Pour Snyder, je n'aime pas sa façon de gérer ses intrigues, et son petit côté gore, c'est rien de plus.
J'avais déjà une méfiance à partir de American Vampire et ça s'est confirmé au point que je n'achète plus rien de lui.
Après sur le Joker, c'est une telle boule de glaise que chaque auteur en fait ce qu'il veut, avec plus ou moins de réussite. C'est d'ailleurs cet aspect que Johns a semblé comprendre, et j'ai hâte de lire son analyse.
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