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#301
10/05/2022, 22h09
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Le nom de me renvoie à Batman Inc de Morrison
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#302
10/05/2022, 22h17
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oui la v1 de leviathan cest Momo sur Batman Inc, puis la V2 Abnett sur Silencer , depuis Event Leviathan c'est la v3
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Shoot Shoot don't talk
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#303
10/05/2022, 22h48
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#304
11/05/2022, 10h30
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a priori le nom sort deja dans seven soldiers..
je pensais qu il y avait un truc derriere le nom... mais je retrouve rien.. un truc lié à Hydra.. Ah oui ce serait une théorie que Morrison utilise le World Newton ou Ras est Fu Manchu.. Hudra et Leviathan sont une mme organisatin qui est aussi rencontrée par Phantom... etc etc https://comicsalliance.com/eye-of-th...2-annotations/
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#305
11/05/2022, 17h22
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Lire JLA LSH. Voir Cham expliquer à Green Arriw qu en réalité il est nu et n à pas besoin de faire caca... bordel
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#306
11/05/2022, 17h30
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Non??
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#307
11/05/2022, 18h20
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Siiii...
De l autre côté Cates fait pas mal non plus 
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#308
11/05/2022, 18h53
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Blood-Stained Teeth #1: pas de quoi se faire de mauvais sang.
 Episode introductif avec tout ce que ça implique, arrivé à la dernière page l'essentiel est posé, l'attente du deuxième est justifiée. Nous voilà rassuré sur le talent d'écriture de Christian Ward, il maitrise l'exercice. Il pourrait même donner des leçons à Lemire, qui sur un thème qui exploite aussi les vampires, rend des copies vides sur Little Monsters. On aurait envie de lui dire de ne pas abuser des flashbacks, si il faut bien faire un reproche. Patric Reynolds au dessin et Heather Moore font une bonne paire au dessin et aux couleurs, c'est clairement eux qui portent le titre. L'ambiance est à la fois sombre et coloré, un bel essai. Il y a des subplots qui ne demandent qu'à exploser, ça sera surement là l'axe du premier arc.
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#309
11/05/2022, 22h29
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Shang-Chi #12
Final précipité, un peu facile mais sympathique pour la série, avant une relance encore plus liée au film récent. Ici, grosse bagarre finale entre Shang-Chi (et sa fratrie) et son grand-père, alors que l'honorable empereur de jade "permet" à Shang d'utiliser ses dix anneaux (bien nouveaux mais bien pratiques) pour contrer l'aïeul. Shang se laisse happer par la tentation incarnée par le spectre de son père, mais sa fratrie le ramène et l'empêche de s'adonner au Mal. Le grand-père est vaincu, sans être mutilé. Shang rend les anneaux, sa réputation auprès des super-héros est refaite, sa fratrie se disperse, et tout va bien... mais Gene Luen Yang retombe sur ses pieds, clairement forcé sur sa fin dans le fond (il range très vite les jouets, même si ça reste correct et cohérent) et la forme (les dix anneaux, qui arrivent comme un cheveu sur la soupe). Bon, il continue de très bien gérer Shang et sa fratrie, dont les interactions sont clairement le sel et l'intérêt de la série. Marcus To livre des planches correctes, sans briller mais solides. Un ouvrage propre, professionnel. Une fin précipitée, où l'on force un lien encore plus fort avec le film, afin de préparer une autre relance. Pourquoi pas, mais je doute que ça tienne plus longtemps que ce volume-là. Captain America : Symbol of Truth #1 Scénario "basique" mais efficace. Tochi Onyebuchi, qui m'a bien plu sur Black Panther Legends, s'empare de la série sur SamCap, ici accompagné par le nouveau Faucon, Joaquin. Le scénariste utilise un procédé classique : plongée directe dans l'action, puis flashback explicatif, puis retour à l'action. Prévisible, mais efficace. On a donc Sam et Joaquin qui interviennent sur un transport militaire qui contient du sérum de super-soldat, attaqué par plusieurs mercenaires qui semblent... être tous la même personne. Sam est venu ici après un entretien avec Misty Knight, avec qui il flirte. Sam et Joaquin gèrent, puis découvrent que le transport comprenait des clandestins mexicains, liés à Joaquin. Ils sont pris en charge par une sénatrice anti-immigrés, et Joaquin va les suivre. En parallèle, Crossbones est visité en prison par Je trouve ça efficace. Tochi Onyebuchi débute "classiquement", avec un procédé déjà vu mais qui m'a plu. Le petit subplot sur une propagande wakandaise dans Harlem, au début, est plutôt intriguant, et le final surprend, mais ça m'intéresse. Le reste est rempli de grosses phases d'action, et d'un flirt sympathique avec Misty. Bon, on est clairement sur un Sam dérivé du MCU - ce qui ne me dérange pas énormément, bien que j'admets peu connaître le Faucon des comics. RB Silva livre de très belles planches, fort jolies et dynamiques. Un début sous contrôle, mais qui m'a plu. Free Comic Book Day 2022 Judgment Day #1 Kieron Gillen reprend sa narration via la Machine, avec un flashback où l'Odin des Prehistoric Avengers est "convoqué" par Uranos et Druig, pour annoncer qu'un des premiers Mutants (un singe avec des dons psychiques, qui forme une ruche mentale avec ses pairs) sera annihilé, pour que la Mutation ne devienne pas une Déviation Excessive. Au présent, Circé et Ikaris détruisent un Déviant géant, alors qu'un Eternel confirme à Druig que Krakoa a vaincu la Mort. Bon, on nous prépare à Judgment Day... et voilà. Rien de plus. C'est bien fait, Dustin Weaver dessine efficacement, même s'il a déjà été meilleur ailleurs. Mais c'est complètement accessoire, et pleinement dispensable. En parallèle, Danny Lore et Karen S. Darboie présentent une jeune fille qui se défend contre des vampires, et l'on apprend qu'elle est Bon, c'est un avant-goût : classique, sans passion, sans entrain, et dessiné sans briller. Je reste circonspect sur cette idée, mais à voir. Un FCBD sympathique mais complètement dispensable. Free Comic Book Day 2022 Spider-Man/Venom #1 Le Free Comic Book Day Spider-Man/Venom a été malheureusement spoilé récemment, avec notamment le final du segment du Tisseur. Dommage, car seule cette chute donnait du sel à cette histoire assez naze, où une boîte aux lettres new-yorkaise prend vie et attaque des gens. Spider-Man la stoppe, difficilement, ce qui plaît à Zeb Wells livre un scénario fainéant, qui ne tient que sur sa fin, alors que John Romita Jr demeure dynamique, et s'en tire bien avec cet objet démoniaque. Mais bon, bof-bof hein. Le segment Venom est un peu plus "solide", avec un Eddie Brock en mauvaise posture qui prend conscience de défis à venir, alors que son fils s'allie à Bon, je dois admettre que Ram V & Al Ewing parlent trop à leurs lecteurs, moi qui n'ai lu que le #1 de leur série est un peu perdu. Mais c'est solide, oui, efficace, surprenant et agréable. Stefano Raffaele a un style un peu "facile", tout n'est pas maîtrisé, mais ça fait le job. Pas mal, mais pas parfait. Free Comic Book Day 2022 Dark Crisis Special Edition #1 Joshua Williamson montre une visite du Hall de Justice par trois enfants curieux, après la mort de la Justice League. Leur guide se révèle être Clayface, mandaté par un patron mystérieux, pour voler des artefacts ; mais Clayface ne tient plus son rôle, et attaque. Flash / Wally passe par là et intervient, en stoppant Clayface alors que les gamins ont été héroïques. Wally répond à leurs craintes en disant qu'il y aura toujours une Justice League, et donc de l'espoir. Bon, le scénariste ne révolutionne rien ici, mais livre un bon p'tit segment, fort sympathique et agréable. C'est dynamique, fluide ; ça donne le sourire. Surtout, c'est magnifiquement (vraiment) dessiné par Jim Cheung, qui livre des planches à tomber. Dynamiques, intenses, puissantes. Wahou ! Il y a ensuite une preview du #1, que je n'ai pas voulu lire. Mais ce petit segment me plaît, et me met en confiance.
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#310
12/05/2022, 09h27
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G.I.L.T.
Alysa Kwitney et Mauricet Déjà quand Kwitney sort un truc je ne me pose pas de question Comment résumer?? j'attendrai la fin de la mini, car ce premier épisode est une introduction , ou l'on nous présente les 2 personnages .. le contexte -- que l'on comprends mieux lors de la seconde lecture ... et à l'avant dernière page l'explication du titre.. et donc la brique qui clarifie une partie de cet épisode. G.I.L.T signifie Guild of Independent Lady Temporalists Peter Parker the Spectacular Spider-Man #1 Facsimile Edition il y avait ... très très très longtemps que je n'avais pas relut cet épisode j'avais acheté le Nova 1 à sa sortie .. mais jamais racheté ces épisodes en VO (alors que j'ai la plupart des Nova) pour un 'vieux' retrouver Glory, Flash, Mary Jane qui pour l'époque était très libérée ... et Tarentula avec les renvois à des épisodes de ASM qui n'étaient pas parus à la sortie de Nova (mais qui avec le recul sont plus simple à recadrer) une bonne lecture ^^ Amazing Spider-Man #1 il y a suffisamment d'intrigues pour me donner l'envie de poursuivre et voir ou cela va nous mener (surtout que si on s'en refert à la bafouille de Lowe, une grande partie de ses sub-plot sera traité ou découvert pour le numéro 900 ... ) Donc wait and see Blue Baron - Enter Blowback 3me Bingebook de Sitcomics , mais toujours un numéro 1 ce numéro reprends les épisodes 1 à 3 de Blue Baron Book 2 (2.1 à 2.3) 60 pages de comics pour 4.99$ en dos carré . ca le fait L'histoire se déroule à la suite du précédent Binge Blue Baron . on est dans du comics tout âge bien foutu, rien d'innovant, mais bien foutu Ernie dans le corps du BB va devoir affronter un méchant qui détruit les installations de Cedric Carson (l'identité Civile de BB) ce qui va à très court terme ruiner l'entreprise Carson . Tandis que Carson dans le corps de Ernie va affronter le Bully de l'école Ernie se comporte comme le gamin de 13 ans qu'il est , tandis que Carson sort des envolées sur le courage digne du XVIII siecle (normal) j'aime bien cette lecture, un comics sans prise de tête (mais pas enfantin) qui finit tout de même sur du drame (on voit bien que Darin Henry est un scénariste de télé ) bientôt le 3 me Bingebook (dernier des reprint du Blue Baron) et j'ajoute (edit) Spider-Punk Pas mauvais mais pas non plus inoubliable ca se lit, j'aime bcp le dessin , mais bon... réveille le punk qui est en toi ..la non, un peu à coté de la plaque (mais la vision du Punk Euro et du Punk Us ne sont pas les mêmes -- déjà qu'en Europe.... ) Et puis dans le genre Oxymore..Captain Anarchy se pose la ... (ca casse pas mal de chose à la fragilité du récit)
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Shoot Shoot don't talk
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#311
13/05/2022, 10h59
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Suicide Squad - Blaze #2: de la chair à canon, en veux tu en voilà!
 Le Black Label sert à produire des récits hors continuité, et c'est là sa grande force. Car dans un récit canon, on ne s'inquiète pas forcément pour nos héros, ils vont s'en sortir c'est évident. Ici Spurrier place le Suicide Squad au centre de son intrigue, et le reste des personnages DC n'ont qu'à bien se tenir. Destins funèbres en pagaille, c'est une guerre totale contre un ennemi dévastateur à laquelle on assiste, et la morale des héros ne suffit plus, c'est là que la technique Waller peut porter ses fruits. En parallèle, l'histoire nous parle d'un amour inaccessible, et "be careful what you wish for" comme disent nos amis anglophones, le bout du chemin n'est pas forcément une réussite en soit. Un beau petit bijou dans un bel écrin que le grand format de cette ligne. Plus qu'un volume et la conclusion risque d'être mortelle, c'est quasiment du suicide.
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#312
13/05/2022, 13h39
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C'est dommage que ça n'aille pas plus loin, car l'idée est bonne et dans l'air du temps.
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#313
13/05/2022, 19h49
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La on a un lot de questions.... on reprend enfin une relation romantique plutôt qu en créer une nouvelle comme quand on est scénariste d Iron man ou doc strange.. Moi je trouve que Sam est bien le Sam des comics ... il y a juste le dessinateur qui calque un peu le visage de l acteur parfois... Moi je suis satisfait sans non plus être retourné mais oui classique et efficace
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#314
16/05/2022, 20h36
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Un peu trop classique à mon goût
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#315
17/05/2022, 21h55
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Nightwing #92
Quelle maîtrise. Je me répète, avec plaisir, mais Tom Taylor m'épate et m'emporte littéralement dans ma lecture. Sa gestion des personnages, des caractérisations, des dialogues est superbe. Il continue de dresser un formidable portrait de la relation Dick / Alfred, avec encore un flashback montrant l'influence du majordome sur la vie du jeune Robin, ici maltraité par une foule en colère. Pennyworth vient l'aider, avec Batgirl, et surtout "empêche" Batman d'engueuler un Dick blessé, pour le pousser à être juste bon et attentionné. Au présent, Dick ouvre un sanctuaire à Haven, avec Bruce en visiteur, Jon en invité, et Blockbuster énervé. Nightwing protège la zone de nuit, seul, et C'est bien. C'est juste, surtout, dans sa gestion des personnages, des dialogues finement ciselés. Le subplot sur le serial-killer va avancer, l'ensemble et fluide et pertinent. Bruce demeure en retrait, mais l'attachement à Dick est sincère, touchant. Alfred est formidablement écrit, et ce Dick est écrit comme le leader naturel et formidable de l'univers DC. C'est en outre très beau, avec un Bruno Redondo complètement en feu, avec des planches à tomber, des compositions superbes. J'adore cette série. Merci, Tom Taylor, de l'écrire en me donnant le sourire. The Flash #782 Bon sang, c'est bon, aussi. Et ça m'a fait rire, ce qui est très rare en comics ! Jeremy Adams continue de me plaire énormément ici, et même son Wally "clownesque" a été supportable, avec oui des moments où j'ai ricané, ce qui m'arrive rarement, car j'ai du "mal" avec l'humour en comics. On continue ainsi le duo Flash / Kid Flash entre Wally et Wallace. Ils gèrent Girder, avec humour car C'est fun, oui ! C'est drôle, frais, rigolo. Ce Wally clown me soûle parfois, mais il fonctionne bien en duo avec le plus sérieux Wallace. Ce dernier me plaît d'ailleurs ici, la relation est assez cool. Le subplot sur Linda est assez basique, mais les interactions avec les petits sont cool. Aussi, l'intrigue sur le directeur de prison est aussi "classique", mais ça fait le job. L'ouverture sur Dark Crisis est légitime, et m'intéresse. Fernando Pasarin me semble moins figé ici, mais ses personnages sont étranges quand ils tournent la tête, ils semblent ne plus avoir de nuque. Etonnant, et un peu dérangeant, même si le reste est bien solide. Ca fait plaisir d'aimer du Flash !
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