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Perso, c'est les Thunderbolts de Busiek qui m'ont marqué, et qui m'ont fait revenir dans les comics que je ne suivais plus que distraitement en feuilletant des magazines chez Leclerc.
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Je viens de lire la VF de Beneath the trees (chez Ankama) par Patrick Horvath et franchement c'est une très très bonne surprise. Un polar animalier qui louche sur Dexter, mais qui se révèle plutôt malin, sans oublier les très belles planches à l'aquarelle.
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Pour les années 90, je rajouterais bien les run de Ellis sur Stormwatch, de Moore sur Supreme (ou 1963, mais là c'est très subjectif
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Je viens de lire les trois premiers singles de Absolute Batman de Snyder et Dragotta et contre toute attente j'ai trouvé ça plutôt sympa, une réécriture de l'univers Batman assez habile dans le fond, assez bien fichue et graphiquement c'est vraiment très bon. J'appréhendais le Batman bodybuildé et en fait ça passe crème, comme ils disent, même le fait de le voir utiliser une arme ne m'a pas foncièrement dérangé.
En tout cas jusque là ça fonctionne plutôt bien sur moi et j'aime assez les idées générales, comme le Alfred mercenaire, comme le Gordon maire débordé, etc. J'y allais légèrement à reculons pour Snyder, je l'avoue, mais là, je suis assez fan. |
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Bon ben j ai essayé The Giant Kokju et non ce n est pas pour moi (le kaiju qui agressé sexuellement des immeubles, merci).
Et je me suis fait Little Monsters. Beau, agréable à lire mais j ai eu le sentiment que 12 numeros pour cela etait beaucoup. Ca tenait facilement en 6. Et du coup ça perd un peu de sa force. |
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Je viens de finir en urban poche le superman up in the sky.du Tom King.. du Kubert
L'histoire est simple .. une petite fille est enlevée et emmenée au bout de l univers. Vu que le gars c est superman.. il va partir la chercher. Chaque épisode nous montrera une facette de superman, de Clark Kent.. ces doutes.. ces convictions... Pourquoi avec Batman, wonder woman, Thor, captain America ou Spidey il fait parti des plus grands héros du comics. A la fin du bouquin .. tu as envie de manger une tarte aux pommes sous le drapeau étoile et de croire au monde.. A ce prix là faut pas se priver
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Alan Scott : The Green Lantern #1 Scénario : Tim Sheridan Dessin, encrage : Cian Tormey Couleurs : Matt Herms Lettrage : Lucas Gattoni On a là une mini série qui revisite les vertes années de Green Lantern sous le prisme de son homosexualité. Une partie de l’histoire se déroule dans le présent (enfin, celui des années 40) où le FBI menace d’outer Alan s’il refuse de faire partie de la JSA. ![]() Il y a aussi un long flashback qui raconte sa relation avec un autre soldat et une expédition en mer à la recherche d’une nouvelle source d’énergie. Source d’énergie qui semble liée à une menace dans le présent. La narration est claire, mais on ne peut pas dire que l’histoire avance vite, donc difficile de me prononcer. Le choix de mettre en avant l’orientation sexuelle du héros n’est pas surprenante, mais j’espère qu’Alan ne deviendra pas le nouveau Bobby Drake, c'est-à-dire un personnage qui n’est plus définit que par ça. Cela dit, l’époque à laquelle se déroule le récit rend le tout plus intéressant et permet une exploration de l’homophobie généralisée d’il y a quelques décennies. D’ailleurs, la dernière page est une claque dans la gueule qui annonce la couleur. (Je spoile parce que c'est la dernière page, pas par peur de choquer.) Même si j’aime bien Alan, je n’ai pas le courage de m’infliger ses comics des années 40, donc c’est une bonne occasion de découvrir son sidekick de l’époque, un personnage sympathique dont je ne serais pas surpris qu’il servait de faire-valoir humoristique. Les dessins sont plutôt agréables. sans être fantastiques. A voir comment ça se développe, et j'espère quelques cameos en plus de la brève apparition de Flash. |
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bon, j 'ai enfin pris le temps de lire
Hellblazer Dead in America et.. wouah .. J'avais lu le 1er à la sortie, et mis le reste de coté , afin de lire le tout d'une traite et ne pas oublier trop d'éléments de l'histoire, dans la publication mensuelle. Cette histoire annoncée en 8 (?) parties et qui au final en fait 11 est énormément de choses. - Une critique des USA - la fin (résolution) de Sandman - le retour de Swamp Thing (Alec Holland) - la fin (ou pas ) de John Constantine Afin de comprendre toutes les allusions, il est conseillé d'avoir lu les Swamp Thing de Moore, Sandman, American Gods (ou une bonne connaissance des mythes Américains), et une connaissance de la mythologie Grecque (même si Spurrier nous guide sur ce dernier sujet). L'histoire fait suite à la sérié précédente des même Spurrier et Campbell, mais, on va en être loin.. Noah et Nat sont toujours présents (et jusqu'au bout), mais Sandman, Alec Holland, les Kindly Ones, L'oracle (pas Barbara) et divers mythes américains construisent l'histoire. John arrivé avec ses acolytes aux USA (pour fuir les évènement de la série précédente) est contacté par Sandman qui lui demande de retrouver les grains de sables utilisés... (remember la libération de Morphéus dans les premiers numéros de sa série?), ceci va mener à un périple aux états unis, en Bus à impérial... la "résurrection" de Swamp Thing (Version Alec Holland), l'histoire des grains de sable utilisés entre le début et la fin de la détention de Morphéus et le rêve américain. Pour les lecteurs n'ayant pas lu la série précédente.. Tout cela va mener à une réflexion sur le rêve américain, piloté, ou plutôt sous contrôle, par les studios de cinéma, la vengeance de Morphéus (Daniel) sur les Kindly Ones, et une "diminution de la puissance" du même Daniel, vu que Swamp Thing (Le Green en tout cas) est bien plus puissant. On est très loin d'un comics de super slip, il faut bien plus de 5 minutes pour lire un épisode, et les dessins de Aaron Campbell sont à la fois beaux, et terrifiants (quand il en est besoin... mais on le sait depuis la mini Infidel chez Image...), rehaussé à merveille par les couleurs de Jordie Bellaire (10/11 épisodes). une lecture comme j'aime, forte, qui apporte autant qu'elle transporte, qui n'est pas faite pour tout le monde (que ce soit pour les références, ou pour le niveau d'anglais). Aaron Campbell dessine 9 des 11 épisodes, (il écrit une partie du premier épisodes de "pause" (5) , ou les dessins sont assurés par Kelsey Ramsay, John Pearson et John McCrea sur la route 66 et ses mythes... et le 8 est dessiné par Lisandro Estherren et mis en couleur par Patricio Delpeche, pour la séance aux Enfers). Et cette fin ouverte: "how do you confuse an anxious reader ?" (je souhaite bonne chance, au prochain auteur qui voudra jouer de Constantine)
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Shoot Shoot don't talk |
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J'ai lu le premier épisode de la série précédent celle-ci, et je l'ai trouvé assez engageant. Je ne sais pas quand j'arriverai à Dead in America, mais je compte bien la lire à un moment. |
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Maintenant que le #11 est sorti, la série rejoint ma pile de lecture
![]() Et j'ai lu tout ce que tu cites ![]() Vivement ! |
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Goodnight Paradise: L.A., son soleil, ses plages, ses crimes et ses clochards et marginaux sont au programme dans cette mini TKO par Joshua Dysart et Alberto Ponticelli.
Une mini sale et crade comme la misère qui s'étale sur les trottoirs. Des destins et du sang qui ne devraient pas se mélanger comme les différentes classes sociales d'une société, car quand elles le font ça sent la poudre. Une anti-carte postale, qui dresse un triste bilan du microcosme de Venice Beach. Un cauchemar éveillé qui ne peut que mal finir. Un récit où chaque page est un calvaire pour ses personnages, tenus dans une intrigue ficelée jusqu'au bout. Dur et prenant. |
#4828
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Parfois je me demande ce qu'il serait advenu des X-Men si Jonathan Hickman était resté le capitaine du bateau Kraloan. La fin des différentes séries et les histoires qu'elles racontent m'ont l'air précipitée et peu claires.
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#4830
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![]() Je suis dégoûté que rien de tout ça n'ait vu le jour, et que tout ait encore tourné autour des mêmes vieux personnages et de Super Kamala. D'un autre côté, j'ai aussi lu des rumeurs comme quoi Cypher devait être un des grands méchants de l'ère Krakoa, et que Warlock était peut-être lui aussi une menace. Donc pour les Nouveaux Mutants, on a peut-être évité le meilleur comme le pire... Ou pas, vu que Doug est maintenant l'héritier d'Apocalypse et que Warlock semble réduit au rôle de suiveur. |
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