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Pas encore, je l'ai à portée de main, mais bon, je veux juste attendre un peu et sortir de toutes ces critiques extrêmement négatives en ce moment. Mais je verrais, peut-être ce week end !
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Ce Lucky luke est bien moins surprenant que le premier car il n'y a pas de réel "suspense" et c'est bien là que le bas blesse. A aucun moment tu ne te dis qu'il a ne serait-ce que lui en rouler une et cette "linéarité" dans l'intrigue fait que hormis une certaine maestria sur la partie graphique, pour le reste, on reste quand même un peu sur notre faim (et puis bon, le fils de, qu'est-ce que c'est anecdotique quand même et "déjà" vu !)
Les 5 tomes d'Urban m'attendent sagement mais là j'alterne entre les deux manga "Blame" que mon grand a reçu à noël et "Give my regards to Black Jack" que madame à ramené du libraire la semaine dernière !
Pour un premier album il est en effet plutôt très bien avec cependant ce bémol de peut-être trop d'inspiration "Blame"
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Miguel&Diego! Mes ventes Mon blog à môa https://fr.ulule.com/arelate-t9-et-valerius-proculus/ Dernière modification par aegnor ; 19/05/2021 à 09h07. |
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Ah zut, je viens de vérifier, tu as raison ! En fait je me suis tellement focalisé sur la fin de la scène, pour essayer de comprendre à quel moment il quittait le train, que je n'ai pas pensé à regarder si vraiment il y montait. Cela dit, ça exprime bien l'un des défauts de la BD: certaines transitions sont assez maladroites... là, en l'occurrence, mon erreur vient du fait qu'on ne fait que suivre le personnage principal du début à la fin, et que cet aparté rompt avec le reste. Le fait d'indiquer dans le récitatif que ça se passe ailleurs n'est pas forcément clair... pour moi, ça peut simplement vouloir dire que le personnage se trouve dorénavant plus loin, dans une autre zone que celle où il se trouvait précédemment. |
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Hey, les copains, le nouveau Winshluss arrive la semaine prochaine !!!!!
J'ai tué le soleil --> http://www.gallimard.fr/Catalogue/GA...-tue-le-soleil
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A la liste des Vanoli à lire en priorité, il faudra ajouter le petit dernier, le magnifique La grimace, qui est à la fois un pur plaisir pour qui est familier de son oeuvre et une belle porte d'entrée pour les néophytes qui voudraient découvrir son univers. La Grimace fait partie du pan de son oeuvre dédié à l'autobiographie, ces ruminations rétrospectives qui mettent en lumière ce qui a fait de lui ce qu'il est aujourd'hui, ce qui a déterminé son rapport au monde. En toile de fond, on y retrouve la Lorraine, ses usines, la liquidation de l'industrie, la famille ouvrière d'immigrés italiens. Vincent Vanoli retrouve au fil de ses souvenirs le passage de l'enfance à l'adolescence, quand la complexité du monde et des sentiments commence à entrer en collision avec l'insouciance. J'ai trouvé ça touchant, très touchant. Très lucide sur la nécessité de lutter contre ce qu'il appelle la grimace mais en comprenant qu'il s'agit surtout, en fait, de composer avec elle pour recomposer vaille que vaile, constamment mais jamais parfaitement, les morceaux qui font de nous ce que l'on est. Et j'ai trouvé aussi, paradoxalement, qu'il y avait beaucoup de douceur dans cet album, beaucoup de tendresse. Vincent Vanoli est un auteur infiniment précieux. C'est pour l'instant ma plus belle lecture bd de l'année. Sinon, dans un registre plus classique le nouveau tome des Contes de la pieuvre de Gess est à nouveau une pure merveille. Chaque tome est une formidable réussite qui se suffit à elle-même et, dans le même temps, l'univers s'étoffe et devient de plus en plus fascinant. C'est pour moi LA série à suivre dans la production actuelle franco-belge.
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"Ca ne résout pas vraiment l'énigme, ça y rajoute simplement un élément délirant qui ne colle pas avec le reste. On commence dans la confusion pour finir dans le mystère." Denis Johnson - Arbre de fumée |
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Cool parano, un testament graffiti de Benoît Carbonnel chez l'éditeur Même pas mal. Immersion réussie au sein de la sous-culture des graffeurs, de ses nombreux codes, de ses pratiques diverses. L'aspect documentaire est très bien retranscrit, par un gars dont on sent bien qu'il maîtrise parfaitement le sujet. Mais ce qui élève l'album au-dessus de la simple analyse sociologique d'un petit groupe, c'est la manière dont il parvient à restituer les ambiances d'expéditions improbables dans des friches industrielles pourries, dans des zones désaffectées,... Pour cela, Benoît Carbonnel utilise un graphisme hérité de la culture comix underground qui se coule sans peine dans le propos. Et en plus, c'est régulièrement assez drôle. Très chouette album.
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Pitch de l'éditeur : Paris, 1848. Rachel a un don. Elle peut lire à travers le temps, les lieux, les gens et leurs histoires. Elle rêve de provoquer chez ses semblables une ouverture vers de nouveaux horizons. Sorcière pour les uns, phénomène de foire pour les autres, elle s'épuise et peine à trouver sa place. Un jour, elle disparaît sans laisser de traces... Bien des années plus tard, Liv, metteure en scène de théâtre, et Virginia, photographe, croisent le chemin de Rachel au coeur de leur démarche artistique. Beaucoup aimé cet album tout en finesse et d'une grande richesse thématique. De très beaux personnages, qui vibrent sous nos yeux et qui permettent aux auteurs d'explorer le double sens du mot "don". C'est le genre d'albums dont la discrétion dénuée de tout effet tapageur condamne peut-être à une exposition qui ne rend pas grâce à ses qualités mais qui donne dès lors à ses lecteurs des envies de prosélytisme dans une volonté de rééquilibrer ce qui apparait comme une injustice. Bon, donc, il n'est pas trop tard pour bien faire.... Laissez-vous tenter par ce beau voyage.
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J'ai beaucoup apprécié cette bd également. C'est le pitch et le contexte historique, une enquête criminelle dans le Madrid franquiste des années 50, qui m'ont décidé à me la procurer, plus que le graphisme, très maîtrisé mais plutôt éloigné du type de graphisme qui m'attire généralement en bd. Si les lecteurs de polars aguerris se sentiront sans doute en terrain connu, le sens du détail, la minutie dans la reconstitution de l'Espagne de l'époque et la maîtrise dans la progression de l'intrigue ont emporté mon adhésion sans difficulté. Si on y ajoute en effet des personnages bien campés, on a là tous les ingrédients d'un bon polar. La lecture est dense (une pagination moins importante aurait certainement nui à la qualité de l'album) mais se permet quelques très beaux petits moments "inutiles" à l'intrigue.
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Avec L'entaille, Antoine Maillard prend un malin plaisir à enfiler comme des perles toutes les figures attendues du récit de type slasher. Petite ville proprette en apparence, tueur mystérieux, adolescent très perturbé, mère castratrice, petits trafiquants de drogue, mère défoncée, fête qui dérape en viol collectif et j'en passe... Et de ce trop plein irréel sourd en fait une impression de vide existentiel sans fond. Les basculements dans la violence prennent l'aspect d'une espèce de sanglante rêverie cauchemardesque. S'extraire de cette gangue en quittant la ville parait dès lors la seule issue permettant de sortir de ce cauchemar cotonneux et de retrouver la réalité. Belle réussite.
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Même si j'ai bien aimé l'Entaille, je trouve qu'il reste bien un premier album avec toutes ses petites imperfections, notamment dans les caractérisations qui manquent d'épaisseur globalement. Après ca donne très envie de suivre la carrière à venir de cet auteur !
Le Contrapaso m'intrigue beaucoup, je vais voir s'il est dans la librairie ou je vais habituellement !
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Il y a peu, je me suis récupéré le Motel Art Improvement Service de Jason Little, chez Akileos. J'avais lu l'extraordinaire Shutterbug Follies et j'avais adoré, du coup, je n'ai pas hésité à me jeter sur une belle occas' !
Le plus curieux là dedans, c'est que même s'il a été traduit en premier, cet album (Motel Art…) est en fait sorti aux Etats Unis en second (ou tout du moins, les planches de Shutterbug Follies ont été publiées avant), donc involontairement, je les ai lu dans le bon sens Nous suivons ainsi Bee qui décide de traverser le pays en vélo. Une idée qui va soudainement s'interrompre lorsqu'elle va être renversée par un camion qui va détruire son vélo. Forcée ainsi de passer quelques jours dans un motel pas très loin, elle rencontre Cyrus qui travaille sur place ! C'est un artiste qui entreprend d'améliorer le cadre esthétique de ces hôtels bon marché en changeant les peintures qui sont encadrées dans les chambres. La démarche intrigue tout d'abord Bee, elle est rapidement séduite par la singularité du jeune homme ! S'ensuit une histoire pleine de rebondissements extrêmement bien écrits et surprenants. On reconnait le sens de la mise en page de l'artiste, ce style en ligne claire, très beau qui créé un décalage savoureux entre le côté bien barré de l'histoire et ce traitement plutôt sage ! Une belle réussite ! On attend maintenant qu'il nous propose un nouvelle album. Le temps a passé depuis les épisodes du Vagin dans Aaargh !!!
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La fin est sortie en album ?
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Merci !
Cette BD me fait bien marrer. |
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