#526
|
||||
|
||||
Oui c'est sur le fiston El, et ça s'inscrit dans les futurs probables de Future State.
|
#527
|
||||
|
||||
Même avec Taylor ca ne me vend pas du rêve.
|
#528
|
||||
|
||||
Si ça pourrait, mais quand on sait que ça s'inclut dans un plan entamé il y a plusieurs mois, et que la série dépend des deux autre titres Sup (Action et Sup' & Authority), ça refroidit.
|
#529
|
||||
|
||||
Oui ça part mal. Bon je retourne lire Wonder Twins par Kurt Russell et John Byrne
|
#530
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Ce n'est pas dit, et Oliver n'a pas l'air "vieux" dans Checkmate ou Justice League.
Après, il a toujours été dit que Oliver a eu Connor jeune, vers 17/18 ans. Ce Connor semble avoir la vingtaine physiquement, mais dire qu'il a 18 ans n'apparaîtrait pas choquant (dans ce qu'on voit dans la série Robin). Ca laisserait Oliver vers 35 ans, "ça passe".
DC pourrait aussi, au hasard, hein, décider de changer de thème et proposer autre chose qu'une crise sur la Réalité ou le Multivers.
Dans Infinite Frontier, l'histoire sera peut-être bonne mais elle est déjà-vue ; avec le sentiment que le fan-service n'est pas l'outil mais le but.
Avec Future State : Superman : Worlds of War, on voyait clairement un Clark Et c'est exactement vers quoi on va, là. Au-delà du fait que ce diptyque se passe cinq ans plus tard en principe (donc "on sait" que ça ne va pas vraiment bouger "rapidement"), et même si le voyage compte plus que la destination, ça rend la lecture des rebondissements actuels assez morne. On sait où ça va mener, quoi ; zéro suspense. Je suis plus intrigué par la construction autour de Jon, en espérant surtout que 1/ la partie Future State : Superman of Metropolis soit évacuée (car c'était vraiment raté) 2/ Tom Taylor va cesser de traiter Jon en "pleurnicheur" qui a peur de voir son père disparaître. Phillip Kenndy Johnson se concentre sur ça et, même si ça a du sens, c'est chiant. |
#531
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||||||||||||
|
#532
|
||||
|
||||
Ce serait dommage, quand même.
|
#533
|
||||
|
||||
Un peu oui
|
#534
|
||||
|
||||
Captain Marvel #29
Sympa', mais plus pour la caractérisation que la saga. Kelly Thompson amène Carol à vouloir absolument apprendre la magie pour retrouver et vaincre Ove, le fils de Namor et de l'Enchanteresse venu d'un futur apocalyptique pour conquérir le présent. Dr Strange, son amant d'un soir, a refusé donc Carol va solliciter... l'Enchanteresse elle-même, en lui cachant le fond du projet, et en l'appâtant sur le fait de l'aider à faire quelque chose d'interdit. Bon, ça se lit bien mais ça avance peu. La voix-off et les dialogues demeurent très agréables, les interactions Carol/Amora sont cool, et l'initiation est rude mais très prévisible. L'arrivée prochaine de Rhodey (largué par Carol car elle a vu, dans le futur, que Jim aura un enfant avec une autre) et Dr Strange va redynamiser une saga un peu plan-plan, qui bénéficie de dessins passe-partout mais efficaces de Jacopo Camagni. C'est pas moche, c'est pas chiant, c'est bien pour le perso' qui est bien écrit, mais ça reste assez anonyme. Gamma Flight #1 Pas mal. Al Ewing et Crystal Frasier lancent une mini-série spin-off de The Immortal Hulk. Si c'est un plaisir de voir plus de ce Gamma Flight improvisé, et rempli de paumés sympathiques, il faut cependant que ce n'est pas aussi emballant que la série-mère, bien que la lecture soit agréable. On se concentre ainsi sur ces personnages qui errent de crise en crise dans le titre principal, et sont désormais poursuivis après avoir renoncé à chasser Hulk. Puck agit comme l'étalon moral et le meneur calme et doux, alors que Doc Sasquatch est paumé mais donneur de leçons, tandis que Creel et Titania sont mignons. Le destin de Rick Jones est troublant, et la scientifique joue bien son rôle de ressort technologique. Tout ce petit monde décide d'aider des mutés Gamma, qui s'avèrent liés à Pourquoi pas. Je ne suis pas pleinement emballé par la présence de ce perso' dans ce rôle, mais il est vrai qu'il manquait à la gestion d'Ewing sur la franchise. La gestion des paumés de Gamma Flight est bonne, l'ensemble est fluide et les dessins de Lan Medina sont efficaces, à défaut d'être jolis, et ils tentent de suivre un peu Joe Bennett sur la série-mère. Ca se lit bien, oui, mais ce n'est pas le show éclatant de The Immortal Hulk. C'est un bon complément, mais plutôt "sage". |
#535
|
||||
|
||||
Oui j'ai lu et j'ai fait des boutons. D'ailleurs le numéro est bien nul lui aussi.
Amener Carol à un speed dating La seule chose qui m'a intrigué c'est Laur-ell et Jenifer/Hazmat qui pourrait être un futur couple à ce que j'ai compris. D'ailleurs Hazmat et là depuis le départ mais sert pas a grand chose malgré être présente dans les aventures alternative de carol. |
#536
|
||||
|
||||
Moi, je trouve ça cool et bien amené.
|
#537
|
||||
|
||||
Guardians of the Galaxy #15
Sympa', et plus profond qu'on ne le pense. Al Ewing utilise ce numéro pour trois objectifs : lier ses séries Guardians/SWORD en amenant Star-Lord et Nova chez Abigail Brand et ainsi créer une relation sur son pan cosmique ; creuser encore plus Richard Rider et la redéfinition des Gardiens, via ce conflit enfantin et brutal avec Magneto puis un bon dialogue entre eux ; et enfin préparer The Last Annihilation, son événement qui se révèle lié à Et c'est bien, en fait, tout en étant très subtil. Al Ewing gère très bien ses personnages, avec Rocket en râleur (le voir grogner sur Hercule qui compare l'union des Bugs d'Annihilus à l'UE, en Terrien centré que Herc' est, c'est fun), Peter en puissance cosmique blasée, et surtout un super travail sur Nova. Les previews laissaient imaginer une belle bagarre Nova/Magneto, qu'on a mais qui passe au second plan après ce bon dialogue entre eux. Le final est classique pour The Last Annihilation, mais la révélation m'a bien pris et me donne vraiment envie d'en voir plus. Juan Frigeri propose de belles planches, et croque bien les personnages. La lecture est fluide, agréable, et le sentiment d'univers cosmique partagé est cool - d'autant que le fond est très bien, aussi. C'est top de lire ça ! |
#538
|
||||
|
||||
Heroes Return #1
Bon, la fin d'une grosse saga est souvent décevante, car les attentes sont rarement récompensées. Notamment dans les événements contemporains, où souvent les auteurs et l'éditeur "préparent" une suite. Brian Michael Bendis et Marvel avaient clairement institué ça entre Avengers : Disassembled et Siege, où grosso-modo chaque "fin" menait à la prochaine échéance. Ici, on a à peu près ça, au fond : Heroes Reborn et le one-shot Heroes Return ne sont pas le grand final du run de Jason Aaron sur Avengers, et ça se sent. Dans le sens où on a la grosse baston attendue, qui n'est pas "si facile que ça" pour les super-héros réveillés, même s'ils arrivent essentiellement à vaincre le Squadron Supreme Bon, c'est bien. Jason Aaron livre ce qu'on attend, sans grosse surprise hormis ce final surprenant sur ce "conseil rouge". L'idée est surprenante, je ne sais pas encore si c'est vraiment bien, mais ça a de l'audace et ça continue le subplot. Le combat Avengers/Squadron est assez bien, même si Black Panther qui arrive à juguler Hyperion et Nighthawk, c'est un peu beaucoup. Ed McGuinness propose des planches dynamiques et puissantes, c'est complètement adapté et fun. C'est donc une conclusion prévisible mais réussie, qui achève un événement très fun, par une voie plus sage et plus classique. C'était cool, le voyage compte plus que la destination, mais ce one-shot épilogue n'est pas honteux et fait bien le job. J'aurais juste aimé plus d'informations sur Coulson, si différent depuis sa résurrection, mais je fais la fine bouche. Wolverine #13 Bon, Benjamin Percy livre ici un épisode de X-Force, car Wolverine a un rôle similaire à celui dans le titre d'équipe. Ce n'est pas gênant, mais ça reste un peu une publicité mensongère, ici. Ca se lit bien, mais sans folie. On voit en effet l'affrontement discret de X-Force contre les ambassadeurs de Terra Verde, libérés de l'influence de Beast par Bon, j'avoue que si Benjamin Percy écrit bien, et si le projet de montrer la corruption du pouvoir et de la charge d'être "la CIA de Krakoa", je deviens vraiment lassé par les abus et horreurs provoqués par Beast... sans aucun doute et remords de sa part. J'admets que ce n'est pas ma vision de Hank McCoy, et même s'il a été loin avec les All-New X-Men, je trouve que cela dépasse le personnage. Après, je pense de plus en plus qu'il Un numéro de Wolverine où Logan fait de la bagarre et où le focus est sur Beast et ses saloperies. Un vrai épisode de X-Force qui ne dit pas son nom. S.W.O.R.D. #6 Ah, quand même. "Quand même", parce que la lecture de cet épisode me confirme encore une fois le talent d'Al Ewing, non pas ici sur l'ingéniosité et l'originalité d'une relance de franchise (comme sur The Immortal Hulk, "masterpiece" pour redonner de l'élan à des éléments qui ont 50 ans d'existence). Mais bien sur la maîtrise de la caractérisation, des dialogues, de l'essence des personnages. Oh, il y a bien des apports SF comme Al Ewing sait le faire : Abigail Brand présente à plusieurs ambassadeurs cosmiques Planet Arakko / Mars, annonce son statut de capitale du système solaire, et "achète" cette légitimité cosmique avec un métal "impossible", créé par les Mutants et offert aux ambassadeurs pour être accepté. Comme sur Terre, avec les médicaments. Ledit métal devient même une nouvelle monnaie spatiale, après la crise économique née de la fin de la guerre Kree/Skrull. L'idée est cool, fine... mais très froide. Je reste gêné par l'arrogance des Mutants, bien mise en avant par Nova, ici. Même la fameuse révélation de l'identité du Régent de Planet Arakko / Mars continue d'être, pour moi, très froide et survolée, car finalement Mais ce n'est pas tout ça qui rend cet épisode si fort, et si révélateur du talent d'Ewing. Non, je retiens essentiellement le dialogue initial entre Cap' et Victor, sur une belle réflexion (d'Ewing ?) de Steve qui regrette, finalement, que les merveilles réalisées par les Mutants ne le sont... que par eux, pour eux. "J'aurais aimé qu'on fasse ça ensemble", dit-il en substance, et c'est autant cohérent, pertinent avec le perso', que légitime et beau comme réflexion vis-à-vis de Krakoa. Enfin, c'est bien le final qui me marque, et qui révèle le talent d'Ewing, qui jusque-là adoptait la caractérisation suffisante de Magneto. On a vu dans le Guardians sorti en même temps que le perso' peut être plus creusé, mais Ewing va plus loin et me touche, là. On voit en effet Magneto seul après le Gala, fier mais solitaire. Un portail de Krakoa s'ouvre, et une invitée répond finalement à l'invitation : C'est simple, c'est pur, c'est beau, et ça permet enfin de ré-humaniser ce Magneto si insupportable depuis le début de HoXPoX. Valerio Schiti livre de belles planches, mais qui gèrent surtout bien l'émotion de ces deux dialogues. C'est un sommet d'émotion et d'intelligence dans l'écriture des personnages - et oui, ça me fait regretter que Jonathan Hickman n'ait pas plus d'Al Ewing en lui. |
#539
|
||||
|
||||
Quel festival de lectures !
__________________
Des pépites ? Des bonnes histoires ? Des curiosités ? Des souvenirs ? Ne manquez pas de visiter la section rétro ! |
#540
|
||||
|
||||
Le sprint final avant les vacances, et un silence de trois semaines.
|
Outils de la discussion | |
Modes d'affichage | |
|
|
Discussions similaires | ||||
Discussion | Auteur | Forum | Réponses | Dernier message |
R.I.P. 2021 | Hare Mageddon | Brêves de comptoir | 337 | 06/01/2022 13h26 |
Sorties Singles et Collections 2021 (semaine du 29/12/2021) | scarletneedle | Singles | 284 | 24/12/2021 07h55 |
IDW mars 2021 | scarletneedle | Sollicitations éditeurs | 1 | 25/12/2020 15h52 |
DC février 2021 | scarletneedle | Sollicitations éditeurs | 10 | 18/12/2020 20h14 |
IDW janvier 2021 | scarletneedle | Sollicitations éditeurs | 5 | 25/10/2020 19h12 |