Tandhruil |
09/09/2008 10h50 |
Citation:
Envoyé par Elýkar
(Message 815337)
(...)mais ce n'est pas selon moi un problème de joueurs qui sont certainement les meilleurs actuellement à leur poste, ni un problème de coach (son changement défenseur - mil off m'a paru très judicieux à un moment où on était mené au score), (...)
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Citation:
Envoyé par doop
(Message 815361)
Si on est méchant pour 1998, on peut dire qu'on a battu l'afrique du sud avec en défenseur PIERRE ISSA, hein ?
C'était quoi l'autre équipe, l'arabie saoudite ?
Le danemark, ca ne servait à rien...
But en or sur le PARAGUAY heureusement parce qu'aux pénaltys, le gardien adverse avait la baraka ....
Les italiens au pénaltys
THURAM en demi qui n'en marquera plus jamais...(presque)
RONALDO qui fait une overdose de PLAYSTATION la veille de FRANCE BRESIL
Certains pourraient penser à la chance. j'opte pour le destin !
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Non, si on regarde tous les vainqueurs des coupes (Monde et Europe), ça s'est toujours passé comme ça.
En gros un super collectif, une vrai émulation entre les joueurs. Si des mecs comme Blanc ou Thuram se sont arrachés c'est parce qu'ils étaient motivés.
Et la motivation, l'esprit de groupe, la cohésion, c'est le staff dont l'entraineur. Et si le staff n'est pas à 200% avec l'entraineur, si l'entraineur n'est pas à 200% légitime pour ses joueurs, alors il n'y a pas d' équipe.
Et sans équipe, au foot, on perd (cf Matra Racing pour les plus vieux)
Lu sur l'Equipe.fr
Citation:
Envoyé par L'Equipe
Foot - Bleus - La FFF ne tenait pas à Domenech
Le 3 juillet dernier, Raymond Domenech a donné sa version de l'échec de l'Euro dans le huis clos du conseil fédéral qui devait, quelques instants plus tard, décider de son sort. Il a fait part de sa détermination à continuer sa mission à la tête de l'équipe de France. Puis il s'est éclipsé. Tant mieux pour lui. Il a échappé au spectacle de la politique politicienne appliquée au football. Il n'a pas assisté à la formidable acrobatie du gouvernement de la FFF, qui l'a maintenu dans ses fonctions sans croire qu'il était l'homme de la situation. Le vote quasi unanime (18 voix pour, 1 abstention) était la vitrine mensongère de profondes divisions et de calculs aux intérêts bien compris.
Dans son édition de mardi, L'Equipe reproduit un document exceptionnel : le procès-verbal de la séance. Y sont consignées toutes les déclarations et analyses formulées par les membres du conseil avant la prise de décision. Il en ressort que Jean-Pierre Escalettes (Photo L'Equipe), le président de la Fédération, avait un souci exclusif : maintenir un sélectionneur issu du ''sérail'', de la DTN. Hors de question, pour lui, de nommer Didier Deschamps ou tout autre candidat du ''lobby 1998''. «La Fédération est une famille, pas un club. La campagne des anciens de France 98 a été trop insistante, parfois indécente. L'équipe de France est le patrimoine de la Fédération, pas celui d'un clan».
Christian Teinturier, qui pourrait être tenté par la présidence de la FFF dans les semaines à venir, voit son analyse confortée par le recul du temps : «Aujourd'hui, j'ai une grosse inquiétude : ne faisons-nous pas que reculer pour mieux sauter dans quelques semaines, en ayant peut-être hypothéqué nos chances de qualification?» Il s'abstiendra. Mais l'arbitre Bernard Saules observe : «Il y a au moins un avantage à le maintenir : il restera en position de fusible.» La phrase se conjugue désormais au présent. Comme l'intérêt de Gérard Houllier pour le poste, peut-être, lui dont le soutien franc à Domenech, depuis ce jour, continue d'intriguer.
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