#271
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Cable #3
J'ai aimé le #1, trouvé le #2 lourd et maladroit... et cette suite reste hélas sur cette ligne. Fabian Nicieza me perd dans un épisode maladroit, trop bavard, où les Cable affrontent des clones créés par Black Womb, super-vilaine apparue dans X-Men Legends (c'est dire son impact). On voit que Parvenu gère tout ca, les Cable remontent sa piste avec Irène, Young Cable se laisse happer par le discours de paix totale de la Neocracy... et en vient à Gros bof, encore. Fabian Nicieza livre une histoire lourde, peu entraînante, avec des super-vilains trop méconnus et des rebondissements téléphonés. Dommage, car les échanges entre les Cable sont cool, et Scot Eaton & Lan Medina assurent malgré des styles un peu différents. Un échec qui se dessine. |
#272
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Rise of the Powers of X #3
Prévisible mais intense. Kieron Gillen poursuit son volet de Fall of X, avec la lutte contre le Dominion Essex et surtout Charles Xavier qui veut empêcher les drames récents en... tuant Moira avant qu'elle ait ses pouvoirs, empêchant ainsi Krakoa. Il parvient à identifier le jour où la jeune Moira obtient ses pouvoirs, et vient la tuer. Moira est déjà consciente de ses vies passées et défend sa cause, Charles se prépare à l'abattre alors que son équipe, dans la No Place X, est attaquée par Orchis. Une Moira forme alliance avec le Dominion, dans une timeline, et Rasputin IV découvre que Mr Sinistre est en vérité Doug Ramsey cloné ici, et elle s'emporte avec Rachel quand elles apprennent le projet de Charles. Rachel parvient à empêcher Charles de tuer Moira, il intègre en elle une pensée pour plus tard, rentre. Rasputin IV C'est intense, oui. Kieron Gillen maîtrise sa saga et ses personnages, avec une bonne gestion de l'émotion de Charles. C'est là où c'est prévisible car la solution est "trop facile" et extrême, mais la mise en place de la décision est bonne. La surprise finale est bonne, même si on sent le twist, et RB Silva s'éclate, bien qu'il soit parfois un peu confus. Prenant, intense, réfléchi ; prévisible mais réussi. |
#273
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G.O.D.S. #6
Prenant et réussi. Jonathan Hickman continue sa série et s'approche de la fin de ce volume (unique ?), avec un épisode sur Aiko qui veut réparer ce qu'elle a fait à Mia. A savoir prendre une future magicienne, du camp d'en face donc, comme apprentie, ce qui ne se fait plus chez elle, notamment car cela impose que Mia ne puisse jamais atteindre son plein potentiel magique. Prise de remords, Aiko s'en va solliciter le mystérieux Lion of Wolves pour qu'il l'aide à obtenir audience auprès du Tribunal Vivant. Plusieurs épreuves attendent Aiko, qui doit former des engagements et sacrifices, mais reçoit un refus brutal du Tribunal, qui révèle que la Justice ne répare pas mais condamne à ce qu'elle se sente coupable. Mais le frère du Tribunal, Oblivion, l'aide malgré elle, même si alors Mia C'est bien, oui. Toujours grandiloquent, toujours suffisant dans la démarche, toujours "vain" car l'apport de ces nouveaux concepts me semble faible et Hickman aurait pu raconter tout ça avec Strange et d'autres. Mais c'est bien fait, bien mené et Valerio Schiti propose de jolies planches. Ça restera un pétard mouillé mais ça se lit bien. |
#274
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The Incredible Hulk #10
Toujours la même rengaine : super ambiance, bonne intrigue de fond, dessins adaptés et sombres, bonne série... mais bien, bien trop lente, au point que ça casse la dynamique. Ici, Charlie est poursuive par la monstre de la Nouvelle Orléans, Nephele la Mère des Anges, qui transforme des victimes de violences commises par des hommes en poupées figées. Hulk découvre tout ceci en la cherchant et en interrogeant le spectre d'un détective Pinkerton tué en 1873. Il retrouve Nephele et ça va taper. C'est lent, quand même. Phillip Kennedy Johnson assure sur l'atmosphère et il est très bon pour créer et animer ses monstres, mais ça avance bien trop peu. Danny Earls livre de belles et bonnes planches pour une belle ambiance "southern gothic". Mêmes qualités et défauts, mais c'est vraiment lent. |
#275
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Thunderbolts #4
Bon final. Collin Kelly & Jackson Lanzing achèvent efficacement et intelligemment leur mini-série, et ça confirme le regret que ça s'arrête là. Ici, Bucky mène ses Thunderbolts en Latvérie pour y retrouver et tuer Red Skull, qui y a été réactivé et s'y cache. Bucky avertit Dr Doom, qui l'invite à ne pas venir, mais l'équipe attaque et découvre les horreurs de Schmidt. Le combat est violent, intense ; Red Skull les bat tous, même Bucky. Mais... Bucky l'avait prévu et C'est bien, oui. Collin Kelly & Jackson Lanzing gèrent bien leur final, mènent un bon combat même s'il est expéditif. Dr Doom est bien utilisé, l'ensemble est efficace et ça rend bien. Geraldo Borges propose de bonnes planches, bien dans le ton. Dommage que ça se termine déjà, c'était bien et pertinent. |
#276
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Ultimate Spider-Man #3
Je continue à avoir des réserves, notamment sur ce Peter trop peu développé, trop creux, qui a un job de photographe sans raison, dont l'oncle Ben est journaliste sans raison non plus, mais... c'est sympathique. Prévisible dans ses surprises mais sympathique. Ici, Peter et sa fille se cachent de MJ et Richard pour que la petite May l'aide à utiliser les nano machines de son costume (offert par Iron Lad venu du futur) pour changer les couleurs. Ils arrivent au costume légendaire, Peter voit le local de Ben & Jonah et échangent avec eux sur le Bouffon Vert et Fisk. Peter décide de surveiller les possibles zones d'attaque et voit finalement un combat entre le Bouffon et Bullseye. Il empêche le second de tuer le premier, prend cher mais le bat avec le Bouffon. Ce dernier C'est bien, oui. Hormis les bémols que je maintiens, et qui gênent ma lecture au fond, c'est agréable. Un peu lent quand même, mais sympathique. Il n'y a cependant guère de vraie surprise : la revue de costumes est cool mais prévisible, la bagarre est bonne mais même la fin se "sent" comme twist différent. La version de Jonathan Hickman est bonne mais, passé le choc initial, reste sage. Marco Checchetto continue de livrer de belles planches, des illustrations sublimes, même si pas toujours dynamiques. C'est bien. Ça ne me convainc pas entièrement mais c'est bien. |
#277
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Mais à quoi cela sert si c'est pour
En tout les cas merci de tes avis très complet, qui donne envie et tiennent informer de l'évolution des séries. |
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Gillen à su réveiller chez moi le plaisir de lecture qui avait été le mien à la lecture des deux minis de Hickman. ouf ! |
#279
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Superman #12
Joshua Williamson range tout et conclut les intrigues avant House Of Brainiac.
Du très classique (voire du très facile). Ce qui m'a plus interpelé est que j'ai l'impression graphique que Norm Rapmund n'a pas encré David Baldeon mais qu'il a carrément dessiné la moitié de l'épisode tant in il y a un changement subtil mais visible... Surtout que j'ai déjà vu certaines commissions de sa part et ça y ressemble. Il a déjà dessiné des intérieurs chez un Big 2?
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Alan Moore : "I should just keep me mouth shut, I just upset people." Ma galerie sur Comic Art Fans
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#280
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Birds of Prey #8
Sympathique. Kelly Thompson poursuit sa saga globale des BoP réagissant à une attaque mystérieuse, avec ici certaines qui défilent pour Vixen pour attirer l'ennemi. Si la situation est cocasse, ça empire quand les mannequins hommes se retrouvent possédés par des entités animales qui émergent de leurs... slips. Ça se bagarre, Black Canary les stoppe avec son cri et Oracle arrive en Batgirl - puis se fait enlever par un portail dans lequel les BoP la suivent. C'est bien, oui. Kelly Thompson gère bien son ensemble, cocasse avec surtout une bonne caracterisation. Big Barda est un peu "ouf", Sin est cool dans sa dualité avec le démon, et l'ensemble est prenant. Javier Pina & David Lopez livrent de beaux dessins, élégants sans être vulgaires, avec une belle ambiance. C'est cool et prenant, et ça fait plaisir. |
#281
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Et bon, les dés sont pipés avec ce perso, ses clones, Lukin, les possessions...
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Kneel Before Zod #4
Grosse bagarre. Joe Casey livre ici la rage et la vengeance d'un Dru-Zod furieux après la mort d'Ursa, à qui il offre des funérailles (vikings) kryptoniennes sans croire réellement au rite. Il envoie ensuite autant Kandor que l'I.A. Eradicator dans l'espace, C'est bien ; limité, mais bien. Limité, car ça n'est finalement qu'une grosse bagarre, vite lue mais bien menée par un Dan McDaid bien inspiré et intense. Zod est très bon dans sa fureur, même si les Khunds cèdent vite. On est clairement sur un Zod inspiré par l'extrême violence et puissance du DCEU de Zack Snyder, mais ça fonctionne ici. C'est ainsi bien, malgré tout, car Zod apprend l'origine de la "trahison", et surtout confirme qu'il est bien "faible" de se laisser aller comme cela. Je suis curieux de la suite, même si le rythme est lent. |
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Shazam! #10
Sympathique. Josie Campbell a la lourde tâche de reprendre la série brillamment lancée par Mark Waid & Dan Mora, après plusieurs échecs pour raviver la franchise. Elle s'y prend efficacement, avec une présentation de la nouvelle maison des Vasquez, la famille d'accueil de Billy et des autres enfants, détruite précédemment et reconstruite par Zeus. Sauf que... Zeus a créé des passages menant à un domaine personnel, car il se cache de l'Olympe et seules les Nymphes le supportent. Les autres "patrons" de Shazam ont aussi lié leurs domaines, ce qui provoque des troubles, notamment via des créatures magiques voulant sortir du néant. Billy et Mary se transforment, ils gèrent mais The Captain semble dire qu'il n'est pas Billy, mais bien "lui-même". Les Vasquez veulent adopter les enfants, Billy & Freddy draguent la nouvelle jeune voisine, et The Captain semble brûler une mystérieuse dédiée à Billy, qu'il n'a pas encore pu lire ! C'est bien, oui. Dans la ligne droite de Mark Waid, sans grande gêne pour l'instant, Josie Campbell gère bien. L'ensemble est prenant, fluide, divertissant, avec un bon p'tit délire sur la maison et de bons moments. Le mystère sur The Captain se poursuit, après les premiers éléments de Mark Waid, et Eamnuela Lupacchino livre de beaux et bons dessins, même si elle doit être aidée par Mike Norton. Une bonne suite, à confirmer. |
#284
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The Avengers #12
Sympathique. Jed McKay montre comment les Avengers gèrent "enfin" la menace Orchis, maintenant que Tony Stark, en lien avec les X-Men, leur donne le "go". Deux équipes (Tony/Thor/Vision/Carol d'un côté, T'Challa/Wanda/Sam de l'autre) se lancent ainsi, et détruisent des usines de Stark Sentinels, libèrent des camps de Mutants, anéantissent des data-centers, etc. En parallèle, M.O.D.O.K. hurle sur 3D-Man, recruté par Orchis pour "gérer" ça au cas où, et qui a rejoint Orchis car les Avengers l'ont rejeté après qu'il ait tué un Skrull durant Secret Invasion. Finalement, 3D-Man lance les Stark Sentinels sur The Impossible City, alors que les Avengers sont en mission. C'est bien, oui. Il est agréable de voir l'équipe s'en prendre à Orchis, et Jed McKay gère bien le potentiel de nuisance du groupe. Une grosse impression de puissance se dégage ici, ce qui fait du bien après plusieurs numéros où ils semblaient s'en prendre plein la tronche. C'est en outre grisant de voir la chute d'Orchis, même si l'adhésion de 3D-Man me déçoit, comme l'explication. Graphiquement, Francesco Mortarino propose des planches solides, pas emballantes mais correctes. Un bon numéro, en soi et pour l'univers partagé ; cool. |
#285
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Doctor Strange #14
Très bon. Jed McKay s'amuse beaucoup dans ce petit diptyque, où Strange mène une voleuse (Black Cat), un prêtre (Hunter's Moon) et un guerrier (Taskmaster), dans un jeu de rôle "vivant", alias Cobolorum. Celui-ci est dirigé via le livre de jeu par le Baron Mordo, et tous l'affrontent. Hunter's Moon & Taskmaster sont perdus dans des vies fantaisistes où ils s'affrontent, alors que Stephen raisonne avec Cobolorum (qui a besoin de joueurs pour vivre, mais les tue ; comme les enfants enlevés dans le précédent) et que Black Cat vole le livre à Mordo. Ce dernier est vaincu, emprisonné dans la Crypte des Ombres (où il retrouve Bats et les serpents, sans que Stephen les sache ici), et Strange donne Cobolorum au Général Strange, pour l'occuper. Tout va bien, mais... Blood Hunt arrive ! C'est très bien, oui. Jed McKay m'amuse beaucoup avec ce JDR "live", et c'est très fluide et agréable. Moins fort que le premier épisode, mais ça fonctionne bien et c'est prenant. La solution de Strange est mignonne, la gestion globale est bonne, et Pasqual Ferry livre de très belles planches, dans lesquelles il propose de superbes illustrations métaphysiques du jeu. Top, top, top. Un très bon moment, avant un crossover qui s'annonce imposant. |
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