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Scarlet Witch #4
Efficace et prenant. Steve Orlando achève sa saga de manière fluide, avec Wanda boostée qui vient affronter The Griever. Polaris et Darcy gèrent ses sbires en ville, Wanda et The Griever combattent sur plusieurs plans et finissent à Innsmouth, où Pietro arrive en super vitesse pour frapper The Griever, avec une puissance qui dissipe ses atomes et Wanda les projette partout dans l'univers. Cela permet de se poser ensuite, avec Lorna qui participe au moment puis part, laissant les jumeaux se remettre pleinement. Sauf que... Wanda se rend compte que C'est bien, oui. Steve Orlando finit classiquement sa saga, assez bonne et agréable. J'apprécie de voir les caractérisations entre Wanda, Pietro, Lorna et Darcy, et Wanda elle-même demeure très bien écrite. Jacopo Camagni livre des planches fluides, et en outre très jolies. Une bonne fin d'une bonne série au coeur d'un vrai bon run sur Wanda. |
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The Ultimates #4
Très bon. Deniz Camp confirme et amplifie la bonne impression laissée jusque-là avec un formidable épisode sur ce Doom, un Reed Ultimate maltraité et torturé par le Maker qui, malgré le traumatisme, s'est retourné contre lui avec Iron Lad. Mais qu'a-t-il vécu ? On l'apprend ici, et c'est autant terrible que bien fait. Au présent, Doom voit des images des Fantastiques qui auraient dû advenir sans l'intervention du Maker, et enrage car il ne parvient pas à reproduire les rayons cosmiques sur des souris qui en survivent. Iron Lad le voit s'enfermer dedans et s'inquiète, avant une dispute car Tony refuse que Doom utilise la machine temporelle. En flashback, on voit ce Reed qui saute des classes et rencontre un Ben Grimm plus âgé à la fac, puis Sue, mais le père de celle-ci refuse leur projet de fusée pour des raisons financières. La navette demandait neuf pilotes, quatre suffiraient, Ben accepte pour être digne de son père et grand-père pilotes héroïques et Reed impose Johnny pour faire le nombre. Mais... ses calculs sont erronés, le nuage de rayons cosmiques n'est pas là et C'est fort. Deniz Camp livre un numéro intense, bien équilibré sur les narrations et avec une approche dépressive totale. L'influence du Maker est essentiellement invisible, on ne le voit pas agir mais on sent qu'il est derrière les échecs et malchances. Sa torture de ce Reed est rude, et le final est prenant mais aussi marquant car on sent que ce Doom peut flancher très vite. Le trait froid et l'ambiance étrange des dessins de Phil Noto fonctionnent très bien ici. Un très bon épisode et une très bonne version de Reed et Doom (avec de bonnes idées pour que le premier corresponde aux principes du second [l'erreur de calcul, le visage, l'acharnement...]). |
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Exceptional X-Men #1
Un bon numéro, qui surtout remet Kitty sur pieds. Eve L. Ewing, qui ne m'a pas convaincu jusque-là, concentre son premier épisode sur Kitty, qui a renoncé à une vie de Mutante assumée et vivote comme barmaid en se faisant appeler Kate et en vivant avec une ancienne camarade étudiante. Elle se force à travailler tout le temps, car chaque pause la ramène à Krakoa, à ce qu'elle a fait sur la fin et ça vire en crise de panique. A un rendez-vous manqué, elle voit une jeune fille empêchée d'entrer à un concert pour pré ado et activer ses pouvoirs Mutants. Elle la sauve d'un agent de sécurité puis l'amène en sécurité, et incarne un exemple pour elle. Elle assume de s'appeler à nouveau Kitty, puis continue de vivoter, mais... Emma a besoin d'un leader de X-Men, et la choisit car si Kitty s'est fait oublier des autres, elle ne l'a pas oubliée ! C'est efficace. J'apprécie que Eve L. Ewing prenne le temps d'un épisode entier pour "ramener" Kitty, elle qui était devenue la mortelle Shadowkat pour liquider quantité de sbires Orchis. Ça ne révolutionne rien mais l'ensemble fonctionne, avec surtout des dessins superbes et une très belle ambiance de Carmen Carnero. Un bon épisode et surtout un bon travail sur Kitty. |
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Hâte de le lire, il est juste à côté de moi (juste reçu).
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Hate de découvrir cela en VF.... en 2025
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Entre 2 EPIC, je lis quelques Issues , avec un peu de retard...
Oui, je rejoins vos 2 avis, bien meilleur que le (Adjectivless) X-Men de Mckay. Gail Simone nous montre qu 'elle aime et connait les personnages, et elle suit (en pôle position) le status - on n'est pas des X-Men, il n'y a plus de X-Men ... Un noyau se monte autour de Rogue et Gambit (Wolvie semble être omniprésent dans tous les titres ) Avec un Nightcrawler qui veux rester en retrait (et Jubilee qui arrivera plus tard). Bien écrit, bien menée, action et repos bien dosés, et exposition rondement menée... Je vais attendre de voir ou cela va mener (car un premier X-Over pointe son nez).
Alors que la, pas du tout le même ressenti... Russell est pourtant un scénariste qui moi , me plait bcp et dont j'achète quasi la totalité des titres... Mais la ... On est dans une redite du premier X-Force version X-Static, avec un saupoudrage de lien avec l'armée à l'arrière plan , armée qui veut se débarasser des mutants.. et les médias qui vont en faire du Spectacle (comme Milligan et Allred l'ont bien fait). Plusieurs éléments m'ont sortis de l'histoire: - le fait que havok ai été mort et ramené à la vie dans un 'non comics' (infinity comic) - - puis cette histoire (reprise dans d'autres séries vu tes notes) Je ne suis pas Lorna, je suis Polaris, et toi tu es Havok,.. non moi je suis Alex !!! De Déshumanisation des personnages (voulue) des noms de code et pas d idetnité.. mais ca reste aussi ce que j'ai ressenti à la lecture de cet épisode , aucun développement, ni lien d'attache n'est créé avec aucune des futures victimes, la ou Gail Simone développait les lien, la caractérisation, la c'est vide (je ne suis pas Rusty Collins, je suis Firefist, et ne parlons pas de Xyber, Cameo, ni même de McCloud.. qui n'ont aucune identité) ... créés pour mourir (ou presque) je vais lire jusque au 3 ou 4, mais ce premier numéro ne m'a pas du tout convaincu ... (et la prochaine victime est Mme Pomme) Il me semble que c'est Scarlet qui parlait d un coté Suicide Squad, je n 'ai pas trouvé, le Suicide Squad -> ils participent pour gagner leur liberté (ou imposé avec une bombe pour les contrôler), la ils participent pour devenir des stars et que l'on ne les hait pas... (c'est pas l'une des bases du Superstar de Busiek et Immonen? -- et c'est aussi l'une des raisons d'être des gladiateurs dans Dazzler / New Mutants). Le dessin de Bob Quinn ne m'a pas aidé (non plus).
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Shoot Shoot don't talk |
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Ultimate Black Panther #8
Décompression extrême. Bryan Hill livre un numéro bien trop rapide car bien trop vide. On voit en effet une bataille presque silencieuse entre le Wakanda et les forces de Khonshu, T'Challa étant attaqué puis blessé par un Moon Knight doté d'une larme liée à la matière mysterieyse. Il s'effondre, cauchemarde, passe des jours à délirer et s'éveille en ayant compris que le Vibranium est vivant... et en pouvant lui "demander" des choses, comme de venir à sa main en cas d'appel. En parallèle, Ororo et Killmonger interrogent brutalement un mage à la recherche du Sorcier Suprême. C'est lent, hein. Certes, la bataille quasi silencieuse permet à Stefano Caselli de livrer de belles planches et l'effet est réussi, mais c'est bien trop décompressé et les nouveautés sont faibles. Ça se lit, mais ça prend bien trop son temps. Décevant dans sa décompression abusive. |
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Absolute Power: Task Force VII #6
Un bon épisode. Stephanie Williams montre comment, après le tie-in Super Son pas encore sorti (super planning, DC), Amanda Waller envoie le robot Amazo ayant affronté Diana sur Themyscira pour châtier les Amazones après C'est bien, oui. Stephanie Williams en fait un peu trop sur l'appréhension des Amazones avant l'attaque, mais le plan de Waller est bon et l'ensemble est fluide, prenant. Les dessins de Khary Randolph sont corrects mais guère reluisants. Un bon épisode sur une bonne idée. |
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Batman: Gotham by Gaslight - The Kryptonian Age #4
Très bon, encore. Andy Diggle continue ses adaptations amusantes et prenantes, avec d'abord le passage obligé où cet Alan Scott filou survit à un accident de train et obtient l'anneau mystique recherché par la Ligue des Ombres de sa vieille propriétaire, avec la première illustration d'une prophétie brutale sur son utilisation. On enchaîne avec une réception violente à Gotham d'un cargo amenant des produits illégaux, où The Bat confronte le capitaine qui avait amené la Ligue car il veut en savoir plus. Adam Strange ramène Diana vers l'Amérique, et elle profite du long voyage pour apprendre la langue et la culture, en tapant quelques hommes mal intentionnés à son égard. A Metropolis, on découvre la journaliste acharnée Lois Lane qui veut empêcher le rachat du Daily Planet par Lex Luthor, et elle convainc Perry White de l'envoyer au Kansas dans une mine que Lex a ouvert pour de mystérieuses recherches. Là-bas, le jeune scientifique Victor Stone est reçu avec quelques honneurs car Lex veut en faire son assistant dans de sombres recherches... C'est très bien, oui. Andy Diggle gère très bien son récit, où The Bat est présent mais pas principal. C'est cool de voir ce développement d'un univers DC dans ce contexte, les réinventions sont cool et l'ensemble est prenant. Avec un Leandro Fernandez inspiré, qui croque de belles planches et de bons designs. Le plaisir continue ! |
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Batman and Robin #13
Un bon final, plus pour le run de Joshua Williamson sur Damian d'ailleurs. Le scénariste gère la bagarre sur Dinosaur Island, où Robin dopé au Venom modifié par Kobra est empêché par Batman de s'en prendre à Bane, qui veut assumer ses crimes malgré la rage de sa fille Vengeance. Tous s'en prennent à Kobra, Bane aide Vengeance à fuir et revient se rendre après que Nobody ait ramené de l'anti Venom et que Bruce ait calmé son fils en tant que père. Bane se laisse emprisonner, Damian avance en étant interrogé sur qui il est par le nouveau conseiller scolaire, ce qui mène à une introspection et la conclusion qu'il est... aimé. Nobody va protéger Lazarus Island avec Goliath, et le Dynamique Duo continue dans Gotham ! C'est bien. Joshua Williamson évacue la lutte contre la famille Bane, c'est survolé mais cohérent et surtout ça permet un bon portrait final sur Damian. Certes, l'on peut se dire que le scénariste a détourné voire déformé Damian qui a perdu son sel et son côté gnome irritant pour en faire un quasi Tim bis, mais... je préfère apprécier une évolution que je juge cohérente et bien menée. Juan Ferreyra assure avec des dessins dynamiques et fort jolis, surtout une belle double page sur la fin. Une belle conclusion d'un bon run sur Damian. |
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Green Lantern #15
Très bon, encore. Jeremy Adams achève efficacement son tie-in à Absolute Power et avance ses pions. Wally emmène Hal dans une cache secrète de Batman (une île, évidemment) pour voler un super Batplane expérimental et dangereux. Ils filent au Hall of Order, Hal y attaque Major Force et l'attire pour permettre à Wally de passer. Jordan tente de revenir à la Batterie Centrale cachée mais l'avion est abattu - sauf que Jadestone, l'Amazo ayant absorbé la Starheart et acceptant les conseils d'Alan Scott, décide de bien agir, stoppe Major Force, sauve Hal et devient le Nouveau Gardien de la Batterie. Hal se recharge, Carol le rejoint après avoir aidé Dove et affronté Sorrow, son ex devenu possédé par le chagrin et l'émotion associée. Carol veut alors devenir une héroïne avec Hal. C'est bien, oui. La suite promet la bagarre avec les United Planets, et l'union avec John Stewart dont le Green Lantern War Journal a un épilogue en back-up (par Phillip Kennedy Johnson et Montos, sans briller mais sans fauter). Ça promet du bon, et c'est déjà bon ici, avec un tie-in réussi et de bons apports. J'aime le travail sur Carol (même si Sorrow a un look too much), et surtout ce Hal aventureux mais cool. Fernando Pasarin assure aux dessins et j'aime son style. Du très bon, vivement la suite ! |
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Shazam! #15
Super épisode. Josie Campbell livre un très bon numéro, qui conclue bien des éléments avec brio pour redonner un élan positif et inspirant. King Kull attaque la Terre en étant aidé par des êtres mystérieux, Mary Marvel lutte mais galère, alors que Oncle Duddley tente de bien faire, comme le reste de la fratrie. Freddy cherche à aider, alors que Billy découvre que le bébé est Zeus enfant, qui fuit son père Chronos. C'est en fait un souvenir intégré dans le Rocher d'éternité, celui où Zeus a fini par lutter contre Chronos avec l'aide des Nymphes, car il a trouvé en lui la force d'agir pour ceux qu'il aime. Cela inspire Billy, qui est confronté par The Captain qui n'est pas différent mais son lui plus âgé, donc plus sage. Billy accepte d'être digne même s'il n'est pas parfait, même s'il commet des erreurs. Il fusionne avec The Captain, sauve la ville qui s'enfonçait... alors que Freddy a soudain des pouvoirs Shazam via un artefact mystérieux ! J'aime beaucoup, oui. Josie Campbell conclue des aspects bien préparés, j'apprécie beaucoup comment tout prend sens, comment les dieux et The Captain ne sont en fait pas des ennemis de Billy mais des alliés devant l'aider à évoluer. C'est simple, fort, cohérent et juste, avec étalement le plaisir de voir Freddy évoluer. Emanuela Lupacchino assure dans des dessins ultra agréables et dynamiques. Très, très réussi et charmant. |
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Vengeance of the Moon Knight #9
Un final qui n'en est pas un, c'est même moins un tremplin vers le nouveau volume qu'un bon épisode de mise au point, dans la lignée de l'approche jusque-là et qui me plaît beaucoup. Jed McKay montre en effet comment Marc Spector se réhabitue à la vie après sa résurrection, et surtout comment il gère l'ordre de Khonshu de tuer The Shroud, l'usurpateur du nom de Moon Knight qui est une mission divine. Khonshu "tient" Marc car, dans les #11-12 du précédent volume, Khonshu avait fait une fleur à Marc pour sauver Reese. Il poursuit The Shroud, le force à remettre le costume pour l'affronter et le tuer, devant Hunter's Moon. Il exhibe ensuite le costume de The Shroud en MK dans le Bar Sans Nom, pour acter son retour et confirmer qu'il fait une "fleur" en stoppant ce justicier plus violent encore. Sauf que... Hunter's Moon est médecin et a réanimé The Shroud, Khonshu n'aime pas mais Marc fait passer la pilule et reprend sa missio globale ! C'est bien, oui. Jed McKay ne range rien et ne révolutionne rien, car rien n'est fini, mais il gère bien la fin du passage The Shroud et le coup à Khonshu est bon. C'est fluide et efficace, avec surtout de superbes dessins de Devmalya Pramanik, très élégants et dynamiques. Un bon épisode, vivement le prochain volume même si ces relances sont cosmétiques. |
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Avengers Assemble #1
Un bon lancement ! Habituellement déçu par Steve Orlando, hormis sur son run très bon sur Scarlet Witch, je suis agréablement surpris par un lancement correct et réussi. On voit en effet Cap évoquer avec Jarvis le principe d'une équipe Avengers répondant aux alertes immédiates, pour être sur la brèche, et il les faut déjà en Allemagne où Sin a pris un masque de déesse de la haine et la diffuse. Cap mène Janet Van Dyne, Monica Rambeau et Shang Chi là-bas, alors que le reste de l'équipe arrive après au Manoir et joue au poker en attendant un autre appel. En Allemagne, des membres de la Secret Society suivent le plan d'un nouveau chef suivant un Maître mystérieux, qui les fait dérober des choses pendant les crises, pour ne pas être pris. Les quatre Avengers galèrent, sont soumis à la haine mais se libèrent et Photon fracasse le casque en venant vite et fort avec le bouclier de Cap. Sin disparaît... mais, ailleurs, on apprend que le Maître derrière la Secret Society est un autre grand serpent, C'est bien, oui. Simple et efficace, avec une intrigue ramassée en un épisode classique mais bien mené. Steve Orlando n'invente rien mais gère bien, avec de bons moments et des personnages bien animés. C'est agréable d'avoir une approche aussi directe et prenante, avec des dessins sobres et corrects de Cory Smith. J'apprécie aussi les références de continuité, via le final bien sûr mais aussi des échanges entre joueurs ; c'est plaisant. Un lancement efficace et plaisant. |
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Wolverine #1
Pas mauvais, mais pas bon ; et je ne suis pas sûr de continuer longtemps si ça reste ainsi. On voit un Logan qui s'est abandonné depuis des mois (ah ?) dans une meute de loups, hélas massacrée dans son dos par Cyber qui profite de cette solitude pour bouloir se venger. Cyber tue aussi des campeurs passant par là, alors que Nightcrawler vient tenter de ramener Logan. Les massacres le forcent remettre le costume, Kurt se fait blesser par une balle, Logan retrouve et tabasse Cyber mais le laisse partir quand ce dernier évoque le risque sur Kurt. Ce dernier va vivre, mais Cyber semble happé par une sorte de métal doré réveillé par le choc Adamantium sur Adamantium. C'est pas fou, hein. Saladin Ahmed livre un récit correct mais pas emballant, déjà vu, que ça soit sur la fuite de Logan vers la vie sauvage, les massacres par vengeance, l'ami blessé, etc. Ce n'est pas désagréable mais très attendu, trop attendu même, bien que les dessins de Martin Coccolo soient agréables à l'oeil. Tristement déjà vu mais correct en soi, sans emballer. |
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