J'ai vu les deux premiers épisodes.
C'est une réactualisation sympathique d'un buddy show à l'ancienne.
Ca se laisse gentiment regarder, genre en mangeant des chips et en échangeant son cerveau contre une bière dans le frigo.
Mais bon, je me rends assez bien compte que je ne fais pas particulièrement partie du coeur de cible.

Le début de la saison 3 de Merlin m'en a mis plein les yeux. En plus, ça me rappelle mon premier Strange quand : Strange 154 avec l'association mythique de Michelinie/Romita Jr/Layton sur Iron Man. :luv:

Ah oui, malheureusement. C'est une très mauvaise nouvelle, en tout cas, ça m'emmerde bien bien.
Cette deuxième saison était vraiment énorme.
Au moins le dernier épisode apporte un semblant de conclusion.
RIP Party Down.

J'ai décidé l'autre jour de voir un peu ou en était Smallville. Bon, j'ai repris le truc a la saison 5 (ou tout du moins a la toute fin de la saison 4). A part quelques épisodes assez sympa, les saisons 5 et 6 n'arrivent pas trop a se débarrasser des gimmicks des précédentes saisons, c'est parfois même assez pénible ce côté "truc pour ado" qui se répètent encore et encore. Et le pire, je crois, c'est l'idylle entre Clark et Lana, avec une fois ou deux par épisode envie de les baffer.
Mais dès la saison 7 ça s'améliore franchement, peut-être parce que c'est plus centré sur le côté Kryptonien, que les auteurs avancent enfin vers des trucs plus "couillus", on a juste à subir cette intrigue bancale autour de Veritas, m'enfin...

Et soudain, à la saison 8, j'ai l'impression que ça évolue vers quelque chose de différent. La lumière n'est plus la même, les acteurs ont aussi évolué dans leur jeu, le cast change, on dégage Lana pour se concentrer sur Lois, dixit Smallville, welcome Metropolis... Bon, la je n'en suis qu'a l'épisode 6, et à la longue j'aime assez cette façon de réécrire l'univers DC. En plus je ne sais plus si c'est dans cette saison qu'"on voit la JSA ou dans la prochaine !
Ca n'a rien de bien inoubliable, mais cette saison 8 me réconcilie avec Smallville, je vais bien voir comment ca se développe...

C'est dans la 9

Ah tiens, j'ai fait comme toi en début d'été;)

c'est vrai que l'on a quelque de différent à partir de la saison 7 (j'ai repris à la 6)

Beaucoup plus regardable que les premiéres saisons où clark le pleurnichard avait son Krypton- monstre de la semaine et des problemes de coeurs au lycée

Maintenant, j'ai l'impression que c'est un public plus adulte qui est visé et les lecteurs de DC:p

J'avais rematé quelques épisodes durant la saison 9, attiré par le buzz-JSA. Bof. C'est sûr que c'est une bonne chose de vouloir considérer les persos un peu plus comme des adultes, mais cette série a des tares irrémédiables, comme la plupart des acteurs, un budget FX rikiki (il a de quoi pouffer durant le double épisode JSA), et des scénarios bâclés.
Michael Shanks (aka Daniel Jackson de Stargate SG-1) en Hawkman, je crois que c'est une des plus belles erreurs de casting de la TV. Il en fait des tonnes, a un visage figé en mode énervé pendant 1h30 et s'est fourré un chat dans la gorge pour se faire une voix grave.

ils auraient dû le doubler avec Christopher Judge

Indeed!

Le redémarrage de HIMYM ne laisse pas vraiment présager d'un redressement du niveau de la série.
Par contre, Alyson Hannigan, on voit qu'elle a eu un bébé.:oups:

"Mummy, mummy, are you my mummy?"

Wow, je ne suis pas à la pointe de l'actualité mais ça fait parfois du bien de se pencher sur des trucs qu'on a ratés.
Steven Moffatt is God.

L'un des meilleurs épisodes de la série ! :)

Ouais, ce doublet, il était quand bien bon.
je l'ai revu il y a peu en faisant découvrir la série à ma brune.
Toujours aussi bon

Ben, moi, je découvre depuis quelques jours et ça m'emballe bien.
Mais assez paradoxalement, ce sont les épisodes de Davies que je trouve les moins intéressants alors que les franches réussites sont écrites par d'autres : le superbe épisode de Mark Gatiss avec Dickens, le très émouvant Father's day de Paul Cornell et maintenant le diptyque de Steven Moffatt (dont il me tarde de voir ce soir la deuxième partie).

Mais là, dans le premier Moffatt, il y a un nombre d'idées et de dialogues éjaculatoires à la seconde absolument délirant.

Moffat signe un peu des épisodes parmi les meilleurs du "run" Davies.