2021 !! Tu critiques ou bien ?

[Ben Wawe]

Wonder Girl #1
C'est beau. C'est mystérieux.
C'est un peu rapide.
Mais ça se lit bien quand même.

Après un diptyque en forme de lettre d'intention durant Future State, Joëlle Jones revient sur Yara Flor, qu'elle lance officiellement maintenant comme Wonder Girl. Le segment Infinite Frontier #0 n'était qu'un appât, voici donc ce début... volontairement mystérieux et trouble.
L'autrice livre peu d'informations, ici, hormis la certitude que Yara Flor a

assisté au massacre de sa mère et de ses proches en étant enfant, a priori des Amazones tuées par des guerriers grecs.

Elle a été élevée en Amérique par une tante, revient en touriste dans son pays natal du Brésil et y cherche un sens à sa vie. Ce retour provoque des réactions "mystiques", avec notamment

Hera qui semble vouloir l'utiliser comme arme contre les Amazones, et les Amazones de Themyscira et Bana-Mighdall qui veulent la récupérer, quitte à la tuer si elle refuse.

Yara ignore encore cela, mais subit une attaque durant une excursion, où elle est

attirée par une sirène vénéneuse sous les flots, a priori par un lasso ou un Bola doré.

Ce serait mentir que de dire que Joëlle Jones ne révèle "rien", mais ce serait aussi faux de dire qu'il y a "assez".
Clairement, l'autrice veut surtout installer ici une ambiance, et ses dessins beaux, intenses, sensuels et rudes fonctionnent très bien pour cette atmosphère chaude et envoûtante. Le début notamment, avec ce flashback sanglant, est très prenant.
Le reste, cependant, demeure classique... très classique. Peut-être trop classique, même si cela dépendra de la suite des numéros.

En l'état, c'est un début mystérieux et troublant, un peu "facile" sur les réactions provoquées, mais avec des éléments bien posés, une jeune fille sympathique et volontaire (moins rentre-dedans que dans Future State, ce qui a du sens), et des dessins à tomber.

Un bon début, donc. Mais il va falloir confirmer, et ne pas se reposer uniquement sur l'ambiance et les planches.

[Ben Wawe]

The Immortal Hulk : Time of Monsters #1
Boum.
Al Ewing et Alex Paknadel livrent un récit brutal pour les "origines" des Hulks, un récit des temps anciens, difficilement définissables mais bien sauvages. L'ancien du club

sacrifie volontairement un jeune, qui voulait s'enfuir avec son fils, en le soumettant à "l'oeil vert de la mère", tombé du ciel. Un élément Gamma, qui provoque la transformation du gamin en Hulk, finalement tué par sa tribu, qui le mange. Le gamin est dans l'enfer vert vu dans Immortal Hulk, revient dans un procédé glauque et repart seul, en anéantissant même son ami, pour qui il n'a aucune pitié même s'il n'avait rien fait.

C'est rude, c'est intense, c'est doté d'un dessin entêtant et troublant, et c'est réussi... même si, au fond, on ne sait "rien" des vraies origines. On a juste, finalement, un autre Hulk à un autre moment, via un autre procédé, ce qui confirme l'orientation mystique de la franchise sous Ewing. Avec également un visuel du One Above All, ce qui est bien fichu quand même.

Enfin, David Vaughan livre un récit d'humour noir sur le Scarecrow Marvel qui terrorise une petite ville en projetant sur le cinéma les plus grandes peurs des habitants, via ses pouvoirs. Bruce Banner y erre, s'y retrouve piégé et

meurt littéralement de peur... ce qui libère Hulk, qui amène Scarecrow au pire.

Un bon petit récit noir, avec une bonne blague sur le Magicien d'Oz et des dessins réussis de Kevin Nowlan.
Ca ne fera pas date mais ça fait bien le job.

Un bon one-shot.

[satan666]

je la vais le prendre direct alors !

[Ben Wawe]

Black Knight : Curse of the Ebony Blade #3
Ooooh, pas mal.
Si Spurrier livre ici un épisode qu'on peut aisément définir comme une transition : même s'il s'y passe plusieurs choses, on a des passages "obligés" dans ce genre de saga de révélations... mais ce n'est pas grave. Ca se lit bien, c'est fluide, les apports à la franchise sont pertinents et... et si mon pressentiment est bon, Si Spurrier prépare un sacré choc pour le personnage.
Pour mon personnage, disons-le clairement !
Ici, Elsa Bloodstone aiguille Dane pour qu'il utilise l'Epée d'Ebène comme "boussole" pour retrouver les autres artefacts d'Ebène, dont ce calice tant voulu Mordred, qui a déjà la dague et le bouclier. Eux deux et Jacks, qui se révèle orpheline d'une mère morte jeune et d'un père inconnu, vont dans une dimension mystique, que Jacks reconnaît dans son étude des mythes. Ca se bagarre avec Mordred, Elsa explique qu'elle est ici pour

s'emparer de la Pierre de Sang qui anime l'allié de Mordred, pour ramener son père ; un sale con, comme elle dit, mais hé, la famille, quoi.

Le hibou de Merlin guide Jacks dans des visions du passé, avec notamment un duel inédit jeune Thor VS Black Knight / Sir Percy qui, enragé par les provocations du jeune Asgardien, parvient à... le battre, littéralement ; mais se perd dans un massacre des alliés de Thor, à qui Merlin altérera les souvenirs. Si Spurrier acte ainsi que ce n'est pas le sang versé qui accroît la puissance de l'Epée d'Ebène et la malédiction, mais le volume de noirceur du porteur, qui augmente au fil du temps.
Le concept est bon, légitime dans la franchise, et permet aussi une illustration pratique : la dimension mystique fait voir à Mordred et Dane ce qu'ils veulent le plus, pour les piéger. Mordred voit Arthur le reconnaître comme son fils et héritier, tandis que Dane voit Circé qui veut le retrouver, Cap' qui veut le réintégrer en Avenger et même en chef... et Ashima.
Ce mystérieux perso' a déjà été évoqué au début de la mini-série, et on voit que c'est ici une jeune femme, a priori afro-américaine, qui dit à Dane qu'il n'est pas responsable, qu'il n'aurait rien pu faire. Elsa provoque un élément pour "ramener" Dane, en

lui explosant la tête alors qu'il tient l'épée, ce qui permet de le ressusciter.

Il reprend sa forme de "Dark Black Knight", repousse l'ennemi et Mordred s'enfuit. Mais Dane veut en comprendre plus, et va boire dans le Calice d'Ebène... ce qui semble le plan de Mordred.

Bon ! C'est bien, tout ça !
Si Spurrier me plaît beaucoup ici, autant avec cet apport sur la franchise avec le fait que les Black Knights s'enfoncent non pas à cause du sang versé mais la noirceur qui se développe après les épreuves. C'est logique et pertinent.
L'affrontement avec Mordred est bon, Elsa Bloodstone met une bonne ambiance, Dane est bien traité, Jacks est un bon élément pour "justifier" les révélations, et... et... et je le sens venir, quand même.
Je le sens venir que Jacks, c'est

la fille cachée que Dane aurait eue avec cette mystérieuse Ashima.

Comment, pourquoi, je ne sais pas - mais je le sens venir, et je me dis que ça peut être une bonne idée. Autant pour relancer la franchise du perso', que pour "cadrer" ce Dane qui continue d'osciller entre le pitre, le bouffon paumé, et le super-héros classe. Il le dit lui-même, ses problèmes viennent de lui, de son manque de confiance. Une telle révélation pourrait le forcer à grandir, à aller de l'avant.

C'est cool, j'aime. D'autant que Sergio Davila livre des planches superbes, autant dynamiques que très jolies, avec de belles images et une bonne narration.
Vivement la suite ! Je veux la suite ! Donnez-moi la suite !

[Ben Wawe]

Daredevil #30
C'est bien, mais ça a un aspect tellement mécanique que j'entends un peu les rouages, là.
Chip Zdarsky avance son récit, mais à coup de "évidemment".
Evidemment que Matt, en prison comme Daredevil, ne va pas y rester et va bénéficier d'un arrangement judiciaire. Evidemment qu'il va falloir le "convaincre", car il continue de culpabiliser. Evidemment que Elektra va finir par galérer dans sa mission de Daredevil, et que la gamine qu'elle traîne et entraîne va avoir des soucis. Evidemment que la Main arrive. Evidemment que Bullseye va exploser entre les mains de Fisk.
Evidemment, quoi.
Ca se lit bien, Mike Hawthorne et Marco Checchetto livrent de très belles planches et s'équilibrent bien, mais... il n'y a pas de surprise. Des rebondissements qui sont logiques mais prévisibles.

Agréable, mais trop visible dans la mécanique.

[Ben Wawe]

Fantastic Four : Life Story #1
Et ben j'ai pas aimé !
J'abordais cependant le numéro de manière très positive, ayant beaucoup apprécié Spider-Man : Life Story. J'adhère aussi au principe de "voir" ce que donnent les personnages s'ils subissaient les années comme des gens normaux. J'espérais assez des Fantastic Four, les premiers que j'ai suivis en comics et pour qui j'ai un gros attachement.
Mais... non, je n'ai pas aimé.
Oh, ça commence bien : Mark Russell pose bien le contexte de course à l'espace, a quelques bonnes idées (les costumes sont issus de la NASA car c'est le quatrième projet de voyage spatial, Sue a une part active dans le design mais sa qualité de femme l'empêche d'être reconnue)... et, très vite aussi, beaucoup de moins bonnes. Comme le fait que

c'est Johnny qui ramène le pilote Ben, sans qu'on sache comment il le connaît, et sans que Ben et Reed se connaissent au préalable. Reed "voit" aussi Galactus lors de l'irradiation aux rayons cosmiques, et en est obsédé plus tard.

La scène de transformation change aussi, et Mark Russell survole ensuite les années, en montrant vaguement la relation difficile Ben/Reed, en évoquant du bout des lèvres le couple Sue/Reed et en oubliant complètement Johnny. Il récupère le personnage de Ricardo Jones, qui "happe" les pouvoirs de Ben un moment, pour en faire un concurrent à Reed qui prend beaucoup de place dans le récit, et est moteur dans le fait que

Reed "retrouve" Galactus dans une sorte de dimension onirique, et Galactus découvre la Terre et va arriver.

Je suis dubitatif, en fait. Je comprends l'idée de faire des changements pour s'approprier le récit, mais autant qu'ils soient... pertinents, non ? Ou même bons, hein. Traiter ainsi la relation Reed/Ben me semble bien dommage, car elle perd son sel et devient très faible. La voix-off utilisée est en outre très lourde, le focus sur Ricardo Jones est long, et si l'idée que

Galactus soit à l'origine des radiations cosmiques

a déjà été vue dans Heroes Reborn, le fait qu'il arrive "à cause" de Reed, je trouve ça dommage et vain.
Et bon, les années défilent mais on n'a quasiment rien sur les Fantastiques au fond : vaguement Mole Man, deux Avengers au fond au mariage, quelques scènes relationnelles... mais rien de palpitant.
Oh, c'est joli avec un Sean Izaakse efficace et plutôt inspiré, mais je trouve que ce numéro est raté. Mark Russell tape à côté, a une narration lourde, un rythme trop précipité dans les années, et fait des choix polémiques qui me semblent sans intérêt.

Je suis très déçu.

[Ben Wawe]

Heroes Reborn #3
La bonne impression se poursuit.
Jason Aaron se concentre ici sur Blur, le Flash du Squadron Supreme of America, un hyper-hyper-actif qui s'est formé auprès de l'Ancien pour contrôler sa super-vitesse et son déficit de concentration.
Jason Aaron livre plusieurs bonnes idées, avec notamment cette opposition avec la Silver Witch, une Wanda Maximoff qui a aspiré la super-vitesse de Pietro quand ce dernier a péri en tentant de rattraper Blur à la course. Wanda aspire l'âme de Blur pour le tuer, il court derrière, avec quelques bonnes choses sur le statut "réel" du Squadron (Wanda doute de cette Réalité, mais considère aussi que ça a été "trop facile" de prendre son âme) mais aussi la course dans une dimension mystique. On a une allusion à un Ghost Runner, ce qui rappelle l'Amalgam rigolo Speed Demon (Flash/Ghost Rider), et un bon final.
C'est cool et sympa', bien illustré par un Federico Vicentini en belle forme, qui rappelle Matteo Scalera.

En parallèle, le retour des Avengers se prépare avec un focus sur Echo/Phoenix, prisonnière volontaire de l'Asile d'Arkh... de l'Institut Ravencroft. C'est sympa', ça se lit bien, mais bon ça reste rapide et basique avec l'arrivée de Blade et d'un Cap' paumé.
Ed McGuinness illustre bien ce segment, qui n'invente rien mais gère bien la chose.

L'événement se poursuit bien, les hommages sont bons, et je m'amuse.
Cool.

[Ben Wawe]

Shang-Chi #1
Pas mal.
Gene Luen Yang enchaîne directement après la récente mini-série, où Shang-Chi devient le commandant suprême de l'organisation de son père. C'est agréable pour celui qui a lu, sûrement moins pour celui qui veut se lancer ici.
L'auteur reprend en effet la drôle mais brutale Sister Dagger, la possible petite-amie de Shang et l'organisation de la Five Weapons Society. ici, Shang est confronté à une enquête sur un élément de l'organisation, un trafic de drogue qu'il veut faire tomber ; une drogue qui donne quelques super-pouvoirs, dérivés du Yeti Chinois.
Pourquoi pas, d'autant que ça provoque une rencontre avec Spider-Man. La continuité est respectée, les références sont justes et bonnes, et tout ça sert à "forcer" Shang à assumer son rôle, même devant les super-héros.
Ca ne révolutionne rien mais ça fait bien le job, c'est drôle et léger, bondissant et joli via un Dike Ruan dynamique et efficace.

C'est sûrement loin du canon de base, mais ça me donne le sourire et c'est divertissant.

[watchblue]

Pas encore lu le 3 mais oui très bonne surprise que ces deux premiers numéros pour moi.

Ça inventé pas l eau tiède mais c est archi efficace, un joli petit page turner

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	Heroes Reborn #3 La bonne impression se poursuit. Jason Aaron se concentre ici sur Blur, le Flash du Squadron Supreme of America, un hyper-hyper-actif qui s'est formé auprès de l'Ancien pour contrôler sa super-vitesse et son déficit de concentration. Jason Aaron livre plusieurs bonnes idées, avec notamment cette opposition avec la Silver Witch, une Wanda Maximoff qui a aspiré la super-vitesse de Pietro quand ce dernier a péri en tentant de rattraper Blur à la course. Wanda aspire l'âme de Blur pour le tuer, il court derrière, avec quelques bonnes choses sur le statut "réel" du Squadron (Wanda doute de cette Réalité, mais considère aussi que ça a été "trop facile" de prendre son âme) mais aussi la course dans une dimension mystique. On a une allusion à un Ghost Runner, ce qui rappelle l'Amalgam rigolo Speed Demon (Flash/Ghost Rider), et un bon final. C'est cool et sympa', bien illustré par un Federico Vicentini en belle forme, qui rappelle Matteo Scalera. En parallèle, le retour des Avengers se prépare avec un focus sur Echo/Phoenix, prisonnière volontaire de l'Asile d'Arkh... de l'Institut Ravencroft. C'est sympa', ça se lit bien, mais bon ça reste rapide et basique avec l'arrivée de Blade et d'un Cap' paumé. Ed McGuinness illustre bien ce segment, qui n'invente rien mais gère bien la chose. L'événement se poursuit bien, les hommages sont bons, et je m'amuse. Cool.

[Ben Wawe]

Ouaip, et les one-shots creusent bien le truc.

[Ben Wawe]

Way of X #2
Bon, je m'arrête là.
J'étais déjà peu passionné par le #1, mais ce #2... pouah ! C'est déjà assez mal foutu, avec un Si Spurrier qui gère mal le rythme, qui a une narration assez lourde, des dialogues eux aussi lourds. Mais en plus... pff, j'en ai marre de ces X-Men qui font des choix dégueulasses, qui font des actes immondes.
Ici, Si Spurrier justifie une décision terrible de Nightcrawler, hein. Il a au moins la décence de justifier que Kurt

tue, de sang-froid, avec une arme à feu, le cerveau de Légion, piégé et torturé par ORCHIS, qui utilise les données de David contre les Mutants.

Alors oui, ça s'explique, mais... nan. Je ne peux pas, là. La plage est terrible, belle dans sa brutalité, mais... nan. Ca n'est pas mon Kurt, ça n'est pas ce que je veux lire avec lui.
D'autant que tout le reste est maladroit, avec la menace de

Onslaught

qui arrive et ne m'emballe pas. La gestion de Xavier est calamiteuse, mais moins que Dr Nemesis, qui est juste gênant comme perso' pathétique. Pff.
Oh, et Bob Quinn reste très moyen, très anonyme. Ni beau, ni moche, juste passable.

Je m'arrête là. Sans regret, pour la série.
Mais avec beaucoup de regrets, oui, pour ce qu'est devenue la franchise des X-Men - troublante, passionnante sur le projet global, mais au prix de l'âme de ses personnages.
Et vu que c'est bien cette âme des personnages qui fait rester beaucoup de lecteurs, dont moi, c'est quand même fort dommage.

[watchblue]

Tu me tenterais presque lol

Sinon je viens de lire le Nightwing 80. Merci Tom Taylor. Ben tu parles de l âme des personnages.... Avec Tom Taylor les personnages nous parlent avec leurs âme... Leurs voix...tain Ilse passe pas grand chose dans cet épisode... Mais Tom Taylor pourrait faire une maxi série en 12 sur un barbecue un dimanche dans le jardin du manoir Wayne que je lirais...

Merci Mr Taylor. Grâce à vous il me reste deux titres Dc

[Ben Wawe]

Hormis son Hellblazer, je me demande si Tom Taylor a écrit quelque chose que je n'ai pas aimé.

[ollieno]

Red Room 1
Titre que j'attendais, titre cher, et épais (64 pages) noir et blanc..et ocre (comme pour Grand Design, le fond est ocre)

Ce n'est pas pour tout le monde, mais vraiment pas.
on est dans l'horreur , bien crade et malsain (et gore surtout) que ce que l'on trouve ailleurs. (ou j'ai raté des trucs, c'est possible aussi)

Par certain coté ca me rappel du Vince Locke (Deadtales, ou ses pochettes de Cannibal Corpse) , ou aussi par coté Rachel Pollack (intégrer les trucs dérangés dans la normalité), un petit coté Evil Ernie des débuts

Bon, si les trucs malsain tu n'accroche pas (ton voisin est un tueur fou, ou il aime se palucher en matant des tortures d'être humains) Passe ton chemin, car ce n'est vraiment pas pour toi ^^

après moi je suis la cible, et j'attends de voir ou Piskor va nous mener avec ses différents personnages

[ArnaudXIII]

	Citation:			Posté par ollieno
	Red Room 1 Titre que j'attendais, titre cher, et épais (64 pages) noir et blanc..et ocre (comme pour Grand Design, le fond est ocre) Ce n'est pas pour tout le monde, mais vraiment pas. on est dans l'horreur , bien crade et malsain (et gore surtout) que ce que l'on trouve ailleurs. (ou j'ai raté des trucs, c'est possible aussi) Par certain coté ca me rappel du Vince Locke (Deadtales, ou ses pochettes de Cannibal Corpse) , ou aussi par coté Rachel Pollack (intégrer les trucs dérangés dans la normalité), un petit coté Evil Ernie des débuts Bon, si les trucs malsain tu n'accroche pas (ton voisin est un tueur fou, ou il aime se palucher en matant des tortures d'être humains) Passe ton chemin, car ce n'est vraiment pas pour toi ^^ après moi je suis la cible, et j'attends de voir ou Piskor va nous mener avec ses différents personnages

Je l'ai récupéré ce matin. Je ne suis pas très horreur, j'ai pris parce que Ed Piskor. On verra bien.