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Merv Pumpkinhead - Agent of Dream: Netflix oblige, j'ai ressorti ce prestige format stand alone de 2000.
Merv est un des personnages secondaire les plus attachants de Sandman, il est l'homme d'entretien de la bibliothèque du monde des rêves. Ici il va être sur le devant de la scène pour une aventure d'espionnage. Enfin de l'espionnage à la James Bond, ce qui inclut gadget, voiture de marque, cocktail et playmate. Le ton est donc celui de la parodie, pas d'autre message que celui de passer un bon moment. A noter que c'est la première collaboration Willingham/Buckingham, qui annonce une entente qui mènera aux belles heures de Fables. Si vous connaissez Sandman par la série VOD ou que vous vous lancez dans la lecture de l'œuvre de Gaiman, un conseil: ignorez ce one-shot. Il est bien ancré dans la continuité du Dreaming, et de nombreux spoilers vont vous gâcher la surprise des événements à venir. Sinon si vous n'avez pas peur, allez-y, c'est fun pour du Vertigo. PS: qu'est-ce que je suis bien content de l'avoir signé par Buckingham et Nowlan! Dernière modification par EsseJi ; 18/08/2022 à 09h40. |
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Aujourd'hui seule journée de repos de la semaine, j'en profite pour me refaire toute la Sinestro War. Miam!
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Il va falloir que je le trouve!
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Captain America Annual #8: claws & shield.
Classique s'il en est, à la cover swipé maintes fois, et toujours un plaisir de lecture que ce stand alone de 1986. Wolvy et Cap mènent chacun une enquête qui va les rassembler. De son côté le griffu cherche à comprendre l'agression d'un mutant par un robot, de l'autre le vengeur étoilé découvre un bunker secret au cœur de l'Amérique. L'enjeu sera l'adamantium et la peur d'une guerre nucléaire au milieu des années 80. Du pur Gruenwald/Zeck épaulés par Beatty et Rubinstein (ce dernier n'est pas officiellement aux crédits mais a droit à un remerciement à la fin de l'épisode). C'est à dire une équipe d'auteurs qui est désormais sacralisé, et cet épisode est la somme de leur talent qui mènera à leur succès. Une lecture fluide, un récit qui a tout des codes du comics de slip de la moitié des eighties, aucun faux-pas, on aurait là la définition du classique. A noter que cet annual voit la première apparition de Tess-One, une arme anti-super soldier, qu'on reverra l'année suivante dans Avengers membre d'une équipe de robots. Une réplique à la fin amuse le fanboy, Cap n'est pas fan des méthodes de Wolverine: "jamais tu ne seras Avengers", lui dit-il. Note: d'après comicsvf, il semblerait que cet épisode soit encore à ce jour inédit en France. Dernière modification par EsseJi ; 22/08/2022 à 09h11. |
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il est encre plus interressant à lire en le lisant à la suite ou avant Uncanny 268 ^^
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Shoot Shoot don't talk |
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Oui forcément j'y ai pensé, mais ça ne colle pas trop, c'est le problème des histoires à continuité retro-active.
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Pour ce soir je me suis ressorti The Eighth Seal chez IDW par Tynion avant qu'il ne devienne LE Tynion.
Plus trop de souvenirs sauf peut-être que je n'avais pas trouvé ça si réussi, on verra. |
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Oui c'est vrai, il fallait que je vous parle de cette relecture de The Eighth Seal, qui n'est pas très convaincante.
Le premier épisode plante le décor, et on voit où ça peut aller. En l'occurrence, c'est l'histoire d'une first lady possédée pour faire tomber l'administration de son époux, un complot pour prendre le pouvoir aux USA par un cercle d'adeptes de magie noire. Le deuxième confirme le pitch, et jusqu'au 5 il traine en longueur sans réels changements au plan. Le gros souci vient du #5 qui nous laisse à la dernière page avec un "The End.... for now?". Alors soit c'est une véritable fin ouverte, ou Tynion n'a jamais pris la peine de terminer son récit. On se pose la question, car à l'époque l'auteur aimait ces histoires qui se terminaient mal, mais sur Memetic ou Cognetic on avait une fin, pas une fin heureuse, mais une fin tout de même. Là même pas, on reste sur sa faim, et trop est laissé à l'interprétation du lecteur. Niveau dessin, on est mitigé. autant les personnages de Jeremy Rock sont froids que ses monstres sont très réussis. Un grand écart qui rend la lecture particulière. Je me souviens alors pourquoi je gardais un goût de peu mieux faire pour cette mini. |
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Et sinon, qui est le personnage gay du casting?
Plus sérieusement, Jeremy Rock? Le gars n'a pas dû percer car son nom ne me dit rien du tout.
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Tout de suite, les clichés sur les tics d'écriture.... bon d'accord c'est le chef de la sécurité de la first lady.
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Profiter de la série She-Hulk pour ressortir le Monster Miss Hulk "A armes inégales" paru en 2005 chez Panini par Dan Slott, Juan Bibillo et Paul Pelletier : toujours un pied énorme et l'impression de (re)découvrir des choses quand on sait ce qu'il se passe après!
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oui
j ai relu par l intermédiaire du nouveau deluxe et c est exactement ce que j ai ressnti à la lecture |
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Secret Identities #1-7: mais quel gâchis!
Sans nul doute l'une des meilleures série de super-héros des années 2010, sacrifiée sur l'autel des chiffres de vente. Comme dans mon souvenir c'était parfait. De la présentation des personnages, au contexte, en allant jusque tous les plots, une mécanique bien huilée. Si ça avait été un titre big two, il aurait eu une meilleure exposition, mais voilà la seule chose qui lui donnait de l'intérêt à sa publication est le fait de Jay Faerber soit co-scénariste, et encore pas mal de lecteurs ignorent encore l'existence de Noble Causes. Une preuve que cette série avait tout d'une grande à l'écriture: son dernier épisode. Bouclé dans une précipitation éditoriale car le dernier que Image allait sortir, mais pas du tout bâclé! Pas un sub-plot lancé n'est oublié, tout est fini, le lecteur qui s'était lancé dans le titre est respecté par les auteurs. Au final, Secret Identities restera à jamais une maxi, une excellente maxi, mais jamais elle n'a pu devenir une grande ongoing qui aurait rejoint un Starman dans le panthéon du super-héros bien fait. Cette relecture est restée passionnante, même si je savais à quelle déconvenue j'allais m'exposer. |
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Et je te rejoins sur le fait que Noble Causes est une sacrée serie
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