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Vieux 29/07/2021, 16h29
Avatar de Ben Wawe
Ben Wawe Ben Wawe est déconnecté
Dieu qui déchire sa race
 
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Ben Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à Galactus
Beta Ray Bill #5
Rolala, mais quel final !
Une nouvelle fois, Daniel Warren Johnson offre de la puissance et de l'émotion, dans une conclusion terrible.
De la puissance, avec un affrontement dantesque entre Bill et Surtur. C'est énorme, c'est brutal, ça donne des frissons, et c'est méga top. Skutt se transforme pour devenir
que Skurge utilise pour aider, alors que Pip se laisse blesser pour affaiblir l'ennemi.
Un kiff de pure puissance et de violence épique. Enorme.
Mais l'émotion est aussi superbe, avec donc Bill qui
mais ça n'a pas l'effet escompté. Il y a un beau rapprochement silencieux avec Skutt, toujours incarnée en robot, mais le final montre que si la quête est réussie, Bill ne
et il n'est donc pas pleinement satisfait, car pas pleinement lui-même.
Les dessins sont à tomber, le scénario est épique et touchant.

Une réussite complète. Pffou.

Black Widow #9
Ca me plaît bien !
Kelly Thompson continue sa saga, qui approche de sa fin. Bien sûr, Yelena survit grâce à Lucy, qui utilise ses pouvoirs (et se tue lentement) pour la ramener, alors que Natasha utilise sa nouvelle combinaison pour faire très mal. Le retour à la base permet de poser les enjeux, notamment via de bonnes discussions, et donc l'échange Lucy/Craig, scientifique que le super-vilain Apogee avait manipulé.
Les dialogues sont très bons, avec l'évidente bagarre finale qui tourne mal car

Aucune vraie surprise, donc, mais une intrigue classique bien exécutée. Comme toujours, Kelly Thompson pèche sur le fond de ses sagas, rarement révolutionnaires, mais est admirable et formidable sur les dialogues et les caractérisations. J'aime beaucoup la dynamique de groupe qui lie Natasha, Yelena (très drôle en cynique badass et décalée), mais aussi Spider-Girl et la nouvelle Lucy.
Elena Casagrande propose des planches superbes, avec une grande atmosphère et des compositions vraiment tops.

Je suis bien fan.

Cable #12
Une fin frustrante mais réussie.
Frustrante, parce que je sens clairement que Gerry Duggan aurait pu, aurait dû en dire plus, en faire plus. Autant la fin de la lutte contre Stryfe fonctionne, avec un combat final efficace via une bonne gestion des deux versions de Cable et de leurs alliés, autant il y a précipitation pour le dernier Chevalier de Galador, qui

Heureusement, Gerry Duggan gère toujours aussi bien les interactions et dialogues, avec notamment une très belle relation Kid Cable/Esme, mais aussi quelques bons moments avec Cyclope ou les autres. Les échanges Kid Cable/Cable sont aussi très bons, avec notamment cette projection de Kid Cable vers l'avenir, sans certitude sur ce qui va arriver, bien qu'un encart montre au lecteur

C'est donc réussi, car Gerry Duggan retombe sur ses pattes et ne laisse rien en jachère. Phil Noto continue de proposer des planches efficaces, dans son atmosphère étrange mais efficace.

La série fonctionne bien, sur ces 12 numéros. Mais il y aurait plus, il y aurait dû avoir plus vu le potentiel et les éléments évoqués.
Dommage.

Daredevil #32
Pas mal, pas mal.
Chip Zdarsky avance ses intrigues efficacement, sérieusement. Ca manque un peu de passion et de panache, mais c'est réussi et cohérent.
La chasse à Bullseye est lancée dans New York, avec Wilson Fisk qui met de l'eau dans son vin et demande à Typhoid Mary de rester avec lui, sans le lui imposer. Elektra se crispe face à cette épreuve qui met en doute sa volonté d'être Daredevil comme Matt le serait, alors que Mike Murdock voit
faire salement mal à Hammerhead. Matt, en prison, avance en découvrant les sales secrets du directeur, alors que Elektra affronte Bullseye mais

Pas mal, donc. Matt est un peu chiant en prison, ça dure un peu et même un Matt qui reprend la main me lasse, en chouinant un peu trop souvent. Le segment sur Fisk et Mary est bon, celui sur Mike est un peu lourd, et les passages sur Elektra sont efficaces, avec un cliffhanger audacieux et surprenant.
Mike Hawthorne illustre ça efficacement. Ce n'est ni beau, ni laid ; c'est correct, solide, sans fausse note mais sans brio non plus.

C'est bien fait, mais c'est un peu automatique.
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