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La blague qui tue de l'HOMME BANANE ! https://www.youtube.com/watch?v=sYc5E_7vwLA |
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Oui, comme souvent, hélas.
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Ultimate X-Men #4
Ca avance tout doucement, encore. Peach Momoko poursuit sa saga assez intimiste, avec Mei et Hisako qui achèvent leur année scolaire par un test difficile. Hisako est confrontée, en repartant en moto de l'école un jour de pluie, à un jeune proche des autres élèves qui se sont suicidés. Il la confronte, car elle s'intéresse à tout ça, mais très vite il Ca avance, oui ; tout doucement. Peach Momoko maîtrise bien le rythme lent et l'approche intimiste de son récit, même si un peu d'accélération en plus, encore, ferait du bien. On se doute quand même de l'adversaire, hein. Mais il y a un charme certain à l'ensemble, réel et agréable, amplifié par les dessins particuliers et adaptés. Demeure néanmoins ce doute régulier sur l'adéquation entre le titre et le contenu... Une avancée lente mais agréable, dans le style attendu de l'autrice. |
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The Incredible Hulk #13
Un bon numéro. Phillip Kennedy Johnson plonge autant l'esprit de Bruce que celui de Hulk dans la Soul Cage, prison mystique où Dr Voodoo l'a mené pour identifier une créature maléfique capable de les aider à redonner un corps à Charlie, coincée en poupée de porcelaine. Bon, Hulk veut d'abord anéantir Bruce, et l'aide finalement face à d'autres monstres, avant que leur quête les mène à la créature, terrifiante. Hulk le tabasse, obtient une indication sur une aide dans le monde réel, mais Un bon numéro, oui. Phillip Kennedy Johnson livre toujours un scénario au rythme lent, mais ce passage dans la Soul Cage est agréable, avec plusieurs éléments intéressants dans l'horreur démoniaque, et un bon adversaire. A nouveau, la page bonus expliquant l'histoire de l'entité est très prenante et réussie. Bon, l'ensemble tient beaucoup de Nic Klein, dont les planches font énormément pour l'ambiance et l'intérêt global ; mais ça fonctionne, oui. Lent, mais prenant, et surtout très bien dessiné. |
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Scarlet Witch #1
Un bon (re)lancement. Steve Orlando, qui écrit finalement Wanda depuis quelques années et séries maintenant, reprend la main efficacement, dans une approche qui continue de me plaire. Wanda demeure ainsi propriétaire de son magasin magique, avec cette porte spéciale qui y amène ceux qui ont besoin d'aide. Les derniers temps sont agréables, peu de menaces, du quotidien, même si l'interrogation demeure sur "l'ange" qui a envoyé le Wizard contre elle et Pietro, dans leur mini-série. Cependant, la ville est attaquée par des monstres aux looks inspirés par Stranger Things. Wanda défend, notamment avec son nouvel employé Mantor (vieux personnage des années 40), qui cependant C'est bien, oui. Steve Orlando retrouve son ambiance, "ses chaussons" dirait-on même, et ça me va très bien car j'apprécie beaucoup. J'aime retrouver ainsi Darcy, Wanda, Chthon (même si ce look est naze, bon dieu ; zéro charisme) et Pietro, et la menace de The Griever est plutôt intéressante. Je ne "crois" pas au cliffhanger, mais ça fonctionne, et Wanda qui lance plusieurs sortilèges plutôt que de bourriner, c'est bien. Graphiquement, Jacopo Camagni livre des planches solides et agréables à l'oeil ; cool. Un bon retour, une bonne relance, et du plaisir de retrouver tout ça. |
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G.O.D.S. #8
Il y a, à mon sens, deux façons de voir ce final de G.O.D.S., en principe temporaire mais... je ne suis pas sûr qu'on reverra tout ça. On peut soit voir comme audacieux le choix de Jonathan Hickman de ne pas du tout se concentrer sur les grosses problématiques cosmiques vues jusque-là, avec le sombre plan de l'In-Betweener manipulant plusieurs Humains dans une démarche obscure, et la menace d'Oblivion, qui agit pour son intérêt trouble. On ne voit "rien" de tout cela en effet, on ne sait rien des plans des deux, on voit "juste" un futur où 80 années sont passées, où une guerre a eu lieu et où un camp l'a emporté, avec un Dr Strange vieux, une Mia badass mais en froid avec Aiko, et surtout un Wyn qui ne se souvient guère de toutes ces années, car il a tout oublié. Wyn veut ainsi en savoir plus, notamment parce qu'il retrouve enfin Dimitri Oui, on peut voir tout cela comme un choix audacieux du scénariste, de se concentrer sur l'intime, l'intimiste vis-à-vis de Wyn, qui écarte finalement les menaces cosmiques pour se centrer sur l'Amour, ce qui compte le plus, avec un choix final inconnu mais un beau panel. Objectivement, c'est surprenant, inattendu, j'applaudis cette surprise, et mon côté romantique apprécie grandement. ... mais on peut aussi voir ça comme un petit foutage de gueule, et une sorte de "troll" d'un Jonathan Hickman qui avait énormément vanté sa série, appuyé par Marvel, avec des retours plus tièdes que prévus. Il est possible d'imaginer ceci comme une réponse d'un scénariste vexé, qui décide de tout envoyer bouler, en se libérant de son grand plan d'ensemble cosmique, pour se recentrer sur un élément romantique mais qui tranche tellement, et avec ses habitudes, et avec l'approche globale, que le doute est réel. En soi, je peux entendre, je peux comprendre, et j'admets clairement que ce final surprenant et romantique est charmant. Mais je suis persuadé que Hickman est vexé, et livre un "troll" réussi mais lourd pour ceux qui se sont réellement intéressés aux problématiques cosmiques (j'ai personnellement trouvé ça naze et lourd, donc ça me passe au-dessus). Le doute est permis, connote la lecture illustrée par un Valerio Schiti qui tire un peu la langue sur plusieurs pages, mais reste d'un bon niveau. Un final surprenant, crispant pour certains, romantique pour d'autres. J'apprécie, et la surprise, et l'approche, mais je reste persuadé que c'est issu d'une vexation de l'auteur. Bon, je doute qu'on revoit tout ça un jour, quand même... |
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X-Men: Blood Hunt - Jubilee #1
Gros bof et vraie déception. Je n'attendais pas la Lune, ici, mais je suis déçu de ce tie-in finalement très creux. Preeti Chhibber utilise Jubilee, jadis Vampire quand les X-Men étaient la cible de ces créatures, mais l'utilise mal. L'on voit ainsi Jubes stopper des Vampires, aider une nouvellement transformée, mais le numéro met surtout en avant The Forgiven, un groupe de "bons" Vampires, réunis jadis autour de Raizo Kodo, tué dans des numéros spéciaux l'an dernier. En gros, Jubilee les rejoint, ils aident la nouvelle, et Jubes retourne tenter d'aider ailleurs. Déception, oui. Preeti Chhibber se trompe de cible dans son scénario, les Vampires de The Forgiven sont sympathiques mais perdent de leur intérêt sans Raizo, quand même. Jubilee ne fait pas grand-chose, et on n'a guère d'élément prenant dessus. En outre, les dessins d'Enid Balam sont faibles, avec des proportions loupées et une atmosphère creuse. Un échec et une déception. |
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X-Men: Blood Hunt - Jubilee #1
Gros bof et vraie déception. Je n'attendais pas la Lune, ici, mais je suis déçu de ce tie-in finalement très creux. Preeti Chhibber utilise Jubilee, jadis Vampire quand les X-Men étaient la cible de ces créatures, mais l'utilise mal. L'on voit ainsi Jubes stopper des Vampires, aider une nouvellement transformée, mais le numéro met surtout en avant The Forgiven, un groupe de "bons" Vampires, réunis jadis autour de Raizo Kodo, tué dans des numéros spéciaux l'an dernier. En gros, Jubilee les rejoint, ils aident la nouvelle, et Jubes retourne tenter d'aider ailleurs. Déception, oui. Preeti Chhibber se trompe de cible dans son scénario, les Vampires de The Forgiven sont sympathiques mais perdent de leur intérêt sans Raizo, quand même. Jubilee ne fait pas grand-chose, et on n'a guère d'élément prenant dessus. En outre, les dessins d'Enid Balam sont faibles, avec des proportions loupées et une atmosphère creuse. Un échec et une déception. |
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X-Men: Blood Hunt - Jubilee #1
Gros bof et vraie déception. Je n'attendais pas la Lune, ici, mais je suis déçu de ce tie-in finalement très creux. Preeti Chhibber utilise Jubilee, jadis Vampire quand les X-Men étaient la cible de ces créatures, mais l'utilise mal. L'on voit ainsi Jubes stopper des Vampires, aider une nouvellement transformée, mais le numéro met surtout en avant The Forgiven, un groupe de "bons" Vampires, réunis jadis autour de Raizo Kodo, tué dans des numéros spéciaux l'an dernier. En gros, Jubilee les rejoint, ils aident la nouvelle, et Jubes retourne tenter d'aider ailleurs. Déception, oui. Preeti Chhibber se trompe de cible dans son scénario, les Vampires de The Forgiven sont sympathiques mais perdent de leur intérêt sans Raizo, quand même. Jubilee ne fait pas grand-chose, et on n'a guère d'élément prenant dessus. En outre, les dessins d'Enid Balam sont faibles, avec des proportions loupées et une atmosphère creuse. Un échec et une déception. |
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X-Men: Heir of Apocalypse #1
Un peu simple, mais efficace. Steve Foxe livre une saga bourrine où Apocalypse fait venir plusieurs Mutants dans une pyramide transformée en succession de pièges, pour déterminer qui est digne de lui succéder pour mener la race mutante vers la survie du plus fort. On a ainsi Armaggedon Girl, Cable, Cypher, Emma Frost, Exodus, Forge, Gorgone, Mr Sinistre, Mirage, M, Rictor et X-23. Sunfire accepte d'aider mais Angel non. Ça se tire un peu dans les pattes, ça revient sur le pré-recrutement alors qu'une explosion à l'extérieur touche la pyramide et menace des innocents à côté. Les Mutants vont aider, même Sinistre, alors que le responsable se révèle : C'est bourrin mais efficace. L'ensemble est très classique mais bien exécuté, les motivations évoquées sont basiques mais ça fonctionne. Ça sent bon les années 90 dans l'approche, notamment via le dessin de Netho Diaz qui rappelle Ian Churchill. A voir si ça va donner quelque chose mais ça passe bien. Bourrin mais bien. |
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Strange Academy: Blood Hunt #2
Objectivement, le mieux de cet épisode, c'est la couverture d'Humberto Ramos. Le scénario de Daniel José Older ne me passionne guère, se fixant sur des personnages "annexes" et même nouveaux de la Strange Academy, dont la jeune Vampire appelée Pia, que certains élèves veulent défendre face au Darkhold Child, qui envisage de libérer la Montesi Formula mais surtout de se libérer d'Agatha Harkness. Celle-ci manipule certains, dont Dr Voodoo, pour retrouver le gamin lié au Darkhold, qui fuit et enlève Pia pour de sombres projets, alors que Bof, oui. Le scénario n'est pas passionnant, ni Pia, ni le Darkhold Child ne sont particulièrement emballants, et l'ensemble demeure assez lourd et maladroit. Les dessins de Luigi Zagaria font le job, mais ça ne reste pas en mémoire, et tout ça n'aura dû être qu'un gros one-shot, étant en outre assez déconnecté de Blood Hunt, sans proposer grand-chose de prenant. Un échec, pour moi. |
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