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Je viens de lire et plus que la dernière page, c'est plutôt la première qui m'a surpris. Depuis quand est-ce que Kang est |
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Depuis toujours, mais attention à ne pas confondre avec son homonyme père de Mr Fantastic.
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Oula, tu me perds, c'est pas la même personne?
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Non, Kang est le petit petit petit petit fillot du premier du nom.
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Ah oui quand même. Et ben j'en aurai appris une importante aujourd'hui. Merci!
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L officialisation me semble dater des ff de byrne
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Devil' reign 2:
Je sais plus si on a parlé du un donc je vais faire un petit peu le pitch. Zdasky au scénar Chechetto au dessin. On est dans la suite du run de Daredevil avec un Caïd qui pète un peu les plombs car son dossier Daredevil est vide. Il sait qu il a un dossier sur Daredevil avec tout pour dévoilé son identité mais son dossier ne contient rien de tout ça et donc il est un peu troublé car il ne se souvient pas non plus de cette identité. Alors déjà petite question.. autant dans Spider-Man, comics ou film c est de la magie donc je comprend le principe que ça peut effacer les preuves... Autant dans DD de mémoire c est les enfants de l homme pourpre... Donc comment c est possible ?? Enfin bref le caïd n est pas content et vu que c est bientôt en plus les élections il décide de sortie le grand jeu. Le grand jeu c est un mélange de civil War et Dark reign... C est à dire que les héros sont interdits à New-York et pour faire appliquer cette loi le Caïd recrute les pires vilains du monde pour être dans les forces de l ordre. Alors bon.... C est très joli... Ça se lit de manière très plaisante mais j avoue que j' ai un peu de mal. En fait ça m a fait penser à nos discussions sur No way home... Ce que tu es près à accepter comme incohérences dans une histoire ... Bah là je suis pas assez dedans pour tout accepter. Le caïd va s en prendre à tous les héros même aux FF... Il va engager des super vilains et le reste des États-Unis scène fout. Certains héros d ordre mondiaux vont finir en taule et le président ne dit rien ?? Le truc devrait durer 10 pages pour moi. Le caïd lance sa loi.. le gouvernement appelle les vengeurs et fin. Ou alors j ai loupé un truc sur le caïd qui tient tout le monde via un chantage.... Bon par contre on a un petit twist..les héros mettent en place un moyen légal de battre le caïd et j avoue si ca marche je pense qu on a une des meilleures idées de ces 10 dernières années pour moi chez Marvel. Je vais donc lire la suite pour voir où ça mène
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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The Nice House On The Lake #6
Dernier numéro avant la pause (histoire de permettre à Alvaro Martinez de tout fignoler et il mérite amplement) de 4 mois.
James Tynion en profite pour redistribuer les cartes sans la jouer Deus Ex Machina donnant pour le coup envie de refeuilleter les précédents numéros afin d de voir ce qui a été dit et par qui (ce qui ont lu ce numéro comprendront pourquoi). De même, il justifie les retranscriptions informatiques de discussions. Après, c'est clair que c'est une maxi-série assez verbeuse qui demande du temps (et surtout de souvent se rappeler qui est qui dans le casting assez riche). En plus, au-delà de cette densité, le boulot abattu par Alvaro Martinez est bluffant, montrant tout l'art protéiforme de l'artiste, surtout que Raul Fernandez Fernandez, comparse de toujours sur les titres mainstream n'est pas avec lui depuis le début (ceci je pense ajoutant aux délais de production). J'espère qu'il restera chez DC une fois cela terminé vu que James Tynion s'en va taffer pour Suscaca. Vraiment un des titres les plus Vertigo du label Black DC.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Newburn #2: les aventures du héros bordeline à la moralité aussi fine qu'un contrat de la mafia confirme le bien qu'on pensait d'elles au premier épisode. L'introduction confirmée de l'assistante permet d'en savoir un tout petit peu plus sur le personnage principal, aussi lugubre soit-il. Le contexte de l'épisode rappelle que les attaches de Newburn ne sont à personne, sauf à son travail. On voit apparaître un subplot avec des journalistes qui pourraient nous emmener un peu plus loin. Du tout bon, sauf peut-être la back-up qui demande d'avoir en tête la première partie dans le single précédent, et dont on ne comprend pas encore le lien avec l'histoire principale.
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Mazebook #4: depuis Trillium on savait que Lemire aime jouer avec les codes de la narration qui lui sont offerts en BD, et là il passe un cap supplémentaire. Oubliez le sens de lecture de gauche à droite et de bas en haut, ici on suit le storytelling comme dans un labyrinthe, en prenant des voies qui vont dans un sens puis dans l'autre. En fait, c'est le chemin sinueux du personnage principal que suit le lecteur, et plus on avance plus on comprend l'adage qui dit que ce n'est pas le destination qui compte mais surtout le chemin qu'on emprunte. Tout cela ne va pas finir sur un happy end, toutes les pistes ont là pour nous le faire comprendre, mais qu'importe les récits peuvent être cruels comme la vie, et c'est le message de ce titre.
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Green Lantern #10
Ca s'accélère. Geoffrey Thorne intensifie ses deux sagas, qui semblent bientôt se réunir... et il faut admettre que l'auteur y va à fond ! Notamment le segment sur John Stewart, qu'on découvre être dirigeant d'une énorme armée de guerriers émeraudes... mais tout ceci est en fait troublé. "Notre" John est en fait avec Lonar, en lutte avec Esak, et il erreu au coeur de l'Hypertime (oui-oui), car c'est à lui de déterminer, depuis son Ascension, quel "Etat Futur" (Future State, oui-oui) il veut adopter pour son avenir ! La bagarre est totale, Esak semble vouloir ramener plein de gens, et notamment des proches de John. En parallèle, le Gardien rebelle est rongé par l'entité magique et s'en prend aux Oans. Les Lanterns survivants tentent de s'opposer, mais des Gardiens se révèlent et la soeur du renégat confirme être celle qui a donné son anneau à Jo. Celle-ci accepte la venue de The United Order, l'ancêtre de la Légion, mais tout semble se crisper... alors que John semble "voir" les événements, de loin. Bon, c'est intense. Geoffrey Thorne tape dur, vraiment, et utilise bien des concepts, des idées afin de nourrir son récit. Les notions d'Hypertime, de Future State sont surprenantes, mais grisantes, et l'ensemble a une forme de souffle, de dynamisme très agréable. Bien sûr, le segment sur Oa est moins intense, mais les interactions sont bonnes. Les révélations sont un peu brutes, mais elles aussi fonctionnent et font bien le job. Graphiquement, CrissCross, Juan Castro et Marco Santucci se partagent les dessins, dans des styles proches, un peu ronds, un peu durs cependant. Ca se lit bien, et c'est agréable. Quelle bonne et étonnante petite série ! Superman : Son of Kal-El #7 Pas mal, mais décompressé. Tom Taylor demeure très bon dans les interactions, les caractérisations... mais son intrigue principale prend son temps, et semble un rien trop prévisible. On commence en effet avec "le résultat" de The Rising, un plan du Président Bendix de Gamorra contre Superman, avec a priori un tsunami sur Metropolis. Retour en arrière, Superman et Jay collaborent, le premier est intégré au bâteau secret (oui-oui) de The Truth, l'entité de presse libre du second. Hélas, un gigantesque Léviathan s'approche de Metropolis. Jon retrouve sur place Jackson, nouvel Aquaman, et tous deux arrivent à rassurer la créature... mais Bendix fait venir, via des téléporteurs de Luthor, son "Gamorra Corps", pour gérer le problème. Sauf que ça se passe mal... Bon, ça se lit bien, quand même. Les interactions Jon/Jay sont bonnes, la caractérisation de ce Superman débutant mais au grand et bon coeur demeure très agréable à suivre. Même Jay est plutôt bien écrit, avec ce côté "Lois Lane" même si Tom Taylor souligne bien, implicitement, le rapprochement avec sa possible belle-mère. Mais, malgré tout, ça va lentement. L'intrigue avec Gamorra traîne un peu, le lien avec Lex est assez bon, mais "on sent" quand même ce qui va arriver. Etaler ça sur plusieurs épisodes, après avoir déjà annoncé le résultat, ce n'est pas honteux... mais c'est terrible classique, attendu. Ca se lit bien, mais sans entrain. Idem pour Cian Tormey, qui livre des planches efficaces, dynamiques, proches d'un John Timms ; et je n'adhère toujours pas à ce style. Rien de mauvais, plein de bonnes choses, mais régulièrement un petit manque de rythme et de souffle. Hélas. Aquaman : The Becoming #5 Prévisible et classique, mais agréable. Brandon Thomas ne créé aucune surprise, ici, mais livre un récit efficace et fluide. Sûrement trop fluide, car l'ensemble se devine aisément, mais les bonnes vieilles recettes fonctionnent quand même. Ici, Jackson se rapproche avec sa soeur, Delilah, et comprend plus Xebel, en retrouvant même un vieux flirt. Leur mère comprend la manipulation, les rejoint après avoir été maltraitée. La fratrie voit que leur mère n'est pas "si mauvaise", et découre la future attaque contre l'unité Atlantis/Xebel. Et si eux ne peuvent rien empêcher, Jackson est persuadé que Tout est ainsi prévisible, attendu... mais ça fonctionne. Les interactions de Jackson avec les autres personnages sont plutôt bonnes, notamment ce rapprochement sympathique avec sa soeur. Brandon Thomas veut vraiment "construire" Jackson comme un futur Aquaman, et il le fait correctement même si ce n'est pas brillant ou révolutionnaire. Paul Pelletier vient aider Diego Olortegui, et leurs styles correspondent bien, avec des planches rondes et agréables. Ca fait bien le job, et c'est fort joli. Rien de neuf, mais une bonne recette bien appliquée, sans fausse note. Nightwing #87 Le pied. Quel pied de lire cette série ! Tom Taylor continue de me plaire et de me donner le sourire ici, avec un numéro si prenant et réjouissant ! Quel pied ! Le scénariste enchaîne ainsi, avec toujours Dick Grayson poursuivi par des tueurs suite à une prime sur sa tête par Blockbuster. Mais Dick doit enclencher une construction de sa fondation et doit apparaître en public... mais Barbara, et le chien Haley, viennent. Et alors que Gunbunny et Gunhawk tentent de tuer Dick, sur ordre de Blockbuster, le plan de Barbara s'enclenche - car elle a demandé Que c'est agréable. Tom Taylor maîtrise complètement sa série, ses personnages, les dialogues et caractérisations. La relation Dick/Barbara est superbe, et l'arrivée des proches de Grayson est extrêmement émouvante et bien vue. Tout est simple, tout est juste, tout est bon. L'ensemble est fluide, dynamique, et ça me donne un sourire énorme, avec une pêche d'enfer. Bruno Redondo continue son sans-faute, avec des planches superbes, elles aussi très agréables et positives. Quelle série, bon sang ! Wonder Woman #783 Sympathique. Becky Cloonan & Michael W. Conrad avancent leurs pièces et leurs personnages. Si Diana et Deadman affrontent les Wonder Women étranges, faites de reflets, issues du Image Maker, ses proches s'organisent. Wonder Woman recroise ainsi Etta mais surtout Steve Trevor, dans un moment simple mais très touchant. Dr Psycho envoie un étonnant et mystérieux Shining Knight contre elle, mais ce dernier s'allie finalement à Diana face aux Wonder Women... alors que la menace se rapproche d'Hippolyta elle-même. Ca se lit bien. Je trouve qu'on a un peu perdu de l'intensité, du souffle de la première très bonne saga, mais les deux scénaristes s'en sortent bien. On sent qu'il y a une préparation, notamment via la back-up, aux futurs événements communs de la franchise. Mais l'ensemble demeure agréable, sympathique. J'apprécie particulièrement les caractérisations, et notamment comment Diana polarise les personnages autour d'elle. C'est simple, beau et juste. Marcio Takara illustre l'ensemble efficacement, dans un style travaillé que j'aime bien. Ca manque un peu de dynamisme, mais ça se lit très bien. On n'a plus, pour l'instant, les grandes hauteurs du début, mais ça demeure très agréable à suivre. |
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Lu également le Nightwing #87 hier. Comme attendu un épisode de transition, qui conforte certaines storylines sans les faire bouger, où la forme est plus importante que le fond. Pas si grave comme constat, il y a des moments de lectures assez forts, même si sur certaines splash le concept a du mal à être traité, sur d'autres c'est du caviar, en gros le bon surpasse et donne une bonne moyenne à l'ensemble.
Si il y a bien quelque chose à retenir sur le fond, c'est que Taylor confirme que Dick et Barbara ont une véritable osmose, et que c'est plus qu'une équipe, c'est un couple qui marche à l'unisson. |
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Friday vol 1: mais quelle frustration, à peine on rentre dans le coeur du sujet qu'on tourne la dernière page du bouquin. Il faut dire que le récit de Brubaker, entre des hommages au club des 5 et des ambiances à la Stephen King, est hyper addictif. On est ici dans un récit qui joue avec ce que l'enfance permet et les limites de l'âge adulte, le tout dans un contexte d'enquêtes au limite du surnaturel.
Marcos Martin est surprenant dans le style qu'il a développé, avec une touche de Ian Bertram comme me disait Scarlet. Mais ce trait colle parfaitement aux ambiances voulues par Bru, ça donne un effet cosy à cette small-town america où on s'invite. Une grande question cependant: comment ce titre a-t-il pu être un digital first? Rien dans le découpage ne sert la lecture sur écran. Bien content d'avoir ça en papier, même dans ce format plus petit qu'un comics traditionnel, rien que pour les pages en hommage aux romans d'aventure, leur construction est un régal. Et donc vite la suite, très vite! Dernière modification par EsseJi ; 22/01/2022 à 13h51. |
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Swamp Thing - Green Hell #1. Dernier boulot en cours de Lemire avant de partir en contrat d'exclu chez Image, et pour le coup on a cette impression qu'il termine un cycle entamé dès le début du New 52 et son Animal Man. En effet, ce titre Black Label, bien qu'indépendant de la continuité, est pourtant dans la lignée des travaux sur le Red, Rot et forcément le Green. Ca en fait même un récit qui pourrait être difficile d'accès pour un lecteur qui ne connait pas la mythologie du perso. Toujours sur la mythologie, l'identité du personnage du phare est évidente quand elle est révélée, et rappelle ses origines sur papier. D'ailleurs ce fameux perso est le Superman de notre époque, les années 2020 et tous les auteurs qui l'utilisent font de ce perso le couteau suisse idéale, le deux ex machina qui règle tous vos problèmes et qui sauve la situation en bon héros.
Sur le boulot de Manhke, disons qu'il a atteint une finesse d'exécution qui est mis en exergue avec le format de ce prestige book. C'est d'une justesse à rendre les scènes gore d'une beauté hypnotique. Enfin, le pitch de départ peut faire froid dans le dos, le thème du survivalisme à la Waterworld est si proche, qu'on serait presque du côté des forces naturelles tant l'humanité récolte ce qu'elle sème, et ne se montre pas sur son meilleur jour dans ses derniers instants sur cette Terre. Ca fait du bien un peu moins de Batou dans cette ligne, qui lorgne vers un héritage Vertigo assumé avec le background de Swamp Thing. |
#1320
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100% d'accord avec toi.
Je suis dit que c'était la suite de son swampthing ou d'animal mal. J'ai pris du plaisir à lire et hâte de lire la suite.
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ave corpus satani www.devilmanart.blogspot.com http://buzzcomics.net/showthread.php?t=20427 http://eric-no-devilman.labrute.fr |
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