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#1
25/07/2020, 14h58
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Ah ! Voici un premier thread où je vais avoir des choses à dire ! :-) Bonjour à tous.
Pour essayer de rebondir sur la conversation en cours, je dirais que j'ai un peu de mal avec toutes ces productions modernes qui replacent les personnages dans des contextes de fantasy, de pure SF ou de films d'espions à la James Bond... Je n'en critique pas la valeur intrinsèque, je suis sûr que c'est très bien pour ceux qui aiment ça. Mais avec moi, la sauce ne prend pas... Je suppose que je n'aime vraiment que les aventures à l'ancienne, quitte à avoir un côté dépassé totalement assumé.
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La vie, c'est comme une tondeuse à gazon qui ne tond pas. — Jean-Luc Fonck de Sttellla 
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#2
04/01/2021, 19h20
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Pareil pour moi. A noter que ça reflète davantage des choix éditoriaux "franco-français" (le prochain Mickey Parade est un spécial espace par exemple) qu'une tendance générale de la production Disney.
Il suffit de regarder les sommaires des Topolino, par exemple, pour voir qu'il se produit encore beaucoup d'histoires classiques, que ce soit dans l'univers des souris (enquêtes) ou des canards (chasses aux trésors). Du coup, malgré quelques coups de sonde de temps en temps dans les parutions récentes, l'essentiel de mes lectures Disney actuelles est consacré à des oldies. Je me refais actuellement les vieux Mickey Parade dans l'ordre chronologique (j'en suis au #61, de janvier 85).
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#3
30/01/2021, 19h58
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2 petits événements à signaler dans les parutions Disney de ce début d'année :
- d'abord le grand retour de Mickey dans les pages de PICSOU MAGAZINE (553) avec une belle aventure cinématographique signée Paolo Mottura, pour lequel le nouveau rédac'chef semble avoir une grande admiration. Par ailleurs, on notera avec plaisir les deux pages consacrées au fanzine PICSOU SOIR, bien connu des Buzzuki bien informés. - Plus confidentiel, le passage de témoin, dans le JOURNAL de MICKEY de la semaine (3580) pour la série des "Petits boulots de Donald" : après la bagatelle de 886 gags, le dessinateur Santiago Barreira passe la main à un certain Maxi. Le duo Gege/Belom (alias Gérard Couseau et Jean-Loïc Belhomme) continue quant à lui à assurer le scénario.
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