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Non non le Dark Âge de Taylor situation catastrophique je tournais les pages fébrilement... Dans ma tête j ai encore 12 ans on peut pas mettre ça sur le compte qu on est des vieux cons... C est sans saveur ce truc
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
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Parce que tu sais que Dark Ages est un monde alternatif où "tout" peut arriver.
Dans l'univers classique, on sait que les personnages sont devenus trop importants pour risquer réellement quelque chose. |
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Je rebondis sur Morlun : assez d'accord avec Watchblue. J'avais beau savoir que Peter allait s'en sortir je ne pouvais m'empêcher d'avoir peur, de me dire qu'il pouvait y passer. JMS l'écrivait assez bien pour que je ressente le désespoir de Peter et la réalité du danger
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Alors oui, ces 4 épisodes, qui auraient pu être des ASM #71.SW, #72.SW etc, ne sont que de la grosse baston brainless, oui, c'est pas terrible... Mais ça se lit avec les épisodes d'Amazing en parallèle, où là il se passe des choses, on a des révélations, etc. Les épisodes "bonus" aux précédents arc pour Hunted ou Last Remains étaient aussi parfois plus faibles, ou montraient des "à cotés" (là c'est juste la baston) Et surtout, Sinister War n'est PAS fini. Le prochain numéro, le #73 conclue cet arc ! Donc on n'a PAS ENCORE eu la fin !...
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COMIXITY !!! A l'écoute des comics ! Le PODCATCH !... Du pod et du catch quoi. Le Bureau des Comics a ouvert ses portes ! |
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EDEN (ONE SHOT) chez Aftershock
W : Cullen Bunn P : Dalibor Talajić Une éternité que ne n'avait pas acheté un comics du très bon éditeur qu'est Aftershock. Bien m'en a pris avec ce one shot d'excellente facture. Niles est tatoueur et a du mal à faire le deuil d'un passé douloureux. La rencontre avec la belle Eden va changer sa vie. Cullen Bunn insuffle ce qu'il faut de fantastique dans un récit qui semble au départ cousu de fil blanc avec une conclusion assez bluffante. Je suis venu au départ pour les dessins de Dalibor Talajić et je n'ai pas été déçu, loin de là. L'artiste Croate éblouit encore une fois en utilisant pleinement le format magasine à sa disposition et avec des compositions lorgnant sur celle de Mucha. Eden est attirante, autant que Niles et sans tomber dans le vulgaire. Enfin le format proposé est magasine avec une tranche épaisse, ce qui renforce la qualité du comics. Je recommande fortement. |
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Celle des Gardiens.
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New Mutants #21
C'est top. Vita Ayala gère très bien sa série et ses intrigues. On retrouve ici la bande d'exclus de Krakoa, des gamins mal dans leurs peaux au point de se laisser influencer par le Roi d'Ombre. Il y a négociation rude avec les Five pour ressusciter Gabby, mais les Five C'est top, oui. Vita Ayala amène ses personnages à de bons moments, avec quelques bons dialogues et de bonnes caractérisations. Les Nouveaux Mutants historiques sont très bien écrits, déjà la badass Illyana mais aussi Dani et Rahne. Warpath a du sens en prof' à la dure mais impliqué, et tout ça mène à un beau duel à venir avec le Roi d'Ombre... encore, oui, mais ça se lit quand même bien. Rod Reis propose des planches très inspirées, avec de très belles atmosphères. C'est fort réussi et adapté à l'ambiance. Avec la fin de X-Factor et de Cable, New Mutants demeure l'une des seules séries que je lis encore et surtout celle que j'aime le plus. Je ne m'en serais pas douté lors de mon abandon sous Ed Brisson, mais c'est une bonne surprise. The Last Annihilation : Wiccan & Hulkling #1 Bon, c'est sympa'. Un peu gnangnan, mais sympa'. Anthony Oliveira adopte ici une double narration temporelle, pour évoquer trois situations. D'une part, Hulkling et une partie Gardiens de la Galaxie (essentiellement) qui gèrent une attaque sur une planète, avec également le retour d'une version déformée de Et c'est sympa', oui. Anthony Oliveira flirte avec la lourdeur sur la romance, mais ça fonctionne avec quelques bons dialogues, quelques bonnes caractérisations touchantes. Les interactions au présent sont un peu plus grossières, notamment cette rencontre maladroite entre Hulkling et la Phyla-Vell alternative, sa "soeur" qui l'a évité car Bon, ça se lit tranquillement, mais ça ne marque pas. Je retiens cette bonne idée sur le déplacement, je retiens une romance bien fichue même si ça flirte parfois avec le too much et quelques bons dialogues, même si la romance Hercule/Noh-Varr est un peu lourde ici. Jan Bazaldua propose des planches assez "simples", qui fonctionnent mais ne sont ni jolies, ni pleinement dynamiques. Ca fait le job, même si c'est souvent un peu trop "facile" dans les visages. Un one-shot dispensable mais mignon. |
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Quand je regarde les planches de Reis sur ce titre, et ce depuis le début, je ne comprends pas qu on se soit tapé un Yu en très très petite forme sur le titre principal.
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Pour une raison incompréhensible, Leinil Yu vend plus que Rod Reis.
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Batman/Catwoman #7
Purée, c'est toujours aussi hermétique, ce truc. Tom King fait avancer un peu plus ses trois périodes, ses trois narrations sur trois époques, mais ça reste très cloisonné, très éthéré. C'est toujours un peu chiant à suivre, autant sur la gêne de trois narrations vraiment diffuses, que sur le peu de choses qu'il s'y passe. Mais bon, Liam Sharp ici apporte une dureté et une nervosité dans le trait qui fonctionnent... même si cela ne compense pas entièrement un scénario très lent, où Tom King semble beaucoup aimer se regarder écrire, en fait. Toujours une déception, mais légèrement moindre ici. Green Lantern 2021 Annual #1 Très réussi. Ryan Cady prend le relais de Geoffrey Thorne pour concentrer l'Annual sur Jessica Cruz, révélée nouvelle membre du Sinestro Corps. On découvre ici comment et pourquoi, notamment avec une Jess' qui initialement Franchement, ça fonctionne bien. Ryan Cady propose une histoire cohérente et réussie pour justifier ce choix, et la caractérisation de Sinestro en manipulateur sans trop de machiavélisme est bonne (il "savait" que cela se passerait ainsi). Je trouve aussi que cette Jess' est bien écrite, comme ce Hal. L'ensemble fonctionne et créé une bonne explication pour ce changement. Sami Basri illustre l'essentiel de l'épisode, et c'est très fluide et joli. Tom Derenick vient aider et ça ne se voit presque pas. Un bon moment, une bonne réussite. Green Lantern #6 Pas mal, pas mal. La série souffre d'avoir finalement deux intrigues, deux sagas, presque deux titres en un - et, souvent, Geoffrey Thorne essaye de mettre en avant l'une puis l'autre, pour équilibrer, mais je sens quand même que tout n'est pas autant développé qu'il le faudrait. Ca fonctionne, mais ça crispe sur les côtés, hein. Ici, on voit surtout Jo aller sur New Korugar et échanger avec Sinestro, qui confirme qu'il n'est pas à l'origine de l'attaque d'Oa. Elle récupère Kali avec Simon, et finalement l'intrigue n'avance pas vraiment, même si l'auteur livre un bon moment de caractérisation de Sinestro et de Jo. Fluide et pertinent. En parallèle, Kilowog envoie un message de détresse à ses copains GL perdus dans le secteur oublié, sans anneau. Le message a un jour de retard, Salakk envoie John et d'autres chercher Kilowog, même si l'amie locale de John révèle que Ca se lit bien. Le premier segment est pertinent, bien caractérisé et bien dialogué, mais ne fait "rien" avancer. Le deuxième montre un peu la grosse menace locale, mais va un peu vite, se précipite un peu. Bon, ça se lit quand même, hein, mais ce serait nécessaire d'y aller plus doux, là. Un épisode donc constamment gêné par le format de la série, mais une lecture agréable. Marco Santucci propose de très belles planches pour le premier segment, avec beaucoup de grâce et de fluidité. Tom Raney est plus strict, plus rude dans l'approche, mais ça correspond finalement à l'ambiance. C'est bien, c'est agréable, mais ça mériterait plus de pages. |
#823
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Infinite Frontier #6
Oula. Joshua Williamson finalise ici sa mini-série, qui s'ouvre pleinement sur l'autre future mini-série Justice League Incarnate... mais aussi sur un futur événement, clairement annoncé ici, pour 2022. Et si l'ensemble est une lecture sympathique, la révélation finale me laisse un peu circonspect. Reprenons, cependant. Tout commence par la grosse bagarre de Justice Incarnate et de la JSA contre l'Injustice Incarnate de Machinehead, composée de "déçus et frustrés" du Multivers. Ca bagarre, Thomas Wayne a quelques bons moments de caractérisation (Joshua Williamson ne cesse de revenir sur ce que Tom King en a fait), et finalement Président Superman "détruit" ce qui retient Flash. Le plan de Darkseid s'effondre, Tout le monde est renvoyé chez soi, "tout va bien" même si la Justice Incarnate se prépare à retrouver Darkseid pour en finir (TA-TA, teasing de la mini-série qui débute en novembre). Sur Terre-0, Cameron Chase récupère le DEO Surtout, en parallèle, sur Terre-Omega, Darkseid Je m'avoue circonspect, là. Autant l'essentiel de l'épisode est fluide et agréable, malgré la "facilité" avec laquelle Président Superman gère tout (donc "pouf je fonce dedans" et c'est fini ? cool), autant la révélation finale sur le "futur méchant" de l'événement de 2022 ne m'emballe pas. Je trouve que le teaser sur la mini-série Justice Incarnate est sympa', la gestion des personnages est bonne, même la réunion de Big Bads par Darkseid peut être intéressante... mais là, j'ai l'impression que Williamson le prend en "futur méchant" car Bon, l'épisode est plutôt bon, fluide, dynamique, bien dialogué et bien caractérisé. Ce qu'il annonce est essentiellement sympa', sauf la fin. Xermanico s'en sort très bien aux dessins, c'est efficace et dynamique. Définitivement une saga d'attente, qui s'avère réussie sur l'ensemble... hormis son ouverture sur la suite, qui me refroidit grandement. |
#824
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Oui... Je sais qu'il a un nom mais je ne peux m'empêcher de me dire que le Leinil Yu d'aujourd'hui ne me ferait pas me déplacer en convention contrairement à celui qui a collaboré avec Ellis et Waid En fait je me dit que le titre lead de la franchise est celui qui a eu la partie graphique la plus faible |
#825
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Oui.
Mais aussi la direction la plus incompréhensible. X-Men démarre avec un focus sur Cyclope et les Summers, puis en fait présente Arakko, puis ensuite précise les détails géopolitiques, puis introduit les mamies au coeur d'Empyre : X-Men, et puis, et puis, et puis. Jusqu'à un diptyque sur X-23, Synch et Darwin dans The Vault. J'ai l'impression que Jonathan Hickman a utilisé la série X-Men pour "lisser" les détails de HoXPoX. Sympa' pour le complétisme, mais narrativement inintéressant. |
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