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Pour Jon, la plus belle connerie de DC a été de le transformer en jeune adulte, via le même tour de passe-passe utilisé par Marvel dans les années 90 avec Franklin.
Superman papa d'un petit garçon, ça apportait un gros plus au personnage. Quel gâchis !
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" |
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C'est Bendis qui en a eu l'idée.
Tomasi ne voulait pas.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#933
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Le peu que j'ai lu de Jon Kent, j'ai pas trouvé ça super lourd. Il a une relation sentimentale, et il se trouve que c'est avec un mec et c'est tout. En comparaison, Iceman a du mal à aligner trois phrases sans rappeler qu'il est gay. |
#934
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Le perso ne se définit pas que par ça.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#935
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DC all in
Mouais Quel interet de diviser en 2? Tiut ca pour combattre encore le mal pur? Forever evil… metal…dark crisis… on tourne en rond… La on te colle un peu de final crisis… Bon deja lu relu Absolute batman Bon j ai lu une intro de james bond… le generique rst bien a la fin… Bon on lit bien bruce wayne… coppelbot… alfred… mais bon ca n y ressemble pas du tout… Dragota tente d imiter capulo… Ca bastonne… Bon on va dire que c est un prologue … Je me plaignais qu ultimate change pas grand chose… la on change tout… pas sur que j aime plus… ca reste de la forme… A voir mais |
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Et c'est dommage, car Phillip Kennedy Johnson et Tom Taylor montraient, au début du départ de Clark pour Warworld, que Jon voulait et pouvait être un Superman proactif. Non plus le "super-pompier" qu'est Clark, mais un Superman capable d'agir pour incarner des valeurs de manière active et militante. Avec notamment une réflexion sur pourquoi Clark ne le fait pas.
Dommage que ça ait été perdu ensuite. |
#937
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The Spectacular Spider-Men #8
Surprenant et plutôt bon. Greg Weisman m'interpelle sur l'orientation de sa série, qu'on attend "énorme" vu l'union des Spider-Men, et qui est finalement assez intime et même réussie. Ici, on voit la suite du premier story-arc, avec l'enterrement du frère de Miles Warren que ce dernier a remplacé, et notamment un groupe de paroles formé de façon improvisée par ceux et celles sortis de l'Arcadium, cette réalité virtuelle où chacun vivait sa meilleure vie avec des robots. Peter les amène à la psy de Silk, qu'il sollicite en ce sens, et tous commencent à aller mieux en évacuant leurs troubles nés de la comparaison entre leurs "vies rêvées" et leur réalité (notamment Peter qui vivait avec Gwen plutôt que MJ, ou Miles qui sortait avec une amie différente de sa petite-amie actuelle). L'une des victimes se sentait invisible aux yeux du monde mais va mieux avec le groupe, sauf qu'une sortie en groupe l'amène à croiser celle qui était sa compagne dans l'illusion et elle ne la connaît pas. La victime semble s'évaporer et devenir une fumée, ce qui interpelle tout le monde. C'est bien, oui, car assez fin. Greg Weisman n'embraye pas sur une grosse aventure mais montre des conséquences légitimes, et des approches assez pertinentes des personnages. Bon, ça ne révolutionne rien, mais c'est bien de se poser là-dessus, et le casting secondaire se solidifie habilement. Peter est moins neuneu que dans les épisodes d'avant, tandis qu'Emilio Laiso & Andres Genolet livrent des planches correctes, sans briller. Une bonne surprise, assez fine. |
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Jenny Sparks #3
Bof, bof. Tom King douche le micro-enthousiasme que j'avais sur le #2 avec un numéro assez lourd, dans ce qu'il veut dire et montrer. On a encore un récit sur deux époques, le présent et le passé qui "explique" le retour de Jenny et son rôle auprès des super-héros. En 2004, au Moyen-Orient, Jenny rencontre Superman et le tance sur son rôle de super-héros qui n'intervient pas, au coeur de l'occupation américaine. Au présent, la JL attaque le bar où Captain Atom prend en otage des gens, et ils se font tous... défoncer (il semble qu'il y ait Bof, bof, oui. Tom King passe tout un épisode à évoquer l'évidence : Captain Atom est trop fort, la force physique ne suffira pas. C'est lourd, long, poussif, et surtout déjà-vu et facile. Je me lasse déjà de ce portrait de Captain Atom, alors que le flashback est lui aussi assez désagréable en donneur de leçons. Jeff Spokes livre de bonnes planches, mais ce n'est pas foufou et assez froid, statique même. Du sous Ryan Sook. Bof, bof, définitivement. Cette saga ne brillera pas. |
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Nightwing #118
Un final sans surprise mais efficace et plaisant ; pour un run qui aurait pu, qui aurait dû être bien meilleur, mais demeure finalement sympathique et réjouissant. Ici, Tom Taylor achève sa saga de manière fluide : Zucco est arrêté, mais Heartless menace la ville et utilise les enfants enlevés pour forcer leurs parents à le suivre pour piétiner l'oeuvre de Dick Grayson, dont il prend encore le temps. Dick le surprend en le confrontant publiquement, ce qui surprend et trouble les allégations le concernant. La Batfamily retrouve les enfants, la Maire le confirme à tous, les sbires de Heartless se retournent contre lui. Heartless fuit, laisse Dick le rejoindre en Nightwing, mais Dick le surprend et le bat. Le majordome de Heartless arrive avec Zucco, ça se menace, le majordome tire mais le chien de Dick le protège et prend la balle. Le majordome disparaît dans l'eau, Heartless s'en prend à Zucco car il s'est créé après le crime des Grayson, et tue Zucco. Dick bat finalement Heartless, dont le coeur volé à Blockbuster ne tient plus, et Grayson lui promet que son nom sera oublié, qu'il ne comptera jamais. Dick se recueille ensuite devant la tombe de ses parents, avec la culpabilité d'avoir été visé jadis par Zucco, puis les "présente" à sa soeur, la Maire, et son épouse. Il repart avec Babs (qu'il espère épouser un jour), et va regarder la ville avec elle... et leur chien, apparemment guéri. C'est mignon. Ca ne vole pas haut, mais c'est sympathique et réjouissant. Tom Taylor range les jouets, évacue Heartless et Zucco, et finalement ne laisse pas énormément en héritage : une vague fondation qui intervient à Blüdhaven, la soeur cachée en Maire, le retcon sur la mort des parents, les pirates, c'est peu. En raisonnant au-delà de ce final, on peut voir son run sous deux facettes. Soit une déception, réelle, car ça partait très bien et on pouvait légitimement espérer plus, notamment sur l'union Dick & Babs. Soit une acceptation de cette déception, mais le plaisir de retrouver "enfin" un Nightwing réussi, épanoui et inspirant, après quasiment une dizaine voire quinzaine d'années d'errance. Je choisis finalement cette option, malgré la déception et la frustration, pour un final sympathique, heureusement magnifié par Bruno Redondo très en forme. Un final sans surprise d'un run qui aurait pu faire plus, mais en soi a déjà fait beaucoup plus que les autres depuis dix à quinze ans. |
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Titans #16
Pas mal ; pas excellent, un peu lent, mais pas mal. John Layman prend ainsi la suite de Tom Taylor, alors que les Titans doivent "encaisser" le retour de la Justice League suite à Absolute Power. Bon, déjà, ça se marche un peu sur les pieds car ils sont dans le nouveau satellite qui, selon DC All In Special #1, est inauguré un an après Absolute Power, alors que les personnages semblent réagir encore à chaud aux événements récents ; dommage. Les Titans découvrent le satellite, comprennent qu'ils sont membres de la JL étendue tout en demeurant des Titans (ils tiquent, oui). Flash se retire car Wally est le dernier Speedster actif, Arsenal rejoint les Titans qui rentrent à la Tour où Dick décide de ne plus être leader et laisse Donna, qui est validée par tous... hormis Roy, qui grogne car il voulait que "tout soit comme avant", pour le rassurer après la vraie-fausse trahison d'Ollie durant Absolute Power. Tous ont des flashbacks brutaux, qui les troublent et sont provoqués par... Clock King, qui fait revenir leurs esprits dans le passé ; mais Donna tient et va à la bagarre. C'est pas mal, oui ; sans plus, mais pas mal. John Layman y va doucement, perd du temps à mon sens sur un bête souci sur un Beast Boy un peu neuneu et grondé par Question, cheffe de la sécurité du satellite. Bon, les échanges en dehors de ça sont plutôt bons, notamment les voix-off de Donna ou les discussions avec Roy. Je suis circonspect sur cette attaque, mais... pourquoi pas, c'est ultra classique mais ça se lit. Pete Woods illustre tout ça solidement, mais sans être "beau" et les couleurs ne sont pas tops. Pas mal, même si c'est lent et peu emballant. |
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Wonder Woman #14
Wow. Juste... wow. Tom King reprend sa saga après la parenthèse Absolute Power, et... wow. Il livre un épisode particulièrement intense et prenant, plein d'une émotion brutale et difficile, avec deux chocs marquants dans un épisode, et on ne voit pas ça venir. Déjà, tout l'épisode est rythmé sur plusieurs narrations, des allers-retours dans le temps pour montrer comment Diana vit ce qu'il s'est passé, et comment ça s'est passé. Et ce qu'il s'est passé, c'est... Wow, oui. Wow, car Tom King y va fort et y va bien. Bon, je continue à penser que la voix-off du Roi est bien trop lourde et pompeuse, je la survole souvent. Mais le reste... wow. Wow, car il gère très bien ce passage un peu facile et presque obligé du traumatisme personnel, qu'on voit venir mais qui est bien amené par une narration éclatée. Wow, surtout, car il livre sans prévenir Un épisode qui surprend et prend aux tripes. Fort. |
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Avengers Assemble #2
Sympathique ; un peu long mais sympathique. Steve Orlando poursuit sa mini-série avec une menace par numéro et une partie du groupe pour la gérer, pendant que le reste vit et apprend à se connaître. Ici, Janet aide Julie Powers à gérer sa nouvelle vie dans les Avengers et Living Lightning regarde un film de Simon Williams avec Shang-Chi, alors que Cap emmène Clint, Hercule et Night Trasher (qui explique le principe des vestes multi-options qu'il a inventées). Une petite ville est attaquée par des fantômes radioactifs de singes, et l'on comprend que ce sont les tests échoués et décédés du Fantôme Rouge sur les Rayons Cosmiques qui le hantent après de nouveaux essais ici. Ça se bagarre puis ça se calme, et les fantômes se vengent du Fantôme avant de le laisser à la police et de disparaître via la masse magique de Hercule, suite à des discussions avec les Avengers. Et, pendant ce temps-là, la Société du Serpent et d'autres s'activent... C'est sympathique. J'aime bien ce fonctionnement un épisode/une mission/une partie de l'équipe en action et d'autres tranches de vie. C'est agréable, fluide, même si c'est ridicule ces errances sur le nom (Aveng.E.R.S. pour Avengers Emergency Response Squad). La menace est correcte, l'équipe est bonne et les subplots fonctionnent. Dommage que Scot Eaton soit en petite forme et avec des couleurs peu inspirées. Un bon divertissement. |
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Est-ce mieux écrit que la série principale?
Je suis devenu allergique à Steve Orlando mais, une équipe avec Steve, ça me titille toujours.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Wolverine #2
Gentillet mais complètement oubliable. Saladin Ahmed livre un épisode "gentil", mais qui s'oublie vite et ne donne guère envie d'y revenir. Logan rôde encore dans la forêt canadienne alors que le Département H envoie des sbires enquêter sur le massacre. Il les évite, même si l'une d'entre eux est meilleure que les autres, et croise un Wendigo jeune qui demande... de l'aide ? Ça se bagarre mais Logan le suit et trouve un carnet de dessins narrant la fuite de deux jeunes bloqués par la neige, l'un meurt et l'autre survit en le dévorant ; d'où la malédiction. Logan veut l'aider mais le Département H revient et le Wendigo mange l'un d'entre eux... C'est pas mauvais mais c'est "casual", comme on dit et oubliable. L'histoire du Wendigo est mignonne mais peu crédible (il a dessiné après être devenu Wendigo, mmh ?), et Martin Coccolo livre des planches assez basiques. Oubliable, pas sûr du tout d'y revenir. |
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