tigra contre le nouveau chef des vampires à New York, qui se vante d'incarner le futur avec ses méthodes de businessman. Quelques mots doux sont échangés, alors que Soldier explique en off pourquoi il est tellement dévoué à la Midnight Mission. Finalement, Soldier ouvre les robinets de sécurité anti-incendie et Moon Knight, prêtre de Khonshu, bénit l'eau... la transformation en eau bénite. Et paf, adieu les vampires alors que Hunter's Moon arrive, tabasse ceux qui traînent. Marc envoie un sbire survivant à Tchernobyl pour convaincre Dracula de ne pas revenir, alors qu'en prison Zodiac prépare à revenir. C'est sympa', oui. C'est un peu dommage que ce chef vampire nouvelle génération disparaisse aussi vite car, s'il n'avait guère de charisme, ce principe de leader vampirique avec des méthodes pragmatiques était plutôt pertinent. Jed McKay est un peu rapide et facile, ici, même si la façon de l'évacuer est fun. Graphiquement, Federico Sabbatini correspond bien au style du titre et livre une copie très proche de ce qu'aurait fait Alessandro Capuccio. Belle cohérence. Sympa', un peu facile mais cool. Shang-Chi and the Ten Rings #6 Fin de la série mais pas de la saga, car un énième numéro doit tout conclure. Pouah. Gene Luen Yang a définitivement perdu mon intérêt ici, en sacrifiant ses apports sur la Five Weapons Society afin d'embrasser les Ten Rings, et une mythologie improvisée et bidon. Ici, le tournoi aboutit à la victoire de Shang-Chi, qui garde les Dix Anneaux grâce à sa grandeur d'âme ; youhou. Il est validé par sa mère, le fantôme de l'Empereur de Jade et même sa soeur, revenue ici incognito et repartie aussitôt. C'est mal fichu, c'est mal mené, c'est sans intérêt. Même Marcus To fait le minimum. Je lirai le one-shot final, mais le sentiment d'immense gâchis demeure. She-Hulk #9 Surprenant. Rainbow Rowell poursuit sa petite saga avec les deux génies qui se mordent les doigts d'avoir essayé d'être comme Miss Hulk, avec un déroulement classique. Enlèvement de Jen, expérience qui tourne mal, bagarre, Jack-of-Hearts arrive, erreurs dans la manipulation de l'énergie zéro par l'ennemie, Jack qui veut se sacrifier, mais... Surprenant, oui. D'un classicisme pas désagréable mais prévisible, Rainbow Rowell détourne l'ensemble avec pertinence, et en renouant avec l'aspect méta habituel de la série. C'est malin, ça ne se voit pas venir, le discours de Jen est touchant et le final interroge sur ce qui va arriver / ce qui est vraiment arrivé. Une fois de plus, la série me surprend agréablement, avec ici un Takeshi Miyazawa au trait différent qui fonctionne, pour une atmosphère étrange et troublante. Que de surprises. Et quelle belle ambiance intimiste. Strange Academy: Finals #3 La lente avancée vers le pire continue. Et c'est bien fait, même si c'est déchirant. Skottie Young évacue un peu facilement l'explosion à la fin du précédent numéro, en actant la défaite de Gaslight et la survie des élèves. Dr Voodoo s'en explique et s'en excuse devant le conseil magique de la Nouvelle Orléans, et ses élèves organisent un carnaval pour payer les réparations. Ca se passe bien, avec même Calvin qui va mieux et est accepté par les copains. Sauf que certains invoquent Shuma-Gorath par erreur, et ça fait désordre... tandis que Emily et ses sbires viennent tenter Calvin avec la veste Misery, encore. Il les repousse, mais Emily s'enfonce dans la noirceur en se rendant chez C'est bien, oui. Très prévisible dans l'enchaînement des rebondissements, avec la chute régulière d'Emily dans la noirceur ; mais c'est efficace et bien mené. Notamment grâce aux très bonnes caractérisations des personnages, ces petits dialogues, ces petits moments humains et touchants. Qui rendent la transformation de certains encore plus terrible et déchirante. Humberto Ramos continue d'assurer aux dessins, avec des personnages idéalement croqués et une ambiance superbe. Du très classique, mais du très réussi. Timeless 2022 #1 Moui. C'est pas fou. Jed McKay livre un gros one-shot où un Kang qui s'ennuie, et craint de devenir Immortus, se lance dans la quête impossible du Missing Moment - un instant temporel que seuls des héros peuvent atteindre. Il n'y arrive pas, et a de la compétition : le mystérieux Myrddin, qui a créé des héros pour sa Twilight Court, inspirée de la Table Ronde. Kang affronte donc ces chevaliers SF, et parvient à les vaincre, notamment le parfait Parsifal, par vice et détermination. Mais Myrddin le frappe en traître, Kang s'enfuie alors que Myrddin a une identité secrète et prépare une future guerre temporelle. C'est pas mal, oui, mais ça n'apporte pas grand-chose. On a vaguement des flashs d'événements à venir (nouveau costume de Spider-Man, Wolverine Ghost Rider, un Bouffon enflammé...), et des batailles bien organisées mais assez prévisibles. Kang est bien écrit, mais ses ennemis sont basiques et Myrddin est quand même cliché comme opposant. Greg Land, Patrick Zircher, Jay Leisten et Salvador Larroca se partagent un graphisme moyen, jamais raté mais jamais brillant, avec des couleurs pastels désagréables. Un one-shot qui décrit bien Kang, mais l'aventure est basique et la préparation d'un éventuel event n'excite en rien. Bof. X-Terminators #4 Toujours aussi délirant. Leah Williams et Carlos Gomez continuent de s'amuser avec une saga sans beaucoup de sens, avec ici Alex, petit-fils de Dracula, qui s'est allié avec le Collecteur... parce que, hein ! Comme ça, il peut récupérer ses ex, les bloquer dans des cages, et s'amuser dans l'espace. Les filles le menacent, parviennent à s'enfuir en utilisant les pouvoirs explosifs de Boom-Boom, puis rentrent à Krakoa. La Nation Vampire de Dracula vient réclamer des comptes, elles calment le jeu et Dazzler obtient, plutôt qu'un dédommagement, des infos pour retrouver Alex... et se venger ! C'est fun, oui. Ca n'a aucun sens, c'est juste du délire et des dessins ronds et agréables, pour illustrer de jolies filles en petites tenues, et en tenues funs. C'est cool, oui. C'est bourrin, c'est juste pour s'amuser mais ça fonctionne. Et ça fait plaisir, dans la sinistrose habituelle de Krakoa ! Un gros délire assumé, qui fait plaisir. X-Treme X-Men #2 Efficace. Chris Claremont poursuit une saga balisée mais agréable, avec la poursuite d'un Oggun malin, qui manipule Wolverine par sa sauvagerie et cherche à piéger des X-Men troublés. Il y a quelques facilités, comme Oggun qui possède un pompier mutant latent qui contrôle les flammes (évidemment), ou bien ce cliffhanger avec un humain transformé qui tabasse et semble tuer Bishop et Sage (lol). Mais bon... ça se lit, quand même. Chris Claremont maîtrise ses personnages, notamment les versions de l'époque, et j'ai l'impression d'y revenir ; c'est agréable. Idem pour un Salvador Larroca, qui continue d'avoir "perdu", mais livre une prestation moins pire qu'ailleurs. Une plongée nostalgique réussie et efficace. |
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Star Wars : The High Republic - The Blade #1
Sympathique. Charles Soule nourrit un peu plus la période de la Haute République, 150 ans avant la première phase. Il présente ici Porter Engle, la meilleure lame Jedi malgré son humilité et sa douceur, et sa "soeur", la Jedi Barash qui est plus proche de la Force et de ses sensations. Un numéro basique, classique de présentation, alors qu'ils mènent des missions dans des coins reculés et dangereux de la galaxie. C'est efficace. Charles Soule gère bien ces personnages, qui semblent si gentils et calmes mais paraissent invincibles quand il le faut ; classique mais sympathique. Porter et Barash forment un bon duo, avec un peu de mystère mais surtout une tendresse bienvenue. Marco Castiello livre des planches travaillées, avec une ambiance un peu "terreuse" qui fonctionne bien, et donne une belle approche à l'ensemble. Ca n'est pas très dynamique, mais ça fait le job. Un lancement correct, avec de bons personnages. Star Wars : The High Republic #3 Un peu facile. Cavan Scott utilise cet épisode pour acter que Tey a raison, mais a une relation difficile avec les Gardiens... car il a été en apprentissage auprès d'eux. Le scénariste est efficace dans son écriture du flashback sur Tey, mais les ficelles sont un peu grosses, et l'ensemble un peu facile. Rien de grave, mais on est sur l'origine classique du gentil un peu rebelle, qui rejette l'autorité face à une injustice et au refus d'agir et de sanctionner "vraiment" un salopard qui maltraite des enfants qu'il utilise comme sbires. Avec, en retour au présent, une situation complexe avec les Jedi. Rien de gênant, donc, mais rien de fou, et rien d'épatant. Ario Anindito est lui-même un peu moins bon, moins fluide même si ça reste efficace. Un numéro moins bon, trop facile ; mais qui n'est pas désagréable à lire. |
#780
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J ai la fin en vf à lire de la haute république et j enchaine avec ça
Ça a l air toujours cool !! Sinon je continue Amazing spiderman car je suis un connard et mon dieu on vient d atteindre le point chapter one. Que c est nul mais que c est nul. BEN REILLY est une carricature entre le joker débile et le carnage du pauvre... Le scénario ressemble à un scan du cerveau de Nabilla... même au dessin Ed Mac Guinnes n y arrive pas tellement ces yeux ont du saignes en lisant le scénario avant. On est dans les heures sombres de l histoire de Spiderman.. on pourrait se croire fin des années 90
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