#46
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Ce numéro démarre mal. Comme tu dis, on sent le truc venir et l'effet est vite barbant (proche numéro 1, voilà ce que ça donne, proche numéro 2, voilà ce que ça donne...) mais au final oui, il s'en sort plutôt bien et rend le truc presque touchant. Le cliffhanger est naze par contre. Lu aussi Justice League Unlimited #2. C'est bien simple, c'est tout ce que j'imagine quand je pense à une bonne histoire Justice League. Du suspens, de la baston, des dessins à faire tomber la mâchoire, des personnages bien croqués et un rythme superbement mené malgré la multitude de personnages. J'espère que ça va durer ! |
#47
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Green Hornet & Miss Fury
Début maladroit mais bien dessiné pour une rencontre entre Miss Fury et Green Hornet. Dynamite, en retrait ces dernières années mais conservant des titres de vieux personnages qui ont un temps fait l'essentiel de la ligne et le petit succès de l'éditeur, organise en effet cette réunion de deux personnages de la même veine mais aux origines et destins fort différents. On a d'abord Miss Fury, créée en avril 1941 en Black Fury et renommée Miss en novembre de la même année, par June Tarpé Mills, une des grandes pionnières. Marla Drake est une femme de la haute qui a eu une combinaison africaine mystérieuse de son oncle, qu'elle utilise pour combattre le crime en parallèle de son triangle amoureux avec son ex Gary Hale et le policier Dan Carey. Green Hornet est lui créé en feuilleton radio en 1936, a eu une série TV en 1966 avec Bruce Lee incarnant Kato, fidèle chauffeur et assistant de Britt Reid, propriétaire de presse qui fait passer son alter ego masqué pour un chef criminel pour détruire la pègre de l'intérieur. Tous deux ont déjà été vus ensemble dans les sagas Masks de Dynamite, mais l'intrigue d'Alex Segura n'en tient pas compte et reprend leur réunion à zéro. Tous deux enquêtent chacun de leur côté dans les années 60 sur la disparition d'un mentor mystérieux, Silver Shrike, un riche Cubain ayant fui la dictature communiste. Plusieurs justiciers masqués sont tués ou attaqués, Miss Fury et Green Hornet enquêtent, se rencontrent, s'aident à contrecoeur et s'attirent des ennuis, à peine sauvés par Kato. Marla et Britt se croisent en civil, il a des doutes et elle s'attire des ennuis alors qu'il agit sans Kato pour cette affaire personnelle. C'est maladroit, clairement. Alex Segura se perd dans une narration temporellement éclatée mais mal amenée, avec un debut In Media Res mal fichue. Les dialogues fonctionnent mais l'avancée des rebondissements est mal orchestrée, ce qui est frustrant car la rencontre est sympathique et le fond est classique mais efficace. Surtout, Federico Sorresa livre de très belles planches, assez dynamiques avec de très belles images. Je reste curieux mais c'est un début maladroit. |
#48
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The Amazing Spider-Man #65.DEATHS
Un autre épisode #65, nommé "#65.DEATHS" et qui est un bonus qui ne vaut réellement que pour les beaux dessins de Kev Walker. Derek Landy reprend ici le chemin qu'il donne à Phil Coulson, devenu sous sa plume l'avatar de la Mort via la Pierre d'Infini de la Mort qu'il possède. Ce Phil rôde autour de Peter durant la saga 8 Deaths of Spider-Man, et il est ici interpellé par Dr Strange qui le pousse à convaincre Parker de reprendre la lutte, malgré son choix de tout lâcher après avoir été convaincu que rien ni personne n'a d'importance. Phil tente de réconforter Peter, échoue, évoque sa rencontre avec la Mort (en découvrant à six ans son grand-père décédé, et en voyant l'avatar de la Mort qui lui dit qu'une personne morte emmène sa vision des autres avec elle, et les autres se lient à ces visions d'eux-mêmes quand ils meurent, devenant pleinement complets). Il voit aussi les épreuves et pertes de Peter, qui reste sur sa ligne "rien n'a d'importance, tout le monde meurt et s'efface". Phil prend alors conscience que la Mort, ce qu'elle incarne et définit, a eu raison de Spider-Man finalement... C'est vain, franchement. Derek Landy livre une version de Coulson cohérente avec ce qu'on voit dans les Annuals et dans la série Infinity Watch, j'apprécie peu mais ça suit la même ligne. Je trouve que son impact ici est nul, le Peter est bien brisé, je peux entendre pourquoi mais l'épisode n'avance rien. Seul demeure l'intérêt des beaux dessins de Kev Walker, mais c'est tout. Vain mais joli, et à voir si on accepte cette version de Coulson. |
#49
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Black Lightning #3
Un bon épisode, pertinent et prenant. Les Masters of Disaster attaquent Steelworks pour une raison mystérieuse, et Natasha Irons & Lightning défendent l'endroit en galérant. L'ex-femme de Black Lightning guide le jeune Isaac paumé et sa fille Thunder qui n'a plus confiance en elle et n'a pas confiance en ses nouveaux super-pouvoirs, mais il devient évident que le premier duo a besoin d'aide. Alors que Josiah Power (dont DC vient d'annoncer le retour dans le one-shot Power Company) débat à la TV avec le conseiller municipal Harriman opposé aux métahumains, la situation accélère, Thunder utilise ses pouvoirs mais morfle. Black Lightning arrive, gère la situation et Superman l'informe en off que leur téléporteur refonctionne. Sa fille Thunder ne contrôle plus ses pouvoirs, a peur, mais accepte de s'ouvrir à lui après des semaines de rejet. Hélas, Jefferson voit qu'elle est téléportée contre leur gré par la JL. Il y va, s'oppose frontalement à la Trinité qui pense qu'eux savent mieux que lui et qu'il est trop impliqué pour bien décider... et Black Lightning en vient à lever la main sur Superman ! C'est bien et bon. Brandon Thomas scénarise un épisode tendu, avec des résistances difficiles face à des super-vilains que je connais peu mais qui font bien le job. L'alternance avec le débat TV est bon, l'ensemble est classique mais prenant, avec un Black Lightning fort classe. Autant dans son intervention super-héroïque que dans son échange musclé avec la Trinité. Fico Ossio illustre le tout avec nervosité et dynamisme, et j'aime l'émotion des échanges intimes entre Jefferson et sa fille. Bien et bon, et fort bien amené. |
#50
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Challengers of the Unknown #2
Intéressant et bien mené. Christopher Cantwell poursuit sa mini-série, son focus sur chaque Challenger et son intrigue en lien avec DC All In, et la disparition de Darkseid. Ici, on voit June, qui évoque en flashback comment elle a trompé la Mort en activant son super-robot Ultivac, qui ensuite s'est retourné contre les Challengers en étant obsédé par la Mort. Au présent, Mr Terrific l'interpelle car un message d'Ultivac est capté alors qu'il est détruit en principe, elle plonge dans les profondeurs avec Batman, Aquaman et les Sea Devils (tous en costumes de Challengers). Ultivac créé des robots requins, et indique qu'il a peur et a besoin d'elle. Elle sent télépathiquement où il est, elle va en montagne avec un Batman qui doute même si elle le considère "comme eux", un Challenger et Humain. Ultivac attaque Batman, évoque télépathiquement avoir été réveillé à la mort de Darkseid, et être perturbé par cet Univers sans Darkseid, sans Mort. Batman grille Ultivac, June voit le visage d'Ultivac disparaître pour celui de Darkseid, et Ultivac fuie. Mr Terrific doute des Challengers, place June en quarantaine. Batman admet que les décisions de Terrific sont dures, alors qu'Ultivac a survécu et veut "aider" sa "mère"... C'est bien, oui. Christopher Cantwell est bon à manier les Challengers, et les super-héros qui ont du mal à les laisser faire et à leur faire confiance. Il écrit bien les Challengers en spécialistes sous-estimés, et il pioche bien dans leurs historiques. June est bien caractérisée, Batman aussi, et l'intrigue globale surprend mais fonctionne franchement bien. Graphiquement, Jorge Fornés croque bien un bon flashback, alors que Sean Izaakse & Amancay Nahuelpan se partagent efficacement le reste, dans des styles proches et efficaces. Du bon, du pertinent et du référencé intéressant. |
#51
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Jenny Sparks #6
Bon, ce n'est pas à l'avant-dernier épisode que la mini-série va soudainement gommer ses défauts, qui sont une lenteur abusive du rythme, une redondance du propos et un questionnement de l'intérêt de ramener Jenny Sparks juste pour ça. On est dans la continuité ici, avec une Jenny qui, dans le flashback de 2020-2021, subit comme tous la crise du COVID, interpelle Superman dessus, enrage de ne rien pouvoir faire en se rappelant l'angoisse des épidémies du début du XXe siècle, et tente de donner son sang pour aider. Au présent, elle retourne dans le bar, accepte d'admettre que Captain Atom est son dieu, l'interpelle sur la suite, et considère que jouer à dieu est sa nouvelle façon de gérer sa douleur et son trauma, comme jouer au super-héros l'a été d'abord. Elle s'énerve qu'il fasse si peu alors qu'il semble pouvoir tout faire, et il l'invite à voir dehors... alors qu'il semble avoir tout supprimé au monde en dehors du bar. Bon, les défauts demeurent, les qualités aussi. Je continue d'apprécier de voir Tom King plonger Jenny dans les divers troubles du premier quart du XXIe siècle, avec ici une confrontation prévisible mais réussie avec Superman durant la crise du COVID. Le scénariste ne force pas son talent, mais ça fonctionne, alors que l'intrigue principale est abusivement lente et usante. Jeff Spokes continue d'assurer dans des dessins troublants et réussis. Même qualités et défauts, pour une mini-série qui oppose bien Jenny aux troubles du XXIe siècle, mais ne fait rien d'autre d'intéressant. |
#52
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The Question: All Along the Watchtower #3
Divertissant mais pas marquant. Alex Segura avance sa saga de manière classique, presque scolaire, avec des rebondissements adaptés, bien menés mais sans passion et sans dynamisme particulier. On voit ainsi Question qui s'interroge sur la crise, se rappelle les quelques indices donnés par le Challenger Kenn avant son inconscience. Elle va voir Batwoman, qui est froide après les accusations. Elles vont interroger ensemble l'Eradicator, alors que les Blue Beetles sont attaqués par des ombres, contrôlées par Nightshade qui suit les conseils d'une sorte de Superman. L'Eradicator se moque de Renee et Kate, et finalement Question finit par comprendre et déduit les éléments. Finalement, la Watchtower est sous contrôle ennemi, et l'adversaire se révèle : c'est Cyborg-Superman ! C'est basique mais efficace. Alex Segura livre un scénario correct, qui fonctionne, qui joue bien la carte de l'univers partagé avec les Challengers of the Unknown et la série JL Unlimited. C'est agréable, c'est fluide, même si l'intrigue n'est pas vraiment prenante et la révélation tombe à plat car je ne vois pas quels éléments permettent à Renee de tout comprendre. Cian Tormey illustre solidement, avec un petit côté Scott McDaniel que j'aime bien. Divertissant mais oubliable. |
#53
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Titans #19
Un fond de saga classique qui avance lentement, mais de bonnes interactions et un joli dessin. John Layman continue doucement son run, avec ici un épisode où l'on voit Nightwing accepter de plus en plus son rôle en retrait, Roy considérer que Raven est un danger et demander à la cheffe Donna de la retirer du terrain... devant Rachel, qui le prend mal, et alors que Cyborg s'isole pour construire "quelque chose" en lien avec une I.A. dont on ne sait rien. Tout est interrompu quand New York est attaquée par une vague terrible de froid, déclenchée par une Killer Frost pleine de rage et de ressentiment car elle se sent rejetée, oppressée, critiquée, repoussée par les autres membres de la JL (elle en est devenue membre dans la Justice League of America de Steve Orlando). Elle moque les Titans, les fige mais Raven la stoppe en explosant et en luttant avec Kory. Les Titans gagnent, mais Batman vient prendre la main et refuse leur implication, ce qui énerve Donna. En parallèle, on apprend que Killer Frost a explosé à cause de Psycho Pirate, mandaté par Deathstroke, et il vise désormais Raven. C'est solide et bien fait. John Layman ne force pas le rythme, y va doucement mais sûrement. Il gère bien son équipe, écrit bien Killer Frost avec un sentiment d'oppression, et avance lentement mais réellement le subplot sur Deathstroke. Surtout, il bénéficie des forts beaux dessins clairs de Serg Acuna, qui fait beaucoup pour le plaisir de lecture. Beau, lent mais bien fait. |
#54
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Sans avoir lu l'épisode, j'ai du mal à juger, mais la réaction de Peter fait très ado, voir enfant. La crise existentielle face à la mort et notre insignifiance dans le Grand Tout, on l'a rarement si tard, je crois.
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#55
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Avengers Assemble #5
Bourrin mais sympathique. Steve Orlando achève sa mini-série par une grosse, grosse baston générale, qui concentre les 90% du numéro. C'est honnête car assumé, avec des Avengers, oh pardon les membres de Aveng.E.R.S. qui prennent individuellement ou à plusieurs la Serpent Society (avec notamment Night Trasher qui booste She-Hulk, Hercules qui fait conducteur des éclairs de Living Lightning). Wonder Man absorbe le virus qui transforme en serpent pour le détruire, survit et utilise son énergie pour bombarder de vita-rayons Captain America, pour le débarrasser du virus serpent. Et tout le monde fête au bar de Jarvis, alors que Aveng.E.R.S. continue de veiller sur le monde. C'est sympathique, car j'apprécie que le côté bourrin soit assumé. Steve Orlando ne fait pas de la baston bêbête, chaque ennemi est bien traité et les personnages s'allient intelligemment. Chacun a son moment, son beau moment, et l'ensemble bénéficie des dessins très agréables, jolis et dynamiques d'un José Luis très en forme. Une mini-série dispensable mais sympathique, bien menée, souvent bien dessinée, sur une idée-bateau mais qui permet de caser des personnages. Un bon moment. |
#56
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The Incredible Hulk #21
Ça bagarre, et c'est un peu tout. Phillip Kennedy Johnson achève sa mini saga avec une baston simple et basique, pas désagréable mais sans grand apport. Hulk affronte ainsi Varcolac, l'entité monstrueuse qui est le frère de Lycana et convoqué par les fidèles pour récupérer la Peau de Lycana que Charlie a prise sans connaître les conséquences. Jack Russell tente d'aider une Charlie fofolle avec ses pouvoirs, alors que Varcolac emmène Hulk dans sa dimension, prévient du terrible destin de Charlie. Celle-ci vient sauver Hulk, elle fête la victoire mais Jack annonce le pire avec flegme tandis que Hulk préfère ne rien dire à Charlie... Bon, je défends régulièrement la série malgré sa décompression mais je dois admettre que ce numéro est clairement dispensable et trop creux. Phillip Kennedy Johnson ne fait que confirmer les prévisions funestes sur Charlie, le passage de Jack est anecdotique et Danny Earls assure avec nervosité mais a déjà fait mieux. Dispensable et trop décompressé, objectivement. |
#57
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Action Comics #1082
Wow, un épisode de John Ridley sur lequel j'ai un avis positif ! Je crois que c'est une première. Le scénariste issu du cinéma, qui enchaîne les projets et ne m'a jamais convaincu jusque-là, débute son run sur le titre avec de bonnes choses. Dans son histoire placée avant Absolute Power, on voit un Superman très énervé qui stoppe des troubles à Metropolis, provoqués par Major Disaster qui a tué un employé d'une banque, qu'il voulait voler après avoir échoué à son entretien d'embauche. Major Disaster se rend à Superman, déclare à Clark Kent en prison qu'il a essayé de bien faire mais n'était pas assez fort après sa rédemption. Clark est remué par ce qu'il voit comme un échec, en parle à Lois et suit son conseil en interrogeant la police et des proches de Disaster, d'anciens vilains qu'il a menés à la rédemption mais qui sont fatalistes sur la difficulté de changer et vivre normalement parmi les Humains. Clark est encore remué, en parle à Lois au téléphone... et se surprend à être blessé lors d'une agression par un homme cagoulé ! C'est intéressant et plutôt bien fait. Hormis un début expeditif, John Ridley gère bien son épisode et son rythme, avec notamment un Clark bien écrit dans ses doutes, ses troubles, et son enquête. Les autres ex vilains sont bien caractérisés, je ne connais pas assez Major Disaster pour savoir s'ils existaient avant ou non mais c'est bien fait. Le cliffhanger est bateau mais l'ensemble fonctionne, avec des dessins dynamiques d'Inaki Miranda. Agréablement surpris et pris, ce que je n'ai pas vu venir ! |
#58
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Batman / Superman: World’s Finest #35
Nouvelle saga lancée avec un nouvel environnement visité, ici Atlantis et ça fait plaisir car c'est bien fait. Mark Waid montre en effet Aquaman et Robin qui regardent un match de foot américain, laissés ici par un Superman occupé par Toyman, mais Batman les alerte car Mera a fait envoyer un message télépathique à la JL. Les villes jumelles Poseidonis et Tritonis sont menacées car la récolte d'algues par Tritonis a mené à une infection, un virus qui se transmet par contact et enrage. Aquaman mène Superman, Batman et Robin dans l'eau, ils aident puis se divisent. Superman va à Tritonis avec Lori Lemaris, mariée au Roi local fort froid avec Clark. Ronal rejette Superman pour son histoire avec Lori, qui révèle à Clark que Ronal met sa ville sur le pied de guerre car il considère que tout vient de Poseidonis et les échanges sont tendus du fait des absences d'Aquaman. Ce dernier est d'ailleurs mis en cause publiquement par ses sujets, qui exigent qu'il priorise le trône, et le ton monte de tous les côtés... alors que Floronic Man se révèle ! C'est bien, comme souvent. Mark Waid gère fort bien Atlantis, pose idéalement les concepts et personnages, et continue de fort bien animer Superman, Batman et Robin. Les passages avec Lori sont bons, la remise en cause d'Aquaman est classique mais efficace. La menace zombiesque est basique mais fonctionne, alors que Adrian Gutierrez livre des planches dynamiques, nerveuses souvent jolies mais parfois précipitées. Bon et entraînant, comme souvent ! |
#59
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Bon, il est dit qu'il a ressenti 1000 morts et sentit 1000x la disparition de toute trace du décédé dans la grande Histoire... |
#60
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Ultimate Wolverine #1
Belle ambiance, petit plaisir de voir (un peu) de nouvelles versions de personnages connus... et c'est tout, en fait. La première mini-série après le lancement des nouvelles séries Ultimate démarre efficacement, mais sans forcer. Par des flashbacks, Chris Condon montre comment le mystérieux Logan, membre du groupe The Opposition qui s'oppose au diktat violent de Colossus / Magik / Omega Red, les maîtres de l'Eurasie, a été appréhendé après un bombardement et utilisé dans des expériences terribles, en lien avec un(e) télépathe. Il en est transformé en une machine de guerre, un Winter Soldier utilisé pour liquider des menaces. Au présent, il est envoyé violemment en Latvérie, pour liquider deux Mutants échappés de camps et membres de The Opposition : Raven et le père Kurt. Ils le reconnaissent, disent qu'ils voulaient revenir pour lui mais n'ont pas pu, mais lui continue sa mission et C'est divertissant mais essentiellement grâce aux belles ambiances d'Alessandro Capuccio. Chris Condon livre un début correct, mais qui ne donne pas grand-chose et est sans surprise dans l'idée d'un Wolverine aux ordres, violent mais tourmenté. Pas de surprise, donc, mais pas de mauvaise surprise, aussi. Heureusement, les dessins sont beaux, léchés, et j'aime beaucoup le style. Un début très joli et avec une belle ambiance, mais un scénario sans surprise. |
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