Les éditeurs sont des boîtes privées, donc elles sont libres d'employer qui elles veulent. La liberté de penser et d'opinion est respectée, mais l'éditeur est dans son droit s'il juge que la liberté d'expression d'un auteur sous contrat a une image négative qui peut lui rejaillir dessus.
Et donc au final, les Bennett, Dixon devaient savoir dans quoi ils s'engageaient en s'exprimant ainsi. ça n'empêche pas d'apprécier ce qu'ils ont pu faire avant et de regretter qu'ils doivent désormais cachetonner chez des éditeurs "communautaristes" juste pour avoir bombé inutilement le torse.
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