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Et puis à la grande différence d'il y a 30 ans, pas de Al Milgrom. Une excellente lecture. |
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Purée j’ai trop hâte pour hero reborn
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Marc Bernardin est aussi (et pour moi surtout) le comparse de Kevin Smith dans "fatman beyond" émission/podcast filmé hebdomadaire sur youtube. Les 2 discutent et dissectent l'actualité "geeks" avec interviews etc...
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Le Fabien a ses raisons que la raison ignore. |
#350
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C'est pour l'instant une bonne surprise !
Etant un peu allergique à Kevin Smith, je l'ignorais. |
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X-Corp #1
Ah purée, je me suis fait chier. Je trouvais que l'idée de faire une série sur l'entreprise mutante, le côté commercialisation et capitalisme, c'est une bonne piste dans le contexte Krakoa. Tout comme de mettre Warren et Monet en dirigeants, c'est cool et intelligent, avec notamment leurs doubles-visages et leurs doutes et peurs. Sur le papier, c'est cool. A la lecture, c'est chiant. C'est long, en fait, et téléphoné. Monet et Angel travaillent ensemble, se cherchent un peu, font le bilan avec Xavier, puis on voit le détail de leurs agents (Madrox toujours maltraité, Trinary de X-Men Red) avant qu'un "méchant capitaliste" tente de s'en prendre à eux. Zéro surprise, donc, mais surtout beaucoup, beaucoup de lenteurs et de facilités. Je me suis clairement ennuyé à la lecture, et je trouve ça totalement convenu et... loupé. Mêler super-héros, géopolitique et capitalisme, c'est galère mais ça peut être super cool, comme Wildcats 3.0. Là, c'est totalement loupé. Et, en plus, assez moche avec un Alberto Foche qui alterne entre planches juste correctes, et dessins carrément foirés. Boarf. Un début qui m'a laissé froid. Je n'y reviendrais pas. Dommage. |
#352
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Batman and Scooby-Doo Mysteries (1)
Un titre all age, en Digital First.. Je n'attendais pas grand chose..et Cohen et Brizuela menent bien leur barque.. Une exposition sur les costumes de Batman est mise en place, lors de la préparation Bruce/Bat s'aperçoit que la paire de gants originale a été volé et remplacée par une copie de actuelle. Bruce appelle Mystery Incorporated à la rescousse ^^ et deux enquêtes paralleles vont etre menée, dans le présent et le passé ... Cohen explique les incohérences des paradoxes temporels avec humour .. je me demande parfois sur Brizuela ne recolle pas ses personnages et poses (Fred et Daphne) de pages / casse en pages/case.. Mais on a un lecture assez fun ... En restant sur les paradox temporels... Marjorie Finnegan Ennis et Sudzuka s'amusent... Une voleuse temporelle, son Compagnon réduit à une tête vivante,une fliquette qui poursuit les criminels temporels, des personnes qui espionnent la voleuse... David Bowie, Starman ... des oies-Gant de boxe, un donjon dans l'espace... de l'humopur décallé, des clins d'oeil... je suis fan ^^
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Shoot Shoot don't talk |
#353
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X-Factor #9
Quel gâchis. Ca se sent que Leah Williams se précipite pour finir ses intrigues, en fusionnant à l'arrache la saga de la Morrigan et du Mojoworld. Spoiler : ça ne fonctionne pas, hein. Enfin, ça passe mais c'est grossier et lourd. Dire soudain que la magie de la Morrigan ne peut être vaincue que par un guerrier dont les caractéristiques ne peuvent être que celles de Oh, il y a quelques bons moments comme le face-à-face Mojo/Magik ou bien la vie de groupe toujours aussi cool et agréable de X-Factor. Mais quel gâchis ! La série est vraiment excellente, la dynamique des personnages est super, les caractérisations sont tops et les dialogues sont drôles et émouvants. David Baldeon livre toujours de très bonnes planches, dans un style troublant qui fonctionne toujours bien ici. Pff. Monde de merde, pour cette annulation à venir et ce gâchis général. |
#354
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Geiger #2
Un numéro qui fait avancer l'intrigue en nous apportant des réponses, tout en nous laissant des questions en suspens. Dernière modification par captain Kimchi ; 16/05/2021 à 17h13. |
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J'ai fini par lire Superman : Year One (à cause d'un débat à la Kon sur le forum) et... j'ai bien aimé le premier volume. Il est très (trop ?) redondant côté sentiments mais j'ai aimé le travail de JRjr. Par contre, je me suis ennuyé sur les 2 et 3.
Je reste sur ma faim. Miller et Superman était une fausse bonne idée à mon avis. |
#356
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The Marvels #1: du Busiek en mode historien, son gros point fort. Une série qui tente le mélange de persos historiques de la maison des idées et de nouveaux, ce qui donne un parfum de Astro City chez Marvel. Surtout qu'ici l'histoire se présente sur une ligne temporelle allant de l'après guerre à nos jours, et là une question se pose: sommes-nous sur 616 ou alors dans un gros what if, qui aurait des mécanismes comme Spidey Life Story? Avec le temps qui s'écoulerait de la même façon que dans le monde réel.
Enfin point PaD pour Busiek pour ressortir un personnage fan-favorite en dépit de ses deux seules apparitions dans Spectacular Spider-Man Annual #5 & 6. Un comics qui se veut indépendant et porteur des seules intrigues qu'il amène, loin d'un potentiel tremplin à un event, très rassurant. |
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Justice League #61
J'ai du mal. J'aimerais aimer, pourtant. Vraiment. J'ai aimé Bendis sur Superman et Action Comics. J'ai aimé Naomi. J'ai trouvé des qualités à Leviathan. J'ai apprécié sa venue chez DC alors que, initialement, j'y étais réfractaire. Et j'espère sincèrement que son run sur JL sera bon. Mais là... j'ai du mal. C'est long, en fait, et chiant. Et lourd. Bendis retombe dans les pires clichés de ses New Avengers, avec énormément de décompression, des dialogues humoristiques qui tapent à côté, et une intrigue qui ne décolle pas. Bendis amène enfin mais à peine sa JL dans le monde de Naomi, et l'essentiel de l'épisode montre comment chaque membre réagit face aux bouseux locaux, alors que le super-vilain Brutus (débile) s'en prend à Superman puis Black Adam, tandis que les pouvoirs se détraquent. C'est chiant, bon sang. Même les interactions sont molles, entre vannes nazes, pseudo sérieux badass mal écrit et surtout des super-vilains complètement crétins. David Marquez livre de très belles planches, même si les couleurs aident à compenser les décors, mais... pff. J'aimerais aimer. Je veux y croire. Mais je m'ennuie, et c'est lourd, et ça commence vraiment à prouver que Bendis ne sait pas écrire des équipes "officielles", alors que ses titres solo (dont les récents sur Superman) ou ses équipes improvisées (l'époque Peter/Johnny Storm/Bobby Drake/Kitty d'USM ou la House of El récente) sont agréables à lire. |
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Nightwing #80
Fondamentalement, Tom Taylor ne réinvente rien ici... enfin, si. Tom Taylor réinvente, reprend tout simplement le principe d'écrire une série en aimant son personnage principal, en voulant le servir via une intrigue "simple" mais efficace, avec des dialogues fins et un casting secondaire respecté et plaisant. Et dieu que ça fait du bien. Le duo Babs/Dick est parfait, l'arrivée de Tim Drake est fluide et Robin (qui retrouve donc ce nom, sans Red) est pleinement servi ici, dans une approche positive et sympathique, tout en mettant en avant ses atouts. C'est sympa', ça fait souvent sourire, l'intrigue de fond est plutôt bonne même si elle est déjà vue (un serial-killer dans les communautés oubliées de Blüdhaven, et Dick s'en mêle avec ses personnages), les blagues sont drôles et tout fonctionne bien. C'est en plus très, très joli, avec des planches fluides et des moments de grâce dans la narration. Pff, ça claque. Quelle belle série qui donne le sourire. Si, si, ça existe encore ! |
#360
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The Flash #770
C'est cool ! Jeremy Adams m'impressionne dans cette saga qui prend de l'ampleur et me plaît bien. On suit donc Wally West qui rend hommage à Code Quantum, en plongeant dans chaque grande période des Speedsters DC, pour "régler un problème local". Les tours de chauffe des deux premiers numéros mènent à ce très bon épisode, où Wally est littéralement dans la peau d'un jeune Jay Garrick, maltraité depuis cinq semaines avec The Ray par les Nazis, pour avoir essayé de voler la Lance de la Destinée. Tandis que, en parallèle, Barry/Ollie/Mr Terrific conseillent Wally de loin. C'est fun ! Jeremy Adams a de bonnes idées et installe un très bon rythme, bien aidé par un Jack Herbert qui rend de belles planches, graves et travaillées pour ce passé sombre. C'est malgré tout rigolo, bien fichu et prenant avec cette course contre la montre. Le final est en outre "génial", avec Wally qui arrive dans le corps de C'est cool, oui, et ça fait plaisir. Ce Wally "l'ouvre" et vanne peut-être trop, mais ça se lit bien et les dessins sont bons. Brandon Peterson demeure figé sur le passage au présent, mais ça passe. Une bonne surprise, un bon moment. |
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