Critiques de 2022

[Ben Wawe]

Lequel ?

[scarletneedle]

Immortal X-Men pour replonger dans la fange qu'est (re)devenue la franchise X mais Iron Fist non plus.

[cyclopebox]

Les copains, j'ai une question concernant la série Nightwing.
L'Annual 2021, est-ce que c'est une histoire indépendante, ou bien est-ce qu'il faut le lire entre deux épisodes précis ?

[EsseJi]

Tu peux le lire comme tu veux, il est paru pendant les tie-in à Fear State.

[ArnaudXIII]

En voyant vos commentaires ici, j'ai jeté un coup d'oeil au dernier Amazing Spider-Man. Pas du tout suivi ce run donc je peux pas trop juger de l'histoire mais par contre, j'ai trouvé le dessin vraiment très moche et j'étais choqué quand je suis tombé sur la page qui annonçait Patrick Gleason.

[Ben Wawe]

Batman #122
Efficace.
Joshua Williamson poursuit "doucement" sa Shadow War, après le choc du one-shot initial. Ici, Batman enquête sur les conditions de l'assassinat de Ra's al Ghul et des lourdes blessures de Talia par Deathstroke (même si c'est un imposteur, ce qu'il ignore encore). Il collabore avec Cameron Chase du DEO, découvre que Deathstroke est venu par un énorme trou dans le sol (!). En parallèle, les troupes de Talia attaquent salement un Slade Wilson qui doit s'enfuir avec Respawn, alors que Damian recrute Rose Wilson. Oh, et Bruce confronte Talia car il pensait que

Talia avait organisé l'assassinat de Ra's, mais apparemment non.

Ca ne révolutionne rien, mais c'est efficace. Les personnages sont bien écrits, cohérents, cadrés. Les enchaînements sont fluides, les rebondissements sont dynamiques. Le final est même un peu "touchant" entre Bruce et Talia, et ça fait le job.
Bon, Howard Porter a un style très dynamique et nerveux, mais il a perdu dans la beauté et la cohérence du trait ; c'est quand même assez laid, en fait. Mais là aussi, ça fait le job.
En parallèle, la back-up montre comment, jadis, Deathstroke a voulu tuer Robin jeune car il était engagé par

le Joker.

Une annexe dispensable, mais écrite convenablement par Williamson, et joliment dessinée par Trevor Hairsine.

Une suite cohérente et solide, mais sans briller.

Suicide Squad #15
Euh... okay.
On sent clairement, ici, que Robbie Thompson essayait ici de relancer sa série, de l'orienter ailleurs - mais l'annulation au prochain va couper court à tout ça. La lecture se révèle ainsi agréable, mais frustrante.
On a donc ici la suite de War For Earth-3, avec un focus sur le Suicide Squad de Rick Flag. Le départ d'Amanda Waller entraîne un protocole qui mène à la destruction de sa base, pour couvrir les traces. Des semaines après, Flag est blessé, Bloodsport gère les doubles de son frère issus du Multivers, Culebra est un fantôme, Talon est bien mort. Mirror Master boit trop, alors que le Squad est attaqué par des concurrents. Ca se passe mal, les échecs se multiplient, et un Squad exsangue en vient à envisager

d'enlever Lex Luthor, pour trouver de nouveaux moyens.

C'est étrange à lire. Notamment parce que cette relance va s'arrêter très vite, alors qu'elle se pose à peine, là. Mais aussi parce que Robbie Thompson évacue très vite le contexte antérieur, transformant ici son Squad presque en A-Team / Agence Tous Risques, des barbouzes trahis par leurs supérieurs, poursuivis, et qui errent pour trouver comment s'en tirer. L'idée n'est pas mauvaise, ça a même du sens, mais la transition est trop rapide... et, aussi, ne donnera "rien", car ça s'arrête au #15.
Eduard Pansica, Julio Ferreira et Dexter Soy se partagent encore les dessins, comme d'habitude. Ca reste efficace, selon les ambitions. C'est fluide.

Une lecture troublante, "bonne" en elle-même, mais très frustrante donc fort étrange.

[Ben Wawe]

Black Widow #15
Bonne fin de story-arc, mais très mauvaise fin de série... sûrement parce que Marvel vient à peine de l'annoncer, et que tout ça "sent" l'annulation précipitée. Et fort dommage, vu l'excellence de la série jusque-là !
Kelly Thompson achève sa saga avec la lutte contre le trafic humain local, et surtout le combat contre The Living Blade, qui a tranché le bras droit de Nat'. Clint vient la sortir de là, tous deux retrouvent aussi le jeune surhumain que The Living Blade veut récupérer. Ce jeune

"refixe" le bras de Nat'

et The Living Blade est vaincu par Yelena, Nat' et ses alliés. Tous partent, voient les deux jumeaux tuer l'Hôte, et... ça se finit ainsi. Tous mangent les restes du repas abandonné, et Nat' sourit.
Et c'est ça la fin !
Clairement, Kelly Thompson en avait encore sous la pédale, et n'a en rien organisé sa fin ici. J'espère sincèrement que Marvel va relancer la série, avec les mêmes autrices. Si tel n'est pas le cas, ce serait vraiment du gâchis, tant Kelly Thompson, Elena Casagrande et les autres assurent absolument sur Natasha, lui donnant du sens, du contenu, de l'intensité, des proches et de bonnes histoires !
Ici, l'épisode est bon en lui-même, mais tellement frustrant pour la fin de la série. Elena Casagrande livre de très belles planches, moins chorégraphiées que d'autres numéros, mais le scénario ne le demandait pas. Du très bel ouvrage.

Bon épisode, mais énorme frustration pour une de mes séries préférées.

Fantastic Four #42
Intense, riche, mais un peu précipité, surtout sur le graphisme.
Dan Slott poursuit sa Reckoning War avec brio. Des membres de The Reckoning dirigent l'invasion Badoon de la Terre vers le Baxter Building, où les enfants appellent Reed pour savoir quoi faire, afin de défendre la Forever Gate. Plus loin, Reed utilise la connaissance des Gardiens pour amener She-Hulk, Jack-of-Hearts et un Ben blessé physiquement et moralement par sa défaite face à la Reckoning qui "doit" le tuer. Ils arrivent sur la planète des Raj-Lek, massacrés par The Reckoning. Jen se sent coupable car

, Juge Cosmique, elle a autorisé ce peuple à se cacher des Gardiens, permettant à The Reckoning de revenir par là, discrètement.

Reed lance un ordre à ses enfants, et révèle à Ben que cela implique... l'auto-destruction de l'immeuble, et des gens dedans ! Ben explose, enrage, tabasse salement Reed, mais

Valeria, Franklin, Alicia et ses enfants appellent, et révèlent qu'ils sont vivants. Reed a en fait menti à Ben pour le forcer à libérer sa colère, et se rappeler qu'il a des choses à perdre, car cette guerre demande d'aller au bout du bout.

Tous deux se font cependant piéger par The Reckoning, dans les 9/10e de l'Univers anéantis, alors que Doom prépare quelque chose... oh, et Nick Fury Sr erre pour libérer Uatu, alors que quelques Gardiens agissent étrangement. Et, aussi, Johnny forme un front cosmique avec l'Alliance Kree-Skrull, les Gardiens de la Galaxie et les Starjammers contre l'ensemble des races armées par The Reckoning.
Ca se lit bien, vraiment. Je dois admettre que ça "un peu vite", dans le sens où le lecteur ne peut pas souffler, les rebondissements sont nombreux, rapides, efficaces. Tout ça donne une impression de guerre totale, de tension absolue, et c'est super ! Mais cette richesse, cette intensité demeure quand même "lourde", dans le sens où c'est quand même massif. J'aime beaucoup, mais ça fait beaucoup, aussi.
J'admets aussi que ce Reed qui sait tout est vraiment imbuvable, alors que Sue brille par son absence, hélas. Ces petits bémols sont cependant "mineurs" face au plaisir réel de lecture, face à un événement bien fichu, bien mené et très agréable à lire.
Dommage, alors, que Rachael Stott livre des planches aussi... faibles. Oh, ce n'est pas "mauvais" en soi, mais les dessins sont quand même un peu précipités, les visages sont survolés, et l'ensemble reste quand même très moyen. Son Ben Grimm est notamment très faible, même si elle se reprend sur d'autres planches. Mais ça reste très inégal.

Une saga très intense, riche ; un peu trop, et avec un graphisme hélas pas à la hauteur. Mais ça reste très bon à lire !

Moon Knight #10
Roh. Rooh. Rooooh.
Le terrible bon p'tit épisode que voilà !
Jed McKay, définitivement intéressant chez Marvel en ce moment, définitivement très bon ici, livre un nouvel épisode "solo", qui s'intègre à la grande saga de Moon Knight contre Zodic. Et c'est du bon, mais du terrible ; du terriblement bon !
Ici, Moon Knight discute encore avec sa psy, en évoquant le fait que Rutherford Winner, lobotomisé et utilisé jadis par l'Hydra, s'est échappé et a confronté Marc chez lui. Mais Marc révèle que

Winner lui a fait prendre conscience que sa psy n'est pas... elle-même ! Spector comprend en effet que sa psy est en fait Waxman, une sorte de Clayface envoyé par Zodiac pour piéger Moon Knight. Marc bat Waxman, puis l'enferme dans une bulle de métal, le menaçant de le recouvrir de béton, pour l'emprisonner à jamais. Waxman révèle l'emplacement de la psy, enlevée, et de Zodiac... mais Marc l'enferme dans le béton, quand même ! Et la nuit sanglante ne fait que commencer...

C'est bien, oui. Jed McKay n'en fait pas trop, a un bon rythme avec ses épisodes solos mais qui se nourrissent les uns des autres. J'apprécie les échanges avec la psy, entrecoupés d'action. Et j'admets avoir été admirablement cueilli par le twist ! C'est bien fichu, bien mené, avec un final "terrible", mais pleinement dans le ton de Moon Knight, le personnage et la série.
Surtout, je me rends compte que Jed McKay maîtrise bien sa continuité, car j'ai découvert que la psy a été créée en 1990, Winner a quelques années, Waxman aussi. Et tout se lie bien, tout fonctionne bien ! Une série vraiment agréable, bien menée et riche.
Aussi, et surtout, Alessandro Capuccio livre encore de belles planches, et essentiellement une ambiance formidable, prenante, envoûtante, grisante.

Quelle belle série !

Captain Marvel Annual #1
Sympathique mais très accessoire, voire même dispensable.
Torynn Gronbekk amène Carol dans l'Espace, où elle se fait enfermer volontairement dans une prison bien rude. Afin de retrouver les Starjammers mais aussi Bean, une Kree qu'elle a croisé il y a quelques années. Carol organise l'évasion, puis découvre que Bean

a des "pouvoirs" liés aux manipulations génétiques des Kree, et elle incarne désormais un collectif de mini-êtres qui lui ressemblent.

Ca se lit bien, mais c'est complètement "inutile" en soi. Bon, quand je dis que ça se lit bien, ça se lit... mais c'est quand même un peu lourd. Torynn Gronbekk en rajoute trop sur le côté délirant de Corsaire, Hepzibah et Cho'd font tapisserie, et Carol expédie tout bien trop vite.
Carlos Gomez illustre ça efficacement, sans briller mais sans foirer quelque chose. Ca fait le job ; ni plus, ni moins.

Une lecture qui n'a rien de désagréable, mais n'est pas foncièrement agréable non plus.

[Ben Wawe]

She-Hulk #3
Très bien.
Rainbow Rowell livre un très beau et très bon épisode, centré sur des discussions, essentiellement entre Jen et Jack, mais aussi entre Jen et sa nouvelle boss (ennemie), quelques échanges avec des copains en difficulté juridique, le retour d'Andy et même Hellcat. Et tout ça est vraiment bien.
L'autrice livre de très bons échanges, avec des personnages très touchants, très émouvants, très "vrais" aussi. Il n'y a pas grand-chose à résumer, Jack est paumé et découvre une perte de pouvoirs et un retour de son humanité, alors que Jen essaye d'aller de l'avant, et se "force" ainsi à être une référence, un pilier pour Jack, alors qu'elle demeure à la dérive.
Rainbow Rowell est vraiment formidable dans la fluidité des dialogues, la pertinence des caractérisations, et la douceur de son approche. On sent qu'elle aime ceux qu'elle écrit, et c'est fort agréable à découvrir ; un petit bonbon, tendre.
Rogê Antônio livre aussi de jolies planches, avec une atmosphère "douce" elle aussi, des personnages bien façonnés, et une ambiance très agréable.

Une vraie belle proposition, et ça fait plaisir !

Strange #3
Sympathique.
Jed McKay enchaîne de manière fluide, sans grosse surprise, mais efficacement. Du bon divertissement.
On a ici la lutte de Clea, nouvelle Sorcière Suprême, contre le Harvestman, mystérieuse entité à proximité du corps "ressuscité" d'Eric Masterson, le premier Thunderstrike. On découvre ainsi que ce cadavre n'est

pas le vrai Eric, mais un réceptacle utilisé par des âmes qui veulent échapper à la Mort.

Ce revenant appelle la masse Thunderstrike, alors que son fils l'a (et on le voit, ça fait plaisir pour Kevin), mais il est vaincu / soumis par Clea. Harvestman révèle être un envoyé de la Mort, pour faire cesser les résurrections et abus, et il refuse de ramener Stephen Strange. Plus tard, Clea et Wong échangent sur les suites possibles, mais des commer_ants du Shrouded Bazaar viennent la voir, car le Blasphemy Cartel

les a attaqués et massacrés.

Clea s'emporte, ne le supporte pas et

décide d'enclencher une guerre, en s'imposant "Warlord" de New York.

C'est bien, oui. Pas "fou", pas révolutionnaire, mais agréable. Le combat contre le revenant et Harvestman est un peu long, mais Clea reste une Sorcière Suprême intéressante, avec une forme d'arrogance, de suffisance qui change un peu, dans une approche agressive, brutale. Bon, le Harvestman est vraiment un opposant basique, mais les interactions Clea / Wong sont bonnes. Et le cliffhanger est pertinent.
En parallèle, Marcelo Ferreira livre des planches efficaces, un peu "simples", un peu trop classiques, mais ça fait le job.

Une mini-série agréable, qui forme un divertissement solide. Cool !

X-Men Red #1
Fais chier.
Je voulais aimer cette série. J'espérais aimer cette série. Et j'admets que, sur l'essentiel de la lecture, j'ai aimé ce #1.
Mais... mais la fin, pff. La fin s'abandonne aux bêtises crasses et opportunistes de la franchise X-Men actuelle, et ça me gave.
Bon, que dire ? Al Ewing est en forme, en centrant son #1 sur Storm et ses difficultés à gérer le fonctionnement des Arakkii, mais aussi les attentes, exigences des autres intervenants. Il y a un Magneto usé et désabusé, qui vient se construire un palais de solitude sur Mars / Arakko. Il y a Solar, qui a ouvert un bar, où Vulcain joue au débile ; un Vulcain qui tabasse Roberto, puis se fait tabasser par Thunderbird, enragé contre les Summers. Abigail Brand et Cable bloquent tout ça, et John Proudstar rage contre le vieux Nathan. Tout le monde prend Storm pour la Reine, alors qu'elle est Régente, et Abigail Brand exige d'elle qu'elle forme des X-Men de Mars, pour équilibrer l'ensemble. Mais Storm est rongée par son passage dans l'arène d'Arakko, et décide de

changer de look et proposer à Sunspot et Magneto de former non pas des X-Men pour Mars... mais une Confrérie, pour Arakko.

Su-per, hein. Alors oui, évidemment : mon retour est hautement subjectif, et est influencé par mon rejet véritable de l'ambiance de la franchise X-Men, transformée depuis plusieurs mois, voire même années maintenant, en un ensemble de salopards, de véritables connards suffisants, arrogants et agressifs. Même si Storm n'est pas Beast, hein, je n'apprécie pas l'orientation finale, bien que je doive admettre que oui, Al Ewing prépare bien la chose.
Donc non, je ne suis pas content de ma lecture, car ce final me gave, me soûle. Mais c'est bien fait, hein. Et j'apprécie le positionnement des personnages, Brand qui manoeuvre, Vulcain qui est insupportable, Thunderbird qui est le nouvel homme en colère, Solar paumé mais sympa'. Et Magneto usé.
Tout ça est bien fait, mais c'est usant ce sous-texte, ces thèmes dégueulasses sur la personnalité des personnages. Je ressors blasé de tout ça, même si Stefano Caselli livre aussi de belles planches, bien cadrées, bien fichues, et bien plus solides que d'autres fois.

C'est essentiellement très bien fait, mais l'orientation finale me gave, m'énerve. Définitivement.

[mrcitrouille]

Alors moi j'ai détesté ce X-Men Red 1 parce que :
- voilà désormais 2 ans que l'on nous parle d'Arrako et que nous n'avons aucune idée du fonctionnement de cette société, de leur culture toussa toussa, et qu'au delà des membres du Council nous nous tapons des personnages interchangeables au design foireux. Du coup c'est extrêmement difficile de s'intéresser à leur devenir et à une série centrée sur leur planète.

- Magneto et son monologue pourri et sa demeure foireuse : j'ai étouffé un rire en voyant ce château... j'ai trouvé les dialogues souvent indigents (contairement à ceux de Spurrier)

- Solar et Thundbird qui viennent à bout d'un type présenté à sa création comme un des plus puissants mutants (sérieux il a éclaté Black Bolt)

En fait là je suis nostalgique de l'époque Lobdell/Mackie/Loeb c'est pour dire !

[cyclopebox]

Et Chuck Austen ?

[watchblue]

Oui Vulcain qui se fait assommé a coup de chaise dans une baston de bar........

[mrcitrouille]

	Citation:			Posté par cyclopebox
	Et Chuck Austen ?

Franchement ? Je préfèrais ! au moins c etait drôle !

[mrcitrouille]

	Citation:			Posté par watchblue
	Oui Vulcain qui se fait assommé a coup de chaise dans une baston de bar........

Oui, à ce moment là Ewing perd tout crédit à mes yeux

[scarletneedle]

'tain cette déception...
Après un #1 qui semblait poser des bases pour une bonne baston et des parties 2, 3 et 4 qui semblaient désynchronisées au possible, cette conclusion est un crash test qui se prend le mur dès le 2ème page...
C'est un tel bordel pour commencer le numéro que j'ai crû que les pages avaient été imprimées dans le désordre tant c'est illisible.
Ca se calme un peu niveau lisibilité puis la cata continue quand les héros amenés (hors 2ème équipe Suicide Squad) semblent être là pour la décoration (au passage Cyborg en couverture forcément n'est pas là), il y a des changements de camp mais sans queue ni tête.
Au final, ça défait ce que ça a fait au #1 mais une telle emphase surtout concernant Waller que ça tombe des mains surtout avec de telles promesses.
La dernière page ne m'a même pas soulevé un soupir de contentement, plus un out ça pour ça vu que RIEN n'est résolu, ça sera pour les 2 derniers numéros de Suicide Squad.
Un crossover qui n'a de crossover que le nom tant Teen Titans Academy (qui s'arrête aussi dans 2 numéros) et The Flash ne sont là que avoir en couverture un joli logo...
C'est dommage tant Robbie Thompson (épaulé(?) par Dennis Hopeless pour le coup) avait su mener sa barque sur la franchise rendant une belle copie avec une montée en tension entre Waller et Flagg avec de vraies gueules parmi les compositions (même Ambush Bug se fait chier ou est silencieux tant il n'y a rien à dire).
De même, graphiquement Ariel Olivetti a besoin d'aide de 2 artistes (dont Brent Peeples même pas crédite en couverture...) et ne semble pas plus investi que le reste du bousin...

Un coup dans l'eau...


J'espère que Shadow War va être d'un autre tonneau.
Je viens de lire Robin #12 et Deathstroke Inc #7 (bien joué pour Respawn utilisant un quelque chose jamais vraiment utilisé depuis l’installation par Grant Morrison)qui m'ont bien fait fait saliver tant Joshua Williamson seul auteur aux commandes sait où il va avec Dark Crisis en ligne de mire.
Allez, je m'en vais lire le Alpha.

[scarletneedle]

	Citation:			Posté par watchblue
	Oui Vulcain qui se fait assommé a coup de chaise dans une baston de bar........

	Citation:			Posté par mrcitrouille
	Oui, à ce moment là Ewing perd tout crédit à mes yeux

Ah ouais, c'est chaud quand même...0_o
Bien content d'avoir fuit cela après le mauvais Hellfire Gala.