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Si à 10 euros moi je l’ai acheter pour le fonds bd jeunesse.
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Green Lantern #8 :
Bon épisode. Geoffrey Thorne avance ses éléments, ses intrigues, et ça fonctionne bien. Il livre un gros moment de bagarre cosmique pour John Stewart, qui découvre auprès du New God Lonar être un "Ascended", a priori un être mi-divin, mi-cosmique, qui dispose d'une énergie émeraude (évidemment). Lonar pousse John à ne pas "uniquement" sauver les anciens GL dans le Dark Sector, et John finit par céder, même s'il aide quand même et va de Charybde en Scylla, dans ses découvertes. En parallèle, on voit Jo qui en apprend plus sur deux étonnants Gardiens, qui semblent manipuler depuis longtemps pour d'autres voies des Gardiens. Jo gère aussi une mini-crise avec les GL sans anneau, qu'elle matte avec un beau discours. Mais la Coluan qui aide Jo à tout comprendre et enquêter est C'est bien, oui. Geoffrey Thorne gère mieux l'équilibre de son épisode, et intègre lentement mais sûrement une narration plus efficace, plus claire. Surtout, les intrigues avancent, le statut de John est classique mais même lui l'évoque (en rappelant que bien d'autres amis ont été des "élus"), et l'enquête de Jo est elle aussi peu originale mais efficace. ChrisCross vient collaborer avec Marco Santucci et le duo fonctionne bien, car leurs styles se correspondent assez et chacun livre de jolies planches, efficaces. La série trouve sa voie, ses voies, et ça me plaît bien. Superman : Son of Kal-El #5 Voici donc le fameux épisode où Jon Kent révèle, affirme, confirme sa sexualité et sa relation avec Jay, ce jeune journaliste, révolutionnaire, surhumain torturé par Bendix. Et c'est bien. Parce que Tom Taylor n'en fait pas le coeur du récit. Le centre du propos, en effet, c'est Jon qui a subi un boost de pouvoir par Bendix. Jon est encore plus fort, alors, mais ses sens aussi. Jon voit tout. Jon entend tout. Et Jon se sent obligé d'agir pour sauver tout le monde, multipliant les sauvetages, les interventions, au point de s'épuiser. Aerie vient le ramener chez Jay, qui le convainc de se reposer. Quelques heures suffisent pour évacuer l'effet du boost, et le duo se rapproche et s'embrasse car C'est bien, donc. C'est doublement bien, en fait. C'est d'abord bien parce que Tom Taylor ne fait pas de cette révélation sur la sexualité un enjeu ou même un sujet. Le baiser est "banal", le rapprochement se sentait, et s'il n'y a pas de romance exacerbée, de romantisme absolu, les quelques mots de Jay suffisent à comprendre pourquoi Jon se sent à l'aise avec lui. Notamment après les épisodes antérieurs, où leurs valeurs se rejoignent. Le fait donc de ne pas traiter la sexualité comme le coeur du récit, ça me plaît car ça n'est pas "lourd", ou ça n'est pas un symbole, ou autre. C'est juste comme ça. C'est juste ça. C'est bien. Et c'est bien, aussi, parce que Tom Taylor acte clairement l'héroïsme de Jon, et j'avoue avoir bien vibré pour tous les sauvetages de Jon. C'est "ma" vision de Superman, et même si Jon ici a été exténué, j'apprécie ce passage. Ca m'a touché, ça m'a emporté. C'est bien. John Timms continue de dessiner dans son style, avec efficacité même si je n'adhère pas pleinement à son trait. Il illustre ici un bon épisode, qui n'est pas un choc ou "une folie", qui n'est pas non plus le symbole absolu de la bisexualité... mais c'est juste bien, en fait. Et ça, j'apprécie. |
#1143
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Aquaman : The Becoming #3 :
Ah, pas mal mais attention à ne pas faire de Jackson un ersatz d'Arthur. Je dis ça parce que cet épisode, très réussi et agréable au demeurant, montre la fuite en avant de Jackson, poursuivi par des forces atlantes pour trahison. Mera, "sous protection" à Atlantis, essaye de l'aider à distance, alors que Jackson se téléporte entre plusieurs QG de la Justice League. Il arrive à la Titans Tower, est attaqué par un Atlante en armure. Sa mère vient aider mais l'Atlante se révèle être C'est bien fait, oui. Brandon Thomas a une bonne narration, il écrit un Jackson qui subit mais est attachant. Diego Olortegui livre de très, très belles planches, dans un style classique mais qui me plaît beaucoup. Tout ça est donc bien, oui, même si la révélation finale montre Ca me plaît, mais gare à la tentation de vouloir trop rapprocher les deux Aquamen. Nightwing #86 : Roh c'est bon, ça. J'avais exprimé quelques réserves sur ce story-arc tie-in à Fear State, mais cet épisode m'a énormément plu. Tom Taylor traite ici plus de la Batfamily, avec une mise en avant de Barbara Gordon, et un Nightwing presque secondaire. Mais le scénariste maîtrise tellement bien les personnages, que ça soit leurs caractérisations ou les dialogues, que ça passe parfaitement. On a ainsi Barbara, Dick et Tim terrifiés en voyant la Tour de l'Horloge exploser, pensant que Stephanie et Cassandra s'y trouvent. Ce n'était heureusement pas le cas, et la Batfam' pénètre discrètement dans le gros vaisseau au-dessus de Gotham. Bagarres, bons mots, et finalement évacuation d'enfants retenus ici, défaite de C'est bien, oui. Mais c'est bien parce que Tom Taylor gère tellement bien la Batfam', que ça soit chaque personnage mais surtout les interactions entre eux. Je "crois" vraiment à l'idée d'une famille, d'un esprit de famille entre eux, quand il les écrit. C'est juste simple, fun, drôle, touchant et vraiment bien senti, sur de nombreuses piques ou des tournures de phrase. Nightwing est donc accessoire ici, mais le numéro est vraiment plaisant... malgré Robbi Rodriguez, dont le trait a un dynamisme et une nervosité bienvenus, mais c'est tout. Les traits ne sont pas "beaux", les formes peinent au fil des pages, et certaines postures sont tout simplement ratées. Dommage, ça sort un peu de la lecture. Bon, la parenthèse Fear State est passée ! Revenons aux choses sérieuses, hop, hop ! Suicide Squad #9 : La bonne impression se confirme encore avec ce bon épisode, très dynamique, très bondissant, mais avec aussi de bonnes idées et de belles émotions. Amanda Waller est acculée, clairement, car elle et sa Suicide Squad ne cessent de changer de QG, car ils sont pistés par le Suicide Squad de Rick Flag, qui vient pour se venger et stopper Amanda. Bon, Rick a clairement "une grosse équipe", à laquelle il rajoute en plus C'est bien, oui. Robbie Thompson maîtrise très bien son casting, qu'il anime intelligemment, en multipliant les rebondissements, les moments d'action, les instants d'émotion. Sa Waller est acculée, mais il est évident qu'elle ne cèdera pas aussi facilement. J'apprécie aussi beaucoup que la série multiplie les crossovers, officieux ou directs. Je pense ici au passage sur Oa en prenant acte de la destruction dans Green Lantern, avec aussi la présence de Jo. Ca poursuit le crossover officiel avec Teen Titans Academy, ou les références à Crime Syndicate et Swamp Thing. Robbie Thompson fait ainsi vivre l'univers partagé, intelligemment et avec maîtrise. Surtout, il multiplie les bons moments avec ses personnages, qu'il apprécie et qu'il anime avec passion. Eduardo Pansica illustre la moitié de l'épisode, grosso-modo chez Waller, alors que Dexter Soy s'occupe du passage sur Oa. Bon, ça fait le job, c'est déjà bien qu'il y ait un vrai "moment de rupture", et les deux dessinateurs font bien le job. Une vraie bonne p'tite série, qui devient un vrai plaisir régulier. |
#1144
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la vache tu lis bcp de chose
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ave corpus satani www.devilmanart.blogspot.com http://buzzcomics.net/showthread.php?t=20427 http://eric-no-devilman.labrute.fr |
#1145
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Ça c est vrai qu il en lit des nouveautés
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Je n'arrive à tenir qu'un régime à la fois : c'est la bouffe, ou les comics.
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#1147
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Ah ah. Je suis encore plus épaté par le temps pris pour en parler cvest chouette.
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Je tape très, très vite.
J'ai appris à la fac, en prenant en note les cours, et j'arrive heureusement à faire plusieurs choses en même temps. Les retours sont rédigés en cinq/six minutes à chaque fois, c'est rapide. |
#1149
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Black Panther Legends #2 :
La bonne impression se poursuit. Tochi Onyebuchi poursuit ces origines de Black Panther en montrant la quête d'un T'Challa ado' en Afrique, après la mort de son père. Trois ans sont passés, T'Challa tente de comprendre ce que T'Chaka a vu lors de son propre voyage. T'Challa est cependant attaqué par des mercenaires, puis aidé par Ororo Munroe et des enfants qu'elle guide. On voit ainsi T'Challa les aider pendant un mois, et prendre conscience, par l'évocation des drames et conflits africains, que l'isolationnisme wakandais n'est bien "que" pour le Wakanda. Ororo doit finalement partir pour comprendre ses pouvoirs, T'Challa doit retourner au Wakanda car Et c'est bien. Tochi Onyebuchi maîtrise entièrement ses personnages, et livre un très bon portrait de T'Challa et d'Ororo. Leur relation est juste, sincère, et les apports qui expliqueront la future politique d'ouverture sont très bons. Le scénario suit un plan précis et clair, mais c'est fait avec justesse et pertinence. Setor Fiadzigbey et Fran Galan livre des planches assez réussies, même si tout n'est pas toujours pleinement maîtrisé. Ca reste frais et dynamique. Un Black Panther Origins fort réussi et juste pour l'instant. Dark Ages #3 : Oh, le bel épisode. J'étais jusque-là assez réservé sur Dark Ages, mini-série sympathique mais finalement "très sage", en tout cas pour le fan que je suis du Tom Taylor de DCeased. L'auteur enchaîne ici, et m'emballe. Non pas par la mort ici d'un personnage, mais plutôt par l'emballement général, la sensation que tout se lance après deux épisodes de préparation (une explication du black-out, une présentation du monde d'après). Et c'est bien. On voit ainsi comment "les gentils" découvrent l'enlèvement de Tony, avec plusieurs scènes de vie touchantes et pertinentes. Dr Doom met la pression en évoquant le risque d'un Stark aux mains d'Apocalypse, et Black Panther envoie Et c'est donc bien, oui. Parce que Tom Taylor emballe son récit. Parce que le scénario avance. Parce que l'ensemble garde des caractérisations formidables, des scènes de vie, des moments d'émotion. Ce n'est clairement pas aussi intense et maîtrisé que DCeased, mais c'est réussi et efficace. Notamment parce qu'Iban Coello livre des planches efficaces, pas forcément belles mais qui font le job, et accompagnent bien un scénario malin, pas forcément aussi énorme dans l'ampleur ou les sentiments que je l'espérais, mais qui fonctionne bien, oui. Une bonne saga, à défaut d'être le choc que j'espérais. |
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Newburn #1: où l'ont suit un ancien flic qui protège les intérêts de toutes les familles de mafia de New York. Un très bon premier épisode introductif, si Chip Zdarsky est à la hauteur tout du long on a là les débuts d'une très grande série, à la Scalped.
Surtout que le style de Jacob Phillips évoque un Sean Phillips plus jeune, il y a énormément de potentiel dans tout ça. Un single qui raconte une histoire, entière. Une mini-enquête qui permet de planter le décors et quelques protagonistes. |
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Oh, tu donnes envie ! Merci !
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Kang The Conqueror #3 :
C'est pas mal, quand même. Collin Kelly et Jackson Lanzing gèrent bien "leur" Kang, très émotif, très acharné, hanté finalement par la peur de devenir comme celui qui l'a enlevé et formé à la dure (mais il le devient) et rongé par l'amour pour "les" Ravonnas, car il en croise bien trois à plusieurs époques. Là, les auteurs relient l'ensemble au canon classique de "la" Ravonna originale, et ça fonctionne bien avec un Nathaniel paumé, qui veut bien faire mais commet les mêmes erreurs. Bien qu'il veuille maintenant faire "plus" et "autrement". Ca se lit bien, oui. Je suis un peu déçu que les deux scénaristes évacuent aussi facilement Immortus, car je pense que le personnage mérite plus de place dans une saga Kang. Mais l'ensemble est agréable, ce Nathaniel est attachant bien qu'il vire "mauvais", en tout cas se laisse happer par ses penchants violents, ce qui peut aussi s'entendre vu ce qu'il vit. Carlos Magno illustre ça efficacement, son style complet mais aussi très travaillé, qui apporte une "dureté" dans les traits, correspond bien à l'ambiance. Même s'il ne maîtrise pas forcément les grandes illustrations. Toujours une bonne base pour connaître et comprendre Kang. Moon Knight #5 : Roh, c'est bon. Jed McKay monte encore d'un cran dans sa série, avec encore un très bon épisode "solo" mais qui va amener à une suite, et à lier plusieurs éléments. Et ça fonctionne ! On a en effet deux récits, ici. D'une part le jeune Terry qui avertit Mr Knight avoir découvert que Soldier, le paumé que Marc a aidé récemment, est Et tout ça est top. L'analyse psychologique est forte, car Jed McKay remonte aux racines de Moon Knight, en rappelant son éducation juive, comment il a tout rejeté pour espérer revivre grâce à Khonshu. Comment il a tout perdu, tout cédé, pour finalement acter que, s'il n'est pas le Fist of Khonshu, il n'est rien. Mais, aussi, l'enquête rapide de Moon Knight sur Soldier est bonne, car il est finalement révélé que Tout ça fonctionne bien, parce que Jed McKay maîtrise vraiment bien son personnage. Son approche de Marc Spector est vraiment bonne, et il jongle intelligemment entre les "versions", toutes incarnées par des costumes. Surtout, le petit casting secondaire est bon aussi, bien animé. Enfin, Alessandro Capuccio continue de bien assurer aux dessins, avec un style dynamique, nerveux, et quelques très belles images. Les ambiances sont bonnes, et envoûtantes. Je reste bien fan, et ça fait plaisir. |
#1153
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Ca tombe bien. |
#1154
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Ah oui d'accord, je viens de vérifier, et effectivement le talent se transmet en famille chez les Phillips. |
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S.W.O.R.D. #10 :
Ah Al Ewing, petit malin. Le scénariste livre ici un épisode centré sur Whiz-Kid, le super-génie technologique handicapé qui traîne dans le titre jusqu'à maintenant. Le #9 a révélé qu'il était un traître à la solde d'Orchis, et cet épisode vise à en expliquer les raisons, avec d'abord un long et intéressant focus sur Whiz-Kid, au quotidien difficile, constamment sous-estimé, méprisé. On le voit ainsi agir, bloquer Cable, enclencher le crash du Peak alors que Storm combat la Lethal Legion, révélée être Bon, ne nous leurrons pas : j'ai bien l'impression qu'Al Ewing ne sait pas vraiment comment gérer sa série, en multipliant les épisodes centrés sur tel ou tel membre. Ca fonctionne, hein, et l'intrigue sur Orchis correspond à un thème de Reign of X, mais l'ensemble est bien trop divisé entre cet aspect et le statut de Storm sur Mars / Arakko. Il me semble clair qu'il faut relancer une série plus claire et mieux thématisée, mais... bon, la lecture est bonne. Notamment parce qu'Al Ewing sait bien écrire, et son portrait de Whiz-Kid est aussi pertinent que touchant. Le twist est bon, j'aime l'intervention de Brand. Dommage que Jacopo Camagni dessine l'ensemble, ce n'est pas "laid" mais je n'aime pas son trait. Je le trouve précipité, trop flou, et sans belles images. Pouah. De bons moments grâce à l'intelligence de l'écriture d'Ewing, mais il devient temps de le concentrer sur une série plus claire. Shang-Chi # : Conclusion rude mais réussie du story-arc "Shang-Chi VS Marvel Universe". Gene Luen Yang conclue cette saga où Shang-Chi et sa nouvelle Five Weapons Society n'ont cessé de croiser les grands super-héros Marvel, par une réunion et une bagarre générales. Les super-héros exigent de récupérer le Cube Cosmique, Shang-Chi conteste l'avoir et combat Thor avec... une épée du dieu des épées et du tonnerre. Mais ça ne colle pas. Cette arme, donnée à l'arrache par Brother Sabre, est Tout ça se lit bien. Gene Luen Yang maîtrise bien son casting, avec un Shang-Chi badass et épique dans son combat avec Thor. Les échanges entre lui et Brother Sabre sont déchirants, comme la suite avec Sister Dagger. Le scénariste gère bien les interactions, et fournit aussi beaucoup de belles bagarres, avec un Dike Ruan bien impliqué, avec des traits dynamiques et quelques belles images. Je reste bien content de ce titre, même si "le pire" s'annonce pour Shang-Chi ! Darkhold : Wasp #1 Roh, terrible. Jordie Bellaire et Claire Roe renouent avec la très bonne impression de Darkhold : Iron Man #1, après la douche froide Darkhold : Blade #1. Ici, les deux autrices livrent un récit puissant, étouffant et malheureusement très contemporain, bien qu'il se base dans une période passée, et via des événements anciens. L'on replonge en effet à l'époque où Janet est encore "la gentille épouse" de Hank, qui s'abandonne dans ses recherches et l'abandonne, elle. On voit ainsi le fameux passage où Hank rejette et frappe Janet... mais celle-ci réagit différemment, car tout l'épisode montre sa solitude, son usure, son isolement, et cette sensation que personne ne s'occupe d'elle (ce que Kang lui dit un moment, d'ailleurs). Et donc, quand Hank la frappe, alors qu'elle se sent si inutile, dépossédée de tout, perdue, sous influence et contrôle... bref, Janet réagit. Et elle Pffou, le choc. Jordie Bellaire livre un récit sombre, étouffant je le répète. Terriblement contemporain dans cette époque de l'après #MeToo, mais aussi bien intégré dans les références de l'époque où se déroule l'intrigue. Surtout, Jordie Bellaire écrit parfaitement bien Janet, avec cette sensation constante d'être perdue, soumise, oubliée, méprisée. Terrifiant, mais intense. Le twist est terrible mais incarne presque un "soulagement", tant ce Hank est haïssable, et tant je me suis projeté dans cette Janet. Tout cela fonctionne cependant énormément grâce à Claire Roe, au style classique, mais très travaillé, qui livre une ambiance parfaite, entre l'étrange, le vintage et l'étouffant. C'est beau, c'est crispant, c'est troublant, c'est intense et c'est vraiment terrible. Encore un bon récit d'horreur pour Darhold. Ca fait plaisir ! |
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