Discussion: Critiques de 2022
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Vieux 29/11/2022, 15h03
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Ben Wawe Ben Wawe est déconnecté
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Ben Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à Galactus
Superman: Kal-El Returns Special #1
Avant Action Comics #1050 qui doit relancer le Supverse, DC propose un one-shot pour fêter le retour de Kal-El (je préfère toujours Clark, quand même, comme identité principale) sur Terre après la saga Warworld. Un numéro qui se révèle fort sympathique !
The Concert that ate Gotham par Mark Waid et Clayton Henry unissent Superman, juste de retour, à Batman qui doit gérer une attaque du Mr Nobody de la Doom Patrol sur Gotham. Mark Waid n'est pas super à l'aise pour gérer la "folie" de Mr Nobody, mais les interactions Clark/Bruce sont drôles, touchantes et très bien vues. Un petit bonbon sympathique, bien dessiné classiquement par Henry.
A friend, ni need! par Sina Grace et Dean Haspiel montre Superman qui retrouve un Jimmy Olsen "usé" par son job de photo-reporter en l'absence de Clark, "obligé" de couvrir les horreurs du monde sans son sujet principal. Tous deux cherchent la meilleure photo pour acter le retour de Clark. Un segment bien vu sur Jimmy, mais un peu vain. Le style de Haspiel est troublant. Ca se laisse lire, mais on passe un peu à côté.
Distractions par Marv Wolfman et Jack Herbert est un très bon chapitre, où Lois & Clark se retrouvent à Venise, puis suivent les difficultés de Jon à prouver les manoeuvres d'un Lex Luthor inspiré pour manipuler autrui contre Jon. Ca fonctionne bien, ce Jon ado' est bien écrit, ses interactions avec Clark aussi. C'est mignon, simple, sobre ; juste. Très efficace et agréable, avec des dessins solides, proches d'un Fernando Pasarin, et j'aime bien.
Home par Alex Segura et Fico Ossio, enfin, achèvent l'ensemble avec Clark qui retrouve quelques membres de la JL, dont Naomi. Un moment simple sur l'échange, le partage, mais qui a la politesse de faire le lien avec JL #75 (et la "mort" de la JL), tout en livrant de beaux discours. Ossio livre des personnages trop massifs, mais ça fonctionne quand même.

Un one-shot qui n'apporte "rien" mais est très agréable à lire. Cool !

Justice Society of America #1
Pas mal.
En suite directe du one-shot The New Golden Age, Geoff Johns lance une nouvelle série Justice Society of America... qui semble vouloir embrasser toute la carrière et toutes les versions du groupe, en se centrant d'abord sur un personnage. Helena Wayne, Huntress, dans son monde dans 26 ans dans le futur. 8 ans après la mort de son père, elle se bat pour la Justice au sein d'une JSA "hybride" : il manque des nouveaux héros, donc elle a forcé Power Girl à recruter plus largement. La JSA est donc composée de Dr Fate (Khalid Nassour, qui semble avoir disparu), Gentleman Ghost, Solomon Grundy, Harlequin's Son, Icicle, Mist (le fils de Jack Knight) et Ruby, la fille du mystérieux Red Lantern original. Tous retrouvent le corps momifié de Khalid mais sont attaqués par
Helena arrive alors... en 1940, vers la JSA originale, après plusieurs bonds.
C'est pas mal, oui. C'est centré sur Helena, personnage assez basique mais efficace. Cette JSA manque de diversité et de background, mais l'ensemble se laisse bien lire. La saga sur l'ennemi temporel est intéressante, toute comme cette approche globale de la JSA, avec la volonté de tout embrasser, tout garder au vu des bonds temporels.
Ca démarre bien, ça démarre "doucement" mais c'est prenant. Mikel Janin livre de très, très belles planches, plus dynamiques que d'habitude. Les flashbacks de Jerry Ordway, Scott Kolins, Steve Lieber et Brandon Peterson sont efficaces.

Un bon début.

Nightwing 2022 Annual #1
Efficace.
Cet Annual se divise en trois parties, qui surfent chacune sur les éléments principaux de la série : le super-vilain principal des sagas de Tom Taylor, le lien Dick/Babs via leur chein Haley, et le lien Dick/Jon.
Tom Taylor et Eduardo Pansica commencent en donnant l'origine du super-vilain Heartless, qui hante la série depuis vingt épisodes. Un portrait en miroir déformé de Bruce voire Dick, avec
Un segment efficace, un peu "simple" dans l'idée, mais qui caractérise bien le personnage, même si Tom Taylor a la main lourde sur son côté mauvais. Graphiquement, c'est superbe et très réussi.
Jay Kristoff et Eduardo Pansica, encore, montrent un rêve du chien Haley, qui se voit aider Dick et Barbara enlevés. C'est mignon, gentil mais un peu simple. M'enfin oui, c'est mignon et c'est encore une fois fort joli.
Enfin, C.S. Pacat et Inaki Miranda reviennent sur le lien Dick/Jon, avec le premier qui entraîne le second à sa demande, en détournant les leçons de Batman, même s'il en garde l'esprit. Rien de fou, mais un chapitre efficace et plutôt bien tourné.

Un Annual un peu simple mais agréable, notamment graphiquement et qui lève bien le voile sur Heartless.
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