#211
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Iron Man #8
Pas mal, pas mal. Christopher Cantwell continue le voyage spatial d'Iron Man et de ses Losers, enfin des quelques super-héros paumés qu'il a réunis pour filer derrière Korvac et l'empêcher d'atteindre le vaisseau de Galactus. L'auteur se concentre ici sur Hellcat, avec une petite plongée dans la psyché de Patsy grâce à Moondragon, qui agit de loin. C'est pas mal, oui. Cantwell est un peu grossier dans son approche de Patsy, mais ça fonctionne et ça se lit bien. Ca reste quand même un numéro de remplissage, avec à la fin la révélation que Angel Unzueta le remplace bien, avec des couleurs qui aident à ne pas voir de différence. Efficace, sans plus. Donc oui, ça se lit bien, mais on en vient à du remplissage et... bon, ça reste quand même une approche troublante, surprenante. Ca m'intrigue, mais je ne sais pas si je vais continuer à adhérer. A voir la suite. |
#212
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King in Black : Namor #5
Bon final. Kurt Busiek a peut-être eu un épisode de trop, dans cette mini-série essentiellement en flashback, où l'on voit comment un jeune Namor (avec de jeunes Dorma et Attuma) ont dû gérer la transformation d'un groupe de héros atlantes en monstres, à cause d'un résidu de Knull. L'ensemble fonctionne cependant bien, avec le scénariste qui retombe joliment sur ses pieds. Le final du passé n'est pas précipité, le lien avec King in Black au présent est bon (Namor libère deux de ces monstres pour lutter contre Knull) et surtout Namor est très bien écrit. Ben Dewey et Jonas Scharf ont bien tenu les planches à dessin, avec des styles adaptés et efficaces. Oui, un numéro en moins n'aurait pas gêné, mais l'ensemble est bon. Ca donne envie de revoir plus de Busiek, plus régulièrement ; et, personnellement, moins sur Marvels et ses dérivés ou l'Histoire Marvel, qui ne m'intéressent pas vraiment en soi. |
#213
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Wolverine #11
Je ressors content de cet épisode. J'avais été déçu par les derniers numéros, avec une forme de léthargie qui s'emportait de moi au fil des lectures. Benjamin Percy me redonne de l'enthousiasme et de l'intérêt, en embrayant sur cette saga des vampires... que j'aime bien, je l'admets ! Percy rebondit sur des éléments des Avengers de Jason Aaron, qui a acté que la Nation Vampire soit désormais installée à Tchernobyl, sous direction de Dracula. Un Dracula qui "veut" Wolverine, car son sang peut permettre aux vampires d'aller au soleil. Bon, ce #11 permet surtout de bien reposer les bases de la saga à venir, avec un Omega Red manipulé par X-Force à distance, et un Logan qui remonte "à sa façon" la piste, avec son amie tueuse de vampires à Paris (et qui s'avère Ca se lit bien, c'est fluide, l'ambiance est bonne et tout se lit bien. Scot Eaton commence très bien, avec de très belles planches à l'ambiance travaillée, mais le style s'affadit un peu au fil du numéro. L'ensemble reste très correct, et surtout tout se lit bien. Je suis curieux de lire la suite, et j'espère que Percy restera à ce niveau. |
#214
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King In Black #5
2 niveaux de lecture :
- 1 où tu débranches le cerveau et le passage à tabac non stop de l’invulnérable Knull et de sa terrifiante armée invincible avec les héros Marvel faisant la ola dans le stade (ça fait tapisserie à ce niveau) devient un gimmick assez drôle - 1 où, pas de bol pour Donny Cates (qui aura donc commis 2 events vides avec Absolute Carnage et celui-là), le cerveau reste branché, et tu es abasourdi du vide intersidéral de ce numéro tant il n'y a rien à se mettre sous la dent de concret vu que le deus ex machina rend toute chose futile. Seul, Venom connait une évolution et c'est abrupt : j'ai tourné la page et pensais lire quelque chose de prégnant, non, c'était bien la dernière page... Après, oui, c'est joli mais c'est tout. Pas grave dans 1 mois, c'est oublié car Heroes Reborn arrive déjà et rien ne sera plus pareil (à nouveau ). Allez, il ne faut pas que je sois médisant, j'attends Venom #200 pour un véritable épilogue.
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#215
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Truth and Justice 2 (Dc Comics)
il me semble que c'est du Digital First (mais je ne suis pas les trucs numérique) donc la version papier. Alors que le premier numéro mettait en avant Vixen et les Global Guardians, ce second numéro se déroule autour de Superman et Clark Kent... Ce n'est pas mauvais, mais pas non plus un incontournable.. Alors que le premier était une histoire de super-héros saupoudré de politique, dans ce numéro on a de la politique , avec un peu de super-héro, et malheureusement parfois écrit à l'emporte pièce. Clark Kent s'interresse à un jeune noir condamné pour vol, et qui va disparaitre de prison. Pour réapparaitre chez lui. Tout cela mène à un nouveau génie du mal, raciste , qui organise un nettoyage à sa façon. IL y a des infos importantes , comme la comparaison de nombre d'arrêt suivant que tu es blanc ou noir suite à la même infraction, mais le récit et un peu léger.. et le dessin est loin de servir correctement l'histoire.
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Shoot Shoot don't talk |
#216
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Je crois que ce sera le premier grand event que je vais completement zapper, même au format empyre,dawn of X, tant il ne m'inspire rien. Heroes Reborn me tente bien plus, même si je ne m'attends à rien de révolutionnaire, mais juste un grand What If qui pourrait être fun. |
#217
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Spider-Man : Spider's Shadow #1
Et si Peter Parker était devenu Venom ? D'un principe simple, Chip Zdarsky et Pasqual Ferry livrent un bon début de mini-série sous bannière What If. Les auteurs reviennent aux bases de l'événement, ordonnent différemment les rebondissements et créent un ensemble cohérent et déchirant pour la chute morale de Spider-Man. J'ai beaucoup aimé. J'en parle plus ici : https://topcomics.fr/spider-man-spid...t-devenu-venom |
#218
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Justice League #60
C'est agréable mais ça prend bien son temps. Brian Michael Bendis "scelle" ici l'intégration de Black Adam dans la Justice League, avec l'argumentaire favorable de Superman. L'ensemble évoque ensuite le monde initial de Naomi, et la lecture de la (très bonne) première mini-série sur le personnage paraît indispensable (hélas pour le nouveau lecteur). Hippolyta est croisée, les germes d'une relation compliquée avec Adam sont lancés, alors que le groupe parle (vraiment) beaucoup et se lance dans le monde de Naomi. Bon, ça se lit bien, hein. L'art du dialogue de Bendis fonctionne bien avec un Green Arrow et (un peu) une Black Canary, tandis que la posture de Black Adam est pertinente. Naomi apporte une fraîcheur sympathique, même si les autres personnages font tapisserie (comme souvent avec l'auteur). Pour être clair : ceux qui n'aiment pas Bendis sur les séries de groupes n'aimeront pas ; ceux qui apprécient y trouveront un intérêt, même si le début ronronne. David Marquez livre de forts jolis visages et des statures intéressantes, mais c'est super pauvre en décors et en ambiances. En parallèle, Ram V avance (tout) doucement sur la saga de la JLD avec Merlin : le format back-up est clairement un frein, car c'est lent, avec ici Etrigan qui rejoint la JLD et Ragman attaqué. Bon, c'est sympa', mais hormis le dialogue Batman/Etrigan, il n'y a rien d'intéressant. Xermanico illustre ça fort joliment. Une relance que j'aime bien, mais qui est presque déjà en sous-régime. |
#219
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Non mais après la question qui fache.
Vas y on payer 5 dollars par mois pour ça ? Après je sais pas comment se sera publié en VF mais faudra une offre canon pour me faire acheté si c est comme le premier numéro
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If Jack Bauer was in a room with Hitler, Stalin, and Nina Meyers, and he had a gun with 2 bullets, he'd shoot Nina twice. |
#220
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(oui c'était il y a plus de 20 ans, inédit en Fr (en grande partie) - mais ca sent le déjà fait)
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Shoot Shoot don't talk |
#221
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Nightwing #79
Bon dieu, que c'est bon... que c'est beau, aussi ! Tom Taylor et Bruno Redondo proposent un épisode formidable, complètement entraînant et prenant. Même si des événements dramatiques s'y déroulent, avec la montée en puissance de Oui, le sourire dans un titre Batman, presque une anormalité au XXIe siècle ! Tom Taylor livre en effet un script qui fait la part belle à l'humour et aux bons mots, avec un formidable duo Babs/Dick et un Grayson vraiment merveilleux. Quel plaisir de voir Nightwing bien écrit, quel plaisir de sourire devant des blagues drôles (Babs qui balance sur le groupe Snapchat de la Batfamily que Dick s'est fait dérober son portefeuille et Cassandra bavarde en smileys pour se moquer, c'est autant drôle que très fin sur les personnages). Quel plaisir de voir des personnages voulant bien agir, même en eaux troubles. Dick décide d'utiliser la fortune léguée par Bruno Redondo illustre ça avec force et grâce. Je ne sais quoi dire, c'est juste beau et entraînant, fluide et joli, dynamique et top ! Quel beau lancement. Je suis déjà accro ! |
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Alors que ses Superman et Action Comics vivaient bien le rythme mensuel.
Pas sur la qualité, mais l'orientation. Je pense que Brian Michael Bendis va réutiliser les éléments de Black Adam vus dans Future State : Suicide Squad. |
#223
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The Flash #769
C'est bordélique, mais c'est rigolo. Jeremy Adams se pose dans le futur, avec Wally dans le corps d'Impulse qui essaye de gérer la menace d'un Dominator boosté par la Speed Force. Tandis que Barry, Mr Terrific et Green Arrow tentent d'aider Wally à distance, dans le présent, ledit Wally collabore avec Gold Beetle. C'est fun, je l'avoue. Ca part dans tous les sens, Jeremy Adams s'amuse beaucoup avec Gold Beetle, vue et créée dans Future State : Suicide Squad, en tout cas le segment Black Adam. Wally est assez drôle aussi, comme le trio au présent. L'auteur glisse quelques idées, comme Wally En tout cas, c'est certes bordélique mais fun, et réjouissant. L'épisode donne un peu le sourire, et ça fait du bien pour Wally West. David Lafuente a une approche trop cartoon pour moi ici, notamment avec les couleurs et l'encrage, mais ça se laisse lire. Et Brandon Peterson a de nouveau un graphisme très informatisé, mais c'est lisible. Une relance curieuse mais intéressante, qui donne le sourire. |
#224
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Superman : Red and Blue #2
Nouveau numéro de cette anthologie bleue et rouge. Steven T. Seagle et Duncan Rouleau livrent un beau petit moment sur Martha Kent, qui répond "sèchement" à deux amies qui disent que, quand même, c'est bien que les Kent aient pu avoir un enfant même s'il n'est pas "à eux". Seagle a une voix-off un peu lourde (Martha "liste" tout ce qu'elle fait, comment elle s'inquiète chaque jour, comment elle a peur pour les épreuves subies par son fils, alors que Rouleau illustre avec des exploits de Superman), mais le récit est mignon et touchant. Un joli moment sur Ma' Kent, et on en a peu. Le style troublant de Rouleau correspond bien à cette petite bulle. Chuck Brown et Denys Cowan enchaînent avec un affrontement de Val-Zod, le Superman afro-américain de Earth-2, et Prometheus. Mouais. C'est rigolo de voir un Krypto avec une combinaison humanoïde et qui échange avec Val, avec des bulles en forme de nonos, mais l'intérêt est limité. Reste les dessins nerveux et dynamiques de Cowan, mais c'est peu. Dan Panosian interroge Lex Luthor, qui hésite à utiliser une "nouvelle" forme de Kryptonite, la Rouge, contre Superman. Mouais. L'idée est bonne, voir Lex hésiter car il préfère accumuler des données et de l'expérience avant d'agir, et Panosian dessine bien. Mais c'est là aussi très vite lu, et très vite oublié. Stephanie Phillips et Marley Zarcone proposent un récit simple mais mignon, qui semble "ancien" dans l'approche. Une petite fille fait l'objet de méchantes plaisanteries à l'école, parce qu'elle dit avoir aidé Superman dans un combat. Mais évidemment, Superman vient rétablir la vérité, et tout le monde se pardonne. Mignon, donc, mais limité, tout comme le graphisme, simple voire simpliste parfois. Jason Howard livre un récit extrêmement nerveux sur un affrontement entre Superman et Cyborg-Superman. Le fond est un prétexte bateau, mais la puissance de son style me plaît et fonctionne bien ici. Belle bagarre. Un exemplaire qui n'a rien de désagréable, mais s'oubliera rapidement. Je retiens le côté souvent mignon des histoires, et des graphismes qui touchent juste. Mais bon, ça n'a quand même aucune ambition, tout ça. |
#225
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C'est un problème que je ressens de plus en plus avec les anthologies (les numéros anniversaires DC ou actuellement le Batman Black & White) : c'est souvent très beau mais au final souvent très anecdotiques également et du coup, vu le prix, je suis déçu souvent. J'ai fait l'impasse sur Superman, du coup.
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