Suicide Squad #1
Robbie Thompson a un démarrage qui ne m'emballe pas vraiment, même si ça reste efficace. Une Amanda Waller blasée envoie Peacemaker et quelques autres récupérer
Talon
à l'Asile d'Arkham. Flagg s'y oppose, mais Waller
l'électrocute, comme un autre membre du Squad.
Ca se passe mal à l'Asile, alors que Waller entend utiliser son nouveau leader, qu'elle a enfermé jusque-là :
Conner Kent/Superboy.
Le rythme est bon, la lecture est fluide, mais je ne suis pas emballé. Les éléments sont intéressants, mais la mayonnaise ne prend pas tellement. Robbie Thompson gère bien sa Waller blasée, sur le papier c'est bien, mais... ouais, je ne suis pas vraiment dedans.
En fait, Future State a coupé l'herbe sous le pied de la fin, et les petites annonces ont coupé l'essentiel des éléments surprenants. Eduardo Pansica livre de belles planches, bien fichues et jolies, et ça fait bien le job.
Mais... oui, je ne suis pas vraiment pris par ça. Je ne suis pas sûr de rester longtemps.