Discussion: Les comics Star Wars
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  #584  
Vieux 09/03/2019, 12h58
Avatar de Jorus C'Baoth
Jorus C'Baoth Jorus C'Baoth est déconnecté
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Jorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec DraculaJorus C'Baoth mange des apéricubes avec Dracula
Lando est cool mec!

Lando : Quitte ou double

Rodney Barnes (s) / Paolo Villanelli (d)



Surfant sur Solo, voici les aventures de Lando Calrissian, et son truculent droïde féministo-cyborgo-révolutionnaire L3-37 quelques temps avant le film. Un plot simple ce qui est une bonne chose, pas de circonvolutions scénaristiques compliquées mais une efficace histoire d'un peuple oppressé qui ont besoin d'un bon contrebandier pour les fournir en armes. Hélas pour leur oreilles, ils choisissent Lando qui est aussi efficace qu'insupportable à côtoyer.
Le cahier des charges n'est pas mal respecté, exotisme, action, héroïsme, un bon rythme d'aventure riche en émotions... mais Barnes ratent un ou deux coches qui plombent un peu une lecture où, pourtant, il y avait tout pour passer un bon moment. Oh ce n'est pas grand chose, des détails ici et là, une surenchère de l'arrogance de Lando qui en devient par moments bêtement insupportable et quelques passages qui font un peu artificiels. Dommage car encore une fois le rythme est soutenu mais l'enchainement est donc parfois peu habile. Ainsi, une attaque de Tie Fighters semble trop facile, tomber sur un mec qui connaît, et déteste, Lando sur cette planète perdue, c'est quand même pas de bol, et ces araignées étaient quand même placées idéalement pour un bon passage d'action.
Pas grand chose vous allez me dire mais c'est dommage que le fond n'ait pas été plus sérieux ici et là, ce qui fissure un peu cette lecture qui aurait pu être plus qu'agréable. A qui la faute? au scénariste peut être mais Star Wars époque Disney s'est doté avec force de communication d'un story group censé superviser les œuvres de la franchise... du coup, est-ce que ce n'était pas aussi à eux, et à l'éditeur Jordan White, de pousser Barnes à combler telle ou telle faiblesse. Une escouade de Tie Fighters, par exemple, ne va pas attaquer aussi simplement le Faucon, il y a une procédure impériale à respecter. Ce n'est pas la fin du monde mais Star Wars se veut cohérent, grand et épique.. et là, c'est sincèrement agréablement à lire mais ce n'est pas grand.
Graphiquement, si ce n'est pas du génie, c'est quand même étrangement efficace. Le découpage est parfois diablement efficace et le style assez percutant sied bien à cette aventure à 100 à l'heure.
3/5
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