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Robin 2021 Annual #1
Sympathique. Joshua Williamson fait une parenthèse dans sa série pour utiliser un prétexte afin de livrer quelques éléments sur les personnages secondaires, notamment Flatline qui reçoit ici une origine secrète. Le mystère sur Respawn s'épaissit alors que Robin confirme sa volonté de réussir seul. Connor Hawke a quelques éléments confirmant qu'on "reprend" tout l'historique pré-Flashpoint, avec un dérèglement cosmique pour expliquer son retour, alors que le final ouvre sur un futur crossover sur la Ligue des Ombres. Sympathique, oui. Joshua Williamson livre un épisode fluide, agréable à lire, qui ne marquera pas mais fait bien le job de présenter quelques profils et de nourrir la série principale. Ca ne révolutionne rien mais ça apporte quelques ajouts, et c'est déjà bien. Roger Cruz illustre ça en copiant Gleb Melnikov, cela apporte une cohérence graphique sans être meilleur ou pire. Pas indispensable mais un bon complément. |
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Yep, les aliens lors de l'invasion l'ont blessé.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Wonder Woman Annual 2021 #1
Prélude sympathique mais bavard. Becky Cloonan & Michael W. Conrad livrent ici un Annual agréable à lire, qui introduit un nouveau "vilain" : Bon, ça se lit bien mais ça parle quand même beaucoup. Cloonan & Conrad gèrent bien leurs personnages, avec une Etta bien écrite et une Diana un peu rude pour empêcher un braquage de banque, mais bien loin de la violence de la Wonder Woman de Zack Snyder's Justice League (et c'est tellement "proche" que c'est lié, évidemment). La confrontation avec l'ennemi est bonne mais un peu longue, le perso' parle trop et ça me lasse. Andy MacDonald propose des planches claires et efficaces, dynamiques, même si l'allure de Diana est un peu gênante parfois, tout n'est pas idéal. Un bon prologue à la future grande saga, mais un numéro malgré tout un rien trop bavard et didactique. |
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Ca me fait bizarre ce genre de titre avec l'année. Pourtant il y a du en avoir avant.
Pourtant je sais pas j'ai l'impression d'un truc futuriste genre "Robin 1 000 000". J'ai envie de dire que leur version futuriste n'existera jamais et son quelque peu décevant, sauf que c'est les série de maintenant. Mon cerveau bug du coup |
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Avengers #50
Burp. Quel numéro, hein. Avec énormément de pages, énormément d'événements. C'est généreux, c'est gourmand, ce n'est pas toujours maîtrisé mais, hé, ça a l'avantage d'exister et, oui, il y a quand même des choses qui fonctionnent. Bon, je ne vais pas me lancer à résumer ça, ce serait trop. Tout juste peut-on dire que le cas She-Hulk est réglée car Bon ! Jason Aaron y va à fond pour ce numéro anniversaire, presque une somme de tout ce qu'il fait sur le titre. Et si tout le run reste décevant, pour moi, je dois avouer que cet épisode fonctionne comme synthèse des événements, et lancement envers les Multiversal Masters of Evil, qui Et ouais, franchement, ça fonctionne. Enfin, tout ne prend pas, hein, ça va quand même un peu trop vite, mais j'admets qu'il y a un souffle, un dynamisme qui prend bien. C'est complètement n'importe quoi, ça n'a franchement aucun sens, mais... oui, la lecture m'a bien "pris". C'est con et c'est bon. J'attends de voir, car Jason Aaron m'a souvent intéressé sur ses débuts, sur le titre, pour me décevoir ensuite. Mais là, oui, ça fonctionne, il y a un souffle et il y a une volonté de synthèse bienvenue. Graphiquement, l'ensemble est dessiné par Aaron Kuder, Carlos Pacheco, Rafael Fonteriz, Ed McGuinness et Javier Garron. Il y a une unité graphique, pas de fausse note mais pas non plus de brillance. Ca fait le job, aussi. Oh, et il y a aussi une back-up par Christopher Ruocchio et Steve McNiven, sur un petit chapitre de Thor avec un jeune héros au Ve siècle. Gentil mais inutile. M'enfin, oui, ce machin est trop gros, trop lourd, trop gras - mais il y a ce souffle, et je m'y suis laissé prendre. Encore ! |
#1222
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Captain Marvel #34
Boah, c'est maladroit. Kelly Thompson livre un épisode plutôt bon, mais elle se plante dans la gestion des rebondissements, du rythme et coupe ainsi l'effet de son numéro. Ce dernier se concentre sur Carol, qui se libère du cercueil cosmique de Vox Supreme en Et dieu que c'est maladroit dans cette dernière partie. Autant la première, sur la libération de Carol, est classique et fonctionne bien ; autant la deuxième, aussi, est plutôt bonne dans cette confrontation avec un perso' qu'on sait être "faux" mais qui provoque une réaction sincère chez Carol ; autant, donc, la fin arrive trop vite, et est clichée car trop facile. Quel dommage. Kelly Thompson se perd ici, encore, alors que Sergio Davilla propose des planches solides, efficaces, mais sans briller non plus. Ca fait le job. Boah, quand même, c'est régulier cette maladresse du rythme et de l'écriture. |
#1223
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Daredevil #36
Moins pire que les précédents, mais pas réussi pour autant. Chip Zdarsky achève ses sagas et subplots, en avançant ses pions pour l'événement Devil's Reign qui arrive, avec sa légion de tie-ins (inutiles). On a donc Daredevil libéré de prison, le retour avec Elektra, la découverte des sales affaires de Mike se faisant passer pour Matt, Wilson qui se marie avec Mary, Matt qui laisse Wilson être heureux, le fils caché de Wilson qui continue de creuser sa voie, et finalement Wilson qui se crispe car il n'arrive pas à se souvenir de l'identité de Daredevil. Pff. Franchement, ça se lit, hein. Mais le souffle, le dynamisme, l'émotion ont disparu, pour moi. Chip Zdarsky créé ici un Daredevil "zen", qui pourrait être intéressant mais tourne au donneur de leçons, avec notamment une discussion politique avec Mr Fantastic qui tombe à plat. J'aime bien l'intrigue sur Fisk, mais Devil's Reign à venir me soûle déjà. Manuel Garcia illustre ça joliment, efficacement, mais ne sublime pas un épisode moyen. Je vais m'arrêter là, hein. Devil's Reign sera vraiment sans moi. |
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The Death of Doctor Strange : Spider-Man #1
Très sympathique. Jed MacKay, déjà scénariste de la saga principale et de Black Cat, s'occupe ici du tie-in sur Ben Reilly / Spider-Man... en duo avec Felicia Hardy. Tous deux se retrouvent autour du lit d'hôpital de Peter Parker, alors que la mort de Stephen Strange déclenche un message magique automatique où le Docteur demande à Spider-Man de gérer quelques problèmes en ville, déclenchés par sa mort. Felicia impose son aide à Ben, qu'elle bat froid comme remplaçant de Peter, et ils partent alors pour un tour de New York, en gérant des menaces plus ou moins agressives. Jusqu'à une mission finale touchante, confirmant le grand coeur de Stephen, alors que Felicia "valide" Ben comme Spider-Man, au moins temporairement. Et c'est bien. Jed MacKay ne révolutionne rien, mais gère bien ses personnages. Felicia et Ben qui gèrent en s'engueulant, c'est classique mais efficace, et l'auteur écrit bien ce Ben Reilly. Bien mieux, en tout cas, que dans l'Amazing actuel. L'ensemble est fluide, dynamique, réjouissant et assez touchant ; ça manque presque de neige, pour bien faire conte de Noël. Marcelo Ferreira a un style un peu dur et gras, mais ses planches sont correctes et ont une bonne narration. Ca fait bien le job. Un beau petit one-shot, un tie-in mignon et pertinent, qui respecte ses personnages. The Death of Doctor Strange : White Fox #1 Sympathique, mais cela sonne presque comme un prélude à autre chose. Alyssa Wong utilise ici White Fox, super-héroïne coréenne avec donc un focus sur les personnages asiatiques. On croise la Tiger Division qui protège Seoul des démons libérés par la mort de Dr Strange, mais aussi les Agents of Atlas. White Fox, donc, est une Kumiho, un esprit capable de se transformer en grande louve blanche. Ses parents et son clan ont été massacrés par des Humains, et elle est la dernière Kumiho... mais un Kumiho semble être apparu. Sword Master, des Agents of Atlas, l'aide à enquêter alors qu'elle se confie. Il s'avère que Et c'est agréable. J'admets que je connais peu mais j'aime bien les super-héros asiatiques de Marvel, et j'aime bien les retrouver parfois. Le focus sur White Fox ici est bon, sa relation d'amitié et de duo avec Sword Master est agréable, même si ça ne révolutionne rien. La menace est basique mais fait le job, et l'ensemble est fluide et pertinent. Par contre, je ne peux m'empêcher de me dire que tout ça sert moins Death of Doctor Strange que Bon, après, ça ne gêne pas un récit correct mais pas exceptionnel, qui fait le job. Andie Tong bénéficie de l'aide de Luciano Vecchio, leurs styles sont un peu différents mais le graphisme reste correct, agréable. Ca manque peut-être d'une forme de poésie qu'on peut attendre d'un récit sur le versant asiatique de Marvel, mais c'est agréable et cohérent, en plus d'être un possible prélude à autre chose. Pas mal. |
#1225
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Je sais même pas si j ai lu un comics avec white fox.....
Petite question j ai l impression que le dernier Inferno c était il y a deux ans non ?
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Il y a trois semaines, non ?
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Fantastic Four #39
Roh, c'est bien. A peine Avengers #50 est-il sorti que Dan Slott se précipite pour, le même jour, livrer un numéro des Fantastic Four avec She-Hulk "normale", en avocate sexy. Ah, on peut sentir que ça le travaillait ! Et ça rend bien, en fait. Le scénariste revient ici sur Bentley-23, le clone du Wizard. Ce dernier assigne Dragon Man devant la justice pour récupérer la garde de l'enfant. Les Fantastiques engagent She-Hulk, mais les audiences se passent mal car Wizard Ca fonctionne bien. Dan Slott maîtrise bien le récit et les personnages, avec peut-être des réactions un peu trop crispées de Reed et surtout Sue, finalement la moins bien écrite de l'équipe sous sa plume. Mais She-Hulk est un plaisir à retrouver, l'intrigue juridique et familiale est bonne, et le tout reste dynamique, fluide, avec toujours de bonnes interactions et de bons dialogues entre la dizaine de personnages. Francesco Manna livre des planches solides, qui suivent un peu le style du titre, en proposant des dessins corrects et une narration efficace. C'est pro'. Un bon début d'intrigue qui me plaît, un plaisir de retrouver She-Hulk et, finalement, encore du bon chez Dan Slott maintenant qu'il a trouvé sa voie. |
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Darkhold : Black Bolt #1
Boah, pas mal mais pas emballant. En me lançant ici, je me demandais si Mark Russell allait enfin me convaincre sur un scénario - et non, toujours pas. Oh, je n'ai pas le rejet que j'ai pu avoir pour Wonder Twins ou Future State : Superman : Imperious Lex. Mais je ne suis pas emballé. On a bien ici un récit d'un autre monde, "terrifiant", que Black Bolt découvre en lisant le Darkhold dans le numéro Alpha. Ici, c'est un monde où il se réveille abandonné sur une lune-prison, avec des souvenirs qui révèlent qu'un médecin royal l'a alerté sur une attaque de Maximus, qui aurait utilisé le médecin pour se changer le visage et prendre la place d'un ministre de Black Bolt. Mais les souvenirs de Blackagar sont flous, jusqu'à ce qu'il Boah, quoi. L'idée de fond est ultra classique mais bien vue. Quel dommage que l'exécution soit si maladroite. Que ça soit la voix-off ultra bavarde de Black Bolt, ce qui interpelle quand même sur le personnage, ou bien le plan de Maximus, bien capillotracté, avec ce médecin capable de dupliquer un pouvoir mais pas un autre (donc le vol, c'est plus dur qu'une voix capable de détruire une montagne ? ah bon ?), tout semble quand même un peu neuneu et trop facile. Le final est plutôt intéressant, mais déjà-vu aussi, et ça ne correspond en rien au caractère tranchant et direct de Black Bolt. Les one-shots Darkhold visaient jusque-là des récits divergents apocalyptiques, glauques, terribles ; ce n'est pas le cas ici, et bon ça tombe un peu à plat. David Cutler livre des planches correctes, souvent jolies, un peu rondes. Mais là aussi trop "joyeuses" ou colorées, qui ne correspondent pas à l'idée des one-shots Darkhold. Rien de honteux mais tant de maladresses pour finalement pas grand-chose. |
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The Marvels #6
Joli. Kurt Busiek utilise un épisode entier sur Lady Lotus, personnage que je ne connaissais pas et sur qui il livre un portrait intense et touchant. Il en profite pour mixer toute l'Histoire Marvel du XXe siècle, en se concentrant sur le Sin-Cong, et donc en donnant un passé, des mystères, des interactions, une géopolitique à ce pays fictif. Ca fonctionne extrêmement bien, notamment par ce biais classique mais si efficace de la vision d'un personnage, ici Lady Lotus, super-vilaine pas forcément machiavélique, mais hantée par des drames et des épreuves. Le scénariste fait encore ici la preuve de son talent d'archiviste (ah, Carlo Strang...), mais aussi de croqueur habile de portrait nuancé et touchant. Il a toujours en Yildiray Cinar un partenaire appliqué, au trait classique qui fonctionne dans cette ambiance, avec de belles images et une narration efficace. Quelle belle petite série. Pourvu que ça dure le plus longtemps possible. Winter Guard #4 Bien joué. Ryan Cady retombe intelligemment sur ses pieds dans ce final maîtrisé, dynamique et réussi. La Winter Guard file derrière le premier Red Guardian, bien décidé à révéler au monde entier les sales secrets de manipulation et de corruption des gouvernements russes, pour provoquer une illumination et le retour aux vraies valeurs. Yelena, qu'il a abandonnée, oriente la Winter Guard jusqu'à ce que Perun C'est bien, oui. Ryan Cady achève bien sa petite saga, avec des personnages bien écrits. Le premier Red Guardian est noble et intense, alors que Perun est touchant. Les interactions sont bonnes, les événements sont rapides et dynamiques, et l'ensemble se lit agréablement. Ca ne révolutionne rien, mais ça respecte bien les personnages. Jan Bazaldua illustre toujours cela avec fluidité, c'est souvent joli bien que cela manque de décors. Le graphisme accompagne bien le récit. Une bonne p'tite mini-série, qui confirme que les auteurs respectent et aiment les personnages qu'ils animent. X-Men : The Trial of Magneto #4 Bon sang, c'est chiant. Leah Williams s'embourbe dans cette saga qui n'en finit pas, et se perd dans des rebondissements alambiqués. Bon, la scénariste continue d'être très bonne pour animer son équipe X-Factor, mais sa gestion de Wanda, de Wiccan ou de Speed, et surtout leurs interactions, tout ça est fort mauvais. On a donc une Wanda paumée aux souvenirs amputés, alors que Krakoa est attaquée par trois Kaijus. La "lutte mentale" entre Wanda et Old Wanda s'achève quand l'héroïne comprend que Pouah. Il n'y a pas grand-chose à sauver de cet épisode et de cette saga, trop longue et chiante. On retrouve une Wanda perdue et chiante, qui ne sait pas quoi faire, et alterne entre victime sacrificielle et coupable involontaire. La partition a déjà été jouée ailleurs, et mieux, et cela lasse. D'autant que Leah Williams est maladroite dans les liens avec ses fils, et ces Kaijus sont quand même pathétiques. Lucas Werneck est aidé par David Messina (et la photocopieuse, vu la reprise sur quatre panels du même visage de Wiccan...). L'ensemble se laisse lire, suivre, et il y a quelques jolies images, mais ce n'est pas non plus bluffant. Une mini-série qui débutait bien mais s'abîme dans un naufrage gênant. |
#1230
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La série The Marvel ne s'arrête pas au 6ème numéro ?
J'avais crû comprendre que c'était une mini-série, à l'instar de History of The Marvel Universe.
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Allez, tout le monde en choeur chante avec moi : "Wolverine est un idiot, c'est Cyclope le plus beau !" |
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