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Aquamen #6
Gros épisode de transition, où Chuck Brown & Brandon Thomas mettent en avant une "envie" des gouvernements de la Surface de faire payer à Atlantis les attaques d'espions activés, alors que Steve Trevor essaye de calmer tout le monde. Jackson et son père se rapprochent, on voit plus les "gens" d'Atlantis. On voit aussi que Tula et Garth sont ensemble, et Arthur et Mera tentent d'aller au-delà de leurs troubles. Mais... Mais ça se finit sur l'annonce de la mort d'Arthur dans Justice League #75. Et ça rend très bien, avec une très belle planche de Max Raynor, entre Mera et Jackson. Un épisode de transition et d'émotion, mais qui retombe "à plat" car le choc de JL #75 a déjà quelques semaines, et on a eu le segment Aquaman dans World Without The Justice League montrant qu'il n'est pas vraiment mort. Dommage, ça vient tard, mais c'est sympa', bien que rien n'avance. Strange #4 C'est cool. Jed McKay semble vraiment s'amuser avec Clea en Sorcière Suprême de la Terre, et ça me plaît beaucoup. Ici, elle reçoit "difficilement" Umar, sa mère, "fière" non pas uniquement de son nouveau titre, mais surtout "fière" parce que Umar est persuadée que Clea a piégé Stephen pour prendre sa place. En parallèle, le Blasphemy Cartel attaque, Umar s'en occupe brutalement alors qu'un nouveau décédé passe aussi (ici Shadow Knight, le frère de Moon Knight). Clea parvient à le vaincre, mais le Harvestman finit par arriver. C'est cool, oui. Tout ça est fluide, drôle, pertinent et assez fun. J'aime beaucoup la caractérisation de Clea, j'aime bien les interactions, et l'ensemble est très prenant et fluide. Marcelo Ferreira livre des planches solides, qui font une bonne narration, mais ne sont pas forcément "jolies". Une bonne BD, divertissante et fun dans l'approche du Sorcier Suprême. Vivement la suite ! |
#452
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Ant-Man #1
Sympathique. Al Ewing lance une petite mini-série agréable, avec un mystérieux Ant-Man du futur qui vient dans le passé chercher les précédents Ant-Men. Il commence avec Hank Pym à "la grande époque", avec une belle atmosphère des 50s/60s, notamment dans la caractérisation des super-vilains et de Janet. Une bonne plongée dans le passé, avec une union de super-vilains un peu nazes vaincus par un Hank habile. Finalement, le mystérieux Ant-Man l'emmène, pour sauver... l'Univers, évidemment. Un épisode sympathique, plus exercice de style réussi que grande saga qui se lance. Tout ça est fluide, pertinent, ça rappelle de bons souvenirs et c'est cool. Tom Reilly singe en effet Don Heck, c'est sympa' et réussi, encore une fois. Ca ne révolutionne rien, mais c'est un bel hommage ; mais plus à une période qu'à Hank Pym lui-même. Captain America : Symbol of Truth #3 Sympa', mais un peu trop décompressé, avec des éléments un peu déconnectés entre eux. Tochi Onyebuchi livre un épisode avec plusieurs éléments qui, en soi, sont agréables, mais n'ont pas beaucoup de liens entre eux. Côté Sam, son passage en Latvérie est complètement artificiel, comme l'échange avec Deadpool, qui met sur la piste du Vibranium. Le contact entre Sam et le Wakanda reprend bien les éléments de la série actuelle Black Panther, et le White Wolf continue de manipuler l'ensemble, pour un but mystérieux. En parallèle, le nouveau Faucon essaye d'en apprendre plus sur les événements, mais se fait piéger, comme sa cousine. Bon, ça se lit bien, hein. Mais les deux intrigues sont quand même déconnectées, même si les thèmes et quelques personnages sont proches. L'ensemble, cependant, ne se lit pas de manière fluide, hélas, car les passages semblent hachés, trop coupés entre eux. D'autant que, oui, le passage de Sam en Latvérie est bien artificiel, et ça sonne un peu naze. RB Silva, lui, livre de jolies planches, bien dynamiques et agréables. Mais les couleurs sont un peu pâles, un peu délavées, et c'est dommage. J'aime bien l'atmosphère de la série, mais ce que ça raconte, et comment ça le raconte, me semble assez maladroit. |
#453
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The Variants #2
C'est étrange. Gail Simone livre une saga qui, en fait, donne l'impression d'avoir deux intrigues en une. D'un côté, il y a l'élément central, Jessica qui comprend que Purple Man aurait "piégé" son inconscient pour que, dix ans après la fin de son contrôle, elle agisse violemment contre ses proches, comme vengeance. Et, de l'autre, il y a ces étonnantes Variantes : une Jessica pré-Luke Cage (a priori en couple avec Daredevil, chez elle), une Jessica Captain America, et une Jessica Jewell. Et bon... ça ne fonctionne pas des masses, en fait. L'intrigue principal est "redondante" avec l'historique de Jessica, mais ça a du sens, quand même, et c'est plutôt une bonne idée. L'élément sur les Variantes est artificiel, encore, et c'est surtout un ajout artificiel, ici. Ca se lit, mais les passages sur les Variantes alourdissent l'ensemble. Phil Noto livre de belles planches, dans une ambiance irréelle qui fonctionne bien. Une saga hybride, qui se marche sur les pieds. The Wrong Earth : Meat #1 Un bon one-shot, scénarisé par Tom Peyer lui-même. Ici, Dragonfly sur Terre-Omega retrouve un criminel et un gamin paumé qui l'accompagne dans un abattoir désaffecté. Dragonfly tabasse salement le premier, et se confie longuement au second... car cela ne fait que quelques jours, alors, que Stringer s'est suicidé. Dragonfly lui dit tout, lui donne de l'argent et le laisse partir, en espérant que ça l'aidera de "bien agir", sans violence. Il fait d'autres actes, et En parallèle, Dragonflyman et Stinger, sur Terre-Alpha, stoppent le Dr Meat, mais Stinger a un coup à la tête et cauchemarde sur une vie où Dragonflyman se débarrasserait de lui. Bon, Tom Peyer livre surtout un superbe segment sur Dragonfly, très touchant avec une fin cynique terrible. Le passage Dragonflyman est plus lourd, car finalement le scénariste n'a pas grand-chose à dire. Greg Scott propose des planches très travaillées, avec une belle ambiance, à la Michael Lark. Un bon one-shot, mais surtout une très belle description de Dragonfly, mon "préféré" finalement. |
#454
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Achetez NewThink
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Aquamen #6 est le dernier de la série, hein
Il y aura sûrement un titre en 2023 pour le film et post-Dark Crisis on Infinite Earths.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Mince, je n'avais pas fait attention ! Dommage, ça fonctionnait pas mal.
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#457
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Dark Crisis on Infinite Earths #3
J'aime bien. Joshua Williamson poursuit "doucement" sa saga - et c'est un peu un souci, en soi, mais ça se lit bien. Ici, les Titans se remettent très difficilement de l'attaque de Deathstroke et de sa Société, qui continue de poursuivre des jeunes super-héros partout dans le monde. Les Titans les plus âgés s'organisent un peu, alors que la Justice League de Jon, dirigée par Black Adam, colmate les brèches, alors que le téléporteur Wrap envoie plein de super-vilains partout. Black Adam veut envoyer un "message" en tuant le Comte Vertigo et en exhibant son cadavre devant le Hall de Justice (super). Le ton monte, Yara Flor vient l'empêcher, alors que cette nouvelle JL se sépare, car Damian annonce que Deathstroke "devrait" désormais attaquer les familles des super-héros. Jon et Damian s'engueulent, en venant à se dire qu'une Ligue n'est peut-être plus utile... et la JSA débarque, pour proposer son aide. Dans l'intervalle, Hal et le Corps arrivent chez Nekron, où ils découvrent une grande Batterie Noire. Hal, Kyle et Jo y rentrent, sont happés par Pariah qui "absorbe" Hal (qui se rend compte que les super-héros de la JL ne sont pas utilisés par The Great Darkness pour recréer des mondes... mais des armes). Enfin, Black Adam va rejoindre la Legion of Doom de Lex Luthor pour mettre fin aux agissements de la Société et de Deathstroke, confronté chez lui par Rose ; Slade "libère" une noirceur de lui-même, qui absorbe ses membres proches de la Société... C'est bien, oui. Joshua Williamson continue de bien bouger ses pièces, en tirant les fils des éléments déjà posés. C'est bien fichu, il y a quelques bons moments, mais... bon, le rythme n'est pas intense, hein. Il n'y a pas de gros moment épique, de grosse surprise, de gros moment. La dispute de Black Adam avec la JL est sage, idem pour celle entre Jon et Damian. Le Corps laisse filer un trio dans une Batterie Noire, et fait tapisserie ensuite. Reste ce joli cliffhanger. Ca se lit, oui, et c'est joli car Daniel Sampere assure. Il livre de belles planches, et je trouve qu'il est très bon, ici. C'est bien. Mais ça manque d'intensité, de nervosité, de drama ; de grandeur. Flashpoint Beyond #2 Efficace et surprenant. Geoff Johns, Tim Sheridan et Jeremy Adams continuent leur saga, avec ici Thomas qui autopsie Eobard Thawne pour comprendre comment il peut être là, et son lien avec le Clockwork Killer. Alors que des bulletins d'information nous en apprennent plus, sur la disparition de Ted Knight à l'envoi d'une Suicide Squad contre les Amazones en Europe, le jeune fils des Dent échappe à Cobblepott, découvre la Batcave... et file à Arkham, pour en sortir sa mère, défigurée et folle. Thomas s'en fiche, comprend que le Clockwork Killer est lié à lui. Le gamin reçoit un refus de sa mère, car quelqu'un l'aide ici - la même personne que Thomas a identifiée : C'est bien, oui. L'attitude de Thomas choque, mais ce dernier considère déjà que le monde qui l'entoure, et ceux qui y sont, n'existent plus, car il veut ramener le monde de Bruce... qui lui-même essaye de faire vivre de manière pérenne Thomas. C'est bien fichu, la tension du monde Flashpoint est agréable à retrouver, et le cliffhanger m'a bluffé (même s'il va falloir bosser la raison de ce retour). C'est agréable, pas forcément méga ambitieux, mais divertissant. Xermanico livre de belles planches, avec une ambiance oppressante, alors que Mikel Janin fait peu, et se réfugie derrière de gros effets visuels. Sympathique et agréable, pour quiconque a apprécié Flashpoint. The New Champion of Shazam! #1 Sympathique. Josie Campbell et Doc Shaner proposent un lancement mignon et agréable, avec une bonne caractérisation d'une Mary qui prend "enfin" son envol, en quittant la maison pour l'université. Le contact avec ses colocs est intense, mais ça va... jusqu'à ce qu'un lapin lui parle (!) pour lui dire que Billy, coincé au Rocher d'Eternité, "voit" de futures menaces, et lui confie seule le pouvoir de Shazam. Mary refuse, puis doit agir, mais est ensuite interpellée par la police... car ses parents adoptifs ont disparu ! C'est sympathique, oui. C'est divertissant, bondissant, agréable. Ca donne le sourire, ce n'est pas méga ambitieux mais ça fait bien le job, et c'est une bonne chose de mettre Mary ainsi en avant. Ca ne révolutionne rien, mais ça se lit bien, et ça apporte une réelle fraîcheur. Bien sûr, le trait de Doc Shaner aide beaucoup, avec son style solide, poétique et inspirant, dans cette approche de ligne claire faisant référence au passé. Un bon début, pour sûrement une bonne p'tite saga, qui se sera fait attendre. Black Adam : The Justice Society Files - Cyclope #1 C'est pas brillant. Cavan Scott livre un récit assez faible sur Cyclone, qui balance une origine dans une voix-off un peu lourde, avant d'affronter un gamin transformé par une drogue. Hawkman, son héros d'enfance, vient la voir mais la timidité la pousse à refuser son offre de ramener la Justice Society (qui a disparu depuis des années apparemment). Enfin, pendant quelques instants, jusqu'à ce qu'elle s'en prenne à un flic corrompu, qu'elle arrête avec Hawkman. Hop, la JS revient ! En parallèle, Adrianna continue son enquête sur Intergang. Pour être synthétique : ça ne sert à rien, c'est mal fichu, mal raconté, mal mené et lourd. Le graphisme est très moyen, et l'ensemble ne donne ni envie d'en savoir plus sur cette JS, ni de voir Black Adam. Un nouvel objet promotionnel pour le cinéma bien raté. Dommage. |
#458
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Après avoir lu la fin de Reckoning War, il est clair que soit ça pouvait rester dans les cartons, soit Dan Slott aurait dû y mettre un peu de qualité.
Bazardé à l'extrême avec un artiste inconnu parachuté, ça s'appelle ranger les jouets avant le dernier numéro du run. Rarement épique, très bavard, générique au possible. En refermant, je me suis dit "Tout ça pour ça"....
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Pour moi, c'est la faute de Marvel : la saga demandait clairement plus d'épisodes, plus de temps, et de meilleurs dessinateurs.
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Vraiment du mal à se sentir impliqué.
Le coup de grâce, c'est la lune...
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Immortal X-Men #5
Bel épisode. Kieron Gillen se concentre sur Exodus, ici, avec un récit parallèle à AXE : Judgment Day #1, avec l'attaque des Eternels sur Krakoa et Arakko (un peu). Exodus a des flashbacks suite à l'attaque de l'Uni-Mind, et se remémore sa première rencontre avec Circé, dans le one-shot Black Knight : Exodus #1. Bon, évidemment, ça me fait plaisir de revoir Eobar Garington (contrôlé alors par Dane Whitman), mais c'est surtout bien fichu pour montrer l'essence de Bennett Du Paris. Un croyant absolu, qui cherche toujours une cause en laquelle croire ; et qui se fixe ici sur Krakoa et Hope, même s'il risque de changer. C'est bien fait, donc, et agréable. Peu d'éléments sur le Conseil Silencieux, mais un bon épisode sur un personnage tellement maltraité. Michele Bandini livre de belles planches, réussies et poétiques, même si les bagarres sont un peu confuses. Un bon numéro, une bonne analyse de personnage et un bon tie-in. Moon Knight #14 Un dialogue entre les trois personnalités de Moon Knight réussi, et sympathique. Jed McKay livre un numéro essentiellement basé sur un dialogue entre Marc, Steven et Jake, alors que les deux derniers exigent des comptes au premier suite aux événements de la série, mais aussi à la saga Avengers récente. En parallèle, Moon Knight erre dans les rues et se fait tabasser par les deux super-vilains engagés par le chef des vampires, mais ses alliés viennent l'aider. C'est bien fait. La confrontation entre les personnalités est fluide, intelligente, réussie. Ca ne révolutionne rien, mais ça fait très bien le job, et c'est agréable à suivre. Alessandro Capuccio continue son sans-faute sur la série, avec une belle ambiance, une belle atmosphère, même si parfois tout est un peu survolé. Une belle analyse de Moon Knight. X-Men Red #5 Vous avez été frustrés de ne pas voir l'attaque d'Uranos sur Mars / Arakko, dans AXE : Judgment Day #1 ? Vous allez être servis, ici ! Al Ewing révèle en effet comment "le pire des Eternels" s'en prend à Mars / Arakko, et ça fait mal. On a une succession d'exécutions lourdes, avec un Uranos qui rappelle vraiment (trop) Thanos, dans le style, la manière de se battre, l'arrogance, la suffisance et la brutalité. Bon, il tabasse tout le monde en vingt minutes, et fait "quelque chose" pendant les quarante qui lui restent ; à voir. Car, a priori, C'est bien fait. Brutal, violent, sanglant ; mais dynamique, fluide, et ça creuse encore bien le monde arakkii. Stefano Caselli propose de bonnes planches pour cela, même si ça aurait pu (et peut-être dû) être plus gore, pour marquer la chose. Un bon tie-in, avec quelques bonnes descriptions d'Arakko. Spider-Man 2099 : Exodus #5 C'est nul. Steve Orlando propose des X-Men nazes, avec Rogue qui survit encore sans raison, un jeune Cable mal écrit, et de nouveaux Mutants inintéressants. Les X-Men essayent de s'installer dans le Jardin autour du Céleste échoué, mais la Cabale arrive et Spider-Man va les aider. Su-per. C'est mal fichu, mal écrit, mal caractérisé et Kim Jacinto fait une toute, toute, toute petite prestation. Une vraie catastrophe. |
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Il y a trop peu de numéros. Pff. |
#463
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L'impression d'avoir u un autre titre. Même le dessin m'a semble bien rushé sur certaines pages (ne parlons pas des décors...).
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Amazing Spider-Man 7.
Alors les bons points... Ohlala mon petit Romita... Autre bon point... Il y a des références à l univers Marvel... J espère que tout va bien chez l éditeur et le scénariste et que tout le monde à surmonter ce choc. MJ explique à Peter que la tante Anna prends les médicaments de Krakoa... Spider-Man fait référence à l univers mutant.. comme ça gratuitement. C est beau. Après l intrigue avance mais ultra lentement. Cet épisode c est 3 scènes seulement. Alors ok le Vautour à vraiment l air d une menacé, ok je suis toujours intrigué par ce qu a fait Peter mais aussi le nouveau Norman mais aussi le statut de MJ même si en fait ça à l air tout simple comme solution mais bon c est vraiment très très lent. Et aussi scandale ils font références à un évènement du. Je cite déjà classique Amazing 900... Non mais vous l avez lu ?
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
#465
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Amazing Spider-Man 7.
Alors les bons points... Ohlala mon petit Romita... Autre bon point... Il y a des références à l univers Marvel... J espère que tout va bien chez l éditeur et le scénariste et que tout le monde à surmonter ce choc. MJ explique à Peter que la tante Anna prends les médicaments de Krakoa... Spider-Man fait référence à l univers mutant.. comme ça gratuitement. C est beau. Après l intrigue avance mais ultra lentement. Cet épisode c est 3 scènes seulement. Alors ok le Vautour à vraiment l air d une menacé, ok je suis toujours intrigué par ce qu a fait Peter mais aussi le nouveau Norman mais aussi le statut de MJ même si en fait ça à l air tout simple comme solution mais bon c est vraiment très très lent. Et aussi scandale ils font références à un évènement du. Je cite déjà classique Amazing 900... Non mais vous l avez lu ?
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