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Oui, bien vu.
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Moon Knight #20
Sympa'. Comme à son habitude, Jed McKay va doucement pour introduire une nouvelle saga, ici où deux super-vilains normalement nazes et ennemis de Speedball deviennent des assassins dévoués à un téléphone fantôme. Ils tuent les membres de l'ancien Shadow Cabinet de Moon Knight, vieille idée des années 90 singeant le réseau d'agents du Shadow. Marc remonte la piste et s'emporte, évidemment. Bon, ça se lit bien, mais sans entrain. Jed McKay va doucement mais sûrement, l'ensemble demeure agréable grâce à un Alessandro Capuccio au style toujours nerveux et agréable. Le jeu de massacre est facile mais je suis curieux. Une back-up de Lore & Height montre comment Blade a connu une précédente Moon Knight dans les années 1970, et accepte d'aider l'assistante de Marc à vivre son vampirisme en hommage. Sympa' mais vite lu et oublié. Un bon numéro de la série, avec son rythme lent. Scarlet Witch #2 C'est bien cool, ça. Steve Orlando me surprend agréablement en tenant très bien sa série, ses personnages et son concept. L'on plonge ainsi dans l'esprit de Viv Vision, qui souffre de cauchemars basés sur sa mère décédée - une mère robote créée sur la base de l'esprit de Wanda. D'où le lien que ressent Wanda pour elle (une Wanda qui, de toute façon, n'a que des enfants "directement indirects" peut-on dire). Wanda va dans son esprit avec l'aide de Darcy, qui reste en arrière (que j'ai confondue avec l'ex-assistante de Strange, mais non ! c'est bien le perso' joué par Kat Dennings, cool). L'on trouve rapidement l'origine : C'est bien cool. Steve Orlando gère bien la relation familiale difficile, l'ensemble est très intimiste et touchant. C'est bien fait, même si j'espère que tout ne sera pas réglé "facilement" à chaque fois par Wanda. Graphiquement, Sara Pichelli assure encore, avec de vraies jolies planches, très inspirées. C'est vraiment top. Une back-up par Williams & Allen montre un étonnant duo entre Wanda et Storm, pour aller récupérer des ingrédients pour... un thé. C'est assez fun, léger même si ça évoque la mort de Magneto et l'impact sur Wanda. Bien fait et prenant. Un coup de coeur qui se confirme. Captain America: Sentinel of Liberty #9 Sympa' mais un peu maladroit. Jackson Lanzing & Colin Kelly lancent l'invasion d'une Manhattan prise en otage par l'AIM, via les Invaders de Cap'. On voit plusieurs duos en action, c'est assez cool et bien mené. Surtout pour le duo Peggy / Cap', avec la première qui "pousse" Steve à parler de ses sentiments vis-à-vis de la trahison de Bucky. On sent que Peggy penche du côté de Bucky, d'ailleurs, et ça risque de clasher bientôt. J'aime bien aussi Nick Fury Jr qui collabore avec les voisins et amis "normaux" de Steve, c'est sympa'. M'enfin, tout ça finit mal car ils sont tous attaqués par C'est sympa', oui, mais confus sur la fin car je n'ai pas bien compris si l'ennemi a créé une illusion pour tout ce qu'il se passe ou seulement une partie. Ca gêne un peu la lecture et la compréhension, et c'est dommage car l'épisode est sinon bien mené et cool. Les deux scénaristes gèrent bien leurs duos, avec de belles interactions. Carmen Carnero livre de jolies planches, mais sa narration m'a semblé moins fluide. Notamment sur deux double-pages : une où Sharon bondit pour faire venir Destroyer avec un filin, mais l'enchaînement est peu lisible ; une où Peggy agit avec Cap', et des flashs d'images à côté, et c'est mal foutu. Dommage, car sinon c'est fort joli. Ca continue bien, malgré quelques maladresses. Pas grave, mais un peu moins bien. Silver Surfer: Ghost Light #1 Sympa', mais un peu lent. On a ici un épisode entier sur une petite famille, qui vient de s'installer dans une ville perdue, précisément la maison de l'oncle Al, disparu depuis plus de dix ans mystérieusement. Une ville qui fête encore un événement intervenu il y a onze ans, où tous ont oublié une journée entière, sans explication. L'aînée de la famille est blasée de vivre loin de ses proches, le petit frère est fan de jazz et curieux. Ils profitent d'un dîner en ville des parents pour enquêter sur l'oncle disparu, découvrir un labo' secret et enclencher une machine qui "éveille" un être lumineux, que la gamine voyait en rêve. Une agence secrète détecte l'énergie et l'être, mais aussi le Silver Surfer - qui vient exiger des comptes pour savoir qui vient profaner le repos de son ami Al B. Harper, vieux perso' vu dans un épisode jadis. C'est bien, oui, mais un peu long. John Jennings est quand même très bavard sur cette famille, fort sympathique mais ça reste très lent. On voit venir au loin le twist sur l'être lumineux, mais c'est cool qu'on sache vite qui il est pour l'identifier via l'apparition initiale. On reste sur un épisode introductif classique mais bien réalisé, bien qu'assez longuet. C'est cependant fort bien dessiné par un Valentine de Landro très inspiré, avec un très beau style européen et une belle ambiance. Sympa' mais lent. A voir la suite, je reste intrigué. |
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Pour Silver Surfer, oui, ça prend son temps mais à bon escient ! Très bon titre ! Sinon, dans la famille Dark Horse, je viens de prendre un énorme pied à lire MINOR THREATS ! Ces 4 n° parodient intelligemment les comics DC et Marvel. La serveuse d'un bar qui ressemble au bar sans nom de chez Marvel, une ex super vilaine sans envergure crée sa propre équipe quand les héros et vilains partent en couille. C'est drôle et tragique à la fois. Une vraie bonne surprise de Patton Oswalt et Jordan Blum avec aux dessins un impeccable Scott Hepburn !
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La blague qui tue de l'HOMME BANANE ! https://www.youtube.com/watch?v=sYc5E_7vwLA |
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Dommage moi j'aimais l'idée de récucpérer le perso de dr strange. Ca paraissait logique. |
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Euh... là, on voit que Blade a connu une Moon Knight avant Marc Spector, dans les années 70. Non, pourquoi deux Darcy ? |
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on est clairement dans le pitch d'un épisode raté de Goosebumps ... Wells et la marvel ne savent pas quoi faire de Ben, on en fait un méchant, mais un méchant très con et bas du front... "Tu m'as piqué ma mémoaarrrrrrrrrrrrrrreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee Tu es zun maichanttttttttttttttttttttttttt" Donc pour me venger je m'associe à la Goblin Queen et je vais chercher tes meilleurs amis ... JJJ et Robbie !!! (y'avait pas plus proche ???) et les envois dans les limbes On me vendrait ce genre d'histoire pour marvel KIDS à la rigueur (je ne pourrais m'en prendre qu'a moi de l'avoir acheté.... ) Bon, je n'ai pas acheté ni l'intro ni la fin de Dark Web, j'ai été voir les critiques sur le net (et jeté un oeil sur 2 - 3 pages qui trainaient): Kubert ne se foule pas et ne donne pas envie de lire. mais surtout il ne se passe rien...Le seul endroit ou il se passe quelque chose est dans X-Men DW 3 Euh.... Comment dire, La solution pour régler le problème Maddie (qui durait depuis 30 ans) aurait permis de régler aussi Ben Dernier point, et j'ai aussi regardé sur le net, parce que je pensais avoir rater un truc, mais non .... Les "interconnected covers ....." qui ne sont pas si connected que ça ^^ j'ai vérifié si la couv du 18 ne se connectait pas avec un titre que je ne lis pas.. mais non ... F*cked-up et ils 'sen foutent ^^
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Shoot Shoot don't talk |
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Par curiosité, j'ai lu MANIAC OF NEW YORK DONT CALL IT A COMEBACK et bien m'en a pris.
J'ai de suite eu envie de lire les 2 mini précédentes. Déjà, j'aime le style d' Andrea Mutti qui colle parfaitement à l'histoire et ensuite, j'adhère totalement au second degré du scénario qui pique là où ça fait mal. Vivement la suite !
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#83
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Junkyard Joe #3
Toujours aussi bon Numéro centré sur les émotions des différents protagonistes et leur psychologie. Si la famille, après avoir survécu à leur première journée dans cette nouvelle ville ( et vie), semble se déchirer (Je ne suis pas dupe, c'est pour mieux se resouder dans les prochains numéros), Mr Davis et Joe se soutiennent mutuellement (le J vue de haut pour signifier que c'est Joe qui a déblayé la neige devant la maison de Mr Davis est bien trouvé). Sinon bonne nouvelle, Geiger va être adapté en série, c'est officialisé en fin du titre. Vivement que je reçoive le prochain |
#84
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Green Hornet: One Night in Bangkok #1
J'aime bien le Green Hornet, comme d'autres héros dits pulp comme le Shadow et évidemment mon chouchou le Phantom. Je trouve qu'il y a un grand charme à ces personnages fondateurs mais un peu oubliés. Hélas, ce ne sont pas les versions récentes qui leur redonnent l'éclat passé, et notamment celles de Dynamite. La mode de Dynamite de surfer dessus est un peu retombée... comme un peu toutes les modes de Dynamite, d'ailleurs. Je trouve que l'éditeur a énormément réduit ses publications, et ne sort plus grand-chose ; bref. J'étais curieux de ce one-shot Green Hornet, et... j'en ressors déçu. Déjà, on a ici le Green Hornet de la version Kevin Smith, fils de l'original et avec la Kato fille. En soi, les idées étaient plutôt bonnes, et je reconnais que ça aurait pu faire un bon film (car la saga originale est l'adaptation du script de Smith). Bon, il n'y a pas eu grand-chose de marquant dessus ensuite, et là... là, ça ne changera hélas rien. On a une intrigue fort triste et prévisible sur le fils d'un criminel vaincu et brisé par le premier Green Hornet, qui a passé sa vie à s'entraîner pour se venger ; et profite du nouveau Green Hornet pour l'attaquer, l'humilier et tenter de le provoquer. Le Green Hornet est sans Kato, absente, et il doit donc se remettre seul pour affronter et vaincre (en trichant) l'ennemi. Et... voilà. C'est tout. Shannon Denton livre un scénario tristement banal, alors que Jethro Morales propose des planches bien trop moyennes. Un one-shot bien faible, bien anodin. Et bien loin de ce que le Green Hornet mérite. The Flash #792 Sympa'. Jeremy Adams continue tranquillement sa petite saga, avec ici la Flash Family réunie autour d'un Barry endeuillé mais combatif. Impulse & Kid Flash les prennent de vitesse pour aller récupérer un des véhicules ennemis, qui utilisent la Speed Force. Alors que les adultes pénètrent le labo' de Mr Terrific pour avoir de meilleurs ordinateurs, les jeunes volent un engin, affrontent la chasseuse et télépathe Miss Murder (et la battent en agissant sans penser, merci Bart), ramènent un gamin qui faisait office de batterie et... découvrent que le véhicule volé avait en cargaison C'est sympa', oui. Ca va vite, chaque personnage a quelques moments à lui. Même si le fond est grave, notamment sur Iris, les interactions restent sympathiques, réjouissantes, et l'on en ressort avec le sourire. Roger Cruz livre des planches correctes, mais quand même rapides. Ca reste dynamique, mais il a fait mieux récemment sur Robin. Une bonne p'tite saga, avec une Flash Fam' agréable à retrouver. |
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Je me rappel des interconnected sur Titans JLA ou il y avait 3 numéro mais un creu dans le panorama total. Me semble que c'était vendu autre part. En tout cas le visuelle panoramique total existe. A voir si le visuel panoramique total pour DW existe aussi. Me semblerait incroyable que l'artiste n'est fait l'ensemble avec un creu ou en laissant la couv non édité. |
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Gotham City: Year One #5
Quasi à la fin de la mini-série, vient le moment des (premières) révélations. Comme dans tout polar, Tom King passe par des flashbacks, narrés par la mystérieuse Queenie qui révèle que l'enlèvement d'Helena Wayne a été fomenté par Bon, ça se lit bien mais ça reste encore très classique. C'est prenant, mais je reste gêné par l'idée que Gotham "explose" et s'enfonce définitivement dans le sombre et la violence par la seule disparition d'Helena, et la seule absence du commissaire. C'est un peu facile, et ça me gêne malgré de bonnes qualités de polar. Bon, surtout, c'est magnifiquement dessiné par un Phil Hester en feu. C'est très joli et ça a le charme des vieux polars, même si ça coince dans les détails. Lazarus Planet: Next Evolution #1 Nouveau one-shot, donc, pour la saga Lazarus, dérivée de Batman vs. Robin. Via plusieurs micro-récits, on voit les conséquences de la pluie Lazarus, née du volcan Lazarus, sur le monde. Et il faut avouer que cette fournée est assez bonne, ici. On commence par The Vigil - See No Evil de Ram V et Lalit Kumar Sharma. Red Hood s'en prend à des criminels lambdas qui faisaient une livraison à Gotham, mais découvre que le bateau a été stoppé par trois surhumains mystérieux, le groupe The Vigil. Bon, ça reste encore superficiel car on ne sait rien de The Vigil, et c'est un peu trop léger. Mais Ram V écrit bien un Red Hood en pleine action, et les dessins sont forts jolis. On enchaîne avec Flatline - Revelation de Brandon T. Snider et Laura Braga. Flatline entend une nouvelle voix dans sa tête depuis la pluie Lazarus, et remonte la piste jusqu'à Ubu, le domestique éploré de Ra's al Ghul qui s'en veut de n'avoir pas pu empêcher sa mort. Ca bagarre, Flatline gagne, ouvre une urne et semble ramener C'est sympa'. Le scénario tient bien Flatline, que j'ai plaisir à retrouver en dehors de la série Robin, et le cliffhanger peut amener quelque chose de bien si la relation entre elle et Damian perdure. C'est graphiquement efficace et dynamique. On continue avec The Abyss of the Dead Eye de Chuck Brown et Arthur Martinez. Deadeye, neveu d'Amanda Waller, la contacte psychiquement, alors qu'elle est sur Terre-3, car il est harcelé par Everyman... qui change de pouvoirs après la pluie Lazarus, mais a surtout été envoyé par Amanda pour "endurcir" son neveu. Qui vaincra l'ennemi, mais prendra soin de lui ensuite. Bof-bof. Les dessins, déjà, sont assez massifs, avec un encrage lourd ; c'est pas moche, mais peu agréable. Le scénario est basique, et bien trop vu précédemment. Ca se lit, mais ça s'oublie vite. Enfin, ça se termine avec Red Canary par Delilah S. Dawson et Brandt & Stein. Un bon p'tit récit pour présenter un peu plus Red Canary, sa vie d'étudiante paumée, sa relation tendue avec une famille exigeante, et une envie de changer le monde sans trop savoir quoi faire. Des statues s'animent du fait de la pluie Lazarus, elle les stoppe avec son pote Sideways et continue de s'inspirer de Black Canary. C'est cool. Le personnage est appréciable, l'ensemble est frais et fun, avec des interactions bien écrites et des planches dynamiques. Très agréable. Un p'tit one-shot plutôt sympathique, avec de bons moments. Top ! Dernière modification par Ben Wawe ; 08/02/2023 à 11h40. |
#87
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#88
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Bishop: War College #1
Quelle étrange histoire. J. Holtham lance la mini-série avec un numéro solide, mais qui finit sur un contexte très différent de ce qui est montré jusque-là ; surprenant. Ici, on voit essentiellement Bishop qui entraîne à la (très, très) dure quelques jeunes Mutants dans un "War College", pour préparer la défense forte de Krakoa. On a tous les poncifs de la formation brutale, avec Dani Moonstar qui vient essayer de calmer Bishop, Bishop qui doute et fait des cauchemars mais continue. Il y a la menace des Fenris qui rôde, mais Bishop demande à Tempo d'étirer le temps de la dernière journée de formation (car le Conseil Silencieux stoppe l'initiative suite aux plaintes). Sauf que la bagarre avec les Strucker gêne Tempo, et Bishop disparaît pour arriver Etrange, oui. Le cliffhanger amène sur un Bishop perdu "ailleurs", alors que la mini-série vise à montrer en principe sa formation à la dure. Bon, la lecture est assez classique, les personnages sont écrits sans faute mais sans briller. Ca se lit, sans plus. Idem pour le graphisme de Sean Damien Hill, efficace mais sans jamais épater ou impressionner. Sans le cliffhanger, je n'y reviendrais pas. Mais je suis un peu curieux. Storm & The Brotherhood of Mutants #1 Moui, pas fou. Al Ewing suit l'événement Sins of Sinister, avec ici ses personnages de X-Men Red projetés dans les moments sombres qui suivent la mainmise de Sinistre sur une ligne temporelle. Là, nous sommes dix ans après le présent, et donc dix ans après la chute de Mars / Arakko. Une Storm "magneto-isée" continue de résister à Sinistre avec sa Brotherhood, et mène une croisade brutale contre Sinistre et son labo' pour l'empêcher de réutiliser les clones de Moira-X. Il y a trahison de Mystique, cependant, dans un grand plan de Destinée, qui échange avec Ca se lit, mais sans passion. Al Ewing continue quelques éléments de X-Men Red, mais je trouve pour une fois ses personnages un peu "faux", dans le sens où l'énervement et la fureur semblent être les seuls traits d'une Storm, par exemple. Ca se comprend, mais c'est un peu lourd et facile. Graphiquement, Paco Medina assure dans un style clair et correct ; solide, mais sans briller. Un vrai bof ici, car il semble que Ewing soit peu inspiré par cet énième événement qui le coupe dans ses sagas, qu'il a d'ailleurs du mal à gérer en soi. Un gâchis de tous les côtés. Captain America: Symbol of Truth #10 Bagarre, encore ! Mais ici fratricide. Un Falcon transformé et possédé est envoyé contre SamCap et Nomad, et ça tape sévère. Ca en vient aux réflexions en forme de coups bas, et Sam doit s'acharner pour stopper Falcon (qui finalement n'a pas dévoré ses proches, mais uniquement les chevaux ; snif, snif). White Wolf prend définitivement le pouvoir dans le pays, et Sam décide qu'il en a assez et envisage clairement de tuer l'ennemi pour ce qu'il a fait à Falcon. Bon, ça se lit agréablement mais ça se lit vite, et ça s'oublie un peu. Tochi Onyebuchi joue la montre et fait traîner en longueur, ça reste plaisant et prenant mais c'est très prévisible et lent. La bagarre est bonne, mais cela demeure déjà-vu et assez facile. RB Silva continue d'assurer graphiquement, avec de belles planches même si, parfois, il est un peu dur de suivre quelques cadrages. Agréable en lisant, mais quand même trop décompressé. Secret Invasion #4 Plutôt bien, mais je pense que la mini-série sera finalement une déception par son manque d'ampleur. Après la fin choquante du #3, où Maria Hill a tué froidement des Skrulls pourtant volontaires pour aider Iron Man qu'il a formés et coachés (une idée WTF a priori "réelle", ce qui n'a aucun sens pour Tony), la même Maria vient provoquer la Skrull prisonnière pour la narguer. Super. Iron Man vient demander des comptes, bagarre avec les dispositifs de protection de Maria, dont une armure (évidemment). La Skrull s'enfuit, Maria saute dans le vide pour la stopper mais ça se retourne contre elle. Bon, que dire ? D'un côté, Ryan North gère "bien" une Maria Hill définitivement terrible, froide mortelle. L'idée WTF des Skrulls alliés de Stark n'a pas de sens, mais cette Maria est correcte et cohérente. Mais, en même temps, on nous vend une Invasion Secrète qu'on ne voit que par le prisme de la seule Maria, qui croise vingt Skrulls à tout casser. C'est trop petit, trop "micro" et trop peu. Quel dommage, car fondamentalement la saga n'est pas mal, mais fonctionnerait mieux en tie-in d'une vraie intrigue Secret Invasion. Là, ça tombe à plat malgré de forts jolies planches d'un Francesco Mobili cependant moins à l'aise sur la bagarre. C'est bientôt fini, ça reste prenant malgré des incohérences et surtout la future déception de son manque d'ampleur. (allez, dernière critique avant les vacances, youhou !) |
#89
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Bonnes vacances !
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La blague qui tue de l'HOMME BANANE ! https://www.youtube.com/watch?v=sYc5E_7vwLA |
#90
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Merci !
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