Quelques surprises quand aux enjeux dans le second arc. Déjà Lemire compose avec des numéros spéciaux très sympas dessinés par Rubin. Ensuite il fait mine d'accélérer mais en laissant assez de mystères pour que le lecteur continue à s'interroger. Les hommages sont également plus subtiles et moins nombreux, la série prend son envol, vole de ses propres ailes, acquière son indépendance. Enfin Lemire étoffe son univers avec un spin off : Sherlock Frankenstein and the Legion of Evil dessiné par DAvid Rubin et c'est de la bombe de balle