Critiques VO 2024

[mugiwaraya]

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	Phoenix #3 Elle utilise ses pouvoirs pour en ramener un, qui explique avoir été condamné ici à une damnation éternelle par Odin car lui et les siens avaient mené une révolte pour changer la direction d'Asgard.

Un nouveau "Odin a fait des saloperies dans le passé". Pour une fois, ils pourraient pas mettre les saletés sur le dos de Bor, au lieu de toujours charger la même mule?

[ollieno]

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	Uncanny X-Men #2 L'ensemble n'apporte pas grand-chose, mais la lecture est agréable et David Marquez est inspiré, avec de superbes planches.

Je vais retnir ça ...

C est du Gail Simone donc bien écrit de la caracterisation chaque perso a sa propre voix ...

Mais le combat inutil, est trp trop long .. et n'apporte rien .. et fait comme un cheveu sur la soupe...

Ca m'a rappelé le Punx de Giffen, et le Animal man 26 (?) ou ils expliquent qu'il faut absolument un bagarre pour faire vendre l histoire...

[Ben Wawe]

	Citation:			Posté par mugiwaraya
	Un nouveau "Odin a fait des saloperies dans le passé". Pour une fois, ils pourraient pas mettre les saletés sur le dos de Bor, au lieu de toujours charger la même mule?

Il a une vie longue, ça peut passer. Je suis plus gêné par l'image de Thor, même jeune, à ses côtés et qui semble être d'accord avec ça.

	Citation:			Posté par ollieno
	Je vais retnir ça ... C est du Gail Simone donc bien écrit de la caracterisation chaque perso a sa propre voix ... Mais le combat inutil, est trp trop long .. et n'apporte rien .. et fait comme un cheveu sur la soupe... Ca m'a rappelé le Punx de Giffen, et le Animal man 26 (?) ou ils expliquent qu'il faut absolument un bagarre pour faire vendre l histoire...

Il y a de ça, oui. C'est une narration mi-bagarre, mi-révélation ; ultra prévisible, mais ça a une forme d'efficacité.

[Ben Wawe]

X-Force #3
Bof, bof. Geoffrey Thorne m'intéresse peu ici, et à mon sens gâche son bon concept. Sa X-Force file gérer une nouvelle menace, incarnée ici par Nuklo, vieux personnage qui est le fils du Whizzer et de Miss America et est un Mutant surpuissant mais incontrôlable. Il détruit des habitations, Surge veut aider les blessés, Forge ne veut gérer que la menace ("la fracture") et elle part pour aider. Rachel et Betsy bloquent un temps Nuklo mais il les repousse, après un échange entre elles sur les faiblesses actuelles de Rachel. Forge rappelle Surge car l'électricité peut stopper Nuklo, ça fonctionne... un peu, avant que Nuklo repousse tous et semble irradier au point de changer les formes autour.
C'est moyen, quand même. Geoffrey Thorne livre un récit divertissant, pas mauvais mais pas emballant. Les ficelles sont grosses, entre les faiblesses et l'aveuglement de Rachel, le militantisme de Surge, la menace... tout se voit venir de loin, et le silence de X-Force dans le débat Surge / Forge est un peu facile. Marcus To assure aux dessins, sans être un moteur de l'ensemble non plus.

C'est joli, ça se lit mais c'est très peu emballant.

[Ben Wawe]

Defenders of the Earth #2
Très bon ! Certainement parce que l'épisode s'intéresse beaucoup au Phantom et à son univers, mais... très bon numéro quand même !
Dan DiDio poursuit ici un bon récit, avec de bons éléments. Nous sommes un mois après le #1, avec Lothar et L.J. dans leur territoire des Seven Nations où ils répondent à un appel à l'aide. Ils voient un chauffard errer brutalement dans les bois, le confrontent et voient qu'il est un Pirate Singh. Ils sont interpellés par Kurt Wagner, frère du Phantom et qui a désormais repris son rôle, son costume et son nom. Kurt refuse de céder et tue le Pirate devant Lothar, avant de s'enfuir. Lothar et L.J. le poursuivent, mais découvrent que le village qu'ils devaient aider a brûlé, avec en réalité quantité de cadavres de Pirates Singh. La vérité éclate quand Jedda, fille du Phantom et portant un costume, révèle qu'elle a aidé les villageois avant de les protéger avec son oncle, qui l'entraîne comme son héritière alors que son père refusait, restant au serment "de fils en fils". La confrontation entre L.J. et Jedda est rude. En parallèle, Rick accompagne son père Flash Gordon et Kshin dans la forteresse glacée de Ming, reprise par son fils Krotan qui aide le monde. Rick voit quantité de gens ici, Kshin indique qu'ils seraient "volontaires" mais Rick en doute avec la vision d'un SDF qu'il avait croisé, mais Kshin dévie son esprit en révélant la survie et le retour de Zuffy, la petite créature rigolote. Enfin, Mandrake mène des spectacles dans des endroits bas de gamme, accompagné du Phantom, qui est surpris de son choix. Mandrake révèle qu'il "sent" quelque chose, il lui semble que plusieurs criminels disparaissent mystérieusement et ceux qui sont encore là ont tous une approche apathique et égocentrique des choses, comme l'essentiel de l'Humanité grâce aux "cadeaux" de Krotan. Ils sont attaqués dans la rue par des spectateurs dont Mandrake s'est moqué, le Phantom est blessé mais les stoppe même si l'on découvre ensuite qu'il

semble être un vrai "fantôme qui marche" car il a soudain une allure spectrale, ce qu'il dit connaître depuis cinq ans et la fin de la guerre !

C'est bien, oui. Je continue de trouver dommage que Mad Cave n'aide pas plus les lecteurs à se plonger ou replonger dans cet univers, mais la lecture est fluide et prenante. Les subplots sont clairs et bien amenés, les soupçons sur Krotan sont réels mais aussi sur Kshin, et l'attitude de Mandrake est un peu expliquée. A titre personnel, j'aime beaucoup les éléments sur le Phantom, que ça soit l'opposition avec Kurt mais surtout la légitime fureur de Jedda, qui veut aider mais ne pourrait pas en principe. C'est légitime, bien vu, bien amené, et Dan DiDio équilibre bien son récit sur ses personnages. Jim Calafiore illustre l'ensemble dans son style, que je continue de vraiment bien aimer.

Ca continue bien, et ça me fait très plaisir !

[Ben Wawe]

Action Comics #1069
Très bon final de deux très bonnes sagas. Gail Simone & Eddy Barrows achèvent leur intrigue classique mais intense, avec un Superman épuisé qui multiplie les épreuves face au tyran cosmique qui tient quantité de mondes sous sa coupe après leurs échecs face à de tels tournois. Face à la résistance de Clark, le despote libère Hux-Ur, un Daxamite ultra violent et brisé, et le combat est terrible. Lois a tenté de le raisonner en vain, et disparaît pour aider Jimmy dans son projet secret avec Lex, en face de Kandor. Le combat entre le Kryptonien et le Daxamite est brutal, terrible, mais Clark parvient à le battre en le sortant du ring car il a "plus" à défendre que son ennemi. Il révèle que le tyran avait donné de la Kryptonite au Daxamite, et est accompagné par des centaines de Kandoriens minuscules mais libérés par Lois, Jimmy et Lex. Le despote est vaincu, les mondes sont libérés, Clark est une super-star cosmique, et vient finaliser l'intrigue du centre de rééducation du début en se souvenant pour qui il se bat.
C'est très convenu mais très bien. Gail Simone livre un scénario classique, prévisible, mais où chaque élément attendu est bien là, et bien présenté. Son intrigue est intense, l'opposition est bonne, et surtout Eddy Barrows sublime l'ensemble avec des planches ô combien puissantes, fortes, épiques même. Une très bonne union du scénario et du dessin, pour faire d'une intrigue déjà-vue un petit sommet épique.
En back-up, Rainbow Rowell & Cian Tormey livrent aussi un bon final avec un dialogue touchant entre Lois & Clark, qui se retrouvent après leurs crispations. Chacun admet ses erreurs et maladresses, lui qui comprend qu'il ne peut être objectif envers lui-même et a été égocentrique, elle qui en a trop fait et a craint de mal faire son nouveau job. Surtout, elle révèle que Clark n'est pas un choix par défaut pour les faits divers, car son point de vue humain et riche est pertinent et fort ici. Clark apprécie, ils se remettent, se reprennent et avancent. Une back-up simple et juste, où la scénariste révèle encore sa grande maîtrise des sentiments humains et amoureux, via des planches solides. Un bel échange, très juste.

Un numéro très bon car très fin, juste et épique. J'en voudrais plus, des sagas comme celles-ci !

[ollieno]

Il ne me semble pas avoir vu passer de review... donc

Archie - The Decision

Il fallait bien une histoire inoubliable et attendue depuis des lustres (84 ans comme le rappel Jughead dans l'histoire) pour annoncer l'arrivée de Tom King chez Archie...

Que dire ce de non évènement..

Agréable, mais qui ne restera pas dans les mémoires (en dehors du fait que ce soit par TK).

une histoire assez simple, Archie décide de se décider enfin à choisir entre la blonde et la brune.. et suit le conseil de Jug pour y arriver

tirer à pile ou face

S'en suit une course poursuite dans la ville, ou tous les personnage Archie font une apparition , et ou TK joue du gag de répétition...

Plaisant à lire, mais pas mémorable.

surtout que ca se termine sur une non décision ^^ vu que Archie n'a jamais décidé qui serait pile et qui serait face

Dan Parent vieilli ou a fait rapidement cet épisode, on le sent moins inspiré que sur d'autres travaux récents (et on note une grosse erreur de perspective sur un dessin ) ... pourtant l'histoire n fait que 20 pages.

Bob Smith, Jack Morelli et Rosario Peña complètent l'équipe artistique.

[scarletneedle]

Une arnaque made in Archie que je n'aurais pas dû faire mais j''ai été faible avec le combo King/Parent.

[Ben Wawe]

Ghost Rider: Robbie Reyes Special #1
Je l'admets, je n'ai jamais été fan de Robbie Reyes. Déjà, je ne suis pas fan de Ghost Rider, même si j'aime bien à petites doses ; mais Robbie ne m'a jamais intéressé, avant les Avengers de Jason Aaron qui l'ont bien traité. C'est avec curiosité que j'ai lu ce one-shot, sympathique mais dont on se demande un peu pourquoi il arrive, et pourquoi maintenant.

On a d'abord le segment Offrenda par Carlos Hernandez et Moisés Hidalgo où, au présent, Captain Marvel & Captain America vont à la maison des Reyes, suite à une alerte de police. C'est en vérité un moment à part pour Gabe, frère de Robbie, et sa petite-amie, qui font une Offrenda pour Robbie. Gabe est amer vis-à-vis des Avengers mais veut croire que Robbie reviendra - et si celui-ci semble perdre tout espoir de retour dans The God Quarry, un élément de l'Offrenda lui apparaît et lui redonne la motivation.
Bon, c'est sympathique. Ca fait suite aux Avengers d'Aaron, c'est efficace, l'amertume de Gabe est légitime, et les dessins ronds et sympathiques fonctionnent bien. Ca fait le job pour préparer le retour.

On enchaîne avec ce Of Wolves and Sheep de Felipe Smith (créateur de Robbie, qui est interviewé en parallèle) et Daniel Bayliss. Avec une course-poursuite démoniaque, dans le passé, et Robbie qui revient voir son frère pour le dîner, avec un numéro de sa BD préférée.
Bon, c'est mignon mais vite oublié. Les dessins sont corrects mais n'emballent pas, et le propos est juste mais déjà-vu et trop premier degré. M'enfin, ça se lit.

Enfin, A Fantasmic Roller Derby Adventure par Melissa Flores et Jan Bazaldua montre Robbie stopper des chiens infernaux et être aidé par la mystérieuse Fantasma, qui croit bien être maudite.
Ca se lit, mais ça n'apporte rien hormis cette nouvelle super-héroïne dont on sait trop peu. Les dessins sont aussi corrects, mais ça s'oublie vite.

En définitive, un one-shot un peu vain, qui explique bien l'intérêt et l'impact de Robbie Reyes comme super-héros latino, mais avec des chapitres bien trop mièvres en soi.

[Ben Wawe]

The Immortal Thor #15
Efficace. Al Ewing revient ici sur la situation de Thor sur Terre, où il est considéré hors-la-loi après les actions de Roxxon. Il hésite d'abord à aller au Valhalla pour ramener Iric, le fils de l'Enchanteresse, mais Sif le conseille et le ramène à la raison, alors que Thor se sent perdu, dans ses rôles et choix (tolérer l'Enchanteresse alors qu'elle l'a ensorcelé récemment, exiler Loki qui l'a aidé malgré tout). Thor retourne sur Terre, la police veut l'appréhender, mais Radioactive Man arrive, mandaté par des inconnus pour stopper Thor. Finalement, il y a aussi Cobra, Mr Hyde et la Gargouille Grise, qui transforme Thor en pierre hormis sa ceinture qui résiste. Mr Hyde enchaîne et semble briser le corps de pierre de Thor par ses coups.
C'est bien, oui. Encore une fois, je m'avoue peu emballé par ma lecture : c'est bien, fluide, intéressant, mais je n'ai pas d'attrait particulier, de passion. C'est solide et correct, et il est toujours agréable de voir ce "Thor qui pense", avec de bonnes idées de gestion des crises. Mais ça reste peu passionnant en soi, même si je suis curieux de la suite. Graphiquement, Jan Bazaldua a un style correct, sans emballer non plus ; ça n'aide pas.

C'est bien mais ça ne me passionne pas.

[Ben Wawe]

Ultimate Black Panther #9
Intéressant ; toujours lent, mais intéressant. Bryan Hill avance doucement sa saga, sur deux points. D'une part, T'Challa assiste discrètement à un discours de Moon Knight / Khonshu, qui draine de plus en plus de fidèles. T'Challa mais aussi son costume au Vibranium, car il "parle" désormais au métal, veulent aller à la bagarre, mais Shuri parvient à le raisonner pour l'instant. En parallèle, en Europe de l'Est, Ororo et Killmonger vont dans une prison secrète libère le Sorcier mystérieux, mais voient les gardes être massacrés. Il s'agit d'une Sorcière, brutale et violente, dont la bouche est encore bâillonnée mais qui utilise des victimes pour les posséder et parler... et elle envisage de s'emparer d'Erik lui-même.
C'est intéressant, oui. Les pulsions de T'Challa sont classiques mais fonctionnent, et ce portrait de Sorcière Suprême ultra violente voire même sadique interpelle. Quel dommage, cependant, que ça traîne autant. Certes, cela permet à Stefano Caselli, impérial, de livrer des planches de bagarre et d'atmosphère, mais ça reste très lent, et poussif donc.

Intéressant mais tellement lent.

[Ben Wawe]

Birds of Prey #14
Une bonne relance. Après cette très (et trop) longue saga sur l'origine des troubles des BoP, Kelly Thompson ramène ses héroïnes à une intrigue plus basique, mais où la narration met du temps à préciser les éléments. On a ainsi Nubia qui demande aux BoP d'enquêter sur The Ninth Day, étrange entreprise à laquelle serait liée la disparition de cinq Amazones. Cassandra tente une intégration discrète, ça prend du temps, alors que Big Barda attend difficilement en s'entraînant brutalement avec Grace et Onyx. Dinah & Barbara suivent Cassandra de loin, tandis que celle-ci découvre que les Amazones semblent drainées pour les produits commercialisés par The Ninth Day.
C'est plutôt bon ; sans surprise mais plutôt bon. Kelly Thompson revient à une infiltration assez classique, mais qui se lit bien, avec une Cassandra pleine de classe et de détachement, et la bagarre Barda/Grace/Onyx bien bourrine et fun. Sami Basri illustre tout ceci avec grâce et sérieux, et cela donne un épisode correct et plaisant.

Un bon épisode, pour une saga sans surprise mais efficace dans son lancement.

[Ben Wawe]

Justice Society of America #12
Ah, la petite escroquerie de Geoff Johns, qui cependant donne la larme à l'oeil. En effet, plutôt qu'une fin pour ce volume de JSA, plutôt même que revenir sur les jeunes sidekicks libérés de leur prison temporelle, le scénariste livre un numéro uniquement centré sur Stargirl. Courtney est à sa remise de prix, livre un discours "inspirant" sur la vie et la façon d'éviter les pièges et drames, tout en mettant en avant son beau-père, Pat, mais aussi l'aide et l'appui dont elle a bénéficié, avec plusieurs pleines pages de ses combats de super-héroïne. Pour finir sur un envol symbolique, et une référence directe à la soeur du scénariste décédée.
Objectivement, c'est une petite "arnaque" car ça ne concerne pas la JSA mais juste Stargirl et, clairement, l'attachement sincère de Geoff Johns au personnage ; mais ça touche, au minimum vu toute l'implication émotionnelle du scénariste dans cette héroïne nommée comme sa soeur décédée. L'épisode est classique, "simple" mais efficace, et touchant. Todd Nauck livre de belles pages, notamment pleines, et c'est prenant mais surtout émouvant.

Un final qui n'en est pas un - enfin si, le final de Geoff Johns chez DC, qui symboliquement fait grandir Stargirl et la "libère". C'est fort, touchant, beau ; un peu une arnaque sur le volume, mais on retiendra plus l'épisode que ce dernier quand même.

[Ben Wawe]

Nemesis: Rogue's Gallery #3
Purée, c'est pauvre, quand même. Mark Millar joue vraiment la ligne des Batman & Robin maléfiques, criminels, "méchants" surtout dans l'approche des choses ; mais c'est lourd. Lourdingue, même, avec des postures abusives, des approches des liens avec les femmes et les autres qui sont particulièrement vulgaires. On voit ainsi Nemesis et Rookie agir, voler des trucs, tuer des gens, jouer aux James Bond, et finalement découvrir que le commando Anti-Nemesis attaque un type déguisé en Nemesis... et le vrai les interpelle, et ça va faire mal.
C'est lourdingue, oui. Mark Millar revient dans le gras, dans le vulgaire, dans le vain de la première mini-série, alors que la deuxième, le reboot, l'était beaucoup moins. En plus, Valerio Giangordano livre des planches correctes, mais pas "belles", pas dynamiques, pas entraînantes.

Une déception complète.

[captain Kimchi]

	Citation:			Posté par Ben Wawe
	Justice Society of America #12 Ah, la petite escroquerie de Geoff Johns, qui cependant donne la larme à l'oeil. En effet, plutôt qu'une fin pour ce volume de JSA, plutôt même que revenir sur les jeunes sidekicks libérés de leur prison temporelle, le scénariste livre un numéro uniquement centré sur Stargirl. Courtney est à sa remise de prix, livre un discours "inspirant" sur la vie et la façon d'éviter les pièges et drames, tout en mettant en avant son beau-père, Pat, mais aussi l'aide et l'appui dont elle a bénéficié, avec plusieurs pleines pages de ses combats de super-héroïne. Pour finir sur un envol symbolique, et une référence directe à la soeur du scénariste décédée. Objectivement, c'est une petite "arnaque" car ça ne concerne pas la JSA mais juste Stargirl et, clairement, l'attachement sincère de Geoff Johns au personnage ; mais ça touche, au minimum vu toute l'implication émotionnelle du scénariste dans cette héroïne nommée comme sa soeur décédée. L'épisode est classique, "simple" mais efficace, et touchant. Todd Nauck livre de belles pages, notamment pleines, et c'est prenant mais surtout émouvant. Un final qui n'en est pas un - enfin si, le final de Geoff Johns chez DC, qui symboliquement fait grandir Stargirl et la "libère". C'est fort, touchant, beau ; un peu une arnaque sur le volume, mais on retiendra plus l'épisode que ce dernier quand même.

Je rajouterais que les pleines pages sont des hommages à ce que Geoff JOHNS a fait sur les différents titres de la société de justice. Aussi bien en comics qu'au niveau télévisuel.