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Vieux 25/07/2021, 21h11
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Ben Wawe Ben Wawe est déconnecté
Dieu qui déchire sa race
 
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Ben Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à GalactusBen Wawe met la patée à Galactus
Nightwing #82
Tom Taylor fait une pause dans son récit au présent pour expliquer le cliffhanger du précédent, où Dick découvre que Melinda Zucco est en fait
L'auteur se lance dans un flashback habile, qui permet à Bruno Redondo de se reposer tandis que Rick Leonardi et Neil Edwards assurent le passé.
Et c'est bien.
Le récit de la mère de Melinda est prenant et cohérent, cela donne un rajout pertinent à la continuité, sans trop gêner. Cela justifie le nouveau rapport entre Dick et Melinda, et cela permet encore d'assombrir le casier de Tony Zucco. C'est graphiquement efficace, même si la grâce de Bruno Redondo manque quand il n'est pas présent.

Une pause habile, pour reposer le collègue dessinateur et stopper les éventuelles levées de bouclier des fans.
Intéressant et efficace, avec toujours de bonnes idées de caractérisation (ici les trois bandes de super-héros lancés par Oracle pour venir secourir Nightwing qui ne répond plus). Cool !

Shazam! #1
Pas mal.
Tim Sheridan, qui gère déjà Teen Titans Academy et avait signé la mini-série Future State : Shazam!, revient sur le personnage qui a de grandes difficultés à invoquer le Big Red, et à en garder les pouvoirs. La faute au Rocher d'Eternité qui se trouve avoir été déplacé
là où Billy veut se rendre, pour retrouver ses forces et les partager avec Freddy, très malade. Il accepte l'aide d'un mystérieux élève de Raven, alors que Mary l'appelle à la raison ; en vain.
C'est pas mal, oui. Tim Sheridan maîtrise l'Académie, mais aussi les interactions et les personnages. Ce Billy un peu chouineur est cohérent avec le Billy lancé depuis le New52, même si la version récente de Geoff Johns avait plus de bouteille.
Le fond de la saga n'est pas très innovant, mais ça se lit sans déplaisir. Clayton Henry a une colorisation ici très vive, et ses dessins sont un peu exagérés mais efficaces dans la mini-série.

Rien de révolutionnaire mais efficace et cohérent avec les titres autour. Bien.

Superman and the Authority #1
Euh... okay, d'accord. Quelle lecture bizarre.
Grant Morrison revient sur Superman, mais sans définir lequel ; même s'il semble assez clair que ce n'est pas celui de la Terre-Prime, ou principale, quel qu'en soit le nom. Ici, on a un Superman qui
et qui, bien des années après, est plus vieux et affaibli. Il ne peut plus voler, il se force à léviter pour en garder la capacité, et il semble plus vulnérable. On peut comprendre que "la fin" approche, et ce Superman veut revenir à ses engagements envers JFK ou le Roi Arthur, qu'il a croisé, et il entend "corriger" le monde, quoi que cela demande.
Ainsi, face à une nouvelle attaque de la Zone Fantôme, Clark sollicite
pour l'aider, en envisageant même de passer outre la loi. Avec, bien sûr, des ennemis qui se préparent, face à un Superman affaibli...
Et... ouais, c'est bizarre. Je suis déjà mal à l'aise avec ces différentes versions de Superman en même temps, là. On peut aisément me traiter de conservateur, mais je trouve que ça tourne à la fin à neuneu et ça n'apporte pas grand-chose. Surtout, Grant Morrison ne me passionne pas, ici : ce Superman est un Tom Strong évident dans le look et le combat, alors que sa moralité change sans vraie explication ; super. Mais le pire est ce Manchester Black qui devient un sous John Constantine, que ça soit dans la sexualité, dans l'utilisation des pouvoirs, dans les postures, et même dans le blabla insupportable (ça, c'est hérité des récents shows TV).
Bon, Mikel Janin propose des belles planches, mais même son ambiance n'est pas vraiment prenante.

Gros bof. Tout ça pour ça, même si je ne définis pas encore ce que c'est, "ça". Et j'ai l'impression que Grant Morrison ne l'a pas encore défini non plus.

The Flash #772
Retour sympathique et sobre au quotidien pour Wally West.
Après plusieurs épisodes pour pleinement "laver" Wally des crimes récents, et le réinstaller en Flash, Jeremy Adams s'amuse maintenant avec ses nouveaux jouets. Sauf qu'il le fait en relançant Wally sur du "classique" : Wally n'a pas d'argent, mais il a maintenant une famille à charge ; il faut un boulot. Et c'est galère à trouver, voire même à garder vu son expérience de mécano hélas gêné par une longue absence et un changement de technologie.
Bon, Mr Terrific vient aider, lui offre une nouvelle situation, alors que Heatwave apprend que
et il décide de suivre les conseils en faisant "ce qu'aime" ; ça fait déjà mal.
Ca se lit bien, en tout cas. Jeremy Adams revient aux grosses bases de Wally, c'est sympathique même si la situation financière et quelques poses de Will Conrad sont redondantes par rapport à l'historique de Wally. Mais c'est quand même inespéré de retrouver Wally comme ça, aussi positif et aussi souriant.
Rien que ça, c'est agréable, comme de retrouver Heatwave. On revient clairement aux fondations, aux piliers de la franchise sur lui, et c'est bien ; pas innovant, mais bien. Will Conrad propose des planches professionnelles et efficaces, mais il n'est clairement pas "bon" pour la vitesse et c'est dommage.

Quel plaisir de retrouver Wally. J'espère juste un peu de nouveauté, mais je reste très content.
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