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Tu me donnes envie Après je suis frileux car j'ai récemment tenté les Superman de Busiek et Trinity et comment dire...
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Quand on voit ce que ce a donné pour Infinity War, je me marre d'avance.
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Un pigeon nait chaque seconde donc...
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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Après, je crois que Kurt Busiek a eu des soucis de santé, mais j'ai l'impression (et j'espère) qu'il va mieux. Les Superman allaient de pair avec Pacheco, qui n'a pas su tenir les délais donc le run est entrecoupé, haché. Trinity est, à mon avis, une fausse bonne idée, qui n'est pas réellement intéressante, et n'a certainement pas assez pour tenir autant de numéros. J'ai lu récemment les King in Black : Namor de Kurt Busiek, et même s'il y a un petit numéro de trop, il est clairement à un bon niveau. |
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Trinity était bien, si on savait où le placer. C'est clairement un spin-off côté DC à JLA/Avengers, et si on n'a pas cet élément en tête on peut passer carrément à côté de la série.
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Certainement.
Mais, même plutôt connaisseur de DC, plusieurs éléments étaient assez obscurs, et le thème du tarot avec ces super-vilains, ça ne m'a vraiment pas porté. Et, franchement, je pense vraiment que ce n'était pas assez fort pour tenir une telle maxi-série. |
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Oui c'est le format en 52 parties hebdomadaires qui ne collait pas. Et j'ai toujours cette pensée pour les lecteurs vf qui n'ont même pas eu le récit en entier car Panini avait décidé que la deuxième partie du single était une back-up sans importance.
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Et c'est honteux, oui.
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Et pourtant, je me rappelle m'être fait pourrir je crois par le CM de l'époque qui n'en démordait pas en disant que ça ne servait à rien ! Comme pour les 2 séries FF de Fraction parce que Allred "ça vendait pas".
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#296
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Tout comme Trinity, du reste, mais en entier cette fois. Mais est-ce forcément mieux pour autant ? (je pose juste la question hein, j'ai pas forcément de réponse toute faite) |
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En soi non.
Mais ni Panini, ni Urban ne sont responsables de l'élément qui a provoqué la mort du kiosque, avec Presstalis. Il faut cependant admettre que les gestions court-termistes ont bien creusé la tombe, auparavant. Batman #108 J'admets être bien client de tout ça. En fait, j'apprécie, notamment ici, le soin que met James Tynion IV à créer une "vie" dans Gotham. On découvre ici l'étrange Unsanity Collective via Miracle Molly, nouveau personnage qui en fait la visite. Bon, clairement, le pseudo buzz autour de ce perso' n'a pas lieu d'être, et je m'en fiche... mais l'épisode est bon. Tynion créé une vie locale, une faune locale oserais-je dire, et j'apprécie de voir Gotham "vivre" véritablement, loin des super-vilains classiques ou du GCPD. C'est vraiment agréable, et ça a un aspect organique que j'aime beaucoup. Les interactions étant en outre bonnes, même si la préparation de l'organisation Magistrate est un peu "lourde" dans ses évidences (bingo sur l'identité de Peacekeeper-01). M'enfin, rien qui ne vienne gêner le plaisir de cette lecture, avec un Jorge Jimenez très inspiré et aux effets épatants. La back-up sur Ghost-Maker ne m'intéresse pas et, à la survoler, ne donne rien pour changer d'avis. |
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Crime Syndicate #3
Beau final pour cette réunion initiale du Crime Syndicate. Andy Schmidt organise ici l'union forcée de ces salauds de super-héros, avec un focus sur Donna / Superwoman. C'est bien fichu, complètement cruel et cynique, mais bien réalisé dans l'optique. L'ensemble se lit bien, les interactions sont bonnes et chacun est bien "salaud" comme il faut. Kieran McKeown a toujours un style un peu étrange, mais ça fonctionne bien, notamment dans ses exagérations. Andy Schmidt et Bryan Hitch ne se forcent pas sur la back-up sur Superwoman, qui détourne le lien avec Steve Trevor. Ca fonctionne bien aussi. Un numéro enthousiasmant car plus maîtrisé. |
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Green Lantern #2
Brutal. Geoffrey Thorne livre un #2 très dense, très intense, qui ne cesse d'accumuler les rebondissements jusqu'à un final terrible. Il y a presque "trop" de choses, mais la conclusion acte finalement le projet de l'auteur : Et il y arrive ! On découvre en effet l'enterrement du Gardien tué à la fin du #1, avec également les Gardiens qui actent leur intégration aux Planètes Unies en "cédant" de nombreux secteurs aux Casques Bleus cosmiques. Les GL sont soit dispatchés sur d'autres mondes, soit assignés à une "quête", où 1.000 Lanterns vont dans les secteurs obscurs pour découvrir ce qu'il s'y passe. Avec John Stewart à leur tête. L'ensemble a un côté Star Trek très agréable, avec notamment un point sur des mondes-clés qui peuvent "tout" changer, dont la Terre qui est le foyer des héros. Geoffrey Thorne doit une explication aux nombreux GL terriens, et c'est pertinent. Mais le scénariste enchaîne surtout avec Quel final. Geoffrey Thorne tape très fort et très dur pour aboutir à son projet, son casting resserré, qui correspond grosso-modo aux événements de Future State avec L'épisode est dense mais fluide, la géopolitique est bien fichue, les idées sont bonnes et les surprises sont totales. Dexter Soy livre des planches correctes, Marco Santucci propose un style rond et clair que je préfère avec de très belles images. Bigre, quel choc, quand même. Je partais avec l'idée de lâcher la série après un #1 moyen, maintenant je suis bien accroché ! |
#300
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Suicide Squad #3
C'est cool ! Enfin, non. Ce qu'il se passe dans le titre est rude, avec une Amanda Waller très rude dans sa maltraitance d'un Suicide Squad brutal. Waller veut absolument faire de Superboy son futur leader, et tente ainsi de "confirmer" l'adhésion de Conner au projet. Ca créé des crispations avec le reste du groupe, et notamment Peacemaker, qui veut tout savoir et tout gérer pour atteindre La Paix. Même s'il n'hésitera pas à s'en prendre à Waller si elle ne suit pas cet objectif. Waller utilise d'autres chairs à canon, ça fait mal et ça touche dans la bonne caractérisation de ces paumés touchants. Ici, le Suicide Squad doit s'emparer de Bolt, la Speedster handicapée vue dans Teen Titans #2, mais ça se passe mal. Waller a certes un lien avec Bolt, mais Bolt refuse de venir et Robbie Thompson gère bien et mieux son casting, ici, avec une très bonne atmosphère dure. Bon, ce n'est pas non trop sombre ou trop dur, mais ça ne rigole pas. J'aime bien son Peacemaker, sa Waller est un peu trop binaire et abusivement sèche, mais l'ensemble fonctionne bien. Le crossover avec Teen Titans est cool, je reste très friand de ces rencontres, même si les auteurs me lassent déjà en M'enfin, je ne boude pas mon plaisir : le titre est bon, agréable, avec de très beaux dessins d'Eduardo Pansica, très inspiré. Ses planches sont belles et sa narration est dynamique. Cool ! |
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