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Pour bien entamer 4001A.D. une petite relecture de Raï n'est pas de trop.
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Relecture des batman saga pour Batman et Batgirl avant le Rebirth. Puis aussi parce que j'ai un peu arrêté après le deuil de la famille.
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Je viens de conclure la relecture de "La Guerre du Pouvoir", renommee "Guerre de l'Infini".
Ça fait moins bien mais c'est davantage raccord avec le titre original, Infinty War. Quand je dit relecture, ce n'est pas tout a fait exact car les deux derniers numeros US m'etaient inconnus, car, pour une raison que j'ignore, je n'avais pas acheté le dernier tome de Semic (qui avait divisé les 6 numeros US en 3 revues VF) Clairement en dessous du Defi de Thanos, qui est inegalable. Deja, je trouve que cela a beaucoup vieilli (la technologie tres presente est desormais obsolete) et on ne comprends pas trop le pouvoir du Magus, censé avoir un pouvoir superieur au Gant de l'Infini mais dont le but est, on le decouvre a la fin, de chopper le Gant justement!! Le combat final est clairement un deus ex machina previsible. Les heros marvel font tapisserie et servent de chair a canon. Seul le personnage de Thanos est travaillé par Starlin et est bien loin de l'interpretation actuelle en vilain sanguinaire. Le personnage est plus complexe et Starlin le depeint tres bien. Il en va de meme pour l'Infinity Watch, serie que je n'ai jamais lue mais que j'aimerais beaucoup decouvrir maintenant. Enfin mon coup de gueule concerne la nouvelle mise en couleur des series des annees 90. C'est tout bonnement degueulasse. La couleur noie les trais des personnages qui ne sont plus distingables! On dirait des patés de couleurs posés par un gamin. J'ai le meme probleme sur mon TPB US des Uncanny de Jim Lee... Par contre niveau dessins, meme si c'est en dessous du Defi au niveu de sa prestation (meme s'il ne dessinait que les 3 derniers chapitres), Ron Lim sort une honnete prestation (apres faut aimer le style, j'en conviens, moi j'adore!) |
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De mémoire, le pouvoir déployé par le Mage provient des Cubes cosmiques volés à la fin de l'histoire et réutilisé lors de la Croisade Cosmique
Pour les héros Marvel, c'était déjà le cas dans le Défi de Thanos ; dans les récits de Starlin, seuls comptent Thanos, Warlock et ses Gardiens, voire le Surfer. Isolé, Infinity War est limite incompréhensible : les tie-ins Infinity Watch développent plusieurs vignettes comme le combat Thanos vs Thanos ou la guérison d'Eternité. |
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Oui je suis d'accord sur le fait que deja dans Infinity Gauntlet les super heros faisaient deja office de chair a canon, mais il y avait cette baston enorme sur les episodes 3 et 4, avec limite chacun un moment. Là rien de tout cela.
Merci pour l'info des tie in dans Infinity Watch, j'ignorais! Et il est vrai que je n'ai rien compris pour Eternite et Infini... Ceci explique cela! Raison supplementaire pour mettre làmain sur les TPB (si cela existe) de Warlock and the Infinity Watch! |
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Techniquement, dans ... War, il y a bien la baston entre plusieurs héros contre les Gardiens du pouvoir pendant que le reste se frite avec les doubles, mais ça ne va pas loin.
Par contre, côté foutage de gueule, je te recommande Marvel The End, qui fait miroiter un conflit avec Thanos contre tous les héros, pour régler la situation en quelques pages le numéro suivant. Clairement pas la priorité de Starlin. |
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Sorti il y a 2-3 mois en "Complete Collection" avec, de mémoire, le 20 ou 21 premiers n°.
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http://www.mycomicshop.com/?AffID=16845P01 |
#1868
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J'ai relu le classique Batman - Un long Halloween, que je n'avais pas particulièrement apprécié la première fois.
A la relecture au calme, ça passe beaucoup mieux. Il y a une bonne ambiance dans ce récit, les événements s'enchaînent plutôt bien, et les dessins sont très réussis. Je reproche néanmoins l'histoire de traîner en longueur sur la fin, d’enchaîner les twists pas forcément utiles sur l'identité de Holliday et surtout de ne pas avoir fait de Harvey Dent un homme irréprochable avant sa transformation en Double-Face. J'aime beaucoup l'idée de Gotham qui corrompt le meilleur des hommes avec cet accident à l'acide, et je ne vois pas vraiment l'intérêt d'avoir fait d'Harvey Dent quelqu'un de "pourri" avant même sa transformation, à part pour faire un énième twist... Je reproche aussi à M. LOEB d'avoir, après coup, réutilisé à outrance sa trame "mystérieux adversaire qui pousse le héros à affronter l'ensemble de ses ennemis avant la révélation comme quoi c'était Au final, j'ai préféré Silence, qui est plus une saga de super-héros qu'un polar. Mais Long Halloween reste une série que je conseillerais à certains amis en fonction de leur goûts.
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"My Lord, you have no space suit..." "Air is for cowards ! Do it !" mes ventes diverses et variées mes recherches diverses et variées les aventures d'Archibald Long-Jean |
#1869
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Difficile de jeter la pierre à Loeb pour avoir réutiliser un même thème, la plupart des auteurs font ça : DeMaettis a ressorti le scénar de Kraven's Last Hunt une demi-douzaine de fois, Brubaker n'en finissait plus de ramener des super-soldats de la seconde guerre, Starlin rabâche son couplet sur la religion, on a un topic dédié à la figure du père chez Jason Aaron...
Pour Harvey, c'est dur d'en faire quelqu'un d'irréprochable s'il craque uniquement parce qu'il est défiguré. La plupart des histoires modernes lui donne des problèmes avant l'incident (le GN de DeMaettis, la série animée, la mini Jekyll & Hyde, jusqu'à Dark Knight) Après, je ne suis pas fan de cette histoire concernant son intrigue, trop étirée et partant dans tous les sens. Dernière modification par JB ; 23/05/2016 à 12h36. |
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Pour ma part je trouve "Un Long Halloween" le plus réussi dans le cycle Loeb. il y aun jeu dedans, le coups des jours fériés qui scandent la série, c'est vraiment bien trouvé, les twists sont capillotractés pour certains mais c'est un peu le concepts de ce genre d'histoire (D'agatha Christie à Detective Conan hein...). Le dessin fait aussi beaucoup pour l'atmosphère. j'aimais déjà Tim Sale sur Deathblow et là je le revoyais sur du Batman à la fois classique et personnel.
Double Face est vraiment souvent décri comme quelqu'un de cramé dès le départ auquel son accident donne le coup de grâce, du coup ça m'a pas choqué... |
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Mais j'ai l'impression (et je peux me tromper) que c'est plus flagrant ici, car pour Long Halloween c'est une mini série, et pour Silence ça concerne l'intégralité de son run sur Batman. On n'est pas dans le cas d'un arc similaire à un autre en plein milieu d'autres histoires, on est vraiment dans l'intégralité du récit assez similaire. Similaire mais pas identique, quand même. Long Halloween est un polar avec l'atmosphère sombre qui va avec, alors que Silence est un récit blockbuster de super-héros, avec les multiples super-pouvoirs associés.
Ce que je reprocherais aussi à ce récit, c'est qu'il n'y a pas vraiment d'indices pour mettre le lecteur sur la piste de l'identité du coupable. Les personnages pensent que c'est Dent, ce que le lecteur ne croit pas une seconde vu que c'est Double-Face. Mais il n'y a pas vraiment d'information laissant envisager une autre possibilité. Dans Silence, l'identité du coupable arrive également sans vraiment d'indice pour l'anticiper, mais la fausse piste menant à Jason est beaucoup plus crédible pour le lecteur. Personnellement, c'est cette partie (en plus du défaut en spoiler plus bas), avec la révélation dans le cimetière, qui fait qu'à mes yeux Silence est meilleur que Long Halloween. La grosse révélation décrochage de mâchoire qu'on n'a pas vu venir mais qui avait plein d'indices pourtant. Et le twist juste après pour dire qu'en fait non. (qui a été retconné après bien comme il ne faut pas... )
J'aime bien l'idée comme quoi Dent est un perosnnage déjà atteint psychologiquement, mais qui a refoulé tout parce qu'il s'accroche à un système auquel il croit profondément. Et quand ce système le trahit, il bascule dans la folie. Après, c'est un ressenti personnel. Long Halloween reste un bon récit malgré les défauts que je lui trouve.
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#1872
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En rangeant ma bibliothèque, je suis tombé sur Robin - Année 1, que j'avais beaucoup aimé mais dont je n'avais plus aucun souvenir.
Robin a toujours été un sujet de désaccord entre ceux qui lisent les comics et les autres. Ceux qui n'en lisent pas pensent à la quasi-unanimité que ce personnage est inutile, il ne sert qu'à être pris en otage et pensent que Batman serait mieux sans lui, alors que (la majorité de) ceux qui lisent le comics sont beaucoup plus positifs vis-à-vis de ses capacités, et surtout son rôle destiné à améliorer le quotidien de Batman en lui rappelant que tout n'est pas noir dans la vie. Moi j'adore Robin, en particulier Dick Grayson, donc j'ai relu ce volume avec plaisir. Le bouquin commence par un one-shot, "the gauntlet", qui retrace la première nuit de Robin. Dick doit passer un test pour que Batman le laisse être son partenaire, mais il va se retrouvé plongé dans une chasse à l'homme après être intervenu lors d'une agression. Une histoire assez classique et peu mémorable, mais qui fait une introduction correcte, et dont les protagonistes sont réutilisés dans le récit suivant. Sa lecture n'est cependant pas nécessaire pour apprécier Year One. La mini-série en 4 parties qui suit raconte les premières interventions de Batman et Robin, les difficultés qui ne manquent pas d’apparaître, et comment Bruce réagit à la présence du jeune prodige à ses cotés (en le rendant moins pessimiste). Dick va devoir prouver ses capacités alors que Bruce se demande s'il n'a pas fait une erreur en le prenant comme partenaire. Le récit est rythmé par les interventions d'Alfred, qui sert de narrateur. Au dessin, c'est un style cartoon coloré rappelant le trait de Darwin Cooke, qui convient très bien à ce récit. Mais ça aurait été beaucoup mieux si ça avait vraiment été du Cooke... A la relecture, je me suis rappelé pourquoi je n'avais plus vraiment de souvenir de cette histoire, mais également pourquoi je l'avais beaucoup appréciée : l'histoire est assez classique et ne comporte que peu de moments forts qui restent en mémoire, mais elle parvient à très bien définir l'intérêt du duo et le rôle que Dick a à jouer. Un récit à conseiller pour ceux qui aiment et n'aiment pas Robin !
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#1873
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Ok je prends!!! Je l'ai vu chez mon kiosque dans le collection Eaglemoss je crois!
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#1874
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Par contre, il n'y a que "year one", il n'y a pas "the Gaunthlet". Une petite perte, mais sa lecture n'était pas nécessaire, comme je l'ai dit.
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#1875
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J'ai commencé la relecture de Planetary (il y a quelques mois, donc avant l'annonce d'Urban de le reediter)
Ayant les 5 tomes, je n'avais lu que les 2 premiers (parus chez Semic). Je les ais donc relus, les prochains a venir seront donc une totale decouverte, j'en salive d'avance! On a affaire ici a un veritable hommage d'Ellis pour le comics! Chaque episode est une enquete sur un evenement paranormal, qui est rataché a un genre de comics. Le premier episode, qui va poser les bases, avec la presentatition dû flocon de neige representant le multivers, presente Doc Brass, l'equivalent de Doc Savage. Le second est un hommage aux grands monstres japonais (type Godzilla), le troisieme aux films asiatiques et aux fantomes. Le quatrieme introduit la Hark Corporation, et un vaisseau extraterrestre pensant. La suite enchaine avec les FF (les Quatre, qui vont etre les grands mechants de la saga), Hulk, Hellblazer, la Justice League, Nick Fury... Les hommages pleuvent, mais l'histoire reste pour autant tres coherente. Apres avoir posé les bases lors d'enquetes one-shot, Ellis se lance dans une enorme conspiration orchestrée par Randall Downing (Reed Richards), que Snow va tenter de dejouer. Graphiquement, Cassaday s'en donne a coeur joie, n'hesitant pas modifier son style pour justement rendre hommage aux histoires qu'ils croquent. Son meilleur travail, bien meilleur a ses recents travaux marvel. |
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