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#1
21/01/2008, 21h19
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Flash : re-relaunch...
Pourtant, tout avait si bien commencé...
All Flash #1  Justice, Like Lightning Writer : Mark Waid Penciller : Karl Keschl, Ian Churchill, Manuel Garcia, Joe Bennett & Daniel Acuna Inker : Karl Keschl, Norm Rapmund, Manuel Garcia, Ruy Jose & Daniel Acuna Colorist : Stephan Peru, Tanya & Richard Horie, Daniel Acuna Tiens, un épisode dédié à Flash alors qu’il est sensé avoir rendu son extrait de naissance : qu’est-ce que cela peut-il être alors ?  Oh, il paraît que c’est le prologue rdu etour au V2 abandonnant ce fameux V3 qui m’avait arraché des larmes de sang au début pour finir par trouver un semblant de voie vers la fin. Seulement les impondérables commerciaux et le plan de secours made in Mark Waid me permettent de retrouver mon Scarlet Speedster préféré qui doit jouer un rôle primordial dans Final Crisis en espérant qu’il ne va pas y passer…  Surtout, ce numéro doit faire la jonction entre la fin du cross-over Justice League Of America / Justice society Of America et Flash (V2) 231 du mois prochain tout en rendant hommage d’une certaine façon au trépassé qui a déjà bénéficié d’un enterrement en grandes pompes.  Somptueux, splendide, magnifique : tous les qualificatifs seront bons si vous êtes fan du personnage qui fête son retour. Ca tombe bien, c’est mon cas. Cela s’adresse principalement aux fans de la lignée des speedsters avec clins d’œil, etc… Cet épisode est la 6ème partie officieuse du cross-over Justice League Of America / Justice society Of America pour la bonne et simple raison qu’il commence à la fin de Justice League Of America 10 mais surtout la conclusion de Full Throttle dans Flash (V3) qui apparemment était en simultané au cross-over.  Je vais dire que le hasard du calendrier tombe bien car les 2 séries étaient de la même semaine. Seulement avec cela, Paul Dini et consorts sur Countdown ont réalisé une faute de goût (volontaire ?) en ne montrant pas le revenant à l’enterrement de Countdown 43 car il était bien de retour avant les funérailles….  Ceci dit, qu’en est-il de l’histoire ? C’est un aftermath suivi d’un début de « vendetta » mais aussi l’occasion de poser les jalons de la série que Mark Waid récupère le mois prochain. Il faut espérer qu’il va rester plus que 4 mois si la rumeur l’envoyant en éditeur en chef DC du côté de Dan « Je sors trop de séries » Didio car il va en avoir des choses à faire.  En plus, il prend un risque certain d’être à la fois comparé au run de Geoff Johns mais principalement au sien qu’il a mené de main de maître de Juin 1991 à Avril 2000 (entrecoupé de Millar et Morrison entre autres) qui avait propulsé Wally dans le cerce très respecté des grands héros DC notamment avec la trouvaille géniale de la Speed Force.  Pour cela, il faut des choses suffisamment différentes et, visiblement, cela devrait aller notamment du côté de la famille qui s’est agrandie et du côté plus adulte (pas mature car cela a été développé sur plus de 20 ans le rapprochant d’un Dick Grayson) : c’est peut-être une orientation à la Barry Allen que Mark Waid (ou un autre…) va installer. En plus du destin de Flash, les sollicitations d’Octobre ont montré qu’il prenait en charge, en back-up avec Doug Braithwaite, la fameuse histoire que Bilson et Medeo (les auteurs du massacre initial…  ) devaient fournir pour expliquer ce qu’étaient devenus certains personnages suite à Infinite Crisis 4.Pour le reste de l’histoire, Mark Waid se permet une incursion dans Countdown pour les Rogues et une autre future mini-série. En tout cas, pour une réintroduction, c’est réussi !  Ce qui interpelle plus est le nombre de dessinateurs qui se partagent l’affiche : 5 !!! Ok, ils dessinent chacun un passage dans la timeline du jour mais il faut jongler avec des styles assez différents. Si Ian Churchill peut se rapprocher un tant soit peu d’Ed Benes, je conçois qu’il se charge de la partie directement liée au cross-over Justice League Of America / Justice Society Of America. Comme j’apprécie son trait et ses mâchoires caractéristiques, je prends.  Manuel Garcia est dans la lignée de son Countdown donc c’est moche, il est cohérent dans son actualité : ses visages tendant vers la momie desséchée.  Joe Bennett est mis à toutes les sauces chez DC en ce moment et il ne peut donner le meilleur de lui à chaque fois : heureusement, c’est le cas ici même si l’encrage de Ruy Jose (superbe avec Dale Eaglesham sur Justice Society Of America) affine un tantinet les visages. Jack Jadson lui aurait mieux convenu ici. Daniel Acuna qui va être l’artiste régulier (?) s’occupe des dernières pages pour montrer le style de la future série : son Flash est splendide, j’ai un peu plus de mal avec certains protagonistes qui seront forcément récurrents. Reste le cas de Karl Kerschl qui réalise la majeure partie : alors qu’il a un style cartoon superbe, il arrive à restituer les émotions des personnages de façon assez bluffante.  Son dernier travail en date est justement un fill-in sur Flash (V3) : s’il avait été aux commandes dès le début, qui sait si ce All Flash aurait vu le jour. Ce dessinateur est excellent et DC aurait pu lui laisser dessiner l’intégralité du numéro afin de garder une cohérence visuelle.  Enfin, ils dessinent All Flash… Un petit mot sur la couverture de Midleton : fabuleuse !!!!!!!!!!!!!!!  J’ai adoré ce one-shot qui, s’il ne rivalise pas en termes d’intérêt avec Green Lantern – Sinestro Corps Special, replace le héros Flash au devant de la scène que le début du relaunch mal fagoté avait fait disparaître de la colonne « Must Have ».  Au-delà des questions pour savoir si DC avait prévu cela de longue date ou juste un plan de rechange en cas de plantage, cela me permet de retrouver un personnage qui n’avait pas tout livré et dont le départ m’avait frustré car programmé de façon éditoriale. J’attends de voir si le retour va porter ses fruits même s’il est amené à jouer un rôle prépondérant (mais ce sont des promesses comme souvent) dans Final Crisis.  Comme dirait Starman : « Flash Is Back. Worlds Will Die Again! » Bilan : 
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#2
21/01/2008, 21h20
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Flash #231
 The Wild Wests – Part One : Growing Up Fast Writer : Mark Waid Penciller : Daniel Acuna Inker : Daniel Acuna Colorist : Daniel Acuna Quel lecteur du DC Universe peut encore ignorer que Bart a passé l’arme à gauche et que Wally a signé son retour sur New Earth au cours de Lightning Chain ? Personne, a priori…  Si, par contre, certains en sont encore à s’interroger si oui ou non DC avait prévu la chose, il suffit juste de se dire que la bande à Didio a corrigé le tir d’une série qui avait commencé son voyage dans le mur. Après, il a fallu « se débarrasser » de Bart…  Il est toujours dommage de « devoir » flinguer des personnages et au passage des Scarlet Speedsters pour marquer le coup chez DC mais cela permet, pour l’occasion, de ramener mon héros fétiche perdu dans les limbes depuis Infinite Crisis 4 lors de l’opération « On saborde Superboy Earth-Prime © pour éviter les ennuis juridiques ». Sinon, je trouve le timing teinté d’une ironie assez triste qui voit partir Bart mais surtout son créateur Mike Wierengo à quelques semaines d’intervalles : si le 1er peut toujours revenir par la grâce d’un truchement d’histoire, le 2ème restera à jamais gravé dans nos mémoires comme l’un des dessinateurs les plus doués de sa génération !!! Mais fi de tristesse, il faut donc « célébrer » le come-back de Wally qui a déjà commencé lors de All-Flash #1 qui était une vraie pépite pour moi car il dévoilait un aperçu de ce que Mark Waid (finalement aux commandes pour un bout de temps) et Daniel Acuna allaient offrir notamment avec les Tornado Twins qui risquent de concentrer bien des interrogations… Ah oui, tout de même, cela n’a rien à voir avec l’expérimentation précédente avec Bart même si certains traits de caractères du naguère trublion Impulse peuvent être décelés chez Iris et Jai, les 2 enfants de Wally ou dans la conséquence de la manifestation initiale de la Speed Force héritée de leur père sur leur métabolisme. D’ailleurs, si le titre s’appelle Flash, l’intitulé du run restitue parfaitement l’ambiance de ce « premier » numéro : les enfants sont les vraies stars et Wally n’est presque présent que pour légitimer leur présence et surtout leurs pouvoirs. Effectivement, les Tornado Twins, qui sont loin d’être à l’identique des fils de Barry dans le futur (qui a été zappé puis réintroduit rétroactivement par Lightning Chain, ne l’oublions pas  ), sont dotés de pouvoirs dérivés de ceux de Wally. Pour le cas d’Iris, il faut évidemment faire le rapprochement avec Shadowcat sur la forme mais, sur le fond, cette capacité des Speedsters existe depuis bien plus longtemps que le personnage créé par Chris Claremont en 1980… Pour le garçon, l’utilisation répond aux « inquiétudes » de ceux qui ont crû à un personnage bouffi dans la preview. Il ne faudrait pas oublier le dernier larron de la famille West : Linda !!! Quel changement par rapport aux runs de Geoff Johns ou le 1er de Mark Waid : à n’en pas douter la maternité a changé la belle coréenne… Et Wally dans tout cela ? S’il est revenu par la volonté des Légionnaires, il n’en est pas fait mention et encore moins du décès de Bart sans oublier la présence de Iris Allen ! Non, Wally est de retour sauf qu’il est papa de 2 super-héros ! Mark Waid ayant fait ses armes chez la concurrence sur une autre famille, il a de quoi voir venir. Ce côté famille tranche avec ce qui a été fait auparavant : le Speedster n’a pas 1 mais 2 sidekicks à surveiller, ce qui ouvre moultes perspectives en plus de la dimension inhérente à Flash qui va devoir gérer le contrecoup des Rogues à moins que Salvation Run ne leur règle leur compte pour un moment… Quoique Final Crisis en point de mire augure de bons moments dédiés à Wally. Sinon, ce numéro confirme aussi que DC veut faire l’impasse sur le run de Bilson et Medeo en effaçant la fin de l’histoire qui révélait où Bart était après s’être occupé de Superboy Earth-Prime tout du moins en ce qui concerne les aventures dimensionnelles de la West Family… Les back-ups à venir en Octobre de Waid, Rogers et Braithwaite en seront peut-être la confirmation.  Dernier maillon de la chaîne Daniel Acuna !!! En voilà qui m’aura retourné en moins de 2 ans depuis ses Outsiders qui m’avaient moyennement convaincu ce qui m’aura fait louper sur le coup Uncle Sam & The Freedom Fighters dont les previews montraient un sacré coup de crayon (tort réparé depuis 1 semaine). Sans être le dessinateur complètement idéal à Flash (Scott Kolins, Carmine Infantino, Carlos Pacheco, Mike Wierengo entre autres m’ayant fait adorer le titre), Daniel Acuna use (et abuse ?) des difformités pour montrer l’utilisation des pouvoirs notamment pour Jai : qui de Mark Waid ou de lui a orienté l’explication de ce pouvoir ? Heureusement, il donne au Scarlet Speedster ce qu’il faut de dynamisme pour être crédible, ceci se confirmant sur la fin avec une scène dans l’eau assez saisissante (toutes proportions gardées pour les non aficionados du héros…). Un bon conseil pour profiter de son boulot, il faut lire avec suffisamment de lumière pour ne pas louper certains détails comme la bouche de Linda sur 1 case. Sas rire, c’est bien foutu et j’attends de voir Wally réellement en action par Daniel Acuna !!!  Ok, il a fallu passer par des chemins détournés mais ce « relaunch » démarre sur les chapeaux de roue et prend à revers le lecteur qui pouvait s’attendre à voir du Rogue, du Bart en flashback : Mark Waid a décidé de surprendre et plante assez de choses pour tirer son épingle du jeu. En plus, le dessin n’est pas confié au 1er venu. La franchise Flash est de retour !!!!!!!!!  Bilan :
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#3
21/01/2008, 21h21
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Flash, The Fastest Man Alive 232
 The Wild Wests – Part Two : The Deep End Writer : Mark Waid Penciller : Daniel Acuna Inker : Daniel Acuna Colorist : Daniel Acuna La nature n’aimant pas le vide, un Scarlet Speedster en remplace un autre : tel le bolide qu’il est, Wally West revient en lieu et place de Bart dans sa série accompagné par sa petite famille qui est au centre des préoccupations du moment sous la plume de Mark Waid et le trait tout en rondeur de Daniel Acuna. Si le 1er épisode posait les bases du nouveau statu quo esquissé lors de All Flash 1, j’attends de voir si les enfants ont un avenir, si la série se démarque assez des productions précédentes (comme le précédent numéro) et surtout si la « nouvelle » place de Wally au sein de l’échiquier DC valait tous ces soubresauts ! Je suis perplexe : cela sent le copier-coller du mois dernier principalement au niveau des situations et de l’exposition des enfants. Ils tiennent une fois de plus le haut du pavé tant le héros principal continue de jouer les guests stars « sauvant la situation ». Mark Waid prend le parti de « délaisser » le héros principal pour s’appesantir sur les enfants ce qui peut se comprendre d’un côté vu le thème de l’arc. Seulement, quand je compare à l’apparition de Wally dans Countdown où il « gère » le cas de Rogues, je me dis qu’il a bien 2 façons de concevoir le personnage : père de famille dans sa série et Leaguer par ailleurs même si ses quelques apparitions dans Justice League Of America mise à part Lightning Saga (pour des raisons évidentes) tiennent plus de la mention qu’une présence affirmée ! Enfin, la présence d’autres Leaguers le mois prochain corrigera certainement le tir. Actuellement dans sa série, il est réellement mis au second plan même par rapport à Linda qui se trouve parachutée « World’s Leading Authority On Velocibiology », rien que ça… J’attends de pied ferme les backs-up pour expliquer cette métamorphose. Enfin, derrière chaque grand homme, il y a une grande femme. Pour en revenir aux enfants qui monopolisent la scène, Mark Waid développe leurs personnalités dans des proportions qui me rappellent presque Impulse pour le côté tête brûlée du côté de chez Jai (en plus d’un gimmick hérité du relaunch de Mike Baron) et Kid Flash (Wally ET Bart) pour le côté plus posé de Iris. Sans être un comic à la Young Justice (car ce n’est pas le but), l’auteur se détache de l’univers précédent (pour y revenir par la suite ?) pour permettre au nouveau lecteur de s’imprégner de la nouvelle ambiance sans être complètement largué.  Est-ce pour cela que la back-up faisant la transition entre Infinite Crisis et All Flash 1 n’a pas commencé dès le début ? Tout cela sert les desseins de mark Waid à intégrer les jumeaux à l’histoire mais qu’en est-il de Wally par rapport à Final Crisis ? Si le personnage est revenu pour jouer un rôle majeur dans un avenir proche, ce n’est pas encore dans sa série que c’est le plus flagrant. Pour bientôt ? Daniel Acuna ? A part la tête de Wally disproportionnée en costume, c’est champagne (pour ceux qui apprécient le style), il s’améliore à chaque numéro dans la restitution de l’impression de vitesse de Flash qu’il différencie bien dans la représentation des pouvoirs des enfants. Il arrive à bien faire passer les émotions alors que je l’attendais plus sur ce terrain que celui de la vitesse. En effet, cela n’est en rien figé. Rien que sa couverture est superbe à regarder ! Savoir qu’il mettra les voiles dans un futur proche (en Janvier ?) m’interpelle : qui pourra épauler Mark Waid (qui reste, il l’a répété) ? Ivan Reis après Green Lantern si Mike McKone prend réellement les rênes de la destinée de Hal Jordan ? Doug Braithwaite après les backs-up ? Ce ne sera pas Scott Kolins qui est sur un projet avec Geoff Johns… Très proche du 1er numéro dans la construction, le numéro joue encore la carte des enfants et cela devrait encore 2 numéros : introduction idéale mais il faudrait ne pas répéter ce sentiment de déjà-vu la prochaine fois. Cela reste différent des séries précédentes mais j’attends plus d’une série qui est bâtie sur la tombe d’un héros…  Bilan : (un 4ème aurait pu être là avec plus d’audace)
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#4
21/01/2008, 21h22
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Flash 233
 The Wild Wests – Part 3 : Fleeting Lives Writer : Mark Waid Penciller : Freddie E.Williams II Inker : Freddie E.Williams II Colorist : Tanya & Richard Horie Flash est un homme pressé, un homme qui va vite, tellement vite qu’il empile les séries et les relaunchs.  Mark Waid revenu sur un de ses personnages fétiches, la série s’attarde à explorer le nouveau statu quo hérité de la série de Marc Guggenheim mais en fait plus par rapport au run de Geoff Johns sur Flash et au cross-over Lightning Saga. En effet, pour se distinguer de ce qui a été fait auparavant, il a fallu un mort (tradition éculée chez les Allen…  ) et surtout approfondir la famille West qui est justement sous les projecteurs du 1er run ! Placé sous la plume de Daniel Acuna pour démarrer pour ses deux 1ers chapitres, voilà que la série accueille Freddie E.Williams III en provenance de Robin : erreur de casting ? Démarre aussi sur ce numéro la back-up sensée expliquer l’absence de Wally dans le DC Universe. Sur le fond, il y a du mieux : Wally a remis son petit monde à sa place et occupe enfin le devant de la scène, ce ne sont pas même ses collègues de la Justice League Of America qui vont y parvenir. Charité bien ordonnée commence par soi-même vu que dans la série éponyme de Dwayne McDuffie, Wally brille par son absence alors qu’il aurait pu (dû ?) être au centre de pleins d’attention avec Final Crisis en ligne de mire : pour plus tard ? Wally redevient la star de sa série au détriment de sa progéniture mais Mark Waid n’oublie pas d’expliquer pourquoi (et la tragédie qui va en découler assurément) ce revirement à venir. Je retrouve son style (ainsi qu’à certains égards celui de Geoff Johns) dans la gestion du personnage et de sa place dans la hiérarchie DC notamment dans la scène montrant des Leaguers. D’ailleurs, ce passage est le plus fort du mois : pas d’action mais tout en « psychologie ». En 6 pages, Mark Waid « se débarrasse » de l’intrigue tentaculaire (et creuse de surcroît) pour explorer simultanément le comportement de héros et de père avec des gens qui ont quelque peu l’expérience de la chose (père, mentor, héritier) : pas besoin de montrer le héros en action (chose faite le reste de l’épisode) pour avoir un comportement mature (et remettre en place certains héros). Pour en revenir à la West Family, si Linda fait un peu potiche cette fois-ci, les enfants sont donc quasiment absents de la trame du numéro (enfin Iris renvoie l’ascenseur au père et Jai...) mais le cliffhanger promet une fin d’arc assez intense. Wally Is Back ! Par contre, Daniel Acuna est parti laissant les clefs du fort à Freddie E.Williams III alors que l’épisode était vendu comme du Daniel Acuna… Wally arrive même à semer les dessinateurs ! Trêve de plaisanterie, cela change énormément ! J’avais émis quelques craintes en apprenant qui prenait la succession de Daniel Acuna (juste 2 numéros mais où va DC ?) et j’ai eu quelques confirmations principalement sur le rendu de la vitesse qui est moins impressionnant que celui de Daniel Acuna (pourtant pas connu pour un dessin dynamique à souhait). Je mets les 1ères pages montrant un Flash assez pathétique sur le coup de la déshydratation car franchement ouvrir un comic avec un héro tirant la gueule n’incitait pas à l’optimisme.  Heureusement, il s’en sort mieux sur la dite scène de discussion offrant un Batman mais voilà le hic, il est plus à l’aise pour ce genre de scènes (cf. Robin) et il va vraiment devoir s’appliquer pour restituer l’ambiance du Scarlet Speedster sinon l’erreur de casting sera (est déjà ?) faite… Toutefois, ce qui est réconfortant est que j’ai refermé ce numéro après avoir admiré Doug Braithwaite sur le back-up : le moral est remonté alors que paradoxalement les forces et faiblesses de la série se sont inversées ici. Bon dessin et scénario limite indigeste pour la fin en comparaison des boulots de Mark Waid et Freddie E.Williams III… Sensée expliquer les « vacances » de Wally à la suite de Infinite Crisis, cette back-up commence comme un pétard mouillé car, si elle prolonge ce que Mark Waid avait commencé à énoncer il y a 2 mois, elle contredit royalement ce que Bilson et Medeo avaient pondu sur Flash (V3) #6. Cela ne me dérangerait pas outre mesure s’il n’y avait Tales Of The Sinestro Corps Presents Superman-Prime (superbe au passage)… A cela s’ajoute une situation vue pas mal de fois dans un comic donc l’originalité n’est pas de mise. Ah, on me souffle dans l’oreille qu’il a John Rogers déjà connu pour son « phénoménal » Blue Beetle, ceci expliquant certainement en partie cela. Il n’y a qu’à espérer que les 3 autres parties ne seront pas du même tonneau !! Un bon épisode différent des deux 1ers à la fois pour la reprise en main du personnage principal et aussi (surtout ?) pour le passage de témoin entre les dessinateurs, la back-up est mi-figue, mi-raisin mais c’est suffisant pour que je le conseille. Bilan :  (ou 3 si Daniel Acuna vous manque terriblement)
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#5
21/01/2008, 21h22
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Flash, The Fastest Man Alive 234
 The Wild Wests – Part 4 : Tethered Writer : Mark Waid Penciller : Freddie Williams II Inker : Freddie Williams II Colorist : Tanya & Richard Horie Il court, il court le relaunch de Flash mais vers quoi ? Le succès comme le prédestinait les 2 premiers épisodes, bien aidé qu’il fût par Daniel Acuna ? Le juste moyen comme semblait le montrait le 3ème épisode ? Mark Waid a fait le choix de faire table rase du passé pour le moment pour explorer les retombées causées par la marmaille de Linda et Wally en plaçant la dite descendance au centre de toutes les attentions depuis le début. Qu’en est-il maintenant alors que le run atteint ses 2/3 ? Freddie Williams II m’a t’il plus convaincu ? Ce n’est pas encore cela ou du moins je n’apprécie pas plus que cela : je ne fais peut-être pas partie du public visé en ce moment… Un comble quand je suis fan du Scarlet Speedster, qui plus quand il s’agit de Wally West, The Best Of The Best !!! Toutefois, fan je suis, fan je le resterai même si le traitement actuel me laisse circonspect. Mark Waid continue à mettre sous les projecteurs les 2 enfants et ne fait quasiment intervenir Wally que pour montrer les « affres » de la paternité au quotidien mâtinée de moments super-héroïques. Le problème est que le côté humain sent le réchauffé comme une bonne vieille série avec les clichés qui tombent successivement sans le moindre effet de surprise: le coup des enfants qui réclament un portable, qui se chamaillent entre eux ou qui désobéissent aux adultes ne me touche pas plus car ce n’est pas ce que je recherche dans la série. En plus, visiblement, Mark Waid apprécie ou a dû beaucoup regarder Smallville car il use de raccourcis sortis tout droit de la série en ce qui concerne les enfants qui se la jouent Meteor Freaks avec la Speed Force en guise de Kryptonite pour « justifier » l’accès à divers pouvoirs. Malgré tout le bien que je pense de Mark Waid, c’est user de facilité à tort et à travers : il ferait mieux d’approfondir le côté pervers des pouvoirs sur le devenir des enfants comme il le fait après la moitié de l’épisode… Et donc les enfants trustent encore la place… Linda, elle peut être experte de ce qu’elle veut, elle ne sert pas à grand-chose, elle est juste bonne à s’inquiéter : ok, elle est mère mais son exposition à la Geoff Johns me manque. Quand je pense que c’est Mark Waid lui-même qui en avait fait un personnage intéressant… Pour Wally, c’est pire : 4 mois que sa série a repris et il n’y a pas de valeur ajoutée au personnage si j’excepte la paternité qui il est vrai montre le personnage sous un autre visage plus réfléchi (quoique…). Son retour devait s’imbriquer dans un plan à plus grande échelle dans le DC Universe et je n’en vois pas un morceau : il n’apparaît pas dans Justice League Of America et son rôle est des plus restreints dans Countdown To Final Crisis. Avec la prévision de son intégration à la nouvelle mouture de Titans version Judd Winick & Ian Churchill (que j’attends vraiment !!! ) pas avant Mars ou Avril 2008, j’ai l’impression que son terrain de chasse va être sa série. Après, le self-contained a les avantages de ses inconvénients mais aussi ses limites si l’auteur n’a rien à raconter et, visiblement, même si Mark Waid a déclaré rester plus d’1 an sur la série au moins, c’est un fill-in qui attend la série en Février 2008 par Keith Champagne et Koi Turnbull… Si j’apprécie le scénariste, le dessinateur n’est pas là pour me rassurer sur l’intérêt graphique que mérite la série. D’ailleurs, je continue de pleurer le départ de Daniel Acuna chez Marvel (punaise, quel lâcheur !!!) quand je vois les prestations de Freddie Williams II. Il n’est pas franchement fait pour dessiner les adultes en costume donnant à Wally une tête trop petite en rapport avec un corps musclé et surdéveloppé… Il est plus habile sur les enfants (et Linda) dans la lignée de ce qu’il réalise fort honorablement sur Robin. Le résultat sur Flash est-il dû au fait de mener 2 séries de front ? Je pense que oui car je dois lui reconnaître qu’il continue à bien restituer la Speed Force ! Par contre, le dessin de la back-up de Doug Braithwaite continue de sauver les meubles de l’histoire de fin qui m’arrache un rire nerveux devant les scènes montrant les chameaux parlants… Il est regrettable qu’il ne dessine pas tout. En fait, ce n‘est pas encore le Flash que j’attends : objectivement, il y a de réelles bonnes choses mais subjectivement je m’interroge…. Ah oui, je ne peux finir sans glisser un mot sur l’hommage fait à Mike Wierengo à la fin de la revue de la part de Mark Waid et Brian Augustyn : c’est le genre de chose qui me fait relativiser sur l’importance d’un bouquin bon ou mauvais. Je ne sais pas si 1 autre revue a glissé 1 mot comme celui-là : il est évident que la série Flash était le terrain propice à la chose, le regretté Mike étant le co-créateur de Bart. Je sais ce que la série lui doit. Bilan : et demi
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#6
21/01/2008, 21h23
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Flash 235
 The Wild Wests – Part 5 : Headlong Writer : Mark Waid Penciller : Freddie E.Williams II Inker : Freddie E.Williams II Colorist : Tanya & Richard Horie Déjà la 5ème partie du re-relaunch de Flash par Mark Waid sur les joies de la paternité et depuis 2 numéros par Freddie E. Williams qui a pris la relève de Daniel Acuna. Après un début intéressant pour une suite qui l’a été beaucoup moins, qu’en est-il de la pénultième partie du run de Mark Waid ? Quand une série arrive à aligner des numéros qui vont de mal en pis, cela n’est jamais bon signe mais quand, en plus, elle se permet de changer de dessinateur pour ne placer 1 qui n’est pas adapté, il ne faut pas venir se plaindre que les ventes ne décollent pas…  Je suis abasourdi par cette série annoncée comme le vrai départ de Flash : c’est la série qui va finir par partir à ce train-là. De toute façon, la transhumance a commencé avec Daniel Acuna qui sera bientôt suivi de Mark Waid : c’est incroyable le manque de lisibilité de la série !!! Mark Waid avait promis qu’il resterait un bout de temps et j’avais déjà des doutes avec un stand-alone par Keith Champagne en Février : bingo, Tom Peyer arrive en Mars… Aussi, il ne faudra juger Mark Waid que sur 6 épisodes, c’est Byzance. Alors que ce run devait être accompli en 4 numéros, il s’est vu ajouter 2 numéros (4 numéros ne suffisent pas pour le format TPB ?) mais pour quel résultat ? Après 2 épisodes intéressants sur les enfants, cela a été court-circuité par l’intrigue des monstres tentaculaires mais qui parasite du même coup la back-up d’une stupidité sans nom… Qui chez DC peut raisonnablement croire que cela va fonctionner ? Le plus énervant est que la meilleure histoire de Mark Waid sur Wally et ses enfants a eu lieu dans… Brave And The Bold 8. Si Wally doit jouer un rôle important dans Final Crisis, il n’en prend pas le chemin : invisible dans les autres séries, il n’est même pas « écouté » par ses partenaires dans son propre titre. C’est une marginalisation du personnage pour éviter que les gens râlent s’il crève ? Est-ce qu’au moins le dessin sauve les apparences ? Même pas, Freddie E.Williams n’a rien à faire là : rendez-moi Scott Kolins !!!!! C’est creux, sans détails (à part quelques cases en ville) et d’un banal : pourquoi ne pas avoir demandé à Doug Braithwaite de dessiner l’ensemble ? Si la back-up atteint un certain niveau de risibilité, elle est néanmoins superbe à regarder. Sans me voiler la face, c’est catastrophique et il va falloir un gros travail à Tom Peyer pour redresser la barre : ce n’est pas l’annonce d’un changement (et oui encore 1) à la fin de son run qui va me rassurer. En attendant, j’attends la purge finale de Mark Waid qui prouve qu’on ne peut pas être et avoir été sur 1 titre surtout quand on est parallèlement éditeur chez Boom Studio. Le fan de Flash que je suis ne lui dit pas merci. Bilan : (punaise, j’ai les boules)
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#7
21/01/2008, 21h24
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Flash 236
 The Wild Wests – Finale : Separation Writers : Mark Waid & John Rogers Penciller : Freddie E.Williams II Inker : Sandra Freddie E.Williams II Colorists : Tanya & Richard Horie Parce que les « meilleures » choses ont 1 fin, j’attendais impatiemment la fin du retour-promis-juré-je-vais-rester-un-paquet-de-numéros de Mark Waid sur une série qu’il aura précédemment marquée de son empreinte avec la Speed Force, le mariage de Wally (et de Linda, il faut être 2), Dark Flash et évidemment Impulse. Alors que tout avait plus ou moins bien commencé, les ratés sont apparus au grand jour avec le départ de Daniel Acuna et le début de la back-up sensée expliquer où était passé la West Family lors de Infinite Crisis : et là c’est le drame… Cerise sur le gâteau, c’est un dessinateur ne correspondant pas au personnage qui s’n va gérer la chose : Freddie E.Williams II. Rarement greffe aura été autant loupée… Avant de s’enfuir comme 1 voleur, qu’a donc pu encore préparer Mark Waid pour dégoûter les gens de lire du Flash ? La bouse finale est à la hauteur du run donc il n’y a pas tromperie sur la marchandise : c’est nul et non avenu. Cela me fait mal de l’admettre et il faudrait faire preuve d’une mauvaise foi terrible pour encore prétendre que DC avait planifié cela depuis des mois : j’avais beau faire l’autruche (mais y croire quelque part) sur le destin de Flash mais il est évident que personne chez DC ne savait quoi faire sur le personnage depuis 2 ans… Depuis Rogue War, y a-t-il eu 1 seule bonne histoire sur Flash ? Je ne parle pas de marquante car il y a eu le traitement de choc pour Bart avec Marc Guggenheim (et il paraît que ce n’est pas fini mais DC n’en a jamais fini avec l’avalage de couleuvres). Seul le All Flash peut se targuer d’avoir relevé la « franchise » écarlate (bon Karl Keschl aussi)… Ce prologue prometteur pour ce qui était annoncé comme le retour triomphal de Mark Waid finit méchamment en tête à queue et mon estomac a subi des tonneaux incroyables devant le traitement de mon personnage préféré.  Tant qu’à présenter Wally en père de famille et tout ce qui peut en découler, il fallait se consacrer là-dessus et non pas se lancer dans une intrigue aquatique pourrie qui n’est là que pour se rattraper aux branches d’une back-up lamentable et pas loin de l’escroquerie de l’année (oui c’est Janvier, il y aura pire certainement ET malheureusement).  Entre la 1ère page et la dernière page de l’histoire en 6 épisodes (et présentée en 4 au début…), la douloureuse sensation de n’avoir assisté à rien de concret est tenace : la jolie photo de famille est sympathique mais ne résout rien du tout sur le destin des enfants. Mark Waid n’a fait qu’esquisser les problèmes des jumeaux et laisse le bébé à Tom Peyer (cela m’étonnerait que Keith Champagne puisse gérer cela sur 1 fill-in, punaise, déjà 1…). Les enfants qui devaient être le thème de l’histoire tiennent bien leur rôle de troublions mais ils ont été souvent irritants dans leurs scènes à 2 surtout Iris… Linda ? Ah, oui, elle est 1 bonne potiche et pourra bientôt rejoindre Loïs Lane au rang des épouses invisibles : pas besoin d’un Mephisto dans ces cas-là, quoique un One More Day sur cette histoire sauverait la face d’un Mark Waid peu inspiré comme jamais. Experte en vélocibiologie : quitte à inventer des termes pompeux, Mark Waid aurait pu utiliser le personnage… Reste donc Wally : mission accomplie pour DC. Le personnage est devenu 1 tocard (alors qu’il l’est des plus puissants du DC Universe) non respecté par ses pairs. J’ironise mais se faire rembarrer par des collègues qui loin d’être des modèles de vertu est pénible. Il donne l’impression d’être en marge de son équipe (et pis il n’apparaît pas dans le titre) et il n’y a qu’à espérer que Judd Winick saura lui rendre justice… Pourtant, Mark Waid avait su parler famille avec Fantastic Four mais s’est fourvoyé pour le coup : bancale par moments, touchante par d’autres, l’histoire rate sa cible. A la limite, je comprends pourquoi le titre de l’épisode est Separation, il fallait arrêter les frais. Par contre, 1 qui va rester et qui n’a pas toute ma sympathie est bien Freddie E.Williams II… Chaque numéro fut la confirmation qu’il n’était pas taillé pour le rôle pour Flash. C’est dommage car, pour le reste, il est assez plaisant mais il rate quasiment à chaque fois Wally en costume : c’est Jai qui peut modifier sa capacité musculaire pas Wally… Il faut espérer qu’il va s’améliorer par la suite car lui visiblement va s’installer… Pendant ce temps-là, Daniel Acuna fait des Variant Covers chez Marvel : le monde est mal fait. Je termine par la back-up… Initialement prévue en mini-série par Danny Bilson et Paul Demeo (auteurs du relaunch calamiteux) pour expliquer l’année squizzée de Bart, Wally et de sa famille, elle fut reportée à plus tard pour finalement être intégrée à l’histoire de Mark Waid et contée par John Rogers (dont les crédits « osent » lui dire merci). Je passe vite fait le travail remarquable de Doug Braithwaite qui n’a pas dû manquer de s’étrangler de rire devant les stupidités enquillées à chaque fois en 4 pages tout en rendant des pages superbes. Cette back-up est monstrueuse !!! En plus de cracher à la figure de Danny Bilson et Paul Demeo sur le fond par invalidation de la localisation supposée de Bart (où était-il donc et combien de temps ?), elle diminue l’impact du « sacrifice » de Wally lors de Infinite Crisis 4. Mark Waid et John Rogers accouchent d’une mauvaise blague qui va rester une (détestable) parenthèse car Mark Waid claque la porte à tout « espoir » de revoir ce retcon Joe-Quesadaesque. Je ne comprends pas comment cela a pu passer : l’éditeur Joan Hilty était bourrée ou avait perdu 1 pari ? A vouloir jouer sur l’héritage de Flash à travers ses différentes incarnations (seule chose sonnant juste), le thème de la back-up s’est éloignée de ce qu’elle devait raconter : seule la 4ème partie essaie tant bien que mal de se raccrocher aux branches mais c’est à l’image du relaunch…  Je vomis littéralement sur cette histoire et compte les jours pour Final Crisis, New Titans et The Flash: Rogues Revenge (par Geoff Johns et Scott Kolins) pour réhabiliter le héros : il ne me reste qu’à souhaiter bonne chance à Tom Peyer qui part de loin (faire plus mauvais semble impossible) et qui est lesté du handicap Freddie E.Williams II… Barry Allen – Rebirth ? Si cela devait commencer par la « mort » scénaristique de Wally, c’est bien parti… Bilan :
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#8
22/01/2008, 20h46
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Scarlet me fait rire avec ses critiques de Flash. Le pauvre qu'est-ce qu'il a l'air de s'infliger!!
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" Les ennuis sont des pleutres: ils n'arrivent pas isolément, ils chassent en meute et lancent des assauts groupés." Gaiman
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#9
22/01/2008, 21h29
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je n'attends qu'1 chose : donnez-moi tort...
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#10
22/01/2008, 21h36
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Non mais tkt, j'ai le droit aux mêmes commentaires avec mes critiques sur Spider-Man (OMD et BND) et comme toi, je donnerai la même réponse.
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COMIXITY !!! A l'écoute des comics ! Le PODCATCH !... Du pod et du catch quoi. Le Bureau des Comics a ouvert ses portes !
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#12
27/08/2008, 11h01
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Mouais...pas tout à fait d'accord. Ca n'est pas génial, c'est sûr ; les back ups sont terriblement décevantes et même énormes au second degré, évidemment ; l'intrigue principale est assez mal foutue et sans grand intérêt, ok ; mais je trouve quand même que les liens de Wally avec sa famille et la JLA sont assez intéressants. Waid se loupe sur les intrigues et les révélations mais gèrent plutôt bien le rapport familial et le lien avec la JLA - la pique à Batman est dure mais vraie.
On va dire que ça vaut deux brocolis et demain, mais pas plus.
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#13
27/08/2008, 11h08
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Ouh là, pour moi c'est vraiment beaucoup plus nul que ça......
Je déteste acuna, encore plus WILLIAMS II , je voudrais que les enfants de BARRY meurent tellement ils sont insupportables (la seule chose qui les caractérise ce sont le fait qu'ils veulent des portables....) . WALLY est inexistant.... Et WAID utilise le truc qui me gonfle le plus dans toute l'histoire des bandes dessinées et des séries.... Comme il ne veut pas gérer des bébés, il les fait grandir artificiellement , déjà vu dans V, le truc de RODDENBERRY avec les extraterrestres dont je ne me rappelle plus le nom, ANGEL etc etc etc.... C'est cheap et vraiment ca m'enerve. Et d'un coup, LINDA devient une scientifique experte en speed force ? Bon, je ne parlerai même pas des calamars cyclopéeens et des chameaux costumés... Si on n'arrive pas à y rentrer, c'est plus que risible.... Oui, deux trois dialogues suavent l'ensemble, mais quelle déception. Vraiment...
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#14
27/08/2008, 11h12
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Perso, je prie pour que Flash s'améliore chaque mois. Et pendant ce temps là, je saigne des yeux...
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Nounours1005 J'avance mais la chenille en chie pour devenir papillon... Blog : Les Arts Narratifs - Podcast : Les Bières Narratives
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#15
27/08/2008, 11h14
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En même temps, avec les critiques de Scarlet, j'étais super préparé à quelque chose de moyen donc pas de grosse déception pour moi. Le coup de faire grandir artificiellement un gosse est assez nul (beurk les enfants de Gwen et d'Osborn dans ASM) mais Waid utilise ici la Speed Force et leur donne un sort éventuellement dramatique - on va dire que ça passe, ça n'est pas trop anodin ni trop basique.
Là, ces épisodes, ils ne sont pas géniaux mais ils se laissent lire d'affilée et sans en attendre grand chose. J'aime bien Flash, c'est triste qu'on en soit arrivé à un tel degré mais ça n'est pas si mauvais que ça : c'est juste extrêmement moyen et avec une intrigue mal foutue. Je pense que l'attente vis à vis de Waid et des révélations a fait beaucoup de mal au titre - même si oui, ça n'est vraiment pas top et c'est parfois même mauvais.
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