Et puis comme l'a expérimenté Igor Kordey en son temps : accepter une deadline de dingue ne rend pas service à l'artiste qui livre un travail "baclé", loin de ses capacités, qui peut lui desservir en terme d'image sur le long terme.
Il y a les scripts rendus après la deadline (l'artiste accuse la scénariste qui accuse son editor dans le cas de Tini), des artistes qui n'ont pas envie de bosser 18h/jour 7/7 comme le faisait Bagley (et ça s'entend), etc.
L'exemple de Civil War me fait penser à Brevoort qui expliquait qu'il serait impossible aujourd'hui de faire attendre ainsi les lecteurs et de diluer un event en 7 numéros sur 10 mois
|