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[QUOTE=Slobo;1633059]Je ne suis franchement pas d'accord. L'histoire a plein de soucis pour moi. Je me suis ennuyer sur les 3 premiers (0, 1 et 2), ça a démarrer au 3éme numéros avec un assez bon 4éme avant de se rendormir sur le 5éme et une part du 6éme. Le 7éme explose mais mal, les camps sont mal dessiné
[Spoiler] (D'ou que je comprenait pas que le Maestro ne s'allie pas au autres qui en veulent à Doom). [/Spoiler]
Je trouve pas que ça ose pas tant que ça puisque tout sera effacer par le changement final. Les morts de l'event ne semblent pas impliquer leur mort dans le nouvel univers. Par exemple
[Spoiler]Cyclop tuer par fatalis ne meurt (Ou du moins disparait) que pendant l'intervalle des 6 mois qui nous manque.[/Spoiler]
Pour moi a part certain tie in très simpa, la principal est dispensable[/QUOTE]
Comment peux-tu t'ennuyer dans les trois premiers ? Le #1 est une conclusion à New Avengers, qui est brouillonne mais permet de clôre ce chapitre ; le #2 est une gigantesque révolution, un changement fondamental dans l'univers Marvel ; le #3 pose plus les bases de ce renouveau après le choc initial. Ensuite l'histoire déroule.
Découvrir ce nouveau monde, comprendre d'où vient la puissance de Fatalis, chercher qui se souvient de quoi, suivre ceux qui essayent de changer ce statu-quo, assister au craquellement de la divinité Fatalis... non, franchement, je ne vois ici qu'une bonne histoire, bien menée, qui produit un vrai gros changement dans l'univers Marvel et ne te laisse pas souffler.
Après, ce qui restera, ce qui sera conservé après, je m'en contrefiche. Ce n'est pas à ses conséquences que je juge une histoire, mais à ce qu'elle raconte et comment elle le fait ; et Secret Wars, en détruisant dans ses pages l'univers 616, en faisant de Fatalis un Dieu de son propre Game of Thrones, je trouve que c'est un vrai changement, qui est en plus bien raconté et plein de suspense.
Je préfère mille fois une telle histoire, où tous les personnages peuvent mourir même si le deus ex machina final ramènera la majorité comme si de rien n'était, comme Crisis on Infinite Earth, qu'une histoire où un personnage meurt "vraiment", pour ressusciter pathétiquement quelques mois plus tard.
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