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Même dans la saison 9, tu apprécies Clara ?
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Je te redirai quand j'y serai
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Très bon 2e épisode spécial.
Il débute par l'un de ces petits moments historiques WTF, autant drôles que troublants, comme la reine Élisabeth haïssant le Docteur sans raison alors. Ici, c'est On embraye ensuite avec l'épisode lui-même, étouffant récit de SF où le Docteur et Donna sont abandonnés par le TARDIS dans un immense vaisseau spatial à la dérive... à la lisière de l'univers. Et des monstres rôdent. Bien sûr, ça rappelle le formidable épisode Midnight, mais aussi d'autres oppressants. Et c'est super. Russel T Davies assure dans une écriture étouffante, inventive, qui laisse la part belle à deux acteurs formidables dans plusieurs compositions intenses. Je retiens surtout les formidables interactions, avec un immense plaisir de retrouver la dynamique entre le Docteur et Donna. C'est beau, fort, juste et émouvant. J'apprécie aussi beaucoup ce 14e Docteur, qui garde l'essence et le style du 10e mais avec quelques apports. Des goûts sentimentaux nouveaux (qui "préparent" le 15e ?), mais aussi plus d'émotions libérées, comme cette crise de frustration et colère compréhensible et bienvenue. Et quelle prestation de David Tennant. Catherine Tate est top dans cette Donna moins énervée mais plus inquiète au quotidien, mais Tennant est formidable. Le revoir en Docteur est un plaisir absolu, avec cette capacité à alterner entre le pitre sympathique (mais pas guignol, comme Smith) et l'intransigeant déterminé, voire même le désespéré (sa réaction sur l'échange sur son vrai monde avec cette Donna, olalala). D'ailleurs, encore de beaux gestes de Davies envers Jodie Whittaker et Chibnall via les références à The Timeless Child et Flux. C'est noble et distingué, même si rappeler les Pond et River aurait eu du sens. Enfin, jolis effets spéciaux pour tout ceci, entre ces décors que j'adore et de très belles images (hormis le fonds vert visible sur l'immense couloir, mais ça passe et les effets des monstres sont forts). J'en viens à me dire que j'aurais sûrement trop peu de Donna et de ce Docteur avec l'au revoir à venir... et, en parlant d'au revoir, que dire de Wilfred. Hello again, old friend. Quelle émotion. Quel plaisir de retrouver tout ceci et cette qualité ! Vivement la suite. |
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Un épisode fort, grave, limite oppressant, avec les héros face à eux-mêmes et au néant.
Aux antipodes de l'épisode de la semaine dernière basé sur la famille, deux facettes en deux semaines de ce que peut être les aventures du Docteur et ses assistantes. |
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Il y a des petits comiques qui ne perdent pas de temps...
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Génial !
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Excellent !!
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Forever People Chronicles N° 2 : http://www.buzzcomics.net/showpost.p...99&postcount=8 |
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Oui ben 2 secondes, je termine la saison 2 de Capaldi.
J'ai un peu de retard. C'est génant de voir ce one-shot avant d'avoir vu tout le reste avant? |
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L’episode 2 parte de chose des saisons avec 13. À part un elements ça spoil assez peu car ils en disent assez peu.
Moi j’ai pas apprécier ce second épisode. Trop sombre. Très proche de midnight. Ainsi que des éléments de rebel flesh en plus sombre. Je n’arrive pas a avaler la fin, et mavity m?a paru très con et très lourd. |
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Non, c'est newbie-friendly. Ca peut "juste" te donner envie de voir les épisodes de 13th.
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Je suis perplexe sur le Special 3.
En fait, je valide l'idée sur le papier (d'autant que, sans mentir ou trop me vanter, j'avais évoqué l'idée principale avec un ami), mais la mise en oeuvre me déçoit. Beaucoup. En fait, je trouve le premier tiers et la moitié du deuxième très bons. La présentation du Toymaker en 1925 est flippante et prenante, la folie qui touche l'Humanité en 2023 est top, avec un parallèle très visible sur la pensée contemporaine ("moi j'ai raison, pas toi, je vais te taper et faire comme je veux"), mais qui fonctionne bien. Le passage chez UNIT est assez cool (bien que ça se sent qu'une série semble être en préparation), et le voyage en 1925 aussi. Les échanges sur ce Docteur usé, épuisé, qui aurait repris inconsciemment un visage connu La confrontation initiale avec le Toymaker est bonne, comme la peur du Docteur face à lui. Le retour en 2023 également, comme l'apparition Ensuite, je suis gêné, en fait. Déjà, avant, j'ai été lassé de la redite du Docteur et de Donna perdus dans des couloirs, isolés face à des menaces qu'ils doivent vaincre pour se retrouver ; si vite après le Special 2, c'est bof. Mais surtout... je suis extrêmement déçu du Toymaker. Très gros point noir. D'autant que l'ensemble manque de rythme. Si le premier tiers est bon, le deuxième fonctionne plutôt bien malgré la redite, mais ensuite... ensuite, ça patine sévère. Abordons clairement le sujet : oui, C'est abordé, donc, ça arrive et ça mène à quelques interactions sympathiques, mais le double duel final On arrive ainsi au final-final, avec là aussi des éléments qui me gênent. Déjà, c'est lent. Le rythme n'est pas top, c'est trop posé, trop didactique, au fond. Les acteurs jouent, j'aime notamment l'échange Ca mène à l'évidente décision que Les derniers moments à ce titre sont super lourds. Voir Pardon ?! Okay, je comprends l'idée, mais c'est au mieux maladroit, au mieux foiré et égocentrique de la part de Russel T Davies qui, même s'il a évoqué les Pond et Clara et Bill (cool moment d'ailleurs avec le Toymaker), semble dire que D'autant que, au fond, ces trois épisodes spéciaux font partie des 60 ans de la franchise. Et... quoi ? C'est tout ? Russel T Davies m'a plu sur ces trois épisodes globalement, en ramenant l'esprit de son approche qui m'a plu et me plaît encore. Mais... c'est tout ? Une adaptation de comics, une reprise d'intrigue SF flippante, et C'est tout ? Moffat n'a pas tout réussi, mais son épisode des 50 ans amenait trois Docteurs, en présentait un secret, finissait sur 13 Docteurs ensemble, et ramenait Gallifrey. C'était de l'anniversaire, ça. Là...? Très peu. Très, très peu. Trop peu. Même si l'idée est bien de reposer les bases de la série et, au fond, d'apporter une sorte de "conclusion" à 60 ans de continuité... okay, l'idée est bonne, c'est mignon sur le papier, c'est joli, méta et plutôt fin, mais l'exécution manque d'ampleur, de gigantisme, d'audace. Ca reste très, très limité comme mise en oeuvre, que ça soit par le manque de moyens (où sont Bon, je finis sur une bonne note : je suis emballé et excité par la suite, par ce Je suis curieux des possibles spin-offs (UNIT, En conclusion : bonnes idées en théorie, exécution faiblarde, manque d'ampleur, maladresses et redites... mais bon espoir pour la suite, grosse envie d'en voir plus, et un peu d'émotion pour le 14e et ce qu'il incarne, malgré là encore quelques gênes. C'est imparfait, et c'est dommage que les spéciaux finissent sur ça. Car ces trois épisodes sont ce qui m'a le plus plu sur la série depuis des années, voire même la fin de l'ère du 11e (je mets de côté la saison 10 de Capaldi, petit bijou perdu dans l'ère du 12e qui m'a très peu plu avant). |
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Sous les vivas de la foule :
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Cette séquence est juste énormissime !
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Friendly Neighborhood Blogueur sur Watchtower Comics |
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Une façon de rappeler que de l'autre côté de la Manche les Spice Girls restent mythiques.
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Bin, elles étaient au concert des JO 2012, elles ont marqué la (pop)culture anglaise.
Tout comme le Docteur dont le bruit du TARDIS était aussi entendu.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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allons-y !, exterminate !, séries tv |
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