Au début des années 2000, il a fallu supporter les wokes qui couinaient pour un oui ou pour un non, qui s'offusquaient du moindre début de nudité féminine dans les comics et étaient obsédés par la mélanine.
Je ne pensais pas qu'on pouvait faire pire pleurnicheurs, pire outragés.
Depuis quelques années, les anti-woke me donnent tort.
La panique que peut générer un personnage aussi lisse que Carol Danvers est hilarante.
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