#301
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Action Comics #1064
Un bon lancement. Joshua Williamson reprend temporairement le titre, pour son crossover "House of Brainiac". On voit d'abord le moment "idéal" de la SupFamily actuellement : Conner & Kenan s'occupent des Super-Twins dans une salle d'arcade, John Henry Irons dirige Steelcorp avec sa nièce et vient de se fiancer à Lana Lang, le Parasite travaille positivement à Supercorp, Lex Luthor collabore avec Superman, Supergirl a un rendez-vous romantique, Livewire est emprisonnée mais travaille pour le Daily Planet, Metallo est "endormi", Jimmy Olsen sort avec Silver Banshee qui s'amende, Perry White se présente à la Mairie, et... Lois s'octroie un jour-off ! Clark la rejoint pour une séance yoga avec Siobhan & Jimmy, mais le moment est interrompu par une attaque. Brainiac envoie des robots ET des Czarniens (la race de Lobo, normalement éteinte), dirigés par le Général Chacal bien brutal. La ville souffre, mais surtout les Czarniens enlèvent des proches de Superman dotés de super-pouvoirs ; notamment Lena Luthor et Mercy Graves, à Supercorp, avec Lex révélant que l'I.A. basée sur lui qui conseille Superman est... un piège de Brainiac. Lex se sacrifice pour être enlevé à la place de Clark, qu'il laisse "tous" les sauver, alors que Brainiac attend la suite, en étant C'est bien, oui. Pas "très bien", car je trouve l'attaque un peu abrupte dans son arrivée, même s'il est agréable de voir cette "revue d'effectifs" dans une ambiance plaisante auparavant. De même, les enlèvements sont un peu rapides, un peu faciles, même si Joshua Williamson montre bien l'ampleur de la menace et l'efficacité brutale des Czarniens. La révélation sur l'I.A. Lex est bonne, le lien avec Lena sera fort, et le scénariste écrit toujours aussi bien Luthor lui-même. C'est prenant, intense, plutôt réussi, et Rafa Sandoval livre des planches bien marquantes, même si ça manque un peu de dynamisme. Un bon lancement, pas aussi extra' que la série Superman habituelle, mais ça vise aussi le plus grand nombre ici, donc je pardonne. |
#302
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Green Lantern #10
Un numéro dense et intense. Après le très bon #9, Jeremy Adams enchaîne avec beaucoup d'informations et d'événements, bien menés. Hal est récupéré sur une Oa dirigée d'une main de fer par les United Planets Lanterns par Jo, qui lui présente et explique le Resistance Corps. Il y retrouve Salaak, mais aussi un Kyle Rayner perturbé par le trouble des Emotions, et un Simon Baz crispé. Jessica Cruz est une taupe aux United Planets, avec la révélation sur la Source de ces Lanterns, qui comprend toutes les émotions. Le patron des United Planets, Thaaros, dirige d'une main de fer tout ceci, avec des Ring Hunters dotés d'une armure Manhunter et de lances Lanterns. Ils découvrent que la jeune Keli (Teen Lantern) est emprisonnée et torturée, et Hal explose et refuse d'attendre pour la sauver. Les Ring Hunters ne peuvent pas éteindre son anneau (une première), et Hal / Jo / Simon récupèrent Keli, Razer et un autre GL. Ils veulent préparer la suite, alors que Thaaros demande à Jessica de sortir le mystérieux trio The Unseeing de sa quarantaine (imposée pour enfermer la Terre) afin qu'ils retrouvent le Resistance Corps... C'est bien, oui. Jeremy Adams donne ici beaucoup d'éléments, mais sans lasser car tout cela fonctionne bien. Les dialogues explicatifs sont bons, car la découverte est prenante et fluide. Cette Oa totalitaire fonctionne bien, croiser des GL résistants est cool. Les UP Lanterns sont un peu basiques, Thaaros semble le dictateur classique aussi, mais ça fonctionne en soi et ça donne envie de vite lire la suite. Graphiquement, Xermanico assure, avec des planches très réussies, bien cadrées et de belles images, dans une ambiance lourde. Top. En back-up, Jeremy Adams s'amuse avec Guy Gardner, chargé par les United Planets de retrouver Lobo... et il n'y arrive pas. Il est attiré vers le catch cosmique (vu dans le run du scénariste sur The Flash, très bon au passage) car s'y produit "The Main Man", et il obtient des informations par Skeets, en ne daignant même pas parler à Booster Gold. Guy vient gêner la lutte avec Omega-Bam-Man, récupère Lobo qui semble ne pas se reconnaître lui-même, mais ce dernier siffle et fait venir des dauphins de l'espace pour l'aider ! Un moment fun et cool, avec un Kevin Maguire inspiré. J'ai souri, c'est déjà bien. Un très bon numéro, pour une saga qui a mis du temps à se lancer mais donne du très bon, là. |
#303
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Suicide Squad: Dream Team #2
Bof, bof. Nicole Maines avait livré un lancement correct dans le #1, mais se perd dans ce #2 maladroit et lourd. Sa narration n'est pas bonne, avec une partie du Suicide Squad qui fait tomber le bouclier de Gamorra, et Dreamer & Harley qui veulent les gêner. Ça tourne mal, Bizarro s'en prend à Dreamer qui s'enfuie. Amanda Waller arrive, gronde son neveu Deadeye et envoie Bizarro Bof, bof, oui. Le début est maladroit, avec des personnages mal placés, des rebondissements mal amenés, et une Dreamer ensuite lourde dans sa confrontation avec Waller, classique mais efficace. Dommage, d'autant que Eddy Barrows est moins bon que d'habitude, avec même un visage bien naze de Dreamer. Petite déception, il faut l'avouer. |
#304
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Outsiders #6
Wow, quand même. Collin Kelly & Jackson Lanzing continuent leur étonnante saga qui se veut autant méta qu'un hommage et même une suite à Planetary ; et ça fonctionne ! Ici, l'on apprend que, quatorze mois plus tôt, Lucius Fox a eu une attaque et une forme d'illumination, lui révélant l'existence des Century Babies et du fameux Snowflake incarnant les 196.833 facettes et Multivers. Là, il a cherché quelqu'un comme lui, a trouvé Drummer et, au présent, ils forment une projection du Snowflake dans le Porteur. Cela perturbe ce dernier, qui prépare une auto destruction et les emmène dans Le Lieu Entre Les Pages, une bourgade américaine typique où plusieurs personnages oubliés (après une Crisis ou une annulation de titre, je les cite) errent (Carson, Richard Dragon, Zauriel...). Kate aide un Porteur s'étant incarné en femme, Lucius se livre à son fils et Drummer cherche un mystérieux "Snow", qui n'est plus là. Elle s'acharne avec une super force, le Porteur les ramène mais Drummer doit se livrer. Elle a organisé tout ça, dit qu'ils sont dans son histoire en sortant un Guide Planetary et surtout Quand même, oui. Les deux scénaristes ne révolutionnent pas l'approche méta (Brian Azzarello a déjà fait ces Limbes bien avant et bien mieux dans Dr Thirteen), mais ils gèrent bien leur mystère. Le titre est un bel hommage à Planetary en tapant aussi ailleurs, et forme une suite courageuse, troublante et prenante. C'est respectueux sans copier, c'est dynamique et imprévisible, et j'aime beaucoup. Robert Carey livre des planches un peu sèches et raides, mais ça participe à l'ambiance globale. Et quelle révélation finale, hein. Un projet étonnant qui fonctionne, et j'aime ça. |
#305
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Outsider j espère une vf mais dans la nouvelle collection Urban je vois pas où le mettre.
Le action comics ... c est beau... c est fun c est une menace digne de superman ... ce crossover dans un beau gros tome urban comics ce sera une pépite.
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
#306
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Mais ça rappelle furieusement une saga d'il y a vingt-cinq ans.
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Sinister Sons #3
Sympathique. Peter J. Tomasi continue sa mini-série (était-ce prévu que ça ne soit qu'en six ? je ne m'en souviens pas) efficacement, avec humour mais en prenant son temps ; ce qui tranche avec la gravité de la mini-série Kneel Before Zod, dont le #1 a préparé ce lancement. Ici, Lor-Zod et Sinson sont enfermés dans une baleine spatiale, attaqués par "Major Tom", aux références terriennes (il appelle l'animal "Melville") et qui veut s'enfuir avec leur vaisseau... contrôlé par la voix de Sinson. Ca se bagarre, se chamaye, et tous survivent à Melville qui boit, et digère. Major Tom se révèle sympathique et empathique envers la baleine, mais des chasseurs veulent la tuer... C'est sympa', oui. Un peu lent, quand même, mais le scénariste gère bien ses personnages, bien que Lor-Zod soit un peu plus concon que Sinson, qui paraît "mieux" que l'autre. Major Tom est basique mais efficace, l'ensemble est réussi et me fait sourire ; un exploit, vu que je suis peu versé dans l'humour super-héroïque en comics. Graphiquement, Vasco Georgiev remplace David Lafuente et... ça se voit peu, tant le dessinateur copie efficacement son style. Un bon moment, même si ça avance peu. |
#308
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The Incredible Hulk #11
Intense, bien que décompressé. Phillip Kennedy Johnson achève ici la saga de Frozen Charlotte, l'entité qui enlève des innocents pour les bloquer sous forme de poupées de porcelaine pour les "protéger" du monde. Elle est en vérité Nepheleme, promise de Lucifer qu'elle a suivie dans sa révolte avec la promesse d'être la mère de nouveaux anges. Perdue sur Terre, poursuivie, elle en a finalement créé en enlevant des innocents maltraités par la vie. Hulk la tabasse, littéralement, et la bat même quand elle absorbe ses anges. Lucifer vient la chercher, Hulk récupère Charlie mais C'est bien. J'accepte l'extrême décompression de l'intrigue, même si je la regrette, et j'apprécie ce souci régulier du scénariste de créer de nouvelles menaces mystiques étranges et troublantes. C'est cool, dérangeant et intéressant, avec ici un Danny Earls cependant moyen dans ses planches de baston. Il était meilleur sur l'ambiance du précédent. Bien pour ce que c'est. |
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Fantastic Four #19
Très agréable. Ryan North livre un nouveau numéro solo réussi et sympathique, avec un polar en noir et blanc, hormis quelques éléments en rouge (la robe sexy de Susie Storm, un café de Ben). La femme fatale Susie vient engager Alicia, détective privée mariée au colosse Ben Grimm, car son petit-ami, le Prof Reed Richards, a été enlevé. Alicia enquête, remonte la piste jusqu'à un Johnny quasi SDF, l'homme taupe en Pingouin bis et parrain de la pègre, Namor en policier arrogant et intègre dans les eaux troubles de la corruption. Elle, Johnny et Ben retrouvent un Reed "normal", enfermé dans une fiole et qui explique que C'est bien, oui. Je ne suis pas un énorme fan des polars à l'ancienne comme ça, c'est sympathique mais ça ne m'emballe pas. Là, c'est cool, bien mené, un peu facile sur la raison mais c'est une vraie surprise et ça finit bien. Carlos Gomez illustre ça efficacement et tout en jolies rondeurs. Un bel exercice et encore un bon moment. |
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The Invincible Iron Man #17
Un bel hommage. Gerry Duggan s'associe ici à Patrick Zircher pour un hommage assumé, et cité, au fameux Iron Man #232 magnifiquement illustré par Barry Windsor Smith, avec une plongée dans la psyché d'un Tony marqué et brisé, croisant et affrontant ses fantômes. Ici... c'est un peu la même : Tony est touché à la tête après avoir brisé plein de Stark Sentinels, mais Feilong a envoyé une War Machine Sentinel dans la Sentinel Buster, et tout est cassé. Tony croise ainsi ses mères (l'adoptive, Maria ; et la biologique, Amanda), qui échangent entre elles. Il continue, se perd en lui-même, croise Howard, qui lui dit qu'ils sont damnés. Magneto passe même dans son esprit, pour le juger. Mais Tony se reprend, avance, arrive au coeur de l'armure, se fait agresser par Feilong mais son armure perso' de Mysterium tient le coup. Tony tabasse Feilong, qui cependant révèle le coup d'Etat des machines dans Orchis, et plusieurs Stark Sentinels attaquent. Tony échange avec Emma à distance, qui lui envoie de l'aide : Magneto ! C'est bien, oui. J'apprécie que Gerry Duggan fasse un hommage réel, sans vouloir faire plus ou mieux ; mais "juste" rappeler ce formidable épisode passé, avec ici un rappel bienvenu et réussi, et adapté. C'est sympathique, bien mené, grisant de voir Tony tabasser Feilong et le final est bien. Surtout, Patrick Zircher livre une belle prestation, sans singer BWS mais avec une approche elle aussi en hommage, et très réussie. Un bel hommage, un bon épisode. |
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Ms. Marvel: Mutant Menace #2
Sympathique. Iman Vellani & Sabir Pirzada confrontent Ms. Marvel à Mojo, petit passage obligé pour tout nouveau personnage des X-Men, et ça fonctionne assez bien ; ça m'a même fait sourire, moi qui suis hermétique à l'humour en comics. Ici, donc, Kamala est téléportée par Lina Cheney pour l'aider : celle-ci est piégée par Mojo, qui va au-delà du contrat de base et a envoyé ses fans ("Lin-atics") pour la forcer à rester. Kamala se fait passer pour une chanteuse, Chord, et occupe Mojo pendant que Lila enquête, mais les spectateurs sont fans de "Chord", et elle truste les écrans. Lila trouve ses fans, forcés de travailler pour Mojo, et les libère quand Kamala les "provoque" en chantant du Lila devant les écrans, après que la chanteuse ait vaincu une clone de Spirale. Kamala & Lila battent Mojo et s'enfuient avec les fans, Ms. Marvel revient au New Jersey où elle retrouve... Red Dagger ! C'est bien, oui. Les deux scénaristes gèrent bien Mojo et Mojoworld, avec un côté fun sur les réactions des réseaux sociaux ; qui ne sont pas trop invasives, ce qui est agréable. L'ensemble est fluide, fun et sympathique, avec un Scott Godlewski appliqué et efficace. Un bon p'tit moment. |
#312
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Resurrection of Magneto #4
Joli. Al Ewing achève efficacement et intelligemment sa saga, en étant parvenu à poursuivre ses petits délires cosmiques perso' (au début), puis en ramenant Magneto légitimement, tout en "préparant" ce qu'on peut envisager comme son futur rôle dans la franchise (au vu des annonces post-Krakoa). Ainsi, ici, Magneto est revenu, et file libérer des Mutants prisonniers d'Orchis, aidé par Storm et Blue Marvel. Il hésite encore sur le casque à mettre (le noir, incarnant sa version passée et violente ? le blanc, incarnant son rapprochement vers Charles Xavier ? le rouge & violet, plus neutre ?), et est surtout confronté par des agents Orchis dont les équipements "captent" ses pouvoirs ; et, s'il les utilise, cela libère du gaz qui tue des Mutants. Magneto hésite, sent l'espoir des prisonniers, se demande ce qu'il peut et veut être désormais, et... tue les agents, en les écrasant dans leurs combinaisons, avant que le signal soit donné au gaz (ce qui est permis par son esprit expérimenté et son corps "nouveau", plus fort). Les prisonniers sont évacués, une Stark Sentinel attaque, Magneto & Storm & Blue Marvel galèrent puis s'unissent pour vaincre. Magneto va aider Iron Man, et décide désormais de suivre sa nouvelle voie ; pour qui sauver une vie correspond bien à sauver le monde entier. C'est bien, oui. Al Ewing "finit" ici, après avoir donné beaucoup dans les précédents, et notamment ce #3 assez immense dans la caractérisation de Magneto. Là, il conclue, parfait l'approche, l'analyse, la redéfinition d'un Magneto qui ne renie pas son passé, mais va de l'avant ; se tourne vers des valeurs plus humanistes, plus globales, en assumant son rôle dans un monde plus dur et violent (car il a poussé les Humains à le craindre, il l'a souhaité), en tuant s'il le faut aussi. Je trouve ça bien, légitime et équilibré, avec une belle écriture d'Al Ewing. Luciano Vecchio assure aux dessins, même si le visage de Magneto avec le casque, ce n'est pas top-top. Une belle fin, une bonne fin, et surtout une formidable caractérisation et redéfinition de Magneto. |
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Ultimate X-Men #2
J'avoue que je ne sais pas quoi penser de ceci. En soi, c'est bien et bien fait. Je ne pense pas être le coeur de cible, étant peu versé dans les récits "asiatiques", enfin j'aime bien mais sans en chercher vraiment. Le style graphique de Peach Momoko est bon, joli, poétique, sans non plus m'emballer. Son récit est agréable, avec ici Hisako troublée par sa rencontre avec "l'ombre" (Shadow), qui croise une mystérieuse jeune fille Mei, avec qui elle va répondre à l'invitation de Shadow pour aller dans une école abandonnée. Des horreurs et monstres les y attendent, Mei se révèle dotée de pouvoirs (sur le vent ?), Hisako déclenche son armure. Elles se rapprochent, se revoient le lendemain à l'école, et... en attendant, un jeune homme obèse sort d'une concentration, et semble derrière tout ceci, en se fixant désormais sur Hisako. Donc oui, en soi, c'est bien - mais j'ai du mal à saisir la pertinence réelle d'appeler ça "Ultimate X-Men". Certes, il faut vendre, l'impératif commercial a du sens, mais il n'y a aucun X-Man ici hormis une Hisako très loin de l'Armor classique ; dans la façon d'être et la caractérisation. Et il n'y a surtout aucun lien avec le nouvel univers Ultimate de Jonathan Hickman. Cela génère de l'incompréhension, un peu de curiosité, mais aussi une forme de "frustration", car finalement je pense que j'aurais plus adhéré et aimé avec un autre titre. A voir combien de temps ça peut durer ainsi. Cela a de vraies qualités, mais le titre donne un effet mensonger (pour l'instant) qui gêne. |
#314
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Star Wars: The High Republic #6
Un bon épisode. Cavan Scott finit ici le lien entre cette série, qui reprend les personnages et le principe du premier titre éponyme (vous suivez ?), et la précédente mouture, située encore plus loin dans le passé (vous suivez toujours ?). On a donc ici dans Star Wars: The High Republic Volume 3 le retour de Tey Sirrek, le voleur sympathique de Star Wars: The High Republic Volume 2, désormais plus âgé. Il possède un artefact Sith et un sabre-laser, et un flashback permet de montrer comment, dans le passé, et après la fin de la série V2, il a obtenu tout ceci ; via un vol de l'artefact dans les archives de Jedha City (où il vivait et participait au conseil), et via son conjoint, le Jedi Vildar Mac qui est parvenu à le cadrer dans son existence. Les personnages de Star Wars: The High Republic V1 et V3 (vous êtes sûrs de suivre ?) font sa connaissance, et se réunissent avec Trennis qui arrive avec Lourna, Sskeer... et la mystérieuse enfant, qui réagit aux ennemis et s'en prend aux jumeaux Jedi ! C'est un bon épisode, oui. Plus un épisode de cadrage, de continuité, avec Cavan Scott qui relie ses volumes, ce qui est bien car le V2 sonnait un peu "vain", trop détaché du très bon V1 et de ce V3 ; au point que je n'ai pas fini le V2, d'ailleurs. Bref, c'est bien, c'est fluide, c'est agréable même si ça avance peu. James Towe & Laura Braga livrent des planches correctes et fluides, ce qui est solide. Un bon épisode de continuité entre les volumes. |
#315
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Nexus: The Newspaper Strips volume 2 - the Battle for Thuneworld 1/5
Un long nom, pour différencier de "l'autre branche" contant les aventures de Nexus Scénario, dessin et lettrage Steve Rude, couleurs de Glenn Whitmore. et participation de Bill Wiist. Après 3 pages de résumé pour rappeler qui sont Dave et Judah, on retrouve Nexus, Saundra, leur fils Harry, Ms Conniption, Gnosis et Larp qui rentrent sur Ylum après le combat contre Gourmando. Une guerre de secession continue de faire rage entre Tyrone et les officiels de Ylum et les rebelles. Fuerzo aussi fait une apparition. Fuerzo découvre les vaisseaux qui ont fuit les combats dont un vaisseau Thune, celui de Dave, grièvement touché. Horatio, malgré la fatigue, va au secours de Dave, et l'emmène à l'infirmerie. pendant ce temps on observe les évènements se dérouler sur Ylum des points de vue de Gnosis et Coniption (et dans une moindre mesure de Larp). Quelqu'un a implanté une bombe dans l'estomac de Dave. Un dessin toujours superbe, un coté plus scratchy dans l encrage, des décors bien fournis, et Whitmore qui connait son boulot. Et le cast de Ylum présent à son poste. On est bien loin du Nefarious de Baron, que j'ai survolé (et dont je ne lirais pas le futur opus). Rude continue dans le format strip, 1 titre, 1 page(avec une citation) mais contrairement à Gourmando on avance bien vite dans l histoire (et l'historie est réalisée pour une format comics). En plus de ces 20 pages d'histoire on retrouve une page de Bill Wiist , un courrier des lecteurs, le processus de création de la couverture, et un avant gout du reste de la mini série. C'est la version PDF, j'attends la réception (future -- juin ??) de la mini complète (seul le 1er épisode est dispo en numérique pour le moment).
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