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Spider-Man : Spider's Shadow #3
Ah, bien ! J'avais apprécié le #2 mais sans être emporté, je suis bien content de ce #3 qui change carrément la donne. On voit en effet Jameson réunir des Sinister Six, avec "Brock Ock" à la place d'Octavius (tué par un Eddie qui n'a jamais eu le symbiote et en veut "à mort" à Spider-Man, toujours), pour un piège à Spider-Man. Qui a tué 11 hommes, dont le Scarabée qui les mène là. Le combat est rude, Jameson en combinaison anti-Spidey est sur le point de tuer Peter près d'un feu quand C'est bien, oui. Même si l'épisode se lit rapidement, Chip Zdarsky maîtrise ses rebondissements, et j'apprécie particulièrement la caractérisation très fine de Jameson. Je n'ai pas vu venir l'événement du milieu du récit, le twist m'a été spoilé par des sollicitations mais c'est pertinent et intriguant. Pasqual Ferry propose des planches qui font le job, ses ambiances notamment chaudes, de flammes et de combat, sont bonnes même si le trait reste quand même passe-partout. Belle reprise avant un final inédit. |
#467
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Strange Academy #11
Skottie Young et Humberto Ramos continuent leur petit bonhomme de chemin, en y allant "fort" sur les élèves avec ici Dr Drumm fait appel à Howard the Duck comme enquêteur, ce qui est très fun, et l'interrogatoire des élèves est drôle, ainsi que l'arrivée des parents de la victime. Le twist est rapide, l'identité du responsable est bien amenée, le cliffhanger montrant sûrement un lien avec un élément du run de Jason Aaron est cool. Les dessins sont toujours aussi adaptés et fluides, et ça continue de donner un p'tit plaisir mensuel très agréable. Vivement la suite. |
#468
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Excalibur #21
Un tie-in "inutile" à Hellfire Gala, qui poursuit efficacement les intrigues d'Excalibur... qui m'ont ennuyé et poussé à abandonner la série. Je ne reviendrais pas après ça. On voit en effet Excalibur aller au Gala, avec Rogue félicitée par ses proches pour son accession aux nouveaux X-Men, Gambit continuer avec Excalibur, Rictor qui fait la tronche et surtout Betsy qui doit gérer les officiels britanniques téléguidés par le Coven Akkaba qui décide de Mouais. Ca se lit, hein, et le fond des intrigues n'est pas mauvais, mais ça reste lent, prévisible, emprunté, avec plusieurs facilités (Pete Wisdom subir ça comme ça, sérieusement ?) et surtout un sentiment général de "bof-bof". Marcus To propose des planches efficaces, mais lui non plus ne donne ni grâce, ni juste aux costumes originaux du Gala, mais qui ne sont jamais mis en valeur. |
#469
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X-Men #21
Mouaif. Jonathan Hickman fait avancer le Hellfire Gala en rythmant autour de l'annonce des nouveaux X-Men, mais commence par un dialogue "dur" entre Magneto & Xavier d'un côté, et Namor de l'autre. Les premiers viennent demander au second de les rejoindre au Conseil Silencieux, mais il les envoie bouler avant d'aller faire coucou aux Avengers ; oui, oui, ceux-là qu'il a affrontés chez Aaron il y a quelques mois, mais Hickman veut acter que Namor est entre deux eaux (héhé). On a ensuite Jean Grey qui lance un "forum télépathique" où tous les mutants échangent, "devant" les invités qui assistent à l'échange de pensées, où certains se proposent comme X-Men avec des raisons pour être pris. On ne verra pas le contenu de ces discussions, on sait juste que Rogue, Laura/Wolverine, Synch, Sunfire et Polaris vont accompagner Jean et Cyclope. Un Cyclope qui croise plusieurs humains qui semblent être des auteurs (Hickman ?) avant de déballer son "histoire" à quelqu'un qui lui demande... et qui s'avère être Kevin Feige (si, si). Et Scott met en avant le fait qu'il a cru au rêve de Xavier car il idéalisait son mentor, mais le monde détruit les rêves, sauf que lui Cyclope veut encore rêver. Emma achève le Gala (a priori) par un feu d'artifice et une fusion mentale, avec un subplot. Bon. Ca se lit, mais ça reste plan-plan, quand même. On aurait rêvé d'une meilleure fin pour cette ère, comme Hickman le vend dans l'épisode avec ce #21 avant la relance par Duggan. Ca se lit, oui, mais l'ensemble reste fade, avec ce dialogue niais avec Namor, cette désignation un peu trop facile des X-Men, ce monologue sympa' de Cyclope mais qui doit encore être confirmé. Le souci vient aussi du graphisme, qui change trop souvent. Sara Picchelli, Nick Dragotta, Russell Dauterman et Lucas Werneck sont plutôt efficaces et professionnels, mais même des changements de scène ne parviennent pas à "couvrir" ces graphismes si divergents. Le Hellfire Gala continue à ne pas me passionner, et Hickman livre une fin d'ère très morne ici. Mouaif, hein. |
#470
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Children of the Atom #4
Bon, je pensais que c'était un tie-in à Hellfire Gala... et non. Même si les gamins en parlent, Vita Ayala reste fixée sur eux, leurs difficultés, leurs liens, avec ici un focus sur Benjamin "Benny" Thomas alias Marvel Guy. Bon, ça se lit mais ça ne me passionne pas. Le portrait en voix-off de Benny est plutôt bon et pertinent, mais les errances relationnelles entre les membres et d'autres, ça me laisse froid. Ils tentent d'aller au Gala, s'échouent ailleurs, sont tabassés par des vilains, le p'tit jeune et frère de Benny s'enfuie et sembler ramener Mais ça reste faible, moyen. Pas mauvais en soi, mais juste pas passionnant, avec un Paco Medina efficace, sans plus. Je n'y reviendrais pas. |
#471
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Fantastic Four Life Story #1: mais comment Mark Russell a pu se planter à ce point? Il n'a rien compris au cahier des charges qui a construit le même concept chez Spidey, avec succès.
Nous sommes plus dans une version alternative des FF, avec leurs origines revisitées, et de façon très bancale. On tique que Reed et Ben ne soient pas amis, ce qui ne justifie en rien leurs relations. Le méchant fourbe ne sort de nulle part, ses motivations sont faibles, et donc sa rédemption sonne creux. Et que dire de l'ancrage dans le "monde réel"? La course aux étoiles pose l'histoire, mais c'est tout. On en oublie cette époque où le réel et l'imaginaire fleurtait allégrement, le flower power et les mouvements civiques sont totalement balayés et inexistants. Même la rencontre avec les Beatles est loupée, quand tout bon True Believers vous dira qu'on sait depuis Marvels qu'ils étaient au mariage de Reed et Sue. Une accumulation de mauvaises scènes, des caractérisation farfelues, voire artificielles. Il va être compliqué de se motiver pour ouvrir le deuxième épisode. Dernière modification par EsseJi ; 12/06/2021 à 16h52. |
#472
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Ils sont aussi le centre d'un épisode dans Strange Tales (The Torch and the Thing ) sous les crayons de Bob Powell ^^
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Shoot Shoot don't talk |
#473
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Ce cliffanger du dernier numéro de Nightwing .....
Tom Taylor fais moi un enfant !!!!!!
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
#474
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Supergirl : Woman of Tomorrow #1
Oh, le coup de coeur. Tom King livre un récit fort, qui plonge Supergirl dans un monde extraterrestre d'Heroic-Fantasy, avec une narration via une jeune fille soudain orpheline et qui veut venger son père. Elle cherche quelqu'un pour tuer le meurtrier, tombe sur une Kara qui cherche à fuir dans ce monde sous soleil rouge son anniversaire... et rien ne se passe bien. C'est surprenant, c'est fluide, c'est intense, c'est prenant, c'est choquant pour le final, et c'est illustré dans un style très adapté à ce récit par Bilquis Evely. Coup de coeur, oui. |
#475
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Put$in, c'est en effet tellement bien, ce Nightwing #81. Récemment, je me suis demandé si mes avis positifs sur les deux premiers numéros ne venaient pas du marasme qui touche Nightwing depuis des années, et grosso-modo d'une moyenne basse de qualité actuellement. Ce #81 vient de me confirmer le contraire. Tom Taylor est complètement formidable ici. Son super-vilain, Heartless, doit être encore creusé, mais la gestion de Nightwing et des alliés est majestueuse. Je crois et j'aime ce Dick Grayson, ce mec fondamentalement sympa' et positif, qui croit en l'âme de Blüdhaven (et est récompensé dans un moment franchement touchant, qui m'a ému, avec notamment cette liste de bateaux qui rendent hommage à quelques auteurs ; ouais, c'est "facile" mais put$in ça fonctionne bien). J'adore aussi l'utilisation de Barbara et Tim, j'adore ces dialogues, j'adore aussi la caractérisation, avec ce Dick sympa' mais aussi forte-tête et têtu que Bruce. C'est cool, c'est fluide, c'est mignon mais tellement réussi. Le subplot sur la fille Zucco devenue Maire est pertinent, et prend un tour choquant avec ce final où Twist imprévisible, choc total, envie absolue de lire la suite, et grand sourire après lecture d'un scénario habile, positif, fluide, et magnifiquement dessiné par un Bruno Redondo aux planches en feu. C'est superbe, c'est beau, c'est touchant, c'est positif, c'est prenant. Put$in, MERCI Tom Taylor. Merci. |
#476
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Ah mais je vais être obligé de voir si je peux les récupérer, ces Nightwing, à force de lire tout le bien que vous en dites ici.
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#477
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j'attends le TPB
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Shoot Shoot don't talk |
#478
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Moi j'attends le numérique.
Par contre j'espère que la fille de Zucko n'est pas la même que dans black mirror. Dick est elle avaient tout de même une liaison. Edit : Non tout va bien l'autre s'appelait Sonia et elle c'est Melinda. |
#479
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Static Season One #1
Mouais, bof. J'étais curieux de ce retour de Static mais, déjà, je n'ai pas vu passer le one-shot qui relance Milestone, et ce #1 est une suite directe. Il y a bien quelques rappels, mais c'est flou, d'autant que je trouve que l'origine est maladroitement évoquée Tout l'aspect familial et social, avec un Virgil qui revient une semaine après avoir libéré ses pouvoirs au lycée contre une brute, est assez fluide et pertinent. C'est bien écrit et bien caractérisé. Mais ça se perd sur la fin avec un affrontement bourrin et stérile. Vita Ayala se perd un peu entre deux eaux, alors que ChrisCross propose une approche surprenante, avec beaucoup de dynamisme et de fluidité presque manga dans la baston, mais les couleurs trop vives gênent la lecture. Déception, quand même. |
#480
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La preview m'a fait annuler la précommande.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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